首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 593 毫秒
1.
Abstract During the last twenty years we have witnessed a spectacular increase in the size of Canadian government bureaucracy and in the breadth of its activities. This increased participation in the provision of services by the public sector raises the question of whether government in general, and the public servants who deliver government services in particular, are perceived by the public as effective service agents. Using survey data compiled in 1978, this study sets out to determine how Canadians see the differences between the private and public sectors in terms of their abilities to be fair and prompt in their dealings with the public. The study also attempts to measure whether there are differences in perceptions of the public sector between those who have had contact with the public service and those who have not and, finally, to assess whether attitudes toward specific characteristics of public servants based on personal experience are generalized to include attitudes about the public service as a whole. The results of this study suggest that the public has little faith in either the public or the private sector's ability to provide services, that favorable contact with the public servants has little impact on overall attitudes and that experiences in using government services are only marginally related to general attitudes about government. Sommaire. Au cours des vingt dernières années, now avons assistéà un spectaculaire agrandissement de la bureaucratie du gouvernement canadien et à un développement impressionnant de ses activités. Le secteur public assurant désormais davantage de services, on se demande ce que le public pense de l'efficacité du gouvernement en général et des fonctionnaires, dispensateurs de ces services, en particulier. Basée sur des données d'enquêtes compilées en 1978, la présente étude vise à déterminer quelles sont les différences que les Canadiens perçoivent entre le secteur public et le secteur privé, du point de vue de l'impartialité et de l'empressement dont les fonctionnaires font preuve dans leurs relations avec leurs clients. L'étude essaie également de voir si le secteur public est perçu différemment par ceux qui ont des contacts avec lui par rapport à ceux qui n'en ont pas; finalement, elle tente d'établir si la perception des fonctionnaires dans leur ensemble n'est pas la généralisation d'une perception individuelle de cas particuliers. Lenquête conclut que le public ne fait pas plus confiance au secteur public qu'au secteur privé en ce qui conceme les services qu'ils assurent, que les heureux contacts avec les fonctionnaires n'ont que peu d'influence sur l'attitude générale du public à leur égard et qu'enfin, les expériences dans l'utilisation des services du gouvernement n'ont guère d'effet SIX l'attitude générale envers ce même gouvernement.  相似文献   

2.
Abstract: In many countries, including Canada, financial and other circumstances have forced governments to transfer important monopoly or quasi-monopoly services to the private sector. Invariably, decisions must be made on the right level of autonomy for the operators of such services — enough to attract the private sector and to secure the efficiency gains obtainable but without exposing users and other stakeholders to abuses of monopoly power. This article considers whether an appropriate degree of autonomy was granted to Nav Canada, a private, not-for-profit enterprise created in 1996 to take over all air-navigation facilities and services previously operated by Canada's Department of Transport (Transport Canada). This article does not examine that question in the abstract, as a theoretical issue, but in a very practical way, by looking in detail at the pricing policies Nav Canada has adopted (and has been legally allowed to adopt). It focuses on this aspect of Nav Canada's behaviour, because this is the area in which monopolies have always been considered to be especially in need of supervision, as a substitute for the missing discipline of the market. The conclusion is that Nav Canada's pricing policies have important deficiencies, from the standpoint of fairness and promotion of efficiency, and that their supporting documentation fails to explain the grounds for the key decisions made. These weaknesses could have been challenged more effectively, without significantly threatening Nav Canada's financial viability, if the guiding principles in the enabling legislation had been less vague. A specific remedy is proposed. The proposed improvement could also apply,mutatis niutandis, to many other transfers of government responsibility in Canada and particularly in the case of the many airport authorities (all quasi-monopolies) created in the past decade. Sommaire: Dans de nombreux pays, dont le Canada, des circonstances financières ou autres ont forcé les gouvernements à transférer au secteur privé d'importants services monopolistes ou quasi monopolistes. Invariablement, il faut décider du niveau correct d'autonomie pour les opérateurs de tels services: suffisamment d'autonomie pour attirer le secteur privé et pour réaliser les gains d'efficacité possibles, mais sans exposer les utilisateurs et autres intervenants aux abus d'une puissance rnonopoliste. Dans cet article, on s'interroge pour savoir si l'on a accordé un degré d'autonornie appropriéà Nav Canada, entreprise privée sans but lucratif, créé en 1996 pour prendre en mains toutes les installations et services de navigation aérienne auparavant exploités par le ministère des Transports du Canada (Transports Canada). On n'examine pas cette question de manière abstraite, comme s'il s'agissait d'une question théorique, mais plutôt de manière très pratique, en examinant en détail toutes les politiques de fixation de prix adoptéea par Nav Canada (et qu'on lui a permis d'adopter de manière légale). On se penche sur cet aspect du comportement de Nav Canada parce qu'il s'agit là du domaine dans lequel les monopoles ont particulièrement besoin d'être surveillés, pour compenser l'absence de la discipline du marché. En conclusion, les politiques de fixation de prix de Nav Canada révèlent d'importantes lacunes du point de vue de l'équité et de la promotion de l'efficacité, les documents versés au dossier n'expliquant pas la raison pour laquelle des décisions clés ont été prises. On aurait pu mieux pallier ces faiblesses sans cependant menacer sérieusement la viabilité financière de Nav Canada si les principes directeurs de la loi habilitante avaient été moins vagues. Une solution précise est mise de l'avant. Lamélioration proposée pourrait aussi s'appliquer, mutatis mutandis, à de nombreux autres transferts de responsabilité gouvernementale au Canada, et particulièrement au cas des nornbreuses autorités aéroportuaires (toutes des quasimonopoles) créées au cours de cette dernière déennie.  相似文献   

3.
Sommaire: Aux différents paliers de gouvernement, les services de communication publique ont vu leur fonction et leur rôle se modifier pour prendre, dans certains cas, une place importante dans le processus décisionnel des administrations publiques. Cet article analyse les raisons d'une telle évolution en regard du processus de gestion des affaires publiques et s'interroge sur l'impact qu'elle peut avoir sur le processus démocratique dans son ensemble. Après avoir analysé d'une part les relations diverses qu'entretiennent les administrations privées et publiques avec leur environnement, et d'autre part la transposition du modèle de marketing aux activités gouvernementales, on tente de situer les fonctions de communication des administrations publiques au sein d'un système d'interactions incluant l'exécutif gouvernemental, l'environnement public et les médias. Selon le sens de circulation et les flux d'informations, les services de communication exercent plus ou moins une fonction traditionnelle de diffusion vers l'environnement ou une fonction conseil auprès des décideurs. L'importance croissante de cette dernière fonction, s'appuyant sur l'analyse des attentes des administrés, minimise la légitimité des choix politiques des élus et mène à une nouvelle forme de démocratie. Ces considérations s'appuient principalement sur les énoncés de politiques de communication exprimés par les divers paliers de gouvernements, et sur les entretiens non-directifs menés par les auteurs auprès de dix responsables des communications des gouvernements fédéral, provincial, municipaux et scolaires.  相似文献   

4.
Abstract: This article develops some theory on and examines the implementation and performance of Canadian public‐private partnerships (P3s). It focuses primarily on infrastructure projects and addresses three questions: 1) What goals do governments expect to achieve through P3s? 2) How effective are P3s likely to be at delivering value to governments and citizens? 3) What lessons can be derived from the use of P3s? The article reviews the government's intended social goals for P3s and evaluates how effective P3s have been in fulfilling them. It then formulates a more comprehensive framework and outlines a “positive theory” perspective of P3s that takes into account the divergent goals of the partners – profit maximization goals of private‐sector participants and the political goals of the public sector. The article evaluates and summarizes the findings and implications of ten Canadian P3s. The appropriate test of success, from a social (normative) perspective, is whether P3s have lower total social costs, including production costs and all of the transaction costs and externalities associated with the project. The ten case studies indicate that the potential benefits of P3s are often outweighed by high contracting costs due to opportunism generated by goal conflict. These costs are particularly high when construction or operating complexity is high, revenue uncertainty (use‐risk) is high, both of these risks have been transferred to the private‐sector partner, and contract management effectiveness is poor. In infrastructure projects, it rarely makes sense to try to transfer large amounts of risk to the private sector. Sommaire: Le présent article élabore une théorie et examine la mise en œuvre et la performance de partenariats des secteurs public/privé canadiens (P3). Il se penche essentiellement sur des projets d'infrastructure et aborde quatre questions : 1) quels objectifs les gouvernements prévoient‐ils atteindre en ayant recours aux P3 ? 2) Dans quelle mesure les P3 seront efficaces à fournir de la valeur aux gouvernements et aux citoyens ? 3) Quelles leçons peut‐on tirer des P3? L'article passe en revue les justifications normatives avancées par le gouvernement pour les P3 et examine leur efficacité. Ensuite, il formule un cadre normatif plus exhaustif. Puis, il présente les grandes lignes d'une perspective de «théorie positive» des P3 en tenant compte des objectifs divergents des partenaires : à savoir, les objectifs de maximisation des profits pour les participants du secteur privé et les objectifs politiques du secteur public. Par la suite, l'article passe en revue et évalue dix études de cas de P3 canadiens. Le test du succès, selon une perspective (normative) sociale, consiste à déterminer si les P3 ont des coûts sociaux totaux inférieurs, y compris les coûts de production, et tous les coûts de transactions et coûts externes associés au projet. Les dix études de cas indiquent que les avantages potentiels des P3 sont souvent surpassés par les frais élevés de passation de contrats dûs à l'opportunisme généré par les conflits en matière d'objectifs. Ces coûts sont particulièrement élevés lorsque la complexité de la construction ou de l'exploitation est élevée et que l'incertitude des revenus (le risque d'utilisation) est forte, que ces deux risques ont été transférés au partenaire du secteur privé, et que l'efficacité de la gestion du contrat est médiocre. Dans les projets d'infrastructure, il est souvent absurde d'essayer de transférer de grands montants de risque d'utilisation au secteur privé.  相似文献   

5.
Abstract: The paper examines the electoral consequences of the Parti Québécois' decision in the fall of 1982 to reduce expenditures by drastically cutting wages in the public sector. In so doing, the Parti Québécois was attacking a group which was part of its core clientele. The episode offers the possibility of testing the proposition that a party which ignores its faithful supporters is doomed to perish. The analysis shows that the measure cost the Parti Québécois a loss of seven percentage points among public sector employees; that the latter reacted as a group, their voting behaviour not being influenced by whether or not they were personally affected by the measure; and that the total net loss to the Parti Québécois was 1.5 percentage points. The paper argues that the measure was less costly than the theoretical literature might have suggested and that the move could have been a successful one had the whole policy been handled more shrewdly by the government. Sommaire: L'article examine les conséquences électorates de la décision prise à l'automne 1982 par le gouvernement du Parti québécois de réduire les dépenses en procédant à des coupes sévères dans les salaires du personnel du secteur public. Le Parti québécois s'attaquait ainsi à un groupe qui lui était traditionnellement acquis. Cet épisode de la vie politique permet de vérifier l'assertion suivant laquelle un parti qui néglige ses fidèles partisans est vouéà la disparition. L'analyse montre que cette mesure a coûté au Parti québécois une perte de 7 points de pourcentage dans le vote des employés du secteur public; que ces derniers ont réagi en tant que groupe, leur comportement au moment du vote étant le même qu'ils soient ou non personnellement affectés par la mesure; et que la perte nette totale du Parti québécois a été de 1,5 point. L'article indique que la mesure a été moins coûteuse que ce qu'aurait pu laisser penser la théorie et qu'elle aurait pu être un succès si le gouvernement avait géré toute la politique de façon plus astucieuse.  相似文献   

6.
7.
Sommaire: Au Canada comme ailleurs, les services publics sont soumis à une critique soutenue. Selon plusieurs auteurs, le secteur privé représente un idéal d'efficacité sur lequel il faudrait remodeler les bureaucraties étatiques. La réinvention du gouverne-ment passe par une plus grande autonomie de son personnel (empowerment) et un changement culturel fondamental. Cette étude consiste en une comparaison systématique de praticiens de l'administration en ce qui à trait a leur niveau d'autonomie, leurs valeurs et les compétences qu'ils mettent en ?uvre pour accomplir leur travail. L'échantillon de 120 personnes est composé d'individus diplômés d'études de deuxième et de troisième cycle au cours des dix demières années. Après avoir établi un profil général des praticiens face à ces trois dimensions, l'étude identifie les éléments plus spécifiques aux secteurs privés et publics respectivement. Le niveau d'autonomie joue un rôle certain mais on doit le distinguer selon le type d'autonomie. Toutefois, ce sont les valeurs qui sont les plus determinantes: le désir d'ascension sociale et l'engagement face à la collectivité. Abstract: The civil service in Canada and elsewhere is the target of continuous criticism. According to many authors, the private sector constitutes an ideal of efficiency for state bureaucracies. Reinventing government depends on the empowerment of civil servants and a fundamental culture change. This study contains a systematic comparison of administration practitioners as regards their level of autonomy, their values and the skills they call upon in the course of their work. The sample of 120 people consists of BA and MA graduates who earned their degrees during the last ten years. After establishing a general profile of practitioners regarding these three parameters, the study identifies the components that are more specific to the private and public sector, respectively. The level of autonomy undoubtedly plays a role, but it must be broken down by type of autonomy. However, it is the values that are paramount: the desire for social upward mobility and the commitment to the community.  相似文献   

8.
Abstract. In the current debate about excessive and alleged wasteful public expenditures, it is important to review the history of the control process since the early 1930s and to re-examine the principal conclusions of the Glassco Commission of the early 1960s. Presently the government has announced its intention to appoint a Financial Comptroller or overseer, which was a course recommended by Mr. Macdonell, the Auditor General of Canada. It is not clear how this new appointee would fit into the public service system. Will this constitute a partial return to the system of pre-audit and central accounting which was embodied in the former Comptroller of the Treasury? How will these new financial responsibilities be related to the authority of the Treasury Board and the responsibilities of the various government departments and agencies for ensuring that they have good internal control procedures? It is suggested here that there is now a quiet acceptance of the idea that objective tests of financial judgments are very difficult to develop and apply. There is, in fact, a current view that the findings of the early 1960s placed too much emphasis on the possibility of adapting private sector mechanisms to public sector problems. This proposition needs a renewed and critical appraisal, particularly as the restiveness of those outside government about public sector laxity is rising steadily. This presentation to the Government Management program reviews the main findings of Glassco and concludes that there has been only a partial implementation of the Royal Commission recommendations and that this may be a major factor in weakening the system of internal review and control. The public debate will continue and the talk was prepared prior to the announcement of the inquiry now being chaired by Mr. Allen Lambert. The issues raised are important to everyone concerned with high standards of public administration. Sommaire. Au cours du débat actuel sur le gaspillage présumé et excessif des fonds publics, il est important de faire l'historique du processus de contrǒle à partir de 1930 et de réexaminer les principales conclusions de la Commission Glassco, au début des années 60. A l'heure actuelle, le gouvernement s'est déclaré prět à nommer un contrǒleur des finances, comme l'avait recommandé M. Macdonell, l'auditeur-général du Canada. Toutefois le rǒle qu'assumerait ce contrǒleur est mal défini. Est-ce qu'il impliquerait un retour partiel au système de pré-vérification et de comptabilité centralisée dont l'ancien contrǒ leur du Trésor était la personnification? Comment ces nouvelles responsabilités en matière financière seraient-elles reliées à celles du Conseil du Trésor à celles des différents services et organismes gouvernementaux en ce qui concerne les procédures de contrǒle internes? Des remarques récentes de l'ancien secrétaire du Conseil du Trésor suggèrent que Ton reconnaǐt aujourd'hui, au moins offi-cieusement, que l'élaboration et l'application de tests objectifs aux jugements financiers présentent de grandes difficultés. On pense couramment, en fait, que les conclusions du début des années 60 insistaient trop sur la possibilité d'adapter les mécanismes du secteur privé aux problèmes du secteur public. Cette proposition doit ětre d'autant plus réexaminée et réévaluée qu’à l'extérieur du gouvernement on se préoccupe de plus en plus d'un certain public. L'auteur de cet exposé aux participants du programme de gestion du gouvemement passe en revue les principales conclusions de Classco et conclut que les recommandatìons de la Commission royale n'ont été appliquées que partìellement, ce qui pourrait ětre l'un des principaux facteurs responsable de l'affaiblissement du système de vérification et de contrǒle internes. Le débat public va continuer. Cet exposé avait été préparé avant l'annonce de l'enquěte que préside maintenant M. Allen Lambert. Les questions qu'elle soulève sont importantes pour tous ceux qui désirent une administration publique de haut calibre.  相似文献   

9.
Abstract: In January 1997, Ontario's Ministry of Community and Social Scrvices (Comsoc) entered into a public‐private partnership with Andersen Consulting. Thc business transformation project was intended to support the Ontario Works program and Ontario Disability Support program. The provincial auditor subsequently reviewed the project and identified a number of problems. This particular case illustrates some of the key issues associated with public‐private partnerships in Ontario, and perhaps more generally. The article examines the government's managerialist agenda and the twin goals of downsizing the Ontario Public Service while increasing the involvement of business in program delivery. Analysis focuses on how the Ontario government conceives of partnership arrangements; the issue of differences in organizational power between public and private actors; the question of whether shared interests need necessarily exist between the parties; and the problem of securing accountability in partnership arrangements. It finds that collaborative partncrships and democratic accountability are in tension; public‐sector organizations risk entering public‐private partnerships in subordinate roles; and that divergent public and private purposes hampered the project. Moreover, the article suggests that the ministry's eventual corrective actions embraced traditional public administrative concerns. This development indicates that while recent managerialist reforms havc posed some challenge to public administration, it shows continued relevance in protecting the public interest. Sommaire: En janvier 1997, le ministère des Services sociaux et communautaires de l'Ontario a conch avec Andersen Consulting un partenariat entre secteurs public et privé. Le projet visait à appuyer le programme Ontario au travail et le Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées. Le vérificateur provincial a, par la suite, passé en revue le projet et a identifié un certain nombre de problèmes. Ce cas particulier illustre certaines des questions clés associées aux partenariats entre le secteur public et le secteur privé en Ontario, et peut‐être dans un champ plus vaste. L'artio cle examine le programme de nouveau management public du gouvernement let les deux objectifs jumeaux consistant à réduire la taille de la Fonction publique de l'Ontario tout en augmentant le rôe du secteur privé dans la prestation des programmes. L'analyse se centre sur la manière dont le gouvernement de l'Ontario conçoit les contrats de partenariat; la question des différences en matière de pouvoir organisationnel entre les intervenants des secteurs public et privé; la question de savoir si les parties doivent nécessairement partager des intérêts communs; et le problème de la garantie de l'imputabilité dans les contrats de partenariat. L'article montre qu'il existe des tensions dans les partenariats de collaboration par rapport à la responsabilité démocratique, que les organismes du secteur public risquent de conclure avec le secteur privé des partenariats où ils joueront des rôles subordonnés et que les objectifs divergents des secteurs public et privé ont été une entrave au projet. Par ailleurs, l'article laisse entendre que les mesures correctives prises finalement par le ministère ont tenu compte des préoccupations traditionnelles de l'administration publique. Cela indique que même si les récentes réformes de gestion ont posé certains défis à l'administration publique, elles visent toujours la protection de l'intérêt public.  相似文献   

10.
Abstract: Growing interest in using automation to link components of the justice system has led four provincial governments to consider private-sector partnerships in which the upfront cost of automation initiatives is borne by a private contractor who is compensated out of a benefit pool of future savings and revenue. Integrated justice systems thus reverse the standard approach to alternative service delivery, since broadly defined development work is privatized while routine implementation remains in public hands. In practice, provinces have abandoned and scaled down their most ambitious projects, although Ontario has begun perhaps the largest project ever undertaken. Sommaire: Face à l'intérêt que présente l'automatisation des liens entre les éléments du système de justice, quatre gouvernements provinciaux ont décidé d'envisager des partenariats avec le secteur privé, l'entrepreneur privé devant défrayer le coût initial des initiatives d'automatisation mais recevant en contrepartie les retombées positives provenant des konomies et des revenus qui en dékouleront. Les systèmes de justice intégrés inversent ainsi la méthode standard de prestation de services, puisqu'on privatise l'effort de mise au point tout en laissant au secteur public le soin de la mise en oeuvre. En réalité, les provinces ont abandonné ou réduit leurs projets les plus ambi-tieux, mais l'Ontario vient de lancer le projet le plus important jamais entrepris.  相似文献   

11.
Abstract: A government organization setting out to improve its quality of service must, first of all, recognize that the meaning and scope of service in government differ in significant respects from those provided by private sector organizations. Federal government departments and agencies serve a variety of external and internal clients, ranging from the elected government to the general public. Although some services are analogous to those provided by businesses, and much can be learned from the service innovations of the private sector, the enforcement of regulations and other public functions are peculiar to government. Furthermore, the nature of government service and its availability to citizens are shaped by such requirements as entitlement and equity or equal benefits, which are not pre-eminent factors in the private sector. An essential prerequisite to better service is a result-oriented corporate “culture.” Quality service to the public requires that public service organizations understand the concepts of empowerment, delegation, and decentralization in the context of a change from command and control systems to front line empowerment. The limits of delegation and decentralization need to be recognized. Other vital ingredients are adequate rewards and recognition, effective consultative systems and service monitoring. These changes, most of which lead in the direction of risk-taking, will require a measure of personal adaptation by managers now in the service. Sommaire: Touted organization governmental qui entreprend d'améliorer la qualité; de ses services doit, tout d'abord, reconnoiters que la nature et la portée des services gouvernementaux different à bien des égards de celles des services offerts par le secteur privé. Les ministères et organismes fédéraux sont au service d'une variété de clients externes et internes, allant du gouvernement élu au grand public. Bien sûr, certains services gouvernementaux sont analogues à ceux de I'entreprise privée, et I'on peut tirer maintes leqons de ce secteur, mais la mise en oeuvre de la réglementation et l'aspect public des services sont propres au gouvernement. En outre, la nature même des services gouvernementaux et leur prestation aux citoyens sont fonction de critères comme le droit aux services, l'équité ou I'égalité des avantages sociaux, facteurs qui ne prédomi-nent guère dans le secteur privé. Une condition essentielle à I'amélioration des services gouvernementaux est une « uculture » corporative axde sur l'obtention de résultats. Pour que les services au public soient de qualité, les organisations publiques doivent com-prendre les concepts de dotation et, de délégation de pouvoirs et de décentralisation, le tout s'inscrivant dans un contexte de renonciation des systèmes de commande et de contrôle au profit des services de première ligne. Les limites de la délégation de pouvoirs et de la décentralisation doivent être reconnues. Autres facteurs vitaux: un processes adequat d'encouragement et de récompense, un systkme eficace de consultation et une surveillance de la qualité des services. Tous ces changements, dont la plupart mettent en jeu un certain facteur-risque, exigeront une adaptation personnelle des cadres en foiiction.  相似文献   

12.
Abstract: Concern for privacy and confidentiality is a strategic barrier to the use of personal information for expanded Canadian health research and statistics, more effective services, and better use of resources. This article identifies such privacy concerns, seeks to explain them, and identifies various responses. Specific misgivings of privacy advocates must be addressed, if data protection problems are not to impede an improved national health information system. It is essential that legislation, policies, and practices affecting a national health information system enshrine the existence of a clear, functional separation between research and/or statistical and administrative uses of personal data. Ensuring true informed consent for secondary uses of personal information is a potential blockage to a strengthened health information system in Canada, since so much of the relevant data originates in unrelated transactional situations. The National Council on Health Information should actively promote the enactment of general data protection legislation for the public sector in the eight provinces without such laws in effect, since the existence of sound data protection, including an ombudsperson to promote implementation, will facilitate the development of an advanced health information system under controlled conditions. Sommaire: Le souci de protéger le caractère privé et confidentiel de certaines données constitue un obstacle stratégique à l'utilisation des renseignements personnels pour faire davantage de recherches et recueillir plus de statistiques sur la santé au Canada, pour mettre en place des services plus efficaces et pour faire meilleur usage des ressources. Cet article identifie de telles préoccupations face au respect de la vie privée, tente de les expliquer et y apporte diverses réponses. Les craintes exprimées par les défenseurs du droit à la vie privée doivent être apaisées pour que les problèmes de protection des données n'interferent pas avec la mise en place d'un meilleur système national de renseignements sur la santé. II est essentiel que les lois, les politiques et les pratiques relatives à un système national de renseignements sur la santéétablissent officiellement une séparation claire et fonctionnelle entre l'utilisation des données personnelles pour la recherche ou les statistiques et leur usage à des fins administratives. En exigeant le consentement explicite d'une personne en ce qui concerne les utilisations secondaires des données personnelles, on crée un obstacle potentiel à la mise sur pied d'un système consolidé de données sur la santé au Canada, car énormément de données pertinentes proviennent de situations transactionnelles sans relations. Le Conseil national d'information sur la santé devrait activement promouvoir l'implantation de lois générales sur la protection des données du secteur public dans les huit provinces où une telle législation n'existe pas actuellement. Car un système adéquat de protection des données, comprenant notamment un ombudsman chargé de veiller à l'application des lois, facilitera l'élaboration dans des conditions réglementées d'un système plus avancé de renseignements sur la santé.  相似文献   

13.
Abstract: Much has been written on the growth of government expenditures at the national level, focusing on economic variables. Few studies have focused on the growth of spending at the provincial level. Even fewer studies have sought to examine the role of politics in provincial government spending. This paper seeks to fill the gap. It examines the growth of government in Canadian provinces over the last quarter-century, 1960 through 1986, and the role of politics in that growth. Government spending in Canada has grown rapidly at the provincial level over the past quarter-century, more rapidly than at the federal level. The present study develops and tests an econometric model of provincial government expenditure that incorporates economic, social, and political factors. In particular, the influence of the political party in power on provincial government spending is examined. Surprisingly, in most Canadian provinces the political party in power is found to have no significant impact on the level or growth of provincial government spending over the last twenty-five years. Instead, the growth of provincial government spending has been stimulated by the growth of the private sector provincial GDP. The provincial governments have responded to changes in the state of provincial economy and to provincial unemployment by increasing their own level of expenditures. Sommaire: La croissance des dépenses gouvernementales à l'échelon national a fait l'objet de nombreuses analyses, centrées sur des variables économiques. Très peu d'études ont porté sur l'augmentation des dépenses provinciales et, encore moins, sur le rôle joué par la politique à cet égard. Le présent exposé a pour objet de combler cette lacune en examinant la croissance des gouvernements dans les provinces canadiennes au cours du dernier quart de siècle, soit de 1960 à 1986, ainsi que le rôle qu'a joué la politique dans cette croissance. Les dépenses gouvernementales au Canada ont augmenté pendant cette période plus rapidement au niveau des provinces qu'au fédéral. La présente étude élabore et teste un modèle économétrique des dépenses des gouvernements provinciaux qui incorpore des facteurs économiques, sociaux et politiques. En particulier, on y examine l'influence du parti politique au pouvoir sur les dépenses du gouvernement au niveau provincial. Chose surprenante, dans la plupart des provinces, on constate que l'identité du parti politique au pouvoir n'a pas d'effet significatif sur le niveau ou sur la croissance des dépenses des gouvernements provinciaux au cours de ce quart de siècle. C'est plutôt la croissance du produit intérieur brut du secteur privé provincial qui a stimulé l'augmentation des dépenses des gouvernements provinciaux. Ces derniers ont réagi à l'évolution de l'économie provinciale ainsi qu'au chômage provincial en augmentant leur propre niveau de dépenses.  相似文献   

14.
Abstract: The merit principle is the primary means of restraining or avoiding political influence in civil service employment. It has received a good deal of attention at the national level of government but much less so at the provincial level. This article is designed to provide an assessment for Atlantic Canada. The author reviews the background in Britain and Canada and, after identifying the main elements of the principle, as developed at the national level of government in Canada, deals separately with each of the four Atlantic governments. He concludes that the merit principle has had its ups and downs throughout the region and that its current status varies considerably from province to province. Sommaire: Dans le secteur de I'emploi de la Fonction publique, le principe de la selection selon le merite est le meilleur moyen le limiter l'influence de la politique, voire de l'éviter. Ce principe a fait l'objet de beaucoup d'attention au niveau du gouvernement fédéral, ce qui n'a pas été autant le cas au niveau provincial. Dans cet article, I'auteur Bvalue la situation B ce sujet dans les quatre provinces de l'Atlantique du Canada. Il commence par passer en revue les données en Grande-Bretagne et au Canada, puis met au jour les principaux aspects du principe, tel qu'il a étéélaboré au niveau du gouvernement fédéral, pour en arriver enfin à traiter séparément chaque gouvernement des provinces de l'Atlantique. En conclusion, l'auteur dit que le principe de la sélection selon le mérite a connu des hauts et des bas dans les quatre provinces et, qu'à l'heure actuelle, la situation varie beaucoup de l'une B l'autre.  相似文献   

15.
Abstract. Western Canada is generally regarded as consisting of the three prairie provinces and British Columbia. It is a region that is very sensitive to technological and economic trends. Regional social and political adjustments result from these trends, and since Canada is a federation the political decisions are divided between the federal government and each of the four constituent provinces. This leads to frictions between the governments, especially with regard to energy policies, natural resource use, transportation costs, and the location of secondary industries. The economy of western Canada is mainly extractive, and the products are subject to many price and output fluctuations which are very difficult to control by public policies. Nevertheless, the region has experienced substantial economic growth since the thirties at a rate comparable to that of all Canada, and the region should continue to grow at least in pace with Canada in future decades, with the highest growth rates in Alberta and British Columbia. Much will depend upon the continuation of a high level of investment financed in large part by external savings, involving much foreign ownership. Urbanization has proceeded rapidly in western Canada, accompanied by many social adjustments. The public sector has expanded markedly, and further relative growth is envisaged. Throughout the years the region has sent large contingents of opposition members to Ottawa, regardless of the party in power. This alienation is greatest in Alberta and least in Manitoba. Separation is alive in the region, patricularly in Alberta, where much larger petroleum revenues would be obtainable if separation occurred. Federal-provincial tensions involving western Canada will intensify in the future, calling for continuous negotiations and constitutional jurisdictional judgements. Sommaire. On considère généralement que les trois provinces des Prairies et la Colombie-britannique constituent l'Ouest du Canada. C'est une région très sensible aux mouvements technologiques et économiques. Les ajustements régionaux - sociaux et économiques - sont le résultat de ces tendances, et comme le Canada est une fédération, les décisions politiques se trouvent partagées entre le gouvernenient fédéral et chacune des quatre provinces de l'Ouest. Ceci donne lieu à des frictions entre gouvernements, surtout lorsqu'il s'agit des politiques énergétiques, de l'usage des ressources naturelles, des coûlts de transport et de l'emplacement des industries secondaires. L'économie de l'Ouest du Canada est surtout extractive et ses produits sont sujets à toutes sortes de fluctuations de prix et d'apports que les politiques publiques ont beaucoup de peine à réglementer. La région a connu, cependant, une croissance économique significative depuis les années 30, à un taux comparable à celui de tout le Canada et la région devrait continuer à croître au moins au même rythme que le reste du Canada dans les décennies à venir, avec les taux de croissance les plus élevés en Alberta et en Colombie-britannique. Cela dépendra beaucoup de la continuation du volume élevé d'investissements, financés en grande partie par de l'épargne provenant de l'extérieur de la province et avec une grande participation étrangère. L'urbanisation a été rapide dans l'Ouest du Canada, ce qui a demandé de nombreux ajustements sociaux. Le secteur public a connu une grande expansion et l'on s'attend encore à une croissance relative. Au cours des années, la région a envoyéà Ottawa des contingents importants de députés de l'opposition, quel qu'ait été le parti au pouvoir. C'est en Alberta que l'aliénation est la plus grande, alors qu'elle est à son minimùm au Manitoba. Le séparatisme existe dans la région, en particulier en Alberta où il serait possible d'augmenter considérablement les revenus provenant du pétrole si la Province était indépendante. Les tensions fédérales-provinciales concernant l'Ouest du Canada ne feront qu'augmenter à l'avenir, ce qui exigera des négociations continues et des jugements constitutionnels sur des questions de juridiction.  相似文献   

16.
Abstract: Today, a great deal of attention is focused on the need to change the management of the public service in order to improve customer service and increase efficiency. In many cases, unfavourable comparisons are made to the private sector. But little comparative analysis has actually been undertaken with reference to the career profiles of senior managers in Canada's public and private sectors. The Public Management Research Centre undertook a study comparing the backgrounds and management experiences of Canada's most senior executives in the public and private sectors. Information was gathered from seventy current heads of federal departments and agencies (deputy ministers - dms ) and from sixty-three chief executive officers (ceos ) of private companies of comparable size and importance. The results of this study, published in a document entitled Today's Leaders, indicate that it is likely that the top job in public-sector organizations will never be identical to that in the private sector. However, if improving the management of the public sector means adopting some elements of private-sector management techniques (e.g., alternative service delivery, increased customer service, greater attention to cost recovery and bottom-line), the thrust for these changes must come from senior management. In addition, current criteria for recruitment, development and promotion of future public-sector leaders must be re-evaluated. Sommaire: Le Centre de recherche en gestion dans le secteur public a effectué une étude comparant l'historique personnel et l'expérience de gestion des plus hauts cadres des secteurs public et privé au Canada. Les renseignements ont été recueillis auprès de 70 chefs titulaires de ministères et d'organismes fédéraux (sous-ministres) et de 63 présidents-directeurs généraux (pdg ) de compagnies privées d'envergure comparable. Publiés dans un document intituléLeaders d'aujourd'hui, les résultats de l'étude révèlent que le poste suprême des organismes publics ne sera probablement jamais identique à celui des organismes privés. D'autre part, s'il s'agit d'améliorer la gestion du secteur public en adoptant certains éléments de gestion du secteur privé (modes-alternatif de prestation de servies, meilleur service à la clientèle, recouvre-ment des coûts et rentabilité), ce sont les cadres supérieurs qui doivent en prendre l'initiative. Par ailleurs, il faut réévaluer les critères actuels de recrutement, de développement et de promotion des futurs du chefs de file secteur public.  相似文献   

17.
Sommaire: La garantie de la sécurité financière des personnes âgées comprend deux objectifs bien distincts. Le premier est dassurer un revenu minimum à toutes les personnes ayant atteint un âge déterminé, quelle qu'ait été leur situation antérieure. Le deuxième objectif vise à remplacer une certaine proportion du revenu que les personnes âgées touchaient avant de devenir admissibles à des prestations de retraite. Le rôle du gouvernement dans le remplacement du revenu est beaucoup moins fondé et mérite d'être remis en question. Un tour d'horizon des programmes de sécurité du revenu des personnes âgées permet de démontrer l'importance de tout ce secteur et surtout les problèmes bien réels qu'il doit affronter. Ces problèmes proviennent en très grande partie des resources limitées de notre société. Malheureusement, dans un univers d'omni-présence gouvernementale où les coûs des différentes mesures d'intervention ne sont que très rarement explicités, il est fort probable que l'on assistera à l'accroissement de la présence des gouvernements dans tout le secteur des pensions en une période où les coûts combinés des jeunes et des personnes âgées que doit supporter la population active sont à un minimum. Abstract: The guarantee of financial security for the aged has two different objectives. The first is to ensure a minimum income to all those who have reached a predetermined age, whatever their former situation. The second is to replace part of the income enjoyed by those senior citizens before becoming eligible for retirement benefits. The role of government in replacement income is debatable and should be questioned. A review of income guarantee programs for the aged shows the magnitude of this question and the very real problems to be faced. These problems arise mainly from the limited resources of our society. Unfortunately, in a world of omnipresent government, the costs of the various interference measures are rarely broken down and it is likely that we will witness an increase in government intervention at a time when the combined costs of the young and the old are at a minimum for the working population.  相似文献   

18.
Abstract. The provision of supporting services to a number of departments and agencies by one or more common service departments is the application in government administration of the economic principle of the specialization or division of labour. Common service agencies are used widely in the Government of Canada, in provincial and municipal governments, and indeed within most large organizations both in the public and private sectors of the economy. This paper examines the advantages and disadvantages of common service agencies and considers some of the principles which can contribute to their success. The paper then focuses on four major issues which face both users and suppliers of common services. These are (a) whether the use of common services should be optional or mandatory; (b) whether or not the users of common services should pay for the services they receive; (c) under what circumstances common service agencies should buy their services from the private sector and under what circumstances they should staff to provide those services themselves; and (d) whether common service agency efficiency and effectiveness should be subordinated to other policy objectives. The paper concludes that the use of common services in government has produced many of the advantages inherent in the specialization or division of labour as well as some attendant disadvantages. Whether common services will succeed or fail depends in no small part on what might be called the level of civilization of the organization in which they operate. Sommaire. La prostration de services de soutien à plusieurs ministères et organismes par un on certains ministères désignés est une illustration de l'application clans l'administration publique du principe économique de la spécialisation ou de la division du travail. Les organismes de services communs sont très répandus à tous les paliers de gouvernement et du reste, on les retrouve dans la plupart des grandes entreprises publiques et privées. L'auteur de l'article fait le bilan des avantages et des inconvénients des organismes de services comniuns et examine certains des principes qui pourraient contribuer à leur succès. Il s'attache ensuite à quatre questions importantes que se posent tant la clientèle que les fournisseurs des services communs, à savoir: (a) si le recours aux services communs doit être facultatif ou obligatoire; (b) si les utilisateurs des services communs doivent payer ou non les services; (c) quelles sont les circonstances qui peuvent amener les organismes de services communs à acheter leurs services du secteur privé et celles où ils doivent s'attacher le personnel leur permettant de fournir eux-mêmes ces services; et (d) si le fonctionnement et l'efficacité. des organismes de services communs doivent être subordonnés à d'autres objectifs prioritaires. L'auteur conclut que l'utilisation des services communs au sein du gouvernement comporte un grand nombre des avantages inhérents à la spécialisation ou à la division du travail en même temps que certains inconvénients inévitables. Le succès ou l'échec des services communs tient en grande partie à ce que l'on pourrait appeler le niveau de civilisation de l'organisation qu'ils servent.  相似文献   

19.
Abstract One of the most interesting yet seldom analysed organizational phenomena concerns ‘bureaucratic persistence.’ It speaks to the uncanny capacity of some organizations to meet the requirements of survival over long periods of time. They do so typically through adaptive adjustments in their internal and external relations. This paper provides one of the first analyses of bureaucratic persistence in the Canadian system. It records the staying power of a Nova Scotia-based agency, the Maritime Marshlands Rehabilitation Administration (MMRA). Conceived in 1943 as an emergency repair project on one dyke in Amherst, it survived, grew and eventually underwent a metamorphosis to become the Maritime Resource Management Service (MSMS), providing sophisticated interdisciplinary resource management and information services to private and public users. As such, the MMRA-MRMS experience provides a convincing confirmation of bureaucratic persistence in Canada. It does more, however. The analysis shows that the specific dynamics of bureaucratic persistence owe much to the particular character of the regime within which it is found. In the case of MMRA-MRMK, the pre-eminence of cabinet in the legislative process and regional dynamics within the federal system were central. What is more, it becomes apparent that the continuation of a valid or a politically salient function must be a core element in bureaucratic persistence. Sommaire. La persistance bureaucratique est l'un des phénomènes organisationnels les plus fascinants mais il a pourtant été rarement analysé. II s'agit de l'étrange pouvoir qu'ont certaines organisations de satisfaire am exigences de survie pendant de longues périodes. Elles y arrivent habituellement grâce à des adaptations dans Ieurs relations internes et externes. Cet article présente l'une des premières analyses de persistance bureaucratique dans le système canadien. Il décrit comment s'est perpétuée une agence de Amherst en Nouvelle-Ecosse, connue sous le nom de Maritime Marshlands Rehabilitation Administration (MMRA). Conçu en 1943 comme un projet de réparation d'urgence d'une digue, cet organisme a surVécu, s'est élargi et s'est finalement transformé en Maritime Resource Management Service (MRMS); il a procuré au secteur public et privé d'excellents services interdisciplinaires d'information et de gestion de ressources. Le cas MMRA-MRMS foumit donc une confirmation convaincante de la persistance bureaucratique au Canada. Mais il ne s'arrête pas là. L'analyse démontre que la dynamique particulière de persistance bureaucratique dépend beaucoup du caractère spécifique du régime dans lequel elle se développe. Dans le cas du MMRA-MRMS, la prééminence du cabinet dans le processus légidatif et la dynamique régionale au sein du système fédéral étaient très importantes. Par ailleurs, il va sans dire qu'il est indispensable au phénomène de persistance bureaucratique que la fonction soit valide et politiquement importante.  相似文献   

20.
Sommaire: Au cours des vingt derniéres années, nombreuses ont été les critiques quand il s'est agi de comparer l'efficacité générale de l'administration publique par rapport à l'administration privée. Plusieurs auteurs ont attribué la plus faible efficacité de l'administration du secteur public à des objectifs organisationnels ambigus, à une absence de suivi ou dévaluation des résultats, à une valorisation moindre de l'efficacité au niveau de l'utilisation des ressources de l'organisation ou à une sensibilisation moindre face à la nécessité d'établir des contrôles de gestion. Les quelques auteurs qui se sont intéressés plus spécifiquement au style de gestion du personnel dans les secteurs public et privé ont obtenu des résultats contradictoires. C'est dans cette perspective de la problématique de l'efficacité que la présente étude aborde, de façon particulière, la gestion d'une des ressources importantes de I'organisation, soit les ressources humaines. Dans une étude effectuée auprès d' administrateurs publics et privés canadiens-français, les résultats démontrent que les administrateurs publics semblent moins sensibilisés que les administrateurs privés à l'utilisation optimale des ressources humaines (intérêt pour leur développement et relations de support au travail) et manifestent un désir moindre d' établir différents systèmes de contrôle et de surveillance, ce qui mérite réflexion quand on aborde la problématique de l'efficacité. Abstract: Over the last two decades, numerous criticisms have been addressed towards the efficiency of publicly versus privately administered organizations. Many reasons can be advanced to explain the poor performance of public institutions: from the lack of specificity of their objectives to a lack of evaluation; from the less efficient use of human resources to a relative disregard for the criticality of management control systems. Only a few studies have looked at the issue of the leadership styles and characteristics observed in private versus public organizations and they have yielded contradictory results. It is within this perspective that this study attempts to analyse how leaders in both organizational structures handle human resources. In a study conducted with French Canadian public and private administrators, results indicate that public administrators seem less sensitive to issues of optimal utilization of human resources (professional development and supportive attitudes at work) and appear to be less interested in establishing organizational control systems than is the case for private administrators. This provides food for thought when the question of effectiveness is considered.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号