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1.
Abstract. This paper examines the problems encountered by the Canada Council in defining its status, and particularly its relationships with government and with its clientele, during its first twenty-one years. It deals primarily with the Council's experience in the support of the humanities and social sciences. The Council was created as a public body, in some respects resembling a government agency, but in others more like a private foundation. In its dealings with the academic community, the Council's public status made it more susceptible to criticism by scholars, especially after 1965 when growing revenues gave it a near-monopoly in support of research and scholarship. Failure to develop adequate links with that community in its first eight years led to persistent demands from scholars for a new organization, and increased the Council's vulnerability to a changing government view of its role. Although the introduction of annual appropriations in 1966 necessitated a new working relationship with the government, this was accomplished initially with no loss of the Council's autonomy. From the late sixties on, however, the Council experienced growing difficulty in maintaining an arm's-length relationship with the government in the face of persistent efforts to subsume its policies and priorities within a unified framework of government objectives. The paper argues that, in the support of scholarship and the arts, the public interest is better served by the original concept on which the Canada Council was based, namely as a public but non-governmental organization. Sommaire. L'auteur de cet article étudie les problèmes qu'a rencontré le Conseil des Arts en voulant définir son statut, et plus particulièrement ses rapports avec le gouvernement et avec sa clientèle, pendant ses vingt-et-une années d'existence. II porte une attention particulière à l'expérience du Conseil du point de vue de l'aide apportée aux humanités et aux sciences sociales. A sa création, le Conseil était une institution publique qui, d'un certain point de vue, ressemblait à un organisme gouvernemental mais qui, aussi à d'autres égards se rapprochait davantage d'une fondation privée. Dans ses rapports avec la communauté universitaire, le statut public du Conseil se prêtait à la critique des universitaires, particulièrement après 1965, lorsque l'augmentation de ses revenue Iui donna le quasi-monopole des bourses et des subventions. Le Conseil n'ayant pas réussi àétablir des relations satisfaisantes avec cette communauté durant les huit premieres années, les universitaires réclamèrent avec beaucoup de persistence un nouvel organisme, ce qui ne fit qu'accroître la vulnérabilité du Conseil à une nouvelle perception de son rôle de la part du gouvernement. Bien que l'introduction, en 1966, d'appropriations annuelles ait nécessité de nouvelles relations de travail avec le gouvernement, ceci s'est fait initialement sans que le Conseil ne perde son autonomie. Toutefois, à partir de la fin des années 60, le Conseil éprouva de plus en plus de difficultés à garder ses distances par rapport au le gouvernement, alors que celui-ci s'efforçait, avec beaucoup de persistance, de canaliser ses politiques et ses priorités dans un cadre unifié d'objectifs gouvernementaux. L'auteur soutient qu'en ce qui concerne le support à l'enseignement et à la recherche, l'intérêt du public est mieux servi par le concept original sur lequel le Conseil des Arts était fondé, c'est-à-dire celui d'un organisme public mais non-gouvernemental.  相似文献   

2.
Abstract. The paper focuses on Canadian decisions involving technical issues. The inherent difficulties associated with the application of technical advice and the need to secure public accountability for related government action are both discussed. It is suggested specifically that although there has been a significant governmental response to the problem of man-made hazards, much remains to be achieved. The general difficulties with the concepts of ‘public accountability’ and ‘technical advice’ are reviewed, and some observations are made on the idea of ‘risk’ The particular Canadian problems dealt with include those derived from the constitutional and overall political situation. The case of asbestos is introduced especially to illustrate inter-provincial inadequacies. Intra-provincial shortcomings are brought out by reference to the dangers resulting from lead. Note is taken of the limitations imposed by the legal system, and of the issues precipitated by Canada's industrial structure. The foreign policy dimension is recognized. The vinyl chloride issue is used to illustrate the long-term and yet fundamental nature of many risks. Recommendations are finally made concerning the roles of the Environmental Advisory Council and of the National Research Council's Associate Committee on Scientific Criteria for Environmental Quality, and an attempt is made to identify the detailed responsibilities which should fall to the federal government, both in regard to general and occupational standards covering man-made hazards, and more generally in regard to all the ways in which the general and specific publics can be safeguarded. Sommaire. L'auteur traite plus particulièrement des décisions relatives aux questions techniques. Il expose les difficultés inhérentes à l'application des conseils techniques et le besoin d'assurer le droit de regard du public sur les mesures gouvernementales. Il considère en particulier, qu'en dépit de la réaction positive du gouvernement face au problème des risques d'origine humaine, il reste encore beaucoup a faire. Il examine les difficultés générales que présentent les concepts du « droit de regard du public » et des « conseils techniques » et il présentent certaines observations sur la notion de » risque ». Les problèmes plus particulièrement canadiens dont il s'occupe sont la consequence de la situation constitutionnelle et de la situation politique générale. Il utilise le cas de l'amiante pour illustrer les carences interprovinciales. Ces mêmes carences sont évidentes, également, si l'on considère les dangers que présente le plomb. Il prend note des limites imposées par la loi et les problèmes posés par la structure industrielle du Canada. Il reconnait aussi la dimension politique étrangère. L'auteur se sert de la question du chlorure de vinyle pour illustrer le caractère à long terme et pourtant fondamental d'un grand nombre de dangers. Il fait des recommandations quant aux rôles du Conseil consultatif sur l'environnement et du comité du cnr sur les normes scientifiques pour la qualité de l'environnement. Il dégage enfin les différentes responsabilités du government fédéral, quant aux normes générales et professionnelles couvrant les risques créés par l'homme et, d'une façon plus large, quant aux moyens de protéger le public, qu'il s'agisse du grand public ou de groupes particuliers.  相似文献   

3.
Abstract. The report reviews the circumstances surrounding the formation of the Council of Maritime Premiers, noting that the Council was established as an alternative to full Maritime Union, which had been the basic recommendation of the Maritime Union Study by the late Dr J.J. Deutsch. The Deutsch study further recommended that union be achieved by three specific steps; establishing the Council represented an alternative approach to Maritime cooperation which was endorsed by the three premiers. The report recapitulates the seven major tasks proposed for and by the Council in 1971, and recounts the initiatives of the Council to those ends. It describes the administrative structure set up as the Council Secretariat, and the foundation of the four agencies: the Maritime Resource Management Service, the Land Registration and Information Service, the Maritime Provinces Higher Education Commission, and the Maritime Municipal Training and Development Board. Quoting from speeches by the premiers given in 1971, the report outlines the justifications for the roles and attitudes adopted by the Council in fostering Maritime cooperation. It also notes briefly the major activities, decisions and tasks accomplished by the Council in its first five years. The report includes some evaluation by the author and several recommendations with regard to establishing a Maritime Commission, strengthening the Regional Treasury Board, extending public awareness of the Council, encouraging official provincial participation, and clarifying the joint interprovincial role of the Council. The report concludes with quotations from the press indicating public confidence in the existence of the Council. Sommaire. Ce rapport examine les circonstances dans lesquelles s'est formé la Conseil des premiers ministres des Maritimes. L'auteur note que la création du Conseil a été l'alternative à l'union des Maritimes, qui avait été la recommandation fondamentale de l'étude de cette question par feu le Dr J. J. Deutsch. L'étude Deutsch recommandait aussi que l'union soit l'aboutissement d'une démarche en trois étapes spécifiques; l'établissement du Conseil repré- sentait la solution de rechange pour la coopération des Maritimes, et elle fut adoptée par les trois premiers ministres. L'auteur du rapport récapitule les sept tǎches principales proposées pour et par le Conseil en 1971 et décrit les initiatives que celui-ci a prises pour les exécuter. II décrit la structure administrative qui sert de secrétariat au Conseil et la création de quatre organismes: le Service de gestion des ressources des Maritimes, le Service des renseignements fonciers et du cadastre, la Commission de l'enseignement supérieur des Provinces maritimes, et le Conseil des Maritimes pour la formation et le perfectionnement des employés municipaux. Le rapport donne des extraits des discours prononcés en 1971 par les premiers ministres, exposant les justifications des rǒles et attitudes adoptés par le Conseil pour favoriser la coopération des provinces de l'Atlantique. Il indique aussi brièvement les principales activités, décisions et réalisations du Conseil, pendant ses cinq premières années d'existence. Le rapport offre une certaine évaluation de la part de l'auteur et plusieurs recommandations concernant l'établissement d'une Commission des Maritimes, le renforcement du Conseil régional du trésor, une plus grande conscience, de la part du public, de l'existence du Conseil, l'encouragement à une participation provinciale officielle et la clarification du rǒle interprovincial du Conseil. L'auteur termine avec des citations de la presse qui montrent que le Conseil s'est acquis la confiance du public.  相似文献   

4.
Abstract. Canadian universities are governed, traditionally, by a lay Board of Governors and an academic Senate. On 1 July 1972, as a result of five years of debate within the University of Toronto and through an Act of the Legislature of Ontario, the Board and Senate of the University were discontinued and replaced by a single representative body, named the Governing Council. This paper outlines major objectives which led to adoption of a unicameral form of institutional governance, reviews a number of the roles available to the Governing Council, describes the Governing Council structure and its operational methods, and analyses its relationship with central and divisional administrative organization. The paper concludes with an assessment that the Governing Council has shown decision-making ability, but that it has not functioned as a governing body. This problem is attributed to a break with the traditional roles and purposes of past university government and a lack of specific functions and clear objectives appropriate to the new structure of senior governance now present at the University of Toronto. Sommaire. Les universités canadiennes sont gérées traditionnellement par un conseil des gouverneurs non-universitaires et par un sénat universitaire. Le 1 juillet 1972, à la suite de cinq années de débats et d'une loi de la législature de lOntario, le conseil et le sénat de l'Université de Toronto ont été remplacés par un organism directeur unique, le Conseil de direction (Governing Council). L'auteur de cette communication expose les principaux objectifs qui ont entraîné l'adoption d'une fornie unicamérale de gestion institutionnelle, examine un certain nombre de rôles que le Conseil de direction pourrait jouer, décrit la structure rt les méthodes dopération du Conseil de direction et analyse ses relations avec l'organisation administrative centrale et sectorielle. II conclut par une évaluation: à son avis le Conseil de direction s'est montré capable de prendre des décisions mais ne s'est pas comporté en administrateur. II attribue ce probléme à l'abandon des rôles et buts traditionnels des organismes gouvernementaux uni-versitaires et au manque de fonctions définies et d'objectifs clairs compatibles avec la nouvelle structure de gestion ou sommet de l'Université de Toronto.  相似文献   

5.
Abstract. Although monitoring relatively well the outputs of the economy, traditional measures of economic performance do not adequately reflect society's over-all welfare. Measures reflecting other aspects of the social system need to be developed systematically. Such measures have acquired the name ‘social indicators.’ The evolution of the present interest in the development of these measures can be traced to attempts in the United States to understand the impact of the space program on society. At the present time in Canada, certain federal and provincial government departments and organizations, as well as some private institutions, have embarked upon attempts to measure or evaluate activities such as health, security, education, leisure, and the environment. The considerable interest in these types of indicators is the result of the following interrelated factors: 1/ the general recognition of the inappropriateness of using economically oriented measures to gauge the over-all welfare of society; 2/ the tremendous growth of the government sector; and 3; the proliferation of numerous social tensions and pressures and the relative inability of social institutions to understand and come to grips with these kinds of problems. The definitions of social indicators employed by various groups generally tend to reflect one or more aspects of the four following major categories: selected social statistics, social accounting measures, measures of attitudes and perceptions, and variables in models of various aspects of the social system. The general approach employed by the Economic Council of Canada is compatible in principle with the last three, although our work is generally within the context of the last category. From the Council's viewpoint, society is seen as having the basic goals of well-being and equity; all other objectives are assumed to be contributory to these two primary goals. The social system is divided into various areas of concern which correspond to certain existing institutional realities. The social-indicator framework employed in essence reflects the full array of outputs and relative inputs for each area. The development of social indicators should lead to a better understanding of the socioeconomic processes at work with regard to certain defined or derived outputs. Both the decision-making and planning processes should benefit as a result. The area of education is provided as an example of one of the ways in which the Council approaches the development of social indicators in practice. Sommaire. Quoique l'on contrôle relativement bien les résultats de l'ékonomie, les mesures traditionnelles appliquées aux performances éonomiques ne reflétent pas suffisamment le bien-être général de la société. Il va falloir mettre au point des mesures qui nous renseignerant sur d'autres aspects du système social. C'est ce qu'on appelle les indicateurs sociaux. L'intérêt actuel qui se manifeste en faveur de l'élaboration de ces mesures part des efforts faits, aux Etats-Unis, pour comprendre l'impact du programme spacial sur la société. A l'heure actuelle, au Canada, certains ministères et organismes fédéraux et provinciaux, ainsi que des institutions privées, se sont lancés dans des essais d'évaluation portant sur des activités telles que santé, sécurité, éducation, loisir et environnement. L'intérêt considérable suscité par ces types d'indicateurs est le résultat des facteurs suivants, qui d'ailleurs réagissent les uns sur les autres: 1/l'admission générale que les unités de mesures économiques ne conviennent pas pour évaluer le bien être général d'une société 2/ la croissance considérable du secteur gouvernemental; 3/la prolifération des tensions et pressions sociales et l'incompétence relative des institutions sociales à comprendre et à résoudre ce genre de problèmes. Les définitions des indicateurs sociaux employées par différents groupes tendent à refléter un ou plusieurs aspects des quatre catégories principales suivantes: statistiques sociales sélectionnées, mesures de comptabilité sociale, mesures d'attitudes et des perceptions et variables dans des modèles de différents aspects du système social. L'approche générale adoptée par le Conseil économique du Canada est compatible en principe avec les trois dernières, bien que notre travail soit généralement dans le contexte de la dernière catégorie. Le Conseil a adopté comme point de vue que le bien-être et l'équité sont les deux objectifs fondamentaux: tous les autres sont considérés comme contribuant aux deux premiers. Le système social est divisé en différents domaines d'étude qui correspondent à certaines réalités institutionnelles. La structure des indicateurs sociaux est telle qu'elle constitue, pour chacun des domaines considérés, le reffet de la totalité des résultats (outputs) obtenus ou désirés, et celui de la contribution de leurs facteurs (inputs) relatifs. L'élaboration des indicateurs sociaux doit amener à une meilleure compréhension des processus socio-économiques du point de vue de certains résultats définis ou dérivés. Ceci devrait permettre d'améliorer les méthodes de planification et de prise de décisions. Le domaine de l'éducation sert à illustrer l'une des façons dont le Conseil aborde, dans la pratique, l'élaboration des indicateurs sociaux.  相似文献   

6.
Abstract. This paper is concerned with future urban change in Canada. Part A deals with bringing about urban change. Part B is about knowledge required to make urban change. Part A begins by discussing a model of the urban future and closes with a discussion of the system of public and private organizations for urban management. Part B begins by distinguishing “knowledge roles’ for urban change, and goes on to discuss the role of knowledge in intervention. It closes with a discussion of the knowledge organization (illustrated by the university), and the means by which it might support the making of urban change. Part C relates the first two parts by suggesting how the mutual support of the knowledge organization (e.g. the university) on the one hand, and the system of public and private organizations that manage urban activities on the other, might be improved. Sommaire. Cet article traite du changement urbain au Canada et de son évolution future. Dans la première partie, la discussion porte sur le changement urbain lui-même, tandis que la seconde partie est consacrée au savoir relié au changement urbain. La troisième partie enfln suggère différentes manières de réaliser le lien entre le savoir et l'action en vue d'améliorer la qualité de nos interventions. La première partie débute en proposant un modèle du ‘futur urbain.‘ Cemodèle introduit deux types de planification, la planification projective, quis'appuie sur des extrapolations, et la planification prospective, qui s'appuie sur des prospectives du futur. Ces deux types de planification sont élaborés en relation avec les quatre sous-systèmes du système socio-technique, à savoir les systemes des ressources humaines, des activités humaines, des ressources physiques et des interventions physiques. Le type de relations que l'on perçoit ainsi que la manière de les considérer définissent le processus de planification que Ton adopte. Ce peut être un processus purement projeetif, un processus purement prospectif ou un processus conjoint prospectif-projectif. Des exemples de ces divers processus sont présentés. Dans la deuxième section de cette première partie, diverses manières d'organiser la gestion urbaine sont avancées, et il est suggéré qu'un réseau interorganisationnel à double intéiêt à la fois projectif et prospectif est désirable. La troisième section, enfin, propose un premier pas dans l'établissement d'untel réseau. Ce premier pas serait la création d'un petit réseau d'organisations qui s'engagerait dans le processus projeetif-prospectif suggéré auparavant. Cepetit groupe jouerait un rôle de catalyseur et pourrait stimuler un processus plus vaste si les résultats atteints se révelaient intéressants. La deuxième partie commence par distinguer différents rôles pour le savoir. Après avoir identifé le changement urbain comme un domaine d'études ayant les caractéristiques d'une discipline et d'une profession, elle propose un modèle à deux dimensions, la dimension institutionnelle et celle des connaissances. Ces deux dimensions conduisent à l'dentification de quatre types d'activités ausein du changement urbain: la pratique et les sciences de l'analyse et la pratique et les sciences de l'intervention. La discussion continue ensuite sur l'intervention considérée comme une pratique et un ensemble de disciplines. Il est avancé que l'urbanisation, la globalité, la complexité et le concept de métaproblèmes sont de plus en plus les determinants fondamentaux de l'intervention dans le changement urbain. La troisième section, enfin, propose divers moyens institutionnels pour promouvoir une meilleure intégration du savoir. Des centres et foyers de recherche de natures diverses sont suggérés ainsi qu'une structure nouvelle pour l'université, celle de l'université transdisciplinaire. La troisième partie propose, en guise de conclusion, une meilleure intégration des connaissances et de la gestion urbaine par l'instauration d'une focalisation commune sur le futur qui prendrait place au niveau des laboratoires de dessein de systèmes dans l'université transdisciplinaire et où se concrétiseraient les réseaux interorganisationnels suggérés dans la première partie.  相似文献   

7.
Sommaire: Aux différents paliers de gouvernement, les services de communication publique ont vu leur fonction et leur rôle se modifier pour prendre, dans certains cas, une place importante dans le processus décisionnel des administrations publiques. Cet article analyse les raisons d'une telle évolution en regard du processus de gestion des affaires publiques et s'interroge sur l'impact qu'elle peut avoir sur le processus démocratique dans son ensemble. Après avoir analysé d'une part les relations diverses qu'entretiennent les administrations privées et publiques avec leur environnement, et d'autre part la transposition du modèle de marketing aux activités gouvernementales, on tente de situer les fonctions de communication des administrations publiques au sein d'un système d'interactions incluant l'exécutif gouvernemental, l'environnement public et les médias. Selon le sens de circulation et les flux d'informations, les services de communication exercent plus ou moins une fonction traditionnelle de diffusion vers l'environnement ou une fonction conseil auprès des décideurs. L'importance croissante de cette dernière fonction, s'appuyant sur l'analyse des attentes des administrés, minimise la légitimité des choix politiques des élus et mène à une nouvelle forme de démocratie. Ces considérations s'appuient principalement sur les énoncés de politiques de communication exprimés par les divers paliers de gouvernements, et sur les entretiens non-directifs menés par les auteurs auprès de dix responsables des communications des gouvernements fédéral, provincial, municipaux et scolaires.  相似文献   

8.
Abstract. It is ten years since the Glassco Commission called for a drastic reduction in the numbers and in the scope of the administrative controls exercised on the departments of the federal government by the Treasury Board. But the Glassco slogan ‘Let the managers manage’ is not subtle enough to cope with the delicate question of how to give the maximum managerial freedom to departments while retaining for the Treasury Board enough supervision to satisfy the constitutional principle that the Cabinet is collectively responsible for the policies and administration of each department. The Treasury Board is trying to solve the problem by working out guidelines and audit mechanisms to take the place of rules and regulations in administrative life. While this is going on the Board has had to adjust to the emergence since 1968 of the Committee on Priorities and Planning as the senior cabinet committee on broad expenditure policies. At the same time collective bargaining, new budgeting systems and the bilingualism program have wrought great changes in bureaucratic life. The ‘clients’ of the Board, the operating departments, welcome most of the changes but feel that the delivery of the promised reforms is far too slow. Sommaire. Il y a dix am que la Commission Glassco a recommandé une réduction importante du nombre et de I'envergure des contrôles administratifs exercés sur les départements du gouvemement fédéral par le Conseil du Trésor. Mais la devise Glassco, “La gérance aux gérants”, ne s'est pas révélée assez subtile pour donner la plus grande liberté de gérance aux départements tout en conser-vant pour le Conseil assez de pouvoir de surveillance pour se conformer au principe constitutionnel selon lequel le Cabinet est responsable des politiques et de l'administration de chaque département. Le Conseil du Trésor essaie de régler ce problème en établissant des directives et des façons de vérifier qui prendraient la place des règles et des ordonnances de la vie administrative. Pendant ce temps, le Conseil du Trésor a dû s'habituer, depuis 1968, à une nouvelle réalité:depuis ce temps, en effet, le Comité des Priorités et de la Planification est devenu le principal comité du Cabinet en ce qui a trait aux dépenses importantes. Ceci, alors même que les conventions collectives, de nouvelles façons d'établir le budget et le programme du bilinguisme apportaient des changements importants dans la bureaucratie. Les “clients” du Conseil du Trésor, c'est-à-dire les départements, accueilIent d'un bon oeiI la plupart des changements mais croient que la mise en euvre des réfonnes préuves est beaucoup trop lente.  相似文献   

9.
Sommaire: L'analyse détaillée des rapports d'autorité entre les acteurs de l'arène politique qui impliquent les différentes instances décisionnelles a contribuéà la compréhension des stratégies et des objectifs poursuivis par chacun des acteurs en présence. En outre, la gestion de la crise du verglas a permis de rendre compte de diverses stratégies, notamment celles qui ont conduit les autorités municipales à exercer davantage leur rôle de porte-parole. Des dew rôles du décideur politique, soit dirigeant et porte-parole, celui de porte-parole est le plus manifestement politique car il participe directement au processus de la médiation et de la régulation. En cela, il contribue à une fonction de repréntation de la collectivité. Cette fonction de porteparole des décideurs municipaux a été soutenue, voire favorisée par la centralisation déisionnelle de la gestion de la crise au niveau national, parfois au détriment du rôle de dirigeant des autorités municipales. Le cas de la crise de verglas participe à une tendance générale du système de régulation des rapports entre les élus des différentes instances décisionnelles et il s'inscrit comme mode de contrôle et d'intervention du pouvoir national sur les pouvoirs qui lui sont subordonnés. L'appropriation des opérations par les acteurs politiques de la gouverne nationale s'est réalisée par l'implantation d'un dispositif organisationnel visant la substitution du modèle fonctionnel par un modèlead hoc centralisé. Le modèlead hoc a permis d'intégrer les liens d'autorité habituels et a conduit par la suite à l'établissement de ce que nous avons désigné le modèle effectif.Le bon fonctionnement du modèle effectif exige l'absence d'acteurs potentiellement en situation d'opposition. Les relations entre les acteurs engagés dans les opérations associées à la gestion du sinistre ont dés lors été soumises aux règles et intérêts des acteurs politiques de la gouveme nationale. Abstract: The detailed analysis of the authority relationships between players in the policy arena and the various decision-makers contributed to understanding the strategies and objectives of each player. Moreover, management of the ice storm crisis highlighted various strategies, including those that led municipal authorities to expand their spokesperson role. The role of the spokesperson is more clearly political because it plays a direct part in the mediation and regulatory process, thus contributing to a community representation function. This spokesperson function of municipal decision-makers was supported and even fostered by the centralization of decisions while managing the crisis at the national level (i.e., Quebec), sometimes to the detriment of the leadership role of municipal authorities. The ice storm case is part of an overall trend within the system for regulating the relationships between elected representatives at the various decision-making levels, and it is also a means of national control and intervention over the powers subordinated to the national authority. National policy-makers operated by implementing an organizational system substituting a centralized, ad hoc model for the functional model. Using the ad hoc model, the usual authority linkages were integrated, subsequently leading to the setup of the effective model. For smooth operation, the effective model requires that there be no players holding diametrically opposite positions. The relationships between the players in crisis management operations were thus governed by the rules and interests of national policy-makers.  相似文献   

10.
Sommaire. L'accroissement des responsabilités de l'Administration n'altère pas fondamentalement le principe de la séparation des pouvoirs, mais s'inscrit plutôt dans un processus normal d'ajustcment et d'évolution de ce principe, en harmonie avec le développement de notre société moderne. En réalité, si l'Assemblée nationale délègue de plus en plus de pouvoirs à l'Administration en matière de réglementation et de discrétion administrative, et au pouvoir judiciaire en établissant des normes de portée générale, elle en surveille et précise cependant l'exercice. Ainsi, l'adoption prochaine d'une loi sur les règlements viendra redonner à l'Assemblée nationale un droit de regard plus important sur l'exercice des pouvoirs réglementaires. Quant à la délégation de pouvoirs discrétionnaires, l'Assemblée nationale s'est dotée de certains outils de contrôle qui relévent directement de son autorité, comme le Protecteur du citoyen et le Vérificateur général. Enfin, l'Assemblée nationale peut, à l'occasion, revoir la délégation implicite faite au pouvoir judiciaire lorsqu'elle édicte des normes de portée générale dont l'interprétation revient aux tribunaux pour fixer dans la loi la portée des décisions jurisprudentielles ou même pour s'en écarter. Le pouvoir judiciaire, quant à lui, se trouve plutôt renforcé qu'érodé. Les mesures d'accessibilitéà la justice et la prolifération des lois et règlements accroissent ses possibilités d'intervention: on assiste, depuis les dix dernières années, à une augmentation importante du nombre de juges et du personnel de soutien aux tribunaux du Québec; enfin, une loi récente augmente l'autonomie du pouvoir judiciaire en créant le Conseil de la Magistrature, organisme doté de pouvoirs décisionnels en matière de perfectionnement des juges et de déontologie, et en réorganisant la structure administrative de la Magistrature. Abstract. The increase in the administration's responsibilities does not fundamentally alter the principle of separation of powers, but is rather a part of the normal process of adjustment and evolution of that principle, in tune with the development of our modern society. In fact, although the National Assembly delegates more and more authority to the administration in the areas of regulatory activity and administrative judgement, and to the judiciary by establishing generally applicable standards, it nevertheless oversees and defines those activities. Thus, the adoption in the near future of a law governing regulations will give the National Assembly greater control over regulatory activities. As far as the delegation of discretionary powers is concerned, the National Assembly has means of control dependent on its own authority such as the Ombudsman (Protecteur du citoyen) and the Auditor General. Finally, the National Assembly may, on occasion, review the implicit delegation of powers to the judiciary when it enacts standards of a general nature which must be interpreted by the courts so that the import of jurisprudential decisions may be codified in law, or even be disregarded. The judiciary is, in fact, reinforced rather than weakened. Improved access to the law and the proliferation of laws and regulations have increased its avenues of intervention; in the last ten years there has been a substantial increase in the number of judges and support staff in Quebec courts; finally, a recent law has increased the autonomy of the judiciary by creating the Bench Council (Conseil de la magistrature), a body which has decision-making powers in the fields of further training for judges, and professional ethics and the reorganization of the administrative structure of the magistracy.  相似文献   

11.
Abstract: A central issue in the government-crown corporation decision-making relationship is the balance between corporate autonomy and institutional control. This study investigates the effects of organization designs on the balancing of autonomy and control in practice, taking account of the incentives and strategic behaviour of the relevant actors. Politicians, for example, seek to maximize their own political support, crown corporation executives their own autonomy, and bureaucratic officials within central agencies their own policy influence. Three positive approximations of normative models of organization design models are investigated in Alberta, Manitoba, and Saskatchewan. Each design establishes different “rules of the game” and offers different advantages. Alberta practice most closely approximates a “self-contained” design in which corporate actors have the information advantage and are most closely able to achieve their own objective. In Manitoba, where practice most closely approximated a “vertical information systems” design, central bureaucratic monitoring agents had the information advantage and were most closely able to achieve their own objective. Saskatchewan practice most closely approximates a “lateral relations” design. Neither corporate nor bureaucratic actors have an enduring information advantage or are more able than the other to achieve their own objective. The relative “efficiency” of these crown corporation organization designs is not known. But they do yield qualitatively different balancing outcomes. Determinations can be made, quite simply, in terms of who is “winning” the crown corporation “game.” Sommaire: L'un des aspects fondamentaux à considérer dans les rapports décisionnels entre les sociétés de la Couronne et le gouvernement est l'équilibre qui existe entre l'autonomie des sociétés et le contrble institutionnel. Plutôt que de spéculer sur le caractère optimal des divers modes organisationnels qui peuvent théoriquement servir à structurer de tels rapports, cette étude considkre leurs effets sur l'equilibre autonomie-contrble, d'un point de vue pratique, en tenant compte des comportements stratégiques et des incitations des différents intervenants. Ainsi, les politiciens cherchent à maximiser l'appui politique dont ils jouissent; les dirigeants des sociétés de la Couronne, eux, cherchent à défendre leur autonomie; de leur côte, les fonctionnaires des organismes cen-traux souhaitent protéger leur influence sur les politiques. Les auteurs se penchent sur trois modèles normatifs de concepts organisationnels en Alberta, au Manitoba et en Saskatchewan. Chaque modèle établit des «règles du jew» différentes et offre des avantages particuliers, en termes de ressources stratégiques d'in-formation pour les trois groupes d'intervenants. La répartition des avantages en matière d'information régit les comportements d'optimisation des intervenants, les amenant à différents résultats en termes d'équilibre entre I'autonomie des sociétés et le contrôle institutionnel. La pratique en Alberta s'apparente plus à un modêle d'autonomie où les intervenants des sociétés de la Couronne ont I'avantage sur le plan de l'information, ce qui leur permet de mieux parvenir à leurs propres objectifs. L'autonomie des sociétés I'emporte alors sur le contrôle des institutions. Au Manitoba, où la pratique se rapproche d'un modèle d'information médicale, les agents de surveillance des organismes centraux ont I'avantage et sont donc en mesure de mieux parvenir à leurs propres objectifs. Le contrôle des institutions I'emporte alors sur l'autonomie des sociétés de la Couronne. En Saskatchewan, le modèle s'approche de celui des «relations latérdes». Ni les intervenants des sociétés, ni les bureaucrates n'ont un avantage durable sur le plan de I'information de sorte que ni les uns ni les autres ne sont donc en mesure de mieux atteindre leurs propres objectifs. I1 en résulte éventuellement un équilibre entre l'autonomie des sociétés de la Couronne et le contrôle des institutions. L'on ignore I'eficacité relative de ces différents modèles organisationnels, mais I'on sait qu'ils ont pour résultat un équilibre différent. L'on peut donc, fort simplement, déterminer qui «gagne» au «jeu» des sociétés de la Couronne.  相似文献   

12.
Abstract: The Public Service 2000 exercise and the June 1993 government reorganization are reviewed in the context of a decade of centrally driven initiatives to improve the management and productivity of the federal public service. The work of the Treasury Board Secretariat during these initiatives is described and the changes in its modus operandi and structure are outlined. It is suggested that the most important shortcoming in the PS 2000 exercise was the failure to reconcile the renewal theme with the continuing requirement for reductions in operating budgets, and to set out the implications of expenditure restraint for the size and nature of the public service in the 1990s. What is needed for the next stage of public service renewal is not a high-profile, service-wide initiative, but a “realistic management posture” that takes adequate account of continuing fiscal restraint, arbitrariness in expenditure reduction, impact on services, technological change, limited applicability of private sector techniques, efficacy of centrally imposed controls, relationship between employment security and renewal, and finally, compensation determination. Sommaire: Cet article passe en revue le projet Fonction publique 2000 et la réorganisation gouvernementale de juin 1993, dans le contexte d'une décennie d'initiatives centrales visant à améliorer la gestion et la productivité de la Fonction publique fédérale. II décrit le travail effectué par le Secrétariat du Conseil du Trésor et précise les modifications apportées a son modus operandi et à sa structure. La principale lacune du projet FP 2000 réside dans le fait qu'on n'a pas pu concilier le thème du renouveau avec le besoin continu de réduction des budgets d'exploitation, ni définir les conséquences de l'austérité budgétaire en ce qui touche la taille et la nature de la Fonction publique dans les années 1990. Ce qu'il faut pour la prochaine étape du renouveau de la Fonction publique, ce n'est pas une initiative tres visible et à l'échelle de toute la Fonction publique mais plutôt une “ position de gestion réaliste ” qui tienne bien compte des éléments suivants: 1) poursuite de l'austérité fiscale, 2) caractère arbitraire des réductions de dépense, 3) répercussions sur les services, 4) changements technologiques, 5) applicabilité restreinte des méthodes du secteur privé, 6) efficacité des contrôles centraux, 7) rapport entre la sécurité d'emploi et le renouveau, et 8) détermination de la compensation.  相似文献   

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Abstract: In 1984 significant changes were made in the institutions and procedures which support cabinet decision-making in the Government of Canada. The changes instituted by prime ministers Turner arid Mulroney are summarized in the context of the evolution of the cabinet decision-making system since the Second World War. The principal ways in which the system put in place by Prime Minister Mulroney differ from that prevailing in the latter years of Prime Minister Trudeau's administration are described. The differences include: a larger cabinet; fewer cabinet committees; simplified procedures and fewer expenditure envelopes within the Policy and Expenditure Management System; the consolidation of public service support for cabinet committees within the Privy Council Office, the Treasury Board Secretariat and the Department of Finance; and changes in the interdepartmental consultation process. Sommaire: En 1984, des changements importants ont été apportés aux méthodes et institutions servant le processus décisionnel du Conseil des ministres du gou-vernement canadien. Les changements institués par les premiers ministres Turner et Mulroney sont résumés ici et situés dans le contexte de I'évolution subie par le système décisionnel du Conseil des ministres depuis la deuxième guerre mondiale. L'auteur décrit les principales différences entre le système mis en place par le premier ministre Mulroney et le système qui fonctionnait pendant les dernières aiées de I'administration Trudeau. L'administration Mulroney se distingue notamment de I'administration précédente par les caractéristiques sui-vantes: un plus grand Conseil des ministres; une réduction du nombre de comités du Conseil des ministres; des procédures simplifiées et moins d'enveloppes de dépenses dans le cadre du Systéme de gestion des politiques et des dépenses; une concentration du soutien fourni par les fonctionnaires aux comités du Conseil des ministres au sein du Bureau du Conseil privé, du Secrétariat du Conseil du Trésor et du ministère des Finances; et enfin une modification du processus de consultation interministérielle.  相似文献   

14.
Abstract. Federalism poses special problems for the regulatory activities of the state. In Canada, federal and provincial governments have frequently disagreed over which could best exercise such controls, keeping in mind not only the public interest but also the needs of the private parties involved. The business of insurance is a case in point. The decisions of the Judicial Committee of the Privy Council confirmed that the provinces had important powers to regulate the writing of insurance. Yet Ottawa argued that protection of policyholders and considerations of economy and efficiency required uniform national standards. The provinces pointed instead to the greater simplicity and responsiveness of local control as well as to the steadily diminishing sphere of constitutional authority possessed by the central government. This conflict came to a head between 1927 and 1934 when the Insurance Superintendents of Ontario and Quebec led the resistance to the activities of the federal Insurance Department. Support for the provincial bureaucrats came from reciprocal and mutual insurers, while the joint-stock life insurance companies backed Ottawa. Indeed, these private interests used the federal-provincial conflict to seek special favours from the regulatory agencies. The dispute ended because politicians concluded that little was to be gained from the continuation of bureaucratic competition. Sommaire. Le fédéralisme pose des problèmes particuliers pour les activités de contrôle de l'Etat. Au Canada, les gouvernements federal et provinciaux se sont souvent trouvés en désaccord au sujet de la question de savoir à qui il était préférable de confier l'exercice de ces contrôles, gardant à l'esprit non seulement l'intérêt public, mais aussi les besoins des intérêts privés en cause. Le secteur des assurances constitute un exemple particulièrement bien choisi. Les décisions du Comité judiciaire du Conseil privé ont confirmé que les provinces disposaient de pouvoirs importants pour réglementer l'établissement des contrats d'assurance. Ottawa a cependant fait valoir que la protection des détenteurs de polices ainsi que des considerations d'économie et d'efficacité nécessitent l'application de normes uniformes à l'échelle nationale. Les provinces ont, de leur côté, attiré l'attention sur la simplicité accrue et la rapidité d'application des mesures de contrôle local, ainsi que sur les pouvoirs constitutionnels de plus en plus restreints dont dispose le gouvernement central. Ce conflit a atteint son point culminant entire 1927 et 1934, lorsque les Surintendants des assurances de l'Ontario et du Québec ont pris la tête d'un mouvement de résistance aux activités du ministère fédéral des assurances. Les compagnies qui offraient des assurances réciproques et mutuelles ont appuyé les bureaucrates provinciaux, tandis que les compagnies d'assurance-vie par actions ont soutenu Ottawa. En fait, ces intérêts privés ont exploité le conflit federal-provincial pour essayer d'obtenir un traitement de faveur de la part des organismes de contrôle. Le différend a pris fin le jour où les hommes politiques ont conclu que l'on n'avait rien à gagner de la poursuite des affrontements bureaucratiques.  相似文献   

15.
Abstract. This paper assumes that Planning-Programming-Budgeting (ppb ) is preferable to the current historical budgeting procedure of municipalities. This is in part because ppb necessitates policy-making (defined as the setting of goals). The paper argues that the ability of municipalities to adopt ppb and policy-making is severely constrained by fiscal imbalance. The reliance of Canadian municipalities on conditional transfers and on the property tax has negated ppb procedures by distorting priorities and narrowing decision-making. The paper further argues that inflation will accentuate the financial problems of municipalities because of different revenue and tax elasticities. The point of departure is a brief examination of the logic behind urban government and the division of responsibilities. The second section looks at municipal fiscal imbalance, and the third analyses how fiscal imbalance negates policy-making and ppb . A final section suggests three remedies that might induce adoption of ppb . One would reduce the distortions of transfers and the other two would ease fiscal imbalance. Sommaire. Cet article suggère que le processus de Planification-Programmation et Budgétisation (ppb ) est préférable au processus de budgétisation couramment en usage dans les municipalités, en partie parce que le ppb implique la détermination d'objectifs politiques. L'article soutient que la possibilité d'adoption du ppb et d'une politique précise par les municipalités est très limitée à cause du déséquilibre fiscal. La subordination des municipalités canadiennes aux subventions conditionnelles et a Fimpôt fonder, en changeant les priorités et en limitant le pouvoir de décision, a rendu impossible le ppb. L'article soutient de plus que l'inflation accentuera les problèmes financiers des municipalités à cause des différentes élasticités des taxes et des revenus. L'étude commence par un bref examen des principes qui régissent l'administration urbaine et 3a division des responsabilités. La deuxième partie traite du déséquilibre fiscal des municipalités, et la troisième indique pour quelle raison le déséquilibre fiscal rend impossible une politique suivie et l'application du processus du ppb . Une dernière partie suggère trois solutions qui pourraient faciliter l'adoption du ppb. L'une réduirait les distortions dues aux subventions conditionnelles et les deux autres permettraient d'alléger le déséquilibre fiscal.  相似文献   

16.
Abstract: This paper examines the compliance self‐inspection system adopted by the Ontario Ministry of Natural Resources (MNR) in relation to the province's forest industry from 1998 onwards. The system is a prominent example of the experiments with alternative service delivery arrangements that took place in the context of the province's application of “new public management” principles to public administration following the 1995 election. Evaluative criteria related to governnance, accountability, and performance are used to assess the self‐inspection system and alternatives to it. The assessment identifies concerns regarding the legal basis for the self‐inspection arrangement, the conflicts of interest inherent in the system, the implications of MNR'S increased dependence on forest licence‐holders for operational functions, the ministry's ability to oversee the inspection system and the capacity of licence‐holders to carry out the functions assigned to them, the impacts on legislative officer and public oversight of forest management activities, differences in the performance of MNR and licence‐holder employed inspectors, and the overall cost‐effectiveness of the system. The restoration of the ministry's compliance inspection functions, or the establishement of an independent profession of forestry compliance inspectors, are identified as the preferred alternatives to the existing self‐inspection system. Sommaire: Le présent article examine le système d'auto‐contrale de la conformité adopté par le ministère des Richesses naturellcs (MRN) de I'Ontario en ce qui con‐cerne l'industrie forestière depuis 1998. Le système est un remarquable exemple d'experiences avec differents modes de prestation des services qui ont eu lieu avec I'application par la province des principes de la « nouvelle gestion publiquc » I'administration publique apres l'election de 1995. Des critères d'Évaluation concer‐nant la gouvernance, l'imputabilité et la performance sont utilisés pour évaluer Ie systeme d'auto‐contrôe et les autres options. L'évaluation fait ressortir des préoccupations concernant le fondement juridique du mode d'auto‐contrôle, les conflits d'intérêt inhérents au systeme, les implications de la dependance accrue du MRN a l'egard des titulaires de permis forestiers pour les fonctions d'exécution, l'aptitude du ministere a superviser le système de contrôle et la capacité des titulaires de permis à exécuter les fonctions qui leur sont assignées, les impacts de la surveillance des activités de gestion forestière sur les fonctionnaires et le public, les différences dans la performance du MRN et des contrôleurs titulaires de permis, et la rentabilité glo‐bale du systeme. Les alternatives préférés au systeme d'auto‐contrôe existant seraient la restauration des fonctions dé contrôle conformees au ministère ou bien l'établissement d'une profession indépendante de contrôleurs de la conformité forestière.  相似文献   

17.
Abstract: The June 1993 reorganization of the Canadian cabinet undertaken by Prime Minister Kim Campbell is the latest manifestation of a theme in vogue: the consolidation of ministerial portfolios in order to reduce the size of cabinet. This paper examines the recent Canadian changes in light of the Australian cabinet reorganization of 1987, which saw twenty-eight cabinet portfolios reduced to sixteen. The Australian experience with a consolidated cabinet is assessed from four perspectives: political control; policy interdependence and coordination; efficiency and cost savings; and budgetary discipline. We argue that in many ways the focus on cabinet size per se is misleading. The significant questions relate to the organization of authority within cabinet and the relationships between individuals assigned executive authority rather than the actual number of minister. The June 1993 Canadian reorganization emulates the Australian model in most respects, although the issue of effective political control may well depend on an expanded role for parliamentary secretaries in lieu of junior ministers. Sommaire: La réorganisation du Conseil des ministres du Canada, entreprise par le Premier ministre Kim Campbell en juin 1993, est la toute dernière manifestation d'un thème actuellement à la mode: la consolidation des postes ministériels afin de réduire la taille du Conseil des ministres. Dans cet article, on analyse les modifications récentes survenues au Canada à la lumière de la réorganisation du Conseil des ministres de l'Australie en 1987, oú le nombre des postes de ministres a été réduit de 28 à 16. L'expérience de l'Australie avec un Conseil des ministres consolidé est évaluée à partir de quatre points de vue:contrôle politique; interdépendance et coordination des politiques; efficacité et économie de coût, et enfin, discipline budgétaire. À notre avis, l'accent mis sur la taille du Conseil des ministres est, sous de nombreux aspects, mal placé. Les questions importantes ont trait à l'organisation de l'autorité au sein du Conseil des ministres ainsi qu'aux relations entre les personnes ayant reçu une autorité exécutive, plutôt qu'au nombre effectif de ministres. La réorganisation canadienne de juin 1993 imite le modèle australien sous la plupart des aspects, bien que sur la question du contrôle politique effectif, elle semble accorder un rôle plus important aux secrétaires parlementaires plutôt qu'aux ministres de second rang.  相似文献   

18.
Abstract: As Canada enters the twenty-first century, its highly prized program, medicare, is undergoing radical transformation. With technological change and the restructuring of health systems, the locus of care is shifting from institutions to the home. As a result, care that was formerly publicly financed under the Canada Health Act is technically becoming de-insured. This paper analyses the reform of community-based long-term care services in Ontario from 1985 to the present. During this period, three different parties, the Liberals, the ndp and the Progressive Conservatives, in turn, formed the government. Four different models were put forward before the current model was adopted by the current pc government. Each of these models is analysed with respect to design decisions that must be made in the policy dimensions of financing, delivery and allocation and evaluated in terms of equity, liberty, security and efficiency. Underlying the debate in Ontario was a fundamental disagreement about the role of government, reflected in views about the responsibilities of individuals and their families, and the appropriate place of for-profit organizations within a publicly funded system. The reform of this sector has significance that goes beyond its boundaries, with wider implications and warnings for health care in general. Sommaire: Au moment même où le Canada se trouve au seuil du vingtième siècle, son très populaire régime d'assurance-maladie subit une transformation radicale. À cause de l'évolution technologique et de la restructuration du systéme de soins de santé, le fardeau de ces soins se déplace des institutions vers les foyers. Par conséuent, des soins auparavant financés par les deniers public en vertu de la Loi cana-dienne sur la santé deviennent techniquement non-assurés. Dans cet article, on analyse la réforme des services ontariens de soins à long terme axés sur la communauté, de 1985 áG ce jour. Pendant cette période, trois partis differents, les Libéraux, les Né-démocrates et les Progressistes conservateurs ont formé le gouvernment à tour de rôle. Quatre modèles différents ont été préconisés avant l'adoption du modèle actuel par le gouvernement progressiste conservateur qui est aujourd'hui au pou-voir. On y analyse chacun de ces modèles quant aux décisions conceptuelles á faire pour les politiques de financement, de prestation et d'allocation, et chaque modèle doit être évalué en termes d'équité, de liberté, de sécurité et d'efficacité. À l'arrièreplan du débat, en Ontario, il y avait un désaccord fondamental sur le rôle du gouvemement, que reflétaient les opinions concemant la responsabilité des citoyens et de leurs familles ainsi que sur la place appropriée des organismes à but lucratif à au sein d'un système financéà même les derniers publics. La réforme de ce secteur a des répercussions non seulement sur le secteur hi-même mais aussi sur les soins de santé en général.  相似文献   

19.
Sommaire: La littérature en études managérielles et en gestion des ressources humaines concemant la décroissance organisationnelle et la réduction des effectifs maintient depuis une quinzaine d'années que leur principal effet néfaste serait le syndrome du survivant. Menace très réelle A l'accroissement de l'efficacité et de I'effi‐cience recherché par la décroissance organisationnelle, le syndrome du survivant nécessiterait d'être combattu par des pratiques de gestion des ressources humaines stratégiques pouvant éliminer ou amoindrir les symptômes couramment associés à ce syndrome. Cette recherche s'intéresse aux variations du syndrome du survivant dans des organisations de I'administration publique fédérale au Québec suite à sa sévère réduction des effectifs durant les années quatre‐vingt‐dix. Construite à partir d'un questionnaire complété par 3 307 fonctionnaires de vingt‐trois (23) ministères et agences de la Fonction publique fédérale du Canada répartis dans les seize (16) régions administratives du Québec, cette recherche suggère que le syndrome du survivant est un phénomène de faible intensité dans le cas des fonctionnaires fédéraux du Québec. Elle suggère également, suite à l'analyse factorielle et la régression linéaire, que les pratiques de gestion des ressources humaines privilégiées dans ces organisations publiques n'expliquent que très faiblement la variation des symptômes couramment associés au syndrome du survivant. En ce sens, cette recherche dément le discours pratique dominant sur le syndrome du survivant et le guide d'action managériel qui le sous‐tend, sans pour autant suggérer que la réduction des effectifs soit une décision et un processus exempt de tout effet pervers ou de conséquence non voulue. Abstract: Mainstream literature in human resource management (hrm) and managerial studies have suggested repeatedly over the last fifteen years that the main unintended consequence of downsizing is the so‐called survivor syndrome, a potentially  相似文献   

20.
Abstract. Modernizing local government systems to meet changing needs and urbanization is common to most Western democracies. This article examines the British local government modernization which, it argues, placed far too much emphasis on improving the system's functional capacity and too little to improving its democratic quality. The overemphasis on functionalism has been most decisive in relation to creating wider areas for planning and transportation and creating more populous local units so as to exploit economies of scale. The result is a system with some of the largest local units among Western democracies. The new system is also very unpopular. Yet, even when judged in functional terms it has serious weaknesses especially in regard to its failure to recognize the different functional needs of urban and rural areas. The article makes a strong plea for the restoration of democratic as opposed to functional criteria in the design of local government systems and notes the contribution that public choice theory can make to local government reorganization by its insistence on distribution efficiency as opposed to production efficiency. Sommaire. La modemisation des systèmes de gouvemement local pour répondre à de nouveaux besoins et aux exignences de l'urbanisation est commune à la plupart des démocraties occidentales. L'auteur de cet article étudie la modemisation du gouvernement local britannique qui, à son avis, a trop porté sur l'amélioration de la capacité fonctionnelle du système et pas assez sur sa qualité démocratique. La trop grande importance accordée au fonctionnel a joué un rôle particulièrement décisif en créant de grandes régions pour la planification et le transport et des unités locales à très forte densité de population de façon à profiter des économies d'échelle. Le résultat, c'est un système qui compte certaines des unités démographiques les plus fortes dans les démocraties occidentales. Ce nouveau système est aussi très impopulaire. Etmême lorsqu'on le juge du point de vue fonctionnel, il accuse une très grave faiblesse en ne distinguant pas entre les besoins fonctionnels différents des régions urbaines et rurales. L'auteur plaide en faveur de la restauration de critères démocratiques plutôt que fonctionnels pour la conception de systèmes de gouvemement local et il indique la contribution que pourrait apporter la théorie du choix public à la réorganisation du gouvernement local grâce à son insistance sur l'efficacité de la distribution plutôt que sur l'efficacité de la production.  相似文献   

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