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1.
Abstract: Interest in finding more effective methods for public involvement in decision‐making about health systems is more widespread than ever in Canada since significant aspects of health‐care decision‐making were devolved from provincial governments to regional health authorities. Involving the public can be risky business, however, as the accountability and legitimacy of decisions made by governing authorities are often assessed against the nature and degree of interaction that occurs with the public. Consequently, decision‐makers in a variety of policy domains routinely struggle with questions about when it is appropriate to involve the public, what the most effective means are for doing this, and how to measure their success. The authors analysed these issues by documenting the experiences of health‐systems decision‐makers in two Canadian provinces (Ontario and Quebec) with public consultation and participation over the past decade. Their findings illustrate that despite the different roles and responsibilities held by Ontario and Quebec decision‐makers, decisions to consult with their communities are driven by the same basic set of objectives: to obtain information from and to provide information to the community; to ensure fair, transparent and legitimate decision‐making processes; and to garner support for their outcomes. Decision‐makers also acknowledged the need to rethink approaches for involving the public in decision‐making processes in response to the perceived failure of past public participation and consultation processes. While these experiences have clearly left some participation practitioners feeling beleaguered, many are approaching future community consultation processes optimistically with plans for more focused, purposeful consultations that have clear objectives and more formal evaluation tinged with a healthy dose of pragmatism. Sommaire: L'intérêt que I'on porte à trouver des méthodes plus efficaces pour inciter le public à participer à la prise de décisions au sujet des systèmes de santé ne cesse de grandir au Canada depuis que les gouvemements provinciaux ont transféré aux autorités régionales la responsabilité d'importants aspects de la prise de décisions dans ce domaine. Cependant, faire intervenir le public peut être une affaire délicate, car la transparence et la légitimité des décisions prises par les autorités existantes sont souvent évaluées par rapport à la nature et au degré d'interaction qui se produit avec le public. C'est pourquoi, les décideurs dans divers domaines de politiques ont généralement de la difficultéà déterminer quand il convient de demander I'avis du public, quels sont les moyens les plus efficaces pour le faire et comment mesurer leur succès. Nous avons analysé ces questions en documentant les expériences que les décideurs des systèmes de santé de deux provinces canadiennes (l'Ontario et le Québec) avaient eues en ce qui concerne les efforts de participation et de consultation publique au cours de la derniére décennie. Nos conclusions démontrent qu'en dépit des divers rôles tenus et diverses responsabilités assumées par les décideurs de I'Ontario et du Québec, leur déision de consulter leurs communautés est guidée par les mêmes principaux objectifs: obtenir de I'information de la communauté et lui en foumir; assurer des processus de prise de déisions justes, transparents et légitimes et obtenir I'aval de leur décision. Les décideurs ont également reconnu le besoin de repenser les approches visant à faire participer le public aux processus de prise de décisions suite à I'échec perçu des expériences antérieures de participation et de consultation du public. Alors que certains partisans de la participation ont été clairement découragés par ces expériences, un grand nombre envisagent avec optimisme les processus de consultation communautaire. Ils croient que les consultations pourraient être plus focalisées et plus déterminées visant des objectifs clairs et une évaluation plus formelle et empreinte d'une bonne dose de pragmatisme.  相似文献   

2.
Abstract: Why are cabinet decision‐making systems designed the way they are? Traditional approaches to this question stress the importance of representational imperatives (i.e., region, language and gender), the need for managerial capacity and collegiality in complex organizations, or a particular government's fiscal or policy program. While these approaches have merit, they fail to pay sufficient attention to the fact that cabinet decision‐making systems are in the first instance very intimate reflections and extensions of the political instincts, personal aptitudes, and governing experience of first ministers. The author sets out to understand recent reforms to Ontario cabinet decision‐making in precisely this way ‐ how did Premier Michael Harris' sense of his government's mandate, his personal approach to decision‐making, and the practical lessons learned over the course of his government's first mandate influence the design of Ontario's cabinet decision‐making system between 1995 and 1999? This article begins with a short history of Ontario's cabinet decision‐making system, focusing on the period from 1968 to 1995. It then provides details of reforms introduced between 1995 and 1999 and concludes with some thoughts on how Premier Harris' political instincts, personal aptitudes, and governing experience influenced these reforms. Sommaire: Pourquoi les systèmes de prise de décisions du Cabinet sont‐ils conçus comme ils le sont? Les réponses traditionnelles à cette question soulignent l'impor‐tance des impératifs de représentation (c.‐à‐d. la région, la langue et le sexe), le besoin de compétence en matière de gestion et la collégialité dans les organismes complexes, ou bien un programme politique ou budgétaire particulier du gouvernement. Ces approches sont valables, mais elles ne tiennent pas suffisamment compte du fait que les systemes de prise de décisions du Cabinet sont, avant tout, le fruit de reflexions très approfondies et d'instincts politiques, d'aptitudes personnelles, et de l'expérience gouvernementale des premiers ministres. L'auteur de cet article essaie de comprendre, précisément dans ce sens, les récentes réformes en matière de prise de décisions au Cabinet de 1'Ontario: comment est‐ce que l'idée qu'a Michael Harris du mandat de son gouvernement, son approche personnelle face à la prise de décisions, et les leçons pratiques tirées de son premier mandat (1995–1999) ont‐elles influencé la conception du système de prise de décisions du Cabinet de l'Ontario? L'auteur commence par brosser un bref historique du système de prise de décisions du Cabinet de l'Ontario, en se penchant tout particulièrement sur la période allant de 1968 A 1995. Ensuite, il présente en détail les réformes introduites de 1995 à 1999 et conclut par quelques réflexions sur la manière dont les instincts politiques du Premier ministre Harris, ses aptitudes personnelles et son expérience du gouvernement ont influencé ces réformes.  相似文献   

3.
Abstract: The cabinet decision-making system of the last Trudeau government was the object of much criticism. The system purportedly frustrated individual ministers, relied excessively on central agencies, and made policy-making difficult. Based on a study of the manner in which the federal government dealt with the issue of direct patient charges, this article argues that the failings of the Trudeau decision-making system were exaggerated. Instead of being seen as a flawed attempt to structure how Ottawa decides, the Trudeau system of 1980–84 should be viewed as an important contribution towards the development of an effective cabinet decision-making process. Sommaire: Le système de prise de décisions en vigueur dans le dernier gouvernement Trudeau a fait l'objet de nombreuses critiques. Le systètme était vraiment frustrant pour les ministres, s'appuyait beaucoup trop sur les organismes centraux et rendait toute décision politique difficile. En s'appuyant sur une étude portant sur la facon dont le gouvernement fédéral a abordé la question des frais directs aux patients, cet article montre que les faiblesses du système de prise de décisions sous le gouvernement Trudeau n'étaient pas aussi graves qu'on l'a dit. Plutôt que d'y voir une tentative infructueuse d'encadrer les méthodes décisionnelles d'Ottawa, on devrait considérer que le système en vigueur de 1980 à 1984 a largement contribuéà mettre sur pied un processus de prise de décisions efficace au sein du Cabinet.  相似文献   

4.
Abstract: A number of observers have of late commented on the growing influence of permanent public servants on the policy process in government at the expense of ministers and have suggested measures to rectify the situation. This paper looks at ministers' staff as a means to give ministers the capacity to provide policy directions to their departments and to assess policy advice coming from permanent public servants. The paper describes the kind of resources available to ministers, the background of individuals in ministerial offices and the responsibilities now carried out by these offices. It then points to deficiencies in the present arrangements, if the offices are to play a strong policy advisory role. The kind of reforms necessary to give such a capacity to ministers' offices is then outlined. These reforms, it is argued, could be instituted without far-reaching structural changes to our public administration system. Sommaire: Récemment, certains observateurs ont attiré l'attention sur l'influence croissante que des fonctionnaires permanents exercent sur les décisions gouverne-mentales, au détriment des ministres. Des mesures ont été proposées pour corriger cette situation. L'auteur examine ici le rôle des collaborateurs d'un ministre, qui pourraient fournir à ce dernier les ressources dont il a besoin pour orienter les activités de son ministère et évaluer les conseils des fonctionnaires permanents quant à la politique à suivre. L'auteur décrit ensuite le genre de ressources dont disposent les ministres, l'expérience et la formation du personnel des cabinets ministériels, ainsi que les responsabilités qu'il est appeléà assumer de nos jours. Il attire ensuite l'attention sur les lacunes du système actuel et sur les moyens à mettre en oeuvre pour y remédier si l'on veut que les cabinets ministériels jouent un rôle consultatif utile dans l'élaboration des politiques. L'auteur expose alors le type de réformes à mettre en oeuvre pour permettre aux cabinets ministériels d'accomplir cette fonction. Comme il le fait valoir, de telles reformes pourraient trés bien être introduites sans qu'il soit nécessaire de modifier en profondeur la structure de notre système dadministration publique.  相似文献   

5.
Sommaire: Aux différents paliers de gouvernement, les services de communication publique ont vu leur fonction et leur rôle se modifier pour prendre, dans certains cas, une place importante dans le processus décisionnel des administrations publiques. Cet article analyse les raisons d'une telle évolution en regard du processus de gestion des affaires publiques et s'interroge sur l'impact qu'elle peut avoir sur le processus démocratique dans son ensemble. Après avoir analysé d'une part les relations diverses qu'entretiennent les administrations privées et publiques avec leur environnement, et d'autre part la transposition du modèle de marketing aux activités gouvernementales, on tente de situer les fonctions de communication des administrations publiques au sein d'un système d'interactions incluant l'exécutif gouvernemental, l'environnement public et les médias. Selon le sens de circulation et les flux d'informations, les services de communication exercent plus ou moins une fonction traditionnelle de diffusion vers l'environnement ou une fonction conseil auprès des décideurs. L'importance croissante de cette dernière fonction, s'appuyant sur l'analyse des attentes des administrés, minimise la légitimité des choix politiques des élus et mène à une nouvelle forme de démocratie. Ces considérations s'appuient principalement sur les énoncés de politiques de communication exprimés par les divers paliers de gouvernements, et sur les entretiens non-directifs menés par les auteurs auprès de dix responsables des communications des gouvernements fédéral, provincial, municipaux et scolaires.  相似文献   

6.
Abstract: Though France and the United Kingdom are the most populous countries with a legislative ombudsman at the national level, little has been written in English ahout the French plan. Created in 1973, it resembles the British scheme for the central administration, in that coinplaints must he forwarded to the ombudsman (Médiateur) by members of Parliament. The French plan has been more successful than the British one, and hence ought to lw studied by other populous countries considering such a plan. It differs from the British scheme in several important respects, three of its unique features being its political nature. its decentralization and its reform orientation. However, a comparison of the total number of coinplaints received by the plan in France with that in countries where complaints are made directly- indicates that, as in the United Kingdom, the requirement for complaints to be made through legislators has been a serious restriction, and has prevented the plan from meeting a large part of the need. Sommaire: Bien que la France et le Royaume-Uni soient les pays les plus peuplés àêtre dotés d'um médiateur législatif (ombudsman) au niveau national, le système françis n'a pas suscité heaucoup de commentaires de la part des auteurs anglophones. Créé en 1973. ce systéme ressemble à celui instauné au Royaume-Uni pour l'administration centrale en ce que les plaintes doivent être transmises au médiateur par l'intermédiaire des députés. Le système français a connu plus de succès que le Lritannique et mérite par conéquent d'être étudié par d'autres pays à haute derisité démographique qui envisageraient un tel systéme. Il differe du inodèle britannique par certains aspects importants, ses trois caractéristiques particulières étant sa nature politique. sa décentralisation et son orientation réformatrice. Toutefois, une comparaison entre le nombre total de plaintes enregistrées dans Ic cadre du système fiançais et le nombre de plaintes déposées dans les pays où l'on a adopté la façon directe de procéder démontre que comme au Royaume-Unit, l'intermédiaire qu'est le député constitue un obstacle important qui empêche le système fraiçais de répidre à une grande partie des hesoins.  相似文献   

7.
Abstract. Pressure groups, defined as organizations whose members act together to influence public policy in order to promote their common interests, are assumed to be integral to the functioning of the Canadian policy system, now and in the past. Successful interaction between Canadian governments and pressure groups has been typified by consultation and the search for accommodation and consensus. This pattern appears to be changing. The number of pressure groups is increasing with the trend to complexity in Canadian social and economic systems, the pull of information technology, and the influence of government policy. The emergent pattern sees pressure groups exposed to heightened public scrutiny and increasingly dependent upon supportive public opinion. Change is attributed to increased competitiveness resulting from the proliferation of groups, government modification of policy systems, and the popularization of pressure-group activity through the mass media. For public officials the changed climate of pressure group-government relations will reduce the capacity of government agencies to determine the nature of their relations with pressure groups, and increase the complexity, and uncertainty, of the public servant's decision environment. To meet these changes public officials should not depend on the development of new policy machinery, as some suggest, but on better use of existing communications devices. Sommaire. Les groupes de pression sont définis comme étant des organisations dont les membres agissent collectivement pour influencer la politique publique dans le sens de leurs intérèts communs. Ces groupes sont considérés comme l'un des éléments du système canadien d'établissement des politiques, maintenant comme par le passé. L'interaction fructueuse entre les gouvernements canadiens et les groupes de pression a été caractérisée par la consultation et la recherche de compromis et de consensus. Ce scénario semble changer. Le nombre des groupes de pression est en train d'augmenter avec la complexité croissante des systèmes sociaux et économiques canadiens, l'impulsion donnée par la technologie de l'information et l'influence de la politique gouvemementale. On semble se diriger vers une situation où les groupes de pression sont surveillés davantage par le grand public et dépendent de plus en plus d'une opinion publique favorable. Ce changement est dûà une plus grande concurrence du fait de la prolifération des groupes, à la modification par le gouvernement des systèmes d'établissement des politiques et à la polarisation des activités des groupes de pression par les media de communication. Du point de vue des agents du gouvernement. le nouveau climat des relations groupes militants - gouvernement rendra plus difficile l'évaluation de leurs rapports avec ces groupes et augmentera la complexité et l'incertitude de l'ensemble des facteurs en fonction desquels ils prennent leurs décisions. Pour pouvoir faire face à ces changements, les agents gouvernernentaux ne devront pas compter sur l'élaboration de nouveaux mécanismes d'établissement des politiques, comme le suggèrent certains, mais faire un meilleur usage des moyens de communication existants.  相似文献   

8.
Abstract: Efforts to design merit‐based appointment systems for the boards of government agencies, boards and commissions (abcs) have gained greater priority over the past decade in order to enhance public confidence in the integrity of the political process, improve the governance of organizations operating at arm's length from ministers, and reduce the risks to the public interest and public purse that come with incompetent boards. The Nova Scotia reform experience in this regard is instructive because this province's appointment regime not only encompasses a legislative committee veto over ministerial appointments, a power unique to this province in the Canadian and comparative Westminster systems, but also uniquely sets the merit standard as relative‐merit, that is, the appointment of the most qualified of all applicants, and not merely a qualified candidate. This article reviews this provincial experience and concludes that a merit‐based appointment system that pursues relative merit can be created but only by restricting the authority of ministers to a veto over the appointment of candidates nominated by the abcs themselves. Sommaire: Ces dix demières années, les efforts déployés pour concevoir des systemes de nomination au mérite pour les conseils d'administration d'organismes, des régies et des commissions du gouvernement ont obtenu une priorité beaucoup plus grande, et cela, afin de rehausser la confiance du public envers I'intégrite du processus politique, d'ameliorer la gouvernance d'organismes fonctionnant sans contrôle ministériel direct et de réduire les risques que représentent les conseils incompétents pour le bien et les deniers publics. L'expérience de la réforme entreprise en NouvelleÉcosse est à cet égard instructive pour les partisans de la réforme. Le régime de nomination de cette province comporte non seulement un droit de veto de la part d'un comité législatif sur les nominations ministéielles, pouvoir unique à cette province dans le systéme canadien et le systéme comparatif de Westminster, mais il établit également la norme de mérite comme un mérite relatif, c'est‐à‐dire la nomination de la personne la mieux qualifiée parmi tous les candidats et non simplement la nomination d'une personne qualifiée. Le présent article examine I'expérience de cette province et conclut qu'un système de nomination au mérite visant le mérite relatif peut être mis en place, mais seulernent à condition de limiter le pouvoir des ministres à opposer leur veto à la nomination de candidats par les organismes, régies et commissions gouvernementaux.  相似文献   

9.
Abstract. The significance of administrative culture in the study of administrative development in Canada is axiomatic. However, an appraisal and analysis of the nature and contents of administrative culture in Canada is not easy. The difficulty of defining and delineating the boundaries of administrative culture from the general contextual culture and of analysing the major factors that produce an administrative culture conducive to full administrative development is considerable. Due to insufficient knowledge of the public about the oerations of the government, incomplete application of the merit system of staffing, and inadequate prestige value for public service employment, the bureaucracy is yet to receive a respectable level of public acceptance for its ability to act as an impartial agent on its behalf. Similarly, the behavioural patterns, values, attitudes, and orientations internalized in the bureaucratic system continue to be inadequate to ensure an effective and fully functional administrative culture. Furthermore, the exact nature and implications of the sub-cultural cleavages suspected within the Canadian administrative system are yet to be ascertained. To conceptualize the administrative culture in Canada, we require a great deal of empirical data on different aspects of the Canadian administrative system including the knowledge of the Canadian public about the operations of their public service, the nature and degree of public support for its programs, the public's orientations toward their administrators, and above all, the perceptions and evaluations of the administrators themselves regarding their own performance and role within the administrative system. But, unfortunately, there is a serious shortage of data regarding almost all significant variables of administrative culture in Canada. Sommaire. L'importance de la culture administrative dans l'étude du développe-ment de l'administration au Canada est évidente. Il n'est pas facile, cependant, d'évaluer et d'analyser la nature et la teneur de la culture administrative au Canada. Il y a toutes sortes de difficultés à définir et délimiter la culture administrative dam le contexte cdturel général et à analyser les principaux facteurs qui produisent une culture administrative favorable à un plein développement de l'administration. Parce que le public ne connait pas suffisamment la façon dont le gouvernement fonctionne, parce que I'avancement ne se fait pas com-plètement sur la base du mérite, parce que la f onction publique, du point de vue de I'emploi, ne jouit pas d'un prestige suffisant, Ie public ne reconnaît pas à cette demière la capacité d'agir comme agent impartial, en son nom. De même les modalités de comportement, les valeurs, les attitudes et les orientations incor-porées au système bureaucratique continuent àêtre insuffisantes pour assurer l'existence d'une culture administrative réelle et entièrement fonctionnelle. De plus, la vraie nature et les implications des fissures sous-culturelles dont on suppose I'existence au sein du système administratif canadien restent à védier. Pour mncetualiser la culture administrative au Canada, nous avons besoin d'une abonLce de données empiriques sur les différents aspects du système administratif canadien: sur la connaissance qu'a le public canadien du fonc-tionnement de la fonction publique, sur la nature et le degré de l'appui accordé par le public aux programmes de celle-ci et avant tout, sur les perceptions et les évaluations des administrateurs eux-mêmes quant à leurs propres performances ei à leur rôle dans le cadre du système administratif. Il existe malheureusement une sérieuse carence de données concernant presque toutes les variables im-portantes de la culture administrative au Canada.  相似文献   

10.
Abstract Collective bargaining can be justified as public policy as being an industrial relations system most comatible with the values on which our socioeconomic system is built. It may also be defended on the argument that ‘it provides a forum for the free and untrammelled propounding of alternative solutions and that its approach is superior to any alternative, even when all moral considerations about freedom and other such values are left aside.’ There are two major paradoxes in collective bargaining which affect both its use and perceptions of it: discrete and conflicting public interests; and distinct political components, ranging from the fact that collective bargaining is public policy to the uses of collective bargaining for the ulterior political purpose of effecting substantial political, social and economic change. The sources of present threats to the collective bargaining system appear to be five: an alarming increase in man-hours lost through work stoppages, accompanied by a rise in the rate of rejections by union members of tentative settlements; an increase in wage settlements substantially in excess of the rate of inflation and any increase in national productivity; an increase in the number of illegal work stoppages and other forms of unlawful behaviour; the increasing politicization of disputes; and the accumulation of public and private harm from disputes in essential services. The causes of the threats are unemployment, lack of productivity, and inflation, leading to a form of social disengagement in which the individual becomes indifferent to the impact of his claims. Free collective bargaining was never planned to accommodate such strains; it cannot carry the burden alone, and it should not take the blame. We must therefore be careful not to reject collective bargaining as public policy in haste and for the wrong reasons, even though there may be few options within the collective bargaining system which hold out any real promise of making the system work better in today's environment. Any lasting improvement in the operation of collective bargaining will come only from improvement in that environment, in order to accommodate the values on which collective bargaining is justified as public policy. Sommaire. On peut justifier les négociations collectives en tant que politique publique en les considérant comme le système de relations du travail le plus compatible avec les valeurs qui servent de fondement à notre système socio-économique. On peut aussi les défendre en soutenant qu'elles foumissent une tribune où envisager librement et sans contrainte les différentes solutions possibles et que cette approche est supérieure à toute autre, sans même faire entrer en ligne de compte toutes les considérations morales quant à la liberté et autres valeurs. Les négociations collectives présentent deux paradoxes principaux qui ont un effet à la fois sur leur usage et sur la perception de cet usage: intérêts publics discrets et en codits et éléments politiques distincts, allant du fait même que les négociations collectives constituent une politique publique, à leurs usages pour des raisons politiques particulières en we d'effectuer un changement politique social et économique important. Il semble que le système des négociations collectives soit menacéà l'heure actuelle pour cinq raisons: une augmentation alarmante du nombre d'heures perdues par suite d'arrêts de travail, accompagnée du rejet de plus en plus fréquent d'accords de princie par les syndicalistes; une hausse des salaires négociés dépassant considérablement le tam d'inflation et l'augmentation de la productivité nationale; une multiplication des arrêts de travail illégaux et autres formes de comportement contraires à la loi; une ‘politisation’ accrue des conflits; et l'accumulation de dommages publics et privés par suite de désaccords dans les domaines de services essentiels. Les causes de ces menaces sont le chômage, le manque de productivité et l'inflation qui créent une sorte désengagement social rendant les individus indifférents aux effets de leurs revendications. Les négociations collectives libres n'ont pas été conçues pour s'accommoder de ces contraintes, elles ne peuvent pas en supporter seuies la charge et ne doivent pas en être blâmées. Il faut donc éviter soigneusement de rejeter trop rapidement les négociations collectives en tant que politique publique et pour de mauvaises raisons, même si le système des négociations collectives n'offre que peu d'options qui promettent vraiment un meilleur fonctionnement du système dans l'environnement actuel. Toute amélioration durable du fonctionnement des négociations. collectives sera nécessairement la conséquence de l'amélioration de cet environnement afin d'accommoder les valeurs qui justifient les négociations collectives en tant que politique publique.  相似文献   

11.
Abstract. This paper examines the role of the deputy minister in public decision-making. It notes the theoretical distinction between policy-making, on the one hand, and policy-execution or administration on the other, with the qualification that in practice the two are inevitably intermingled. It advances the view that changes in policy should be based on experience, in which the external impressions of politicians are complemented by the sense of continuity and inside knowledge of officials. The analysis by the Fulton Commission on the Civil Service of the United Kingdom of the fourfold functions of the permanent secretary as (1) the minister's most immediate policy adviser; (2) the managing director of the day-to-day operations of the department; (3) the possessor of ultimate responsibility for questions of staff and organization; and (4) accounting officer with ultimate responsibility for all departmental expenditures is compared with the duties and responsibilities of the deputy minister in Canada. The contribution to public policy-making by the recent developments in rationalizing the cabinet committee system and in arranging, inter alia, for the attendance of senior advisers at committee meetings, is noted and the influence of economists and other outside professional advisers is considered. Finally, the question as to who in government makes decisions is answered by the conclusion that in government decisions are made by ministers, or by officials in the name and on the responsibility of ministers at many levels of the administrative machine. Sommaire. L'auteur de cette communication examine le rôle du sous-ministre dans le prise de décision publique. Il prend note de la distinction théorique entre d'une part la prise de décision et d'autre part, l'exécution des politiques ou leur administration, tout en faisant remarquer que dans la pratique ces deux functions se fusionnent inévitablement. Il prétend que les changements de politique devraient se faire sur la base de l'expérience, les impressions extemes des ministres étant complétées par le sens de la continuité et les connaissances internes des fonctionnaires. Il compare les devoirs et responsabilités des sousministres au Canada à l'analyse qu'a faite la Commission Fulton sur la function publique du Royaume-Uni et plus précisément sur le quadruple rôle du secretaire permanent en tant que (1) » conseiller le plus proche du ministre «, (2) directeur des opérations quotidiennes du ministère, (3) détenteur de la responsabilité en dernier ressort des questions de personnel et d'organisation et (4), dans le domaine financier, responsable en dernier ressort de toutes les dépenses du ministère. Il souligne les apports à la prise de décision publique des derniers développements visant à rationnaliser le système des comités du cabinet et à assurer, entre autres, l'assistance des conseillers aux réunions des comités et évalue également l'influence des économistes et des autres conseillers professionnels de rextérieur. Finalement il répond à la question de savoir qui prend les decisions au sein du gouvernement en concluant que les décisions sont prises par les ministres ou par les fonctionnaires au nom de ceux-ci et sous leur responsabilité, à différents niveaux du mécanisme administratif.  相似文献   

12.
Sommaire: La volonté de transformation du système de santé est propice à une recrudescence du discours public sur la responsabilisation du patient. Les technologies d'information et de communication (tic ) sont régulièrement envisagées comme moyens pouvant permettre au patient d'exercer un rôle accru dans la prise en charge des questions de santé. Ce texte vise à cerner le sens de la responsabilisation dans un contexte de télésoins à domicile. L‘étude d'un service de suivi à domicile met en lumière l'un des quatre paradigmes d'interprétation de la responsabilisation du patient: le paradigme professionnel qui est orienté vers l'habilitation en matière de santé. Par une double lecture représentant les approches sociologique et psychologique, cette étude montre les possibilités et les limites d'une technologie de télésoins à domicile par rapport à six principales variables: accès aux connaissances; développement d'une réflexion argumentée; influence sur l'action ou la décision; compétence perçue; contrôle perçu; et intériorisation des buts. Les résultats permettent d'observer le haut niveau d'exigence que représenterait une initiative visant l’émergence de patients informés et compétents. Surtout des patients “experts” dans une vision de la responsabilisation fondée sur la reconnaissance du caractère holistique des connaissances, du principe d'autonomie de pensée et du potentiel d'influence du patient sur une variété de décisions. En conclusion, sont précisées les implications qu'ont ces résultats sur la gestion du système public de santé. Abstract: The willingness to transform the health care system is conducive to a new wave of public discourse on patient empowerment. Information and communications technologies (ict ) are regularly considered as means that allow the patient to exercise increased control in addressing health issues. This text aims at examining this phenomenon within the tele‐homecare context. The study of a follow‐up home‐care service highlights one of the four paradigms of the interpretation of patient empowerment: the professional paradigm that is health empowerment‐oriented. By using both a sociological and a psychological approach, the study identifies the possibilities and limitations of tele‐homecare technology, based on six major variables: access to knowledge, development of critical thinking, personal impact on action or decision, perceived competency, perceived control, and internalization of goals. The results show the high level of requirements needed for an initiative that would produce informed, competent and, most importantly, “expert” patients according to a vision of empowerment based on the recognition of the holistic nature of knowledge, the principle of autonomous thinking, and the patient's potential impact on a variety of decisions. In conclusion, the article defines the implications of these results in terms of the management of the public health system.  相似文献   

13.
Abstract: The administrative accountability of senior public servants for the execution of ministerial decisions is an important contribution to public confidence and trust in parliamentary democracy. Recent experience in the Ontario and federal legislatures, however, has questioned the effectiveness and fairness of the present system of accountability and injured that trust and confidence. These questions may be traced to the limitations of comprehensive auditing practices in governments, the effects of partisanship in parliamentary committees and the tendency of the news media to give disproportionate attention to accounts of alleged mismanagement. The Lambert Commission's proposals for xi improved system of accountability for deputy ministers, in the author's view, offer some valid directions for improvement but underestimate the need for parliamentary reforms to reduce partisanship and increase informed supervision of the process by elected representatives. The paper concludes with a review of the criteria that ought to govern changes to the existing regime of administrative accountability if parliamentary members and senior public servants are to cooperate in developing mechanisms that are both fair and effective. Sommaire: Dans une démocratie parlementaire, la responsabilité administrative des hauts fonctionnaires concentant l'exécution des décisions ministérielles est un élément qui contribue d'une façon notable à inspirer la confiance du public. Toutefois, de récents évéements, à la Chambre des Communes comme à la l'Assemblée legislative de l'Ontario, ont jeté le doute sur l'efficacité et sur la justice du système actuel de responsabilité des hauts fonctionnaires et ont miné la confiance du public. Ces problèmes découlent des limites inhéentes à l'ensemble des méthodes de vérification des gouvernements, de l'esprit de pxti régnant dam les comités parlementaires et de la tendance qu'ont les médias à donner une importance démesurée aus prétendues erreurs de gestion. De l'avis de l'auteur, les propositions avancées par la commission Lambert pour améliorer le système selon lequel les sous-ministres rendent des comptes comprennent des orientations valables mais sous-estiment la nécessité de réformes parlementaires permettant de réduire l'esprit de parti et d'accroitre la supervision du processus par les représentants élus. En conclusion, l'étude examine les crithres qui devraient guider les changements à effectuer dans le régime existant de responsabilité administrative, afin que les membres du Parlement et les hauts fonctionnaires travaillent ensemble à concevoir des mécanismes à la fois justes et efficaces.  相似文献   

14.
Abstract This paper explores the thesis that the main impact of the new constitutional Charter of Rights on the Canadian system of government is to increase the role of the judiciary in deciding how fundamental social and political values should be affected by public policy. The first part of the paper. by reviewing the significant role which trial and appeal courts already play in shaping public policy, aims at overcoming a tendency to exaggerate the change in our system of government resulting from the Charter. The second part identifies the factors which will influence the judicial response to the Charter and the policy areas in relation to which judicial interpretation will be most significant. The analysis shows that the Charter's major impacts will likely include much greater judicial supervision of police activity and centralization of policy-making under the leadership of the Supreme Court on questions of social justice and minority-language rights. It concludes that, while the Charter will increase Canadians' understanding of judicial policy-making, it represents a retreat from reliance on the political process to resolve divisive social issues. Sommaire. Le présent article examine la thèse selon laquelle le principal effet de la nouvelle Charte des droits constitutionnels sur le système de gouvemement canadien sera d'accroître le rôle du pouvoir judiciaire dans la détermination de la façon dont les valeurs sociales et politiques fondamentales devraient être affectées par les politiques publiques. La première partie de l'article passe en revue Ie rôle important que jouent déjà les tribunaux et les cours d'appel, ainsi que l'influence que ces institutions exercent sur la politique publique, ceci afin de neutraliser une tendance à exagérer les changements qu'apporterait la charte à notre système de gouvernement. La seconde partie identifie les facteurs qui pourront influencer la réponse judiciairs à la charte ainsi que les domaines politiques où l'interprétation judiciaire de cette charte aura le plus d'importance. L'analyse démontre que l'adoption de la charte entraînera des conséquences importantes, qui comprendront probablement une surveillance judiciaire des activités de la police beaucoup plus développée et une centralisation, sous la direction de la Cour suprême, de l'élaboration de politiques en matière de justice sociale et de droits linguistiques des minorités. L'auteur conclut que bien que la charte permettra aux Canadiens de mieux saisir le rôle de la Cour dans l'élaboration des politiques, elle représente un recul du recours au processus politique en ce qui concerne la résolution des questions sociales contentieuses.  相似文献   

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Sommaire: Nos sociétés modernes font l'objet de débats très controversés autour du problème de I'accès à l'information gouvernementale. Une approche systémique permet entre aittres de prendre conscience des différents enjeux inhérents au contrôle de cette information. Elle expliqrie pourquoi certains Etats sont plus en-clins que d'autres à favoriser 1'accès à l'information gouvernementale. Dans cette approche, la société est perçue comme un système d'acteurs dont les trois principaux sont le gouvernement, les intermediaires et les différents publics, avec en plus les acteurs externes dans I'environnement. Ces acteurs sont soumis à des règles normatives ou pragniatiques. Leur pouvoir respectif de contrôle est loin d'être équivalent. Le pouvoir du gouvrnement sur les différentes dimensions de la communication le démarque fortement de ses compétiteurs. Certaines propriétés générales dri système, de caractère- plus macroscopique, sont ensuite dégagées, soit la tendance gÆné rale à l'amplification de I'information gouvernementale ainsi que la tendance a l'amplification des prohlémes contradictoires reliés au trop grand secret de l'information gouvernementale d'une part, et à la trop petite protection de l'information personnelle d'autre part. Le gouvernement québécois a maintenant legiféré dans ce domaine. mais la loi d'accès ne inodifie pas fondanientalement les propriétés generales du systeme ni le pouvoir prédominant du gouvernement sur les autres acteurs politiques. Abstract: In modern societies, the problem of access to government information has been the subject of passionate debates. The systemic approach offers, among other things, an awareness of the various stakes inherent in the control of this information. It explains why some countries are more favourably disposed toward easy access to government information. In this approach, society is perceived as a players' system, the three main actors being the government, the intermediaries and the public, with, in addition, outside actors. The actors are subjected to normative or pragmatic rules but their respective control is far from being of equal value. Through its power on the various dimensions of communications, the government is very much set apart from its competitors. Some general and more macroscopic characteristics of the system are then oAPred: on the one hand, the general tendency to exaggerate government information as well as the tendency to overstate the contradictory problems.  相似文献   

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Abstract: This article examines the views of provincial public servants concerning how policy capacity can be strengthened. The findings are based on interviews conducted in 1997 with thirty-three senior public servants in the Province of Saskatchewan. Findings indicate that most public servants regard their role in policy-making as both natural and important to maintain, but they all accept the division of responsibilities in the policy process between themselves, as system stabilizers, and politicians, as the providers of energy in the system. In this regard, the public servants interviewed welcome clearly articulated goals that apply directly to their departmental concerns. Overall, the responses indicate that policy capacity can be strengthened by improving the government's policy processes, especially those linking cabinet and the bureaucracy, and those that operate horizontally across departments. These views are consistent with the traditional self-image of senior career officials who see themselves as policy managers overseeing a process that invests decisions with a high degree of legitimacy, power and accuracy. Sommaire: Dans cet article, on examine I'avis des functionaries provinciaux en ce qui conceme le renforcement de la capacité de prise de décisions politiques. Les constatations découlent d'entrevues avec 33 hauts fonctionnaires de la Saskatchewan, effectuées en 1997. Selon les constatations, la plupart des fonctionnaires voient leur rôle de décideurs politiques comme étant naturel et important à maintenir, mais ils acceptent tous le partage des responsabilités dam le processus décisionnel, entre, d'une part, eux-mêmes en tant que stabilisateurs du système, et d'autre part, les politiciens comme source de dynamisation. Sur ce point, les fonctionnaires interviewés aimeraient voir des objectifs clairement formulés s'appliquant directement à leurs préoccupations ministérielles. Dans l'ensemble, les réponses indiquent qu'on peut renforcer la capacité décisionnelle en améliorant les processus décisionnels du-gouvernement, particulièrement ceux qui relient le conseil des ministres au fonctionnariat et ceux qui assurent le lien horizontal entre les ministères. Ces avis cadrent bien avec la perception de soi classique des hauts fonctionnaires qui se perçoivent comme des gérants de politiques souhaitant que le processus qu'ils surveillent accorde aux décisions plus de légitimité, de puissance et de précision.  相似文献   

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Sommaire: Plus que jamais, les décideurs publics doivent alimenter la décision politi-que. Ils ne sauraient y parvenir sans une mise à jour continuelle de leurs connaissances. Les dornaines traditionnels ne sauraient cependant satisfaire à leurs besoins. C'est pourquoi l'auteur propose quatre domaines de formation pour les décideurs de la fin du millénaire. La maîtrise de l'infonnation s'appliquant tant au domaine des nouvelles qui ren-dent compte des événernents sociaux ou politiques qu'au domaine de l'information de gestion qui doit rester sous le contrôle des décideurs; La sensihilitéaux valeurs montantes dans le secteur du travail, de la santé et des Affaires sociales, de la politique et de l'économie. Selon l'auteur, les décideurs publics devront passer d'une gestion organique et pragmatique des services à une gestion sur laquelle des problèmes nouveaux et des valeurs nouvelles créeront des pressions de plus en plus considérables; La connaissance des institutions d du rôle de l'État - Une certaine perte de crédibilité des institutions publiques doit être contrée. Par ailleurs, la diminution du rôle des bureaucraties ne doit pas être confondue avec la diminution du rôle de l'État; L'hahilitédans le décodage de la prospective - L'administration publique exige de ses décideurs qu'ils regardent haut et loin mêrne si le quotidien les sollicite de façon très pressante. Les décisions autonomes deviennent de plus en plus rares et les liens entre les idées et les actions exigent plus que jarnais une ouverture sur le monde. Abstract: More than ever, public decision-makers must feed the policy-making process. To do that, they must continually upgrade their knowledge. However, the conventional fields of knowledge are no longer sufficient. The author hence proposes four areas of training for the decision-makers of the twenty-first century: - the mastery of informution, involving news reports on social and political events, and management information that must be at the decision-makers' fingertips; - sensitivity to emerging values in the fields of labour, health and social affairs, politics and economics. The author believes that public decision-makers must switch from an organic, pragmatic management of services to a management mode that will be subjected to ever-growing pressure by new problems and new values; - knowledge of the institutions and of the role of the state. A certain loss of credibility of public institutions must be countered. However, reducing the various bureaucracies must not be confused with reducing the role of the state; - ability to interpret forecasts. Public administration requires decision-makers to look beyond the horizon in spite of the pressing daily tasks. Autonomous decisions are becoming increasingly rare, and the links between ideas and actions require, more than ever, an opening to the world.  相似文献   

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Abstract: In the increasingly complex and “horizontal” environment of Canadian governmental decision‐making, the ability of governments to advance a major new policy initiative can be compromised or impeded by the often cumbersome systems evolved to ensure both due diligence and a comprehensive approach. In Ontario, the urgent and multi‐faceted health care reform agenda has been implemented using a new set of policy‐development and program‐implementation techniques. This paper summarizes those reforms. In doing so, it outlines the degree to which the reform agenda has been implemented using techniques and processes that have been grafted onto or even short circuited existing decision‐making systems. The paper also draws conclusions about the potential utility of the Ontario experience both for health care reform and for developing new mechanisms to implement challenging, time‐limited reform agendas within parliamentary systems of government with politically neutral civil services. Sommaire: Dans le contexte de plus en plus complexe et “horizontal” de la prise de décisions gouvernementale au Canada, l'aptitude des gouvernements à promouvoir une nouvelle initiative politique majeure peut être compromise ou entravée par la lourdeur des systèmes élaborés pour assurer une diligence raisonnable et une approche exhaustive. En Ontario, le programme de réforme des soins de santé, urgent et polyvalent, a été mis en œuvre grâce à un nouvel ensemble de techniques d‘élaboration de politiques et de mise en œuvre de programmes. Le présent article résume ces réformes. Ce faisant, il souligne comment le programme de réforme a été mis en œuvre grâce à des techniques et processus qui ont été greffés, ou qui ont même court‐circuité les systèmes de prise de décisions existants. L'article tire aussi des conclusions sur l'utilité possible de l'expérience de l'Ontario en ce qui concerne la réforme des soins de santé mais aussi la mise au point de nouveaux mécanismes pour exécuter des programmes de réforme difficiles, à délai déterminé, au sein de systèmes parlementaires de gouvernement avec des fonctions civiles politiquement neutres.  相似文献   

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Abstract: The article examines the federal Estimates budget from the perspective of whether or not the program format enhances democratic control. It introduces the idea of the budgetary system as a control in a generic management process, and then traces reforms in the accountability side of the Canadian federal government's central management system through the past twenty years. It concludes that the implementation of this version of PPBS was an error, and that it will be difficult to correct, because the budget design is embedded in the network of central institutions, which includes the Office of the Auditor General (OAG). A distinctive kind of “meta control” is now a characteristic of the federal context, and is not clearly managed by government from one decision centre. The author argues that the system does not serve Parliament. Instead it encourages bureaucratic or silent politics at several levels: inside departments; between departments and the OAG; and in an impkit system of elite accommodation between the OAG, central agencies and the government. Sommaire: Cet article analyse le récent budget de dépenses présenté au Parlement fédéral pour voir dans quelle mesure il permet d'accroître le contrôle démocratique. Il présente le système budgétaire comme un élément de contrôle dans un processus global de gestion, pour ensuite décrire les réformes ayant trait à l'imputabilité qui ont eu lieu dans le système de gestion centrale du gouvernement fédéral canadien depuis vingt ans. En conclusion, l'auteur explique que l'implantation de cette version de la rationalisation des choix budgétaires (RCB) était une erreur et que celle-ci sera difficile à corriger, étant donné que le processus budgétaire est noyé dans le réseau des institutions centrales, dont fait partie le Bureau du Vérificateur général (BVC). Le contexte fédéral se caractérise maintenant par une forme de meta-contrôle qui ne permet pas au gouvernement de gérer avec autoritéà partir d'un centre unique de décision. L'auteur soutient que le système ne sert pas le Parlement. Il encourage plutôt les politiques bureaucratiques ou les ententes tacites à différents niveaux, que ce soit à l'intérieur des ministères, entre les ministères et le BVC ou dans le cadre d'un système implicite de services rendus entre le BVG, les organismes centraux et le gouvernement.  相似文献   

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