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1.
Sommaire. Les programmes de développement régional du gouvernement fédéral ont suscité toutes sortes de controverses. Bien que l'on s'accorde généralement pour reconnaître la nécessité de réduire les disparités régionales au Canada, du point de vue revenu et possibilités d'emploi, il semble difficile d'arriver à un accord sur les façons dont on pourrait réduire ces disparités. Le gouvernement fédéral a tendance maintenant à considérer que c'est en encourageant les possibilités d'emploi dans les régions défavorisées que l'on a les meilleures chances de succès, au lieu de ← siphoner → le surplus de main d'æuvre. C'est cette attitude fondamentale et les moyens envisagés qui sont disputés. L'auteur de cette communication fait abstraction des opinions passionnées et des interprétations possibles auxquelles peut donner lieu l'examen des measures prises par le gouvernement fédéral dans le domaine du développement régional. Il s'attache, au contraire, à présenter les arguments qui déterminent la proportion optimale de programmes de migration et de développement régional. Les objectifs de maximisation de l'essor national et de réduction des disparités régionales étant établis, il considère, du point de vue de la pleine utilisation de la main d'?uvre, l'allocation optionnelle des ressources et l'application des principes économiques keynésiens.  相似文献   

2.
Abstract: Students of organizational behaviour have always been concerned with understanding the manner in which complex organizations ‐ including systems of public administration ‐ tend to create distinctive organizational cultures and the impact these cultures have on their activities and outputs, including their prospects for reform. Recently, neo‐institutional accounts of social and political life have provided a new entry point to the analysis of administrative cultures and administrative reform. For neo‐institutionalists, the institutional structure of an organization creates a distinct pattern of constraints and incentives for state and societal actors that define and structure actors' interests and channel their behaviour. The interaction of these actors generates a particular administrative logic and process, or “culture.” However, since institutional structures vary, a neo‐institutional perspective suggests that there will be many different kinds of relatively long‐lasting patterns of administrative behaviour, each pattern being defined by the particular set of formal and informal institutions, rules, norms, traditions and values, and many different factors affecting the construction and deconstruction of each pattern. Following this neo‐institutional logic, this article develops a multilevel, “nested” model of administrative styles and applies it to patterns of convergence and divergence in administrative reform in many jurisdictions over the past several decades. Sommaire: Les étudiants en comportement organisationnel ont toujours été soucieux de comprendre la manière dont les organismes complexes ‐ y compris les systèmes d'administration publique ‐ ont tendance à créer des cultures organisationnelles par‐ticulières et l'impact qu'ont ces cultures sur leurs activités et résultats, y compris leurs perspectives de réformes. Récemment, les comptes rendus néo‐institutionnels de la vie sociale et politique ont foumi une nouvelle ouverture à l'analyse des cultures et de la réforme administratives. Pour les néo‐institutionnalistes, la structure institutionnelle d'un organisme crée un modèle distinct de contraintes et d'encoura‐gements pour les acteurs de la société et de 1'État qui définissent et structurent les interéts des acteurs et canalisent leur comportement. Linteraction de ces acteurs génère une logique et un processus administratifs particuliers, que l'on appelle °Culture.Cependant, comme les structures institutionnelles varient, une perspective néo‐institutionnelle laisse entendre qu'il y aura de nombreuses sortes de modèles de comportement administratif relativement durables: chaque modèle est défini par I'ensemble particulier d'institutions, de règles, de normes, de traditions et de valeurs formelles et informelles qui le composent, ainsi que de nombreux dif‐férents facteurs influant sur la construction et la déconstruction de chaque modèle. En suivant cette logique néo‐institutionnelle, le présent article élabore un modèle de styles administratifs à diffbrents niveaux et I'applique aux modéles de convergence et de divergence en réforme administrative dans de nombreuses juridictions au cours des demiéres décennies.  相似文献   

3.
Abstract: This article explores and criticizes the use of private tort law and the common law courts to impose liability on governments for losses associated with regulatory failure. After describing the recent history of government liability law in Canada and the traditional deterrent and compensatory rationales for tort liability, the authors argue that the requirement of personal liability of public officials, the exclusion of “policy” decisions from tort liability, a legal requirement of “negligence,” the institutional characteristics of the courts, and the assumption of a deterrent impact of tort law are all inappropriate in addressing government liability claims. The article then explores a variety of mechanisms operating within the federal bureaucracy to respond to liability claims. These include the allocation of losses to individual bureaucrats and to the Consolidate Revenue Fund within government, the allocation of legal costs within government, the incentive effects of the settlement process, the ex ante review of losses by Treasury Board, the ex post review of losses by the Office of the Auditor General, and the treatment of excluded claims. The authors then argue for the development of feedback mechanisms within government to ensure that liability signals are received by and influence administrative decision-making. The authors conclude that the existing substantive legal principles and court processes are inadequate in themselves to ensure that government liability claims are addressed so as to reflect appropriately the relationship of the individual to the state in the regulatory process, and to ensure that liability risks are adequately incorporated into the regulatory decision-making process. They argue that a different set of principles should be developed and applied in addressing government liability claims; and further that these principles should be applied either through the courts with necessary reforms in response to existing institutional limitations, or through agency-specific administrative processes. Sommaire: Cet article analyse et critique l'utilisation du droit privé de la responsabilité déictuelle et des cours de common law en matière de responsabilitéétatique pour les pertes associées aux défaillances de la réglementation. Les auteurs dérivent l'historique récent du droit de la responsabilité gouvernementale au Canada, ainsi que les fondements traditionnels de la responsabilité délictuelle que sont la dissuasion et l'indemnisation. Ils affirment que l'exigence d'une responsabilité personnelle de la part des dirigeants publics, l'exclusion des décisions de “politique ”du champ de la responsabilité délictuelle, l'exigence légale de “ négligence ”, les caractéristiques institutionnelles des tribunaux ainsi que l'hypothèse de l'effet dissuasif du droit délictuel sont toutes inadéquates lorsqu'il s'agit de régler des causes mettant en jeu la responsabilité gouvernementale. L'article examine ensuite toute une gamme de mécanismes internes de la fonction publique fédérale conçus pour faire face aux allégations de responsabilité. Ces mécanismes comprennent l'affectation de pertes à des fonctionnaires particuliers et au Fonds consolidé du revenu au sein du gouvernement lui-même, l'allocation de frais juridiques au sein du gouvernement, l'effet incitatif des règlements à l'amiable, l'examen “ ex ante ” des pertes par le Conseil du Trésor, l'examen “ ex post ” de ces mêmes pertes par le bureau du Vérificateur général, ainsi que le traitement des réclamations exclues. Les auteurs recommandent que l'on mette au point des mécanismes de rétroaction au sein du gouvernement pour s'assurer que les signaux en matière de responsabilité soient bien reçs par les décideurs administratifs et qu'ils les influencent. Selon la conclusion des auteurs, les principes de droit substantif et le processus judiciaire actuel sont inadéquats, à eux seuls, pour assurer que l'on traite les réclamations de responsabilité gouvernementale de manière à bien refléter le rapport entre l'individu et 1'État dans le processus de réglementation, et pour permettre que les risques en matière de responsabilité soient incorporés de manière adéquate au processus décisionnel lors de la réglementation. D'après les auteurs, il faudrait mettre au point et appliquer un autre ensemble de principes pour les réclamations contre l'état, et ces principes devraient être appliqués soit par les tribunaux, moyennant les réformes nécessaires face aux actuelles limites institutionnelles, soit par l'intermédiaire de processus administratifs propres à chaque organisme.  相似文献   

4.
Abstract. Federalism poses special problems for the regulatory activities of the state. In Canada, federal and provincial governments have frequently disagreed over which could best exercise such controls, keeping in mind not only the public interest but also the needs of the private parties involved. The business of insurance is a case in point. The decisions of the Judicial Committee of the Privy Council confirmed that the provinces had important powers to regulate the writing of insurance. Yet Ottawa argued that protection of policyholders and considerations of economy and efficiency required uniform national standards. The provinces pointed instead to the greater simplicity and responsiveness of local control as well as to the steadily diminishing sphere of constitutional authority possessed by the central government. This conflict came to a head between 1927 and 1934 when the Insurance Superintendents of Ontario and Quebec led the resistance to the activities of the federal Insurance Department. Support for the provincial bureaucrats came from reciprocal and mutual insurers, while the joint-stock life insurance companies backed Ottawa. Indeed, these private interests used the federal-provincial conflict to seek special favours from the regulatory agencies. The dispute ended because politicians concluded that little was to be gained from the continuation of bureaucratic competition. Sommaire. Le fédéralisme pose des problèmes particuliers pour les activités de contrôle de l'Etat. Au Canada, les gouvernements federal et provinciaux se sont souvent trouvés en désaccord au sujet de la question de savoir à qui il était préférable de confier l'exercice de ces contrôles, gardant à l'esprit non seulement l'intérêt public, mais aussi les besoins des intérêts privés en cause. Le secteur des assurances constitute un exemple particulièrement bien choisi. Les décisions du Comité judiciaire du Conseil privé ont confirmé que les provinces disposaient de pouvoirs importants pour réglementer l'établissement des contrats d'assurance. Ottawa a cependant fait valoir que la protection des détenteurs de polices ainsi que des considerations d'économie et d'efficacité nécessitent l'application de normes uniformes à l'échelle nationale. Les provinces ont, de leur côté, attiré l'attention sur la simplicité accrue et la rapidité d'application des mesures de contrôle local, ainsi que sur les pouvoirs constitutionnels de plus en plus restreints dont dispose le gouvernement central. Ce conflit a atteint son point culminant entire 1927 et 1934, lorsque les Surintendants des assurances de l'Ontario et du Québec ont pris la tête d'un mouvement de résistance aux activités du ministère fédéral des assurances. Les compagnies qui offraient des assurances réciproques et mutuelles ont appuyé les bureaucrates provinciaux, tandis que les compagnies d'assurance-vie par actions ont soutenu Ottawa. En fait, ces intérêts privés ont exploité le conflit federal-provincial pour essayer d'obtenir un traitement de faveur de la part des organismes de contrôle. Le différend a pris fin le jour où les hommes politiques ont conclu que l'on n'avait rien à gagner de la poursuite des affrontements bureaucratiques.  相似文献   

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Abstract. Both the US national government and the provincial government of Ontario have dealt with the issue of regional administration, defined in this paper as decentralized field offices and the processes those offices use in interaction with each other and with other levels of government. Within the US, the president has directed major departments to locate field offices in the same cities and to use uniform regional boundaries. He also has charged ten assistant directors of his Office of Management and Budget (OMB) with responsibility for ‘coordinating’ the work of the offices in the ten regions. Because it would imply that OMB officials are ‘in command’ of the regions, they have been prohibited from living in those regions; they commute infrequently from Washington. Because each agency guards its prerogatives, interaction between departmental field offices is erratic, and virtually no joint planning processes have been initiated with state and local governments. In Ontario, the Committee on Government Productivity (COGP), after examining the problem of provincial field offices, restricted its recommendations to the establishment of ‘tiered ministries’ in Toronto. The Committee assumed that regional offices could be located together only if a ‘regional minister’ were ‘in command’ of the collectivity. This posed so many theoretical and practical difficulties that the idea of regionalism was abandoned for the time being. Exploring the behaviour of organizations committed to the logic of traditional administrative theory, the paper argues in favour of non-hierarchical interactive policy processes in which no single individual or level of government is clearly responsible for decision outcomes; all must be responsible. This is especially significant for federal systems, because it is not possible to devise clear chains of command for planners or policy-makers from three levels of government. The paper sketches tentative organizational designs for the US and Ontario. Sommaire. Le gouvernement national des E-U ainsi que le gouvernement provincial de l'Ontario se sont occupés de la question de l'administration régionale - définie dans cette communication, comme composée de bureaux locaux décentralisés - et des processus qu'adoptent ces bureaux dans leurs rapports mutuels et leurs relations avec d'autres niveaux du gouvernement. Aux Etats-Unis, le président a demandé aux principaux ministères d'établir des bureaux locaux dans les mêmes villes et de respecter des délimitations régionales uniformes. Il a aussi chargé dix directeurs adjoints de son Bureau de gestion et budget (OMB) de « coordonner » les travaux des bureaux dans les dix régions. Ceci impliquant que les responsables de l'OMB « dirigent » les régions, on leur a interdit d'y vivre; ils s'y rendent assez fréquemment, de Washington. Chaque agence est jalouse de ses prérogatives et pour cette raison l'internction entre les bureaux locaux des différents ministères est erratique. Les états et les gouvernements locaux n'ont pris l'initiative de pratiquement aucun processus de planification. En Ontario, le comité sur la productivité gouvernementale (COGP), après avoir étudié le probème des bureaux provinciaux locaux, a limité ses recommandations à l'établissement de ministères à trois niveaux à Toronto. Le comité a considiéré que les bureaux régionaux ne pouvaient être groupés que s'il y avait un « rninistre régional » responsable de la collectivité. Ceci a présenté: un si grand nombre de difficultés théoriques et pratiques que l'idée du régionalisme a été abandonnée pour le moment. Après avoir étudié le comportement des organisations basées sur la théorie administrative traditionnelle, l'auteur présente des arguments en faveur de processus miituels et non hiérarchiques pour l'établissement des politiques, processus qui ne laissent à aucun individu ou niveau du gouvernement, la responsa-biliti: des décisions; tous doivent être responsables. C'est particuliérement important pour les systèmes fédéraux parce qu'à partir de trois niveaux de gouvernement, il n'est pas possible d'établir des chnînes de commande bien définies pour les planificateurs ou les responsables des politiques. L'auteur propose différents modes d'organisation pour les E-U et l'Ontario.  相似文献   

6.
Abstract: Administrative decentralization has suddenly become a major concern with respect to the operations of the national government in Canada. The specific catalyst has been a perceived need for greater responsiveness, and a belief that devolution of decision-making power to officials in the field is a way to achieve it. It is nevertheless problematic whether the requisite decentralization can be achieved. For one thing, headquarters-field relationships within the Canadian government reflect a powerful centralist orthodoxy. For another, it is difficult to find the right balance between centralization and decentralization in the delivery of services to the public. These problems in administrative decentralization have nowhere been etched more clearly than in the case of Environment Canada, a complex, physically decentralized department established in 1971 to prevent pollution and the degradation of the renewable resource base. It was recognized within Environment Canada at the outset that special initiatives were required to ensure both corporate coordination in the regions and a regional voice in decision-making at the centre. These initiatives took early form as a consensus-seeking regional board of managers, but reached their greatest maturity in an Office of the Regional Director General, a corporate official who sat on the departmental Senior Management Committee and reported directly to the deputy minister. Neither the regional board nor the RDGS fully met their mandate, however, in part because of the complexity of the environmental mission but more so because of the strength of centralist orthodoxy in departmental management structures and processes. As a result, the future of administrative decentralization within this department is now very much in doubt. Environment Canada's experience thus offers one approach to, and a compelling illustration of the difficulties to be overcome in, the pursuit of administrative decentralization in Canada. Sommaire: La déconcentration administrative est brusquement devenue une préocupation majeure en rapport avec le fonctionnement du gouvernement du Canada. Le catalyseur en a été précisément le besoin perçu dune réponse plus rapide et plus souple de la part du gouvernement, ainsi que la croyance selon laquelle le transfert du pouvoir décisionnel aux fonctionnaires régionaux serait l'un des moyens permettant d'y parvenir. Néanmoins, il n'est guère certain que l'on puisse réaliser la déconcentration nécessaire. Dune part, les rapports entre l'administration centrale et les bureaux régionaux, au sein du gouvernement canadien, reflètent une puissante orthodoxie centralisatrice. D'autre part, il est difficile de trouver le juste équilibre entre concentration et déconcentration pour ce qui est de la prestation de services au public. C'est au sein d'Environment Canada que ces problèmes de déconcentration administrative se sont produits de la manière la plus visible; il s'agit d'un ministère complexe, géographiquement déncentré, établi en 1971 pour lutter contre la pollution et contre la degradation des resources renouvelables. Dès le début, Environnement Canada savait qu'il fallait des initiatives spéciales pour assurer la coordination d'ensemble dans les régions, ainsi qu'une voix régionale dans la prise de décisions au centre administratif. Ces initiatives ont rapidernent menéà l'établissement d'un Conseil régional de gestionnaires chargé d'établir le consensus, et ont été couronnées par la mise sur pied des bureaux des directeurs généraux régionaux, fonctionnaires centraux membres du Comité supérieur de gestion du ministère et relevant directernent du sousministre. Ni le Conseil régional, ni les directeurs généraux régionaux n'ont cependant réussi à complètement remplir leur mandat, en partie à cause de la complexité de la mission environnementale, mais plus encore à cause de la force de l'orthodoxie centralisatrice dans les structures et les processus de gestion ministérielle. Par conséquent, l'avenir de la dézoncentration administrative au sein de ce ministère est aujourd'hui très incertain. L'expérience d'Environnement Canada présente ainsi l'une des démarches en matières de déconcentration administrative au Canada; elle illustre bien les difficultés qu'il faudra surmonter.  相似文献   

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Sommaire. Cet article est le résultat d'une enquête effectuée auprès des services informatiques fonctionnant au sein des principales administrations publiques et para-publiques du Québec. L'auteur souligne dès le départ le rôle de pannier joué par le CTED (Centre de Trait merit Electronique des Données) dans le développement du parc informatique et met l'accent sur le haut degré de mécanisation atteínt par I'administration publique québécoise. Après avoir indiqué le caractère indispensable de la coordination en matière d'informatique au sein des organizations gouvernementales, l'auteur décrit le travail réalisé dans ce domaine par divers organismes centraux tels que le CCCAM (Comité Consultative de Coordination des Activités Mécanographiques), le CCI (Comité Consultatif de 1'Informatique) et la DI (Direction de I'Informatique) du secrétariat du Conseil du Trésor. Cette analyse met en évidence les insuffisances de la politique informatique telle que menée jusqu'à la fin de 1972 et croit déceler depuis 1973 les signes avant-coureurs d'une politique d'ensemble en cette matière, au sein de l'administration québécoise. S'attaquant ensuite aux problèmes structurels et humains entraínés par l'introduction des ordinateurs, l'auteur insiste sur la grande diversité des situations existantes ainsi que sur les changements et les résistances enregistrés ces dernières années. Abordant en dernier lieu le problème de I'informatique et des droits de l'homme, l'article rappelle combien l'ordinateur risque de devenir un instrument d'oppression et fait état des mesures que le Québec semble vouloir adopter, afin dassurer la protection de la vie privée que tous les québécois sont en droit de réclamer. Abstract. This article presents the conclusions of an inquiry into data processing departments within the main Quebec public and quasi-public administrations. It underlines at the outset the pioneer role played by the CTED (Electronic Data Processing Centre) in the development of data processing and emphasizes the high degree of automation reached by Quebec public administration. After having indicated the absolute necessity of coordinating data processing in government agencies, the author describes the work done in this area by various central bodies such as the CCCAM (Electronic Data Processing activities consulting and steering committee). the CCI (Electronic Data Processing consulting committee), and the DI (Electronic Data Processing management directorate) of the Treasury Board Secretariat. The analysis points out the deficiencies of data processing policies up to the end of 1972 and detects, since 1973, the first signs of a comprehensive policy in this area within the Quebec administration. Turning to the structural and human problems created by the introduction of computers, the author insists on the great number of different situations existing at the present time as well as on the changes and the opposition encountered in the last few years. Finally, in considering the problem of data processing versus human rights, he reminds us that the computer could be used as a means of oppression and states the measures that Quebec seems willing to adopt in order to guarantee the privacy to which all Quebeckers are entitled.  相似文献   

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Sommaire: La réforme des institutions métropolitaines est à l'ordre du jour dans la plupart des pays industrialiésAs. Le Québec ne fait pas exception à la règle. Ce texte analyse les problèmes de gestion qui se posent dans les principales agglomérations urbaines du Québec à partir de trois importants rapports portant sur le sujet et publiés au milieu des années 1990. Ces rapports font notamrnent état des problèmes de gestion territoriale dans l'agglomération urbaine de Montréal et dans les cinq autres régions métropolitaines du Québec. Le contenu de ces rapports, et notamment leurs recommandations, sont analysés à la lumière des positions défendues par les principaux acteurs locaw concernés. L'analyse montre que le jeu des acteurs se structure autour de quatre enjew majeurs: les enjeux politico-institutionnels, sociodémographiques, économiques et fiscaux. Si un premier déblocage politique est survenu en juin 1997 dans le cas de l'agglomération montréalaise avec l'adoption de la hi sur la Commission de déeloppement de la métropole, l'intervention du gouvernement du Québec dans ce dossier demeure fort prudente, reflétant en cela la difficulté de concilier les nombrew intérêts en cause. Abstract: The reform of metropolitan institutions is on the agenda of most industrialized countries, and Quebec is no exception. On the basis of three major reports published on this subject in the mid-1!Nos, this publication analyses the management problems faced by major urban centres in Quebec. These reports deal, among other things, with the territorial management problems of the Montreal urban community and five other Quebec metropolitan areas. The content of these reports, and particularly their recommendations, is analysed based on the positions taken by the main local players involved. Analysis shows that there are four major stakes for these players, political-institutional, social-demographic, economic and fiscal. While a first step towards a political solution was taken in June 1997, as regards the Montreal urban community with the passage of the Metro Development Board Act, Quebec government intervention in this matter remains quite cautious, reflecting the difficult task of reconciling the numerous interests involved.  相似文献   

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Sommaire: Depuis prés de vingt ans, il est question de la crise de I'état–providence. Mais à quoi ressemblera l'état–postprovidence? Parce que l'intervention de 1'état en matière de gestion des risques professionnels a souvent constitué l'acte de naissance de I état–providence au sein des pays de I'ocde, nous avons choisi d'observer les développements récents dans le domaine de la gestion des risques professionnels au Québec. Après avoir COMU une grave crise financière en 1991, la Commission de la santé et de la séurité du travail du Québec s'est livrée à une réingénierie des proces–sus de travail en matiére de réparation des lésions professionnelles. En extraolant a partir du « modèle csst», on constate que le mode d'intervention de 1'état se caractérise désormais par la recherche de 1'équité dans l'attribution des ressources, davantage que par la recherche de 1'égalité. Toutefois, on observe également que pour effectuer la gestion de I'équité, il faut favoriser la participation des « clients»à Yadministration de la fonction publique. Abstract: For almost twenty years now, the welfare state has been said to be in crisis. But what will the post–welfare state look like? Because government intervention in the management of professional risk was often the trigger for the emergence of the welfare state within the oecd countries, we chose to analyse recent developments in the management of professional risk in Quebec. Following a severe financial crisis in 1991, the Quebec Health and Work Safety Board re–engineered the work processes concerning the repair of job injuries. Extrapolating from the “csst [Commission de la santé et de la séurité du travail] model,” it is clear that government intervention is now characterized by a search for equity in resource allocation rather than a search for equality. However, it is also noted that, in order to manage equity, “client” participation in the administration of the public service must also be promoted. À la fin du XIXe siècle, l'état modeme, l'état de droit, se présente sous une nouvelle forme: l'état–providence. Au cours du siècle suivant, l'étatDésormais, c'est l'appartenance anonyme à cette com–munauté‘devenue société’ qui est garante de la sécurité de l'individu  相似文献   

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Sommaire: Cet article présente les résultats d'une enquête réalisée auprès des administrateurs d'État et des cadres supérieurs de la fonction publique du Québec. Elle visait à mieux connaître les valeurs réelles de gestion qui guident les ministères et les organismes gouvernementaux dans la définition de leurs objectifs et dans l'élaboration des règles de conduite de leur personnel. Cet article identifie un groupe de valeurs communes à l'ensemble des organisations (compétence du personnel, économie des ressources, pouvoir de l'organisation et innovation) et un groupe de valeurs propres à certaines organisations (performance au travail, service à la clientèle, excellence, confort du personnel, souplesse de la direction, esprit de collaboration et engagement envers l'organisation). II montre aussi que les principales valeurs de gestion se rapportent aux buts des organisations, tandis que sont reléguées à l'arrière-plan les valeurs concernant la conduite des membres. Abstract: This paper presents the results of a survey of Quebec public service administrators and top managers. The purpose of the survey was to determine the real management values guiding government ministries and organizations when they are defining their objectives and drafting rules of conduct for their personnel. This paper identifies a set of values shared by all organizations (personnel competence, efficient use of resources, organizational power, and innovation) and a set of values specific to certain organizations (work performance, client service, excellence, staff comfort, management flexibility, spirit of cooperation, and commitment to the organization). It also shows that the main management values relate to the objectives of the organization, while values pertaining to members' conduct are pushed into the background.  相似文献   

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Abstract. This paper is concerned with future urban change in Canada. Part A deals with bringing about urban change. Part B is about knowledge required to make urban change. Part A begins by discussing a model of the urban future and closes with a discussion of the system of public and private organizations for urban management. Part B begins by distinguishing “knowledge roles’ for urban change, and goes on to discuss the role of knowledge in intervention. It closes with a discussion of the knowledge organization (illustrated by the university), and the means by which it might support the making of urban change. Part C relates the first two parts by suggesting how the mutual support of the knowledge organization (e.g. the university) on the one hand, and the system of public and private organizations that manage urban activities on the other, might be improved. Sommaire. Cet article traite du changement urbain au Canada et de son évolution future. Dans la première partie, la discussion porte sur le changement urbain lui-même, tandis que la seconde partie est consacrée au savoir relié au changement urbain. La troisième partie enfln suggère différentes manières de réaliser le lien entre le savoir et l'action en vue d'améliorer la qualité de nos interventions. La première partie débute en proposant un modèle du ‘futur urbain.‘ Cemodèle introduit deux types de planification, la planification projective, quis'appuie sur des extrapolations, et la planification prospective, qui s'appuie sur des prospectives du futur. Ces deux types de planification sont élaborés en relation avec les quatre sous-systèmes du système socio-technique, à savoir les systemes des ressources humaines, des activités humaines, des ressources physiques et des interventions physiques. Le type de relations que l'on perçoit ainsi que la manière de les considérer définissent le processus de planification que Ton adopte. Ce peut être un processus purement projeetif, un processus purement prospectif ou un processus conjoint prospectif-projectif. Des exemples de ces divers processus sont présentés. Dans la deuxième section de cette première partie, diverses manières d'organiser la gestion urbaine sont avancées, et il est suggéré qu'un réseau interorganisationnel à double intéiêt à la fois projectif et prospectif est désirable. La troisième section, enfin, propose un premier pas dans l'établissement d'untel réseau. Ce premier pas serait la création d'un petit réseau d'organisations qui s'engagerait dans le processus projeetif-prospectif suggéré auparavant. Cepetit groupe jouerait un rôle de catalyseur et pourrait stimuler un processus plus vaste si les résultats atteints se révelaient intéressants. La deuxième partie commence par distinguer différents rôles pour le savoir. Après avoir identifé le changement urbain comme un domaine d'études ayant les caractéristiques d'une discipline et d'une profession, elle propose un modèle à deux dimensions, la dimension institutionnelle et celle des connaissances. Ces deux dimensions conduisent à l'dentification de quatre types d'activités ausein du changement urbain: la pratique et les sciences de l'analyse et la pratique et les sciences de l'intervention. La discussion continue ensuite sur l'intervention considérée comme une pratique et un ensemble de disciplines. Il est avancé que l'urbanisation, la globalité, la complexité et le concept de métaproblèmes sont de plus en plus les determinants fondamentaux de l'intervention dans le changement urbain. La troisième section, enfin, propose divers moyens institutionnels pour promouvoir une meilleure intégration du savoir. Des centres et foyers de recherche de natures diverses sont suggérés ainsi qu'une structure nouvelle pour l'université, celle de l'université transdisciplinaire. La troisième partie propose, en guise de conclusion, une meilleure intégration des connaissances et de la gestion urbaine par l'instauration d'une focalisation commune sur le futur qui prendrait place au niveau des laboratoires de dessein de systèmes dans l'université transdisciplinaire et où se concrétiseraient les réseaux interorganisationnels suggérés dans la première partie.  相似文献   

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Sommaire: Plusieurs gouvernements ont mis en place des processus de réformes qui se traduisent par un processus de changement visant la modernisation de l'État. Ces processus cornportent une dimension axiologique influencée par la Nouvelle gestion publique. Considérant la réforme comme un phénomène psychosocial et culturel, cet article expose la perception d'acteurs clés vis‐à‐vis des processus de changement qu'implique la modernisation de la fonction publique quebecoise (Loi sur l'administration publique). Cette recherche, basée sur vingt entrevues réalisées auprès de direc‐teurs des ressources humaines de ministères et organismes, démontre que les perceptions de la réforme sont diverses et que l'influence de la politique dans les réformes se situe davantage dans les objectifs que dans le design. En plus de faire ressortir les principales initiatives et quelques obstacles au changement, la recherche illustre que la perception qu'ont les drh sur la nature réelle des changements est variable, et permet de les regrouper sous trois catégories. Enfin, cette recherche présente différents types de cultures témoignant de l'importance d'ajuster les modes d'implémentation pour le succès des réformes. Elle illustre l'importance de soigner la mise en cruvre des réformes plutôt que d'essayer de définir un modèle idéal. Un regard sur l'avenir vient enfin compléter cette étude. Abstract: Many governments have implemented reform processes that lead to modernizing the state. These experiences involve a value dimension influenced by new public management. Stating administrative reform as a cultural and psychosocial phenomenon, this article exposes the perception that key actors have of the change processes entailed by the Quebec public administration's modernization (Loi sur l'administration publique). This research, based on twenty interviews of human resources directors from ministries and public organizations, shows that the perceptions of the reform are diverse and that the political influence of the reforms appears more in the objectives than in the design. In addition to showing the principal facilitating initiatives and a few obstacles to change, the research illustrates that the human resources directors' perception of the changes' actual nature is variable and permits grouping them into three categories. Finally, this research presents different types of cultures, showing the importance of adjusting implementation modes for the reforms' success. It illustrates the importance of taking care of the implementation rather than trying to define an ideal model. A look at the future completes the study.  相似文献   

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Abstract: The past two decades have witnessed significant changes in Canadian federalism and intergovernmental relations. This article investigates how developments in federalism and public administration in the 1990s have affected intergovernmental administrative machinery and the formal and informal structures, functions, and resources of intergovernmental relations compared to findings from the 1980s. Using a survey, interviews with senior intergovernmental officials, and government documents, this paper examines the evolution of the intergovernmental administrative state as opposed to the political realm of executive federalism. The authors outline how the formal structures and functions of intergovernmental agencies and officials have evolved and argue that informal intergovernmental networks are very important in understanding and explaining the capacity of the federation to meet current and future policy and administrative challenges. Sommaire: Au cours des deux dernières décennies, d'importants changements se sont produits au sein du fédéralisme et des relations intergouvernementales au Canada. Le présent article examine comment les récents développements intervenus dans le fédéralisme et l'administration publique dans les années 1990 ont affecté les rouages administratifs intergouvernementaux et les structures officielles et non officielles, ainsi que les fonctions et ressources des relations intergouvernementales au cours de deux dernièves décennies comparativement aux résultats des années 1980. A l'aide d'un sondage, d'interviews de hauts fonctionnaires intergouvernementaux et de documents gouvernementaux, cet article étudie l'évolution de l'État administratif intergouvernemental par opposition au domaine politique du fédéralisme exécutif. Les auteurs ébauchent la façon dont les structures et les fonctions officielles des organismes et des hauts fonctionnaires intergouvernementaux ont évolué et soutiennent que les réseaux intergouvernementaux non officiels sont très importants pour comprendre et expliquer l'aptitude de la fédération à relever les défis politiques et administratifs présents et futurs.  相似文献   

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Abstract. Since 1966 the Ontario government has been elaborating a regional development program. Extensive administrative changes have been instituted to facetted the coordination of relevant provincial responsibilities and to obtain local and regional viewpoints in the preparation of regional development plans. In a major policy statement in June 1972, the government introduced several changes in the regional planning process, emphasized the important role to be played by cities, counties and regional governments, especially in the implementation of regional development plans, and proposed an accelerated program of local government reform. This article, which is based on a larger study, analyses Ontario's regional development program over the first six years, with particular reference to the adequacy of the administrative machinery involved, outlines the major changes affecting the program which have been introduced during the just half of p 1972 and offers general conclusions concerning the present adequacy and desired future direction of the program. Sommaire. Le gouvemement de l'Ontario élabore un programme de développement régional depuis 1966. Il a entrepris des changements administratifs im-portants pour faciliter la coordination des responsabilités provinciales et pour obtenir les points de we locaux et régionaux nécessaires à la mise au point des plans de développement régionaux. Dans une déclaration de politique de juin 1972, le gouvernement annonça plusieurs modifications apportées au processus de planification régionale, insista sur le rôle important qu'allaient jouer les villes, les comités et les gouvernements régionaux, particulièrement dans la mise en vigueur des plans de développement régionaux, et proposa un programme accéléré de réforme des gouvernements locaux. Cet article, basé sur une étude plus conséquente, analyse le programme de développement régional pendant les six premières années, en s'occupant plus particulièrement de l'efficacité du mécanisme administratif. Il analyse les principaux changements qui ont été apportés au programme pendant les premiers six mois de 1972 et offre des conclusions générales sur son efficacité actuelle ainsi que sur l'orientation que I'auteur voudrait lui voir prendre Bà I'avenir.  相似文献   

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Abstract This paper explores the thesis that the main impact of the new constitutional Charter of Rights on the Canadian system of government is to increase the role of the judiciary in deciding how fundamental social and political values should be affected by public policy. The first part of the paper. by reviewing the significant role which trial and appeal courts already play in shaping public policy, aims at overcoming a tendency to exaggerate the change in our system of government resulting from the Charter. The second part identifies the factors which will influence the judicial response to the Charter and the policy areas in relation to which judicial interpretation will be most significant. The analysis shows that the Charter's major impacts will likely include much greater judicial supervision of police activity and centralization of policy-making under the leadership of the Supreme Court on questions of social justice and minority-language rights. It concludes that, while the Charter will increase Canadians' understanding of judicial policy-making, it represents a retreat from reliance on the political process to resolve divisive social issues. Sommaire. Le présent article examine la thèse selon laquelle le principal effet de la nouvelle Charte des droits constitutionnels sur le système de gouvemement canadien sera d'accroître le rôle du pouvoir judiciaire dans la détermination de la façon dont les valeurs sociales et politiques fondamentales devraient être affectées par les politiques publiques. La première partie de l'article passe en revue Ie rôle important que jouent déjà les tribunaux et les cours d'appel, ainsi que l'influence que ces institutions exercent sur la politique publique, ceci afin de neutraliser une tendance à exagérer les changements qu'apporterait la charte à notre système de gouvernement. La seconde partie identifie les facteurs qui pourront influencer la réponse judiciairs à la charte ainsi que les domaines politiques où l'interprétation judiciaire de cette charte aura le plus d'importance. L'analyse démontre que l'adoption de la charte entraînera des conséquences importantes, qui comprendront probablement une surveillance judiciaire des activités de la police beaucoup plus développée et une centralisation, sous la direction de la Cour suprême, de l'élaboration de politiques en matière de justice sociale et de droits linguistiques des minorités. L'auteur conclut que bien que la charte permettra aux Canadiens de mieux saisir le rôle de la Cour dans l'élaboration des politiques, elle représente un recul du recours au processus politique en ce qui concerne la résolution des questions sociales contentieuses.  相似文献   

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Abstract: Throughout the 1993 federal election campaign Canadians were subjected to reminders that this was an age of disillusioned populists. One response to this new mood was contained in the now popular Red Book entitled “Creating Opportunity: The Liberal Plan for Canada,” in which the right of Canadians to regular and serious consultations on foreign policy issues was to be affirmed and acted upon. This essay explores how an earlier consultation in 1985–86 was accomplished in the most extensive foreign policy review process ever established by the federal government. It examines the bureaucratic attitudes towards such public input and the critical leadership needed by the minister to ensure that a positive response to the parliamentarians' 121 recommendations was obtained from the bureaucracy. If parliamentary committees are to play the middleman role in brokering diverse and competing ideas emanating from public representations on policy, then ministerial interest, involvement, and clout will be deemed necessities before acceptance and policy implementation become a reality among mandarins. Obtaining public input is much easier than moving the bureaucracy in response to that input. The modes of public administration must be adjusted if democratization of policy making is to become a reality. Sommaire: Tout au long de la campagne d'élection fédérale de 1993, les événements ont rappelé aux Canadiens que notre époque était celle des populistes désillusionnés. Parmi les réactions à ce nouvel état d'esprit figurait le “ Livre rouge ”, entre-temps devenu populaire et intitulé“ Créer des possibilités: le Plan libéral pour le Canada ”, qui affirmait les droits des Canadiens àêtre consultés de manière régulière et sérieuse sur les questions de politique étrangère afin qu'on y donne suite. Le présent article examine la manière dont une consultation antérieure (Hockin-Simard, 1985–1986) a été réalisée dans le cadre du processus de réexamen de la politique étrangère le plus approfondi et jamais entrepris par le gouvernement fédéral. Il examine les attitudes des fonctionnaires face à cette participation du public ainsi que le leadership essentiel dont le ministre avait besoin pour s'assurer d'obtenir une réponse positive du fonctionnariat aux 121 recommandations des députés. Si l'on veut que les comités parlementaires jouent le rôle d'intermédiaires pour faire accepter des idées à la fois diverses et contradictoires provenant des soumissions du public sur les questions de politique, il est absolument nécessaire qu'il y ait intérêt, participation, et forte intervention de la part du ministre avant que l'acceptation et la Inise en oeuvre des politiques ne deviennent éalité parmi les bureaucrates. Il est beaucoup plus facile d'obtenir l'avis du public que de faire bouger la bureaucratie à réagir à cet avis. Les usages d'administmtion publique doivent subir des ajustements si l'on veut que la démocratisation de la définition des politiques devienne réalité.  相似文献   

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Abstract: In 1993, Prince Edward Island introduced block-funding to five Health and Community Services regional boards for all human services except education. We view this as the introduction of a financial incentive (or removal of a disincentive) to undertake cross-sectoral reallocations to address the broader determinants of health. We use case-study methods to evaluate the way in which this incentive was communicated from policy makers to the regions, how the regions interpreted the policy makers' signals, and how the regions responded. The block-funding incentive became a “fuzzy” signal to the regions, because it was communicated as part of a larger reform package that included expenditure reductions, devolved governance, and the need for integration and coordination. Nevertheless, the regional boards interpreted the block-funding as facilitating cross-sectoral reallocations, but because of various concerns, including opposition expressed by their employee providers, as well as their physicians and the public, they moved only cautiously to exploit the incentive. Most regions focused more on enhancing administrative efficiency through integration and coordination than on cross-sectoral reallocations to address the determinants of health. Finally, lessons for other jurisdictions are outlined based on the PEI experience. Sommaire: En 1993, l‘île-du-Prince-Édouard a adopté le mode de financement en bloc Jonathan Lomas has a master of arts degree and is professor in the Department of Clinical Epidemiology and Biostatistics, McMaster University, and the Centre for Health Economics and Policy Analysis. Michael M. Rachlis is a doctor of medicine and has a master of science degree. He is assistant professor in the Department of Clinical Epidemiology and Biostatistics, McMaster University. This study would not have been possible without the exemplary research assistance of Sameer Kumar. We are also grateful for the help of Mita Giacomini and Laurie Goldsmith, overall leader and coordinator of the larger project, “Financial Incentives in the Canadian Healthcare System,” of which this was a part. Funding for the project was provided by Health Canada through the National Health Research and Development Program. Useful comments on an earlier draft were provided by John Eyles and Jerry Hurley. Finally, the time and assistance provided by all our interviewees in Prince Edward Island were central to our ability to complete the analysis, and any misrepresentations that may remain after their input and feedback is our responsibility alone. The Journal's anonymous referees are gratefully acknowledged. en ce qui concerne cinq Conseils régionaux de services de santé communautaires, pour tous les services humains sauf l’éducation. À notre avis, il s'agit là d'un incitatif financier (ou de l‘élimination d'un anti-incitatif) pour entreprendre des réallocations entre les secteurs afin qu'on s'occupe des éléments plus fondamentaux qui déterminent la santé. Nous utilisons des méthodes d’étude de cas pour évaluer la manière dont cet incitatif a été communiqué par les décideurs politiques aux régions, la manière dont les régions ont interprété ce que leur disaient les décideurs, et la réaction des régions. L'incitatif de financement en bloc est devenu un signal «vague» pour les régions parce qu'il faisait partie d'un ensemble de réformes plus vaste comprenant la réduction des dépenses, la gérance decentralisée et le besoin d'intégration et de coordination. Néanmoins, les Conseils régionaux ont interprété ce financement comme un moyen permettant de faciliter la réallocation entre secteurs, mais à cause de diverses préoccupations, dont l'opposition exprimée par leurs employés, leurs médecins et leur public, ils se sont montrès très prudents dans Sexploitation de cet incitatif. La plupart des régions se sont concentrées davantage sur l'efficacité administrative que permettaient l'intégration et la coordination plutôt que sur les réallocations entre secteurs afin de s'occuper des déterminants de la santé. Enfin, on mentionne des leçons que peuvent tirer d'autres territoires en fonction de l'expérience dans l‘île-du-Prince-Édouard.  相似文献   

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Sommaire: L'objectif de cette recherche est d'identifier les facteurs de diffusion d'une innovation ‐ la réutilisation des hémodialyseurs (rh) ‐ ainsi que de son plafonncment marqué par la controverse, à travers les motivations et stratégies des groupes d'acteurs clés. Plus particulièrement, cette étude vise à situer le rôle de la “ médecine fondée sur des données probantes ”dans la dynamique de la diffusion de cette innovation. Nous partons du constat que la rh est une pratique reconnue pour les économies qu'elle génère tout en étant perçue par certains comme risquée pour la santé des usagers et du personnel. Les résultats de notre étude montrent que la diffusion de la rh au Québec, loin d'avoir pris son assise sur des données empiriques solides, a plutôt résulté de comportements sociaux d'imitation à la faveur de contacts directs entre des centres de dialyse voisins qui subissaient alors de fortes pressions de leurs autorités afin de réduire leurs dépenses. Cependant, l'ampleur des investissements nécessaires à l'introduction de cette pratique, la perspective de devoir négocicr I'achat de matériel dédiéà la rh auprès d'un monopole, ainsi que les stratégies commerciales de fournisseurs peu motivés à promouvoir la vente de matériel de rh au détriment de celle, plus lucrative, d'hémodialyseurs en grande quantité (lorsque non réutilisés), ont grandement réduit l'attrait économique dc la rh aux yeux des dirigeants de centres de dialyse. L'incapacité des données empiriques à endiguer les craintes soulevées par les risques associés à la rh a eu la double conséquence (1) dc mener au plafonnement de cette activité et (2) d'induire des centres de dialysc qui effectuaient déjà la rh à se doter d'une gestion envers les patients basée sur la non transparence et la contrainte. Sur le plan conceptuel, les résultats de cette étude montrent que ce n'est que dans la mesure où les facteurs sociaux et d'intérêts (dynamiquc institutionnelle) sont pris en compte et qu'ils convergent avec les critères de rationalité technique, qu'une innovation améliore ses chances de se diffuser et de s'enraciner dans une organisation. Considérant ces conclusions, quelques propositions sont énonées dans le but d'améliorer le potentiel d'implantation de la rh en facilitant la prise en compte des données empiriques dans les centres de dialyse, tout en leur procurant un meilleur rapport de force vis‐à‐vis leurs fournisseurs et afin que les patients et le personnel clinique y trouvent davantage leur intérêt. Abstract: The purpose of this research is to identify the factors in the diffusion of an innovation ‐ hemodialyzer re‐use ‐ and the controversy surrounding the levelling off of its use, by looking at the motivations and strategies of key actors. More particularly, this study focuses on the role of “evidence‐based medicine” in the diffusion of this innovation. Starting with the observation that hemodialyzer re‐use is recognized for its cost‐savings while being perceived by some to be a health risk for both users and staff, our findings show that diffusion of this practice in Quebec, far from being based on solid empirical data, was instead influenced by the social phenomenon of imitation that resulted from direct contact with local dialysis centres that were at the time under great pressure from their management to reduce expenditures. The cost‐savings of hemodialyzer re‐use for the people managing the dialysis centres was, however, greatly reduced by several factors: the considerable investments needed to introduce this practice; the prospects of having to negotiate with a monopoly to purchase the hemodialyzer‐dedicated equipment; and the commercial strategies of suppliers who have little interest in promoting the sale of equipment for hemodialyzer re‐use over the more lucrative sale of large quantities of hemodialyzers (when not re‐used). The ineffectiveness of empirical data in allaying fears of the risks associated with the practice of hemodialyzer re‐use has had the dual effect of 1) causing this activity to level off, and 2) causing dialysis centres already involved in hemodialyzer re‐use to adopt an approach to patient management that is based on non‐transparency and constraint. On the conceptual level, our findings show that the likelihood of an organization adopting an innovation increases when social factors and interest factors (such as the institutional dynamic) are taken into account and align with criteria of technical rationality. Given these conclusions, we put forward some proposals for improving the potential of hemodialyzer re‐use by facilitating the dialysis centres' consideration of empirical data. As well, our proposals are aimed at obtaining a stronger position for the centres with regard to their suppliers and at ensuring that both patients and clinic staff benefit more from the practice of hemodialyzer re‐use.  相似文献   

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