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1.
Abstract: This paper reviews the period 1965-84, providing an analysis of the contribution of provincial budgets to regional stabilization and the impact of budgets on the financial position of provincial governments. The perversity hypothesis, which proposes that provincial budgetary behaviour may serve to exacerbate rather than reduce cyclical swings in local economies, is examined. An effort is made to differentiate between the automatic and discretionary components of provincial budgets, by calculating cyclically and inflation-adjusted revenues, expenditures and budget balances. A budget balance analysis arrives at the following conclusions: the behaviour of provincial budgets, including both automatic and discretionary components, was stabilizing, for the most part, during the study period; however, in most cases, discretionary budgetary policy was perverse. A regression analysis arrives at the following conclusions: in Newfoundland, New Brunswick, Manitoba and Saskatchewan, both revenue and expenditure policy demonstrated neutral cyclical behaviour during the study period; in Nova Scotia and British Columbia, destabilizing expenditure-side behaviour offset stabilizing revenue-side behaviour, while in Quebec, Ontario and Alberta, stabilizing expenditure changes may have dominated destabilizing revenue changes; in Nova Scotia and Manitoba, the long-run rate of expenditure growth exceeded the rate of revenue growth, suggesting a possible structural deficit problem, while the other provinces appear to have exercised greater financial control; and provincial expenditure policy was affected by the electoral cycle, while revenue policy appears to have been unaffected. It is expected that provincial involvement in cyclical regulation will be limited in the immediate future and that the provinces will take further steps to shore up their finances, following the stresses that were imposed on their budgets by the last recession. Sommaire: Cet article passe en revue la période 1965–1984 et analyse le rôle des budgets provinciaux dans la stabilisation régionale et leur impact sur la situation financière des gouvernements provinciaux. Les auteurs examinent l'hypothèse de l‘“effet pervers” selon lequel la politique budgétaire provinciale accentuerait les revirements cycliques de l’économie locale au lieu de les atténuer. Ils tentent de faire la distinction entre les éléments automatiques et discrétionnaires des budgets provinciaux en calculant les recettes, les dépenses et les soldes budgétaires ajustés en tenant compte de leur aspect cyclique et de l'inflation. Une analyse du solde budgétaire mène aux conclusions suivantes: les budgets provinciaux, et leurs éléments automatiques et discrétionnaires, ont eu en général un effet stabilisateur pendant la période étudiée; cependant, dans la plupart des cas, la politique budgétaire discrétionnaire a eu un effet pervers. Une analyse de régression mène aux constatations suivantes: à Terre-Neuve, au Nouveau-Brunswick, au Manitoba et en Saskatchewan, les politiques de recettes et de dépenses ont eu un effet cyclique neutre pendant la période étudiée; en Nouvelle-Écosse et en Colombie-Britannique, l'effet déstabilisateur des dépenses a annulé l'effet stabilisateur des recettes, tandis qu'au Québec, en Ontario et en Alberta, il semble que les changements stabilisateurs dans les dépenses aient dominé les changements déstabilisateurs dans les recettes; en Nouvelle-Écosse et au Manitoba, le taux de croissance à long terme des dépenses a été supérieur au taux de croissance des recettes, ce qui est peut-être le signe d'un problème de déficit structurel, bien que les autres provinces semblent exercer un plus grand contrôle financier; la politique provinciale de dépenses a subi les contrecoups du cycle électoral alors que la politique de recettes ne semble pas avoir été touchée. On prévoit que l'intervention provinciale dans la règlementation cyclique sera limitée dans un proche avenir et que les provinces prendront de nouvelles mesures pour consolider leurs finances, suite aux contraintes budgétaires que la dernière récession leur a imposée.  相似文献   

2.
Abstract. The transformation of the Canadian federal system from classical to co-operative federalism has placed greater importance on consultations between federal and provincial governments prior to the balkation of policy within their respective jurisdictions. There is, however, an absence of case studies that examine the interaction among provincial governments, provin-cially or regionally based pressure groups, Members of Parliament from a particular region or province and the federal cabinet in the formulation of policies in areas of federal jurisdiction. Using the enactment of The National Transportation Act of 1967 as a case study, the paper examines the policy-making process within the Canadian federal system as it affects the Western Canadian provinces. The central thesis of the paper is that the consultative mechanisms employed by the federal government in areas of provincial jurisdiction limit the extent to which provincial policy inputs are injected into the decision-making process. Co-operative federalism is entering a new phase that will be characterized by the establishment of specialized structures to permit the input of regional views at the federal level on a regularized basis. Furthermore, the provinces will attempt to develop regional policies in the hope that this will strengthen their bargaining position with the federal government. Sommaire. La transformation du système fédéral canadien, de fédéralisme classique en fédéralisme coopératif, a donné une grande importance aux consultations entre le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux avant l'adoption définitive de politiques dans leurs juridictions respectives. On manque cependant d'études portant sur des cas d'espèce qui illustreraient l'interaction des gouvernements provinciaux, des groupes de pression provinciaw ou régionaux, des députés d'une région ou d'une province donnée et du cabinet fédéral, dans la formulation des politiques du ressort fédéral. En se servant comme cas d'espèce de l'adoption de la loi nationale sur les transports de 1967, l'auteur de la communication étudie le processus d'é'laboration des politiques dans le cadre du système fééral canadien, du point de vue de ses répercussions dans les provinces de l'Ouest. Sa thèse centrale, c'est que les mécanismes consultatifs employés par le gouvernement fédéral dans les domaines qui sont du ressort des provinces limitent l'incorporation des apports provinciaux dans le processus de prise de décision. Le fédéralisme coopératif entre dans une nouvelle phase qui sera caractérisée par la création de structures spécialisées afin de permettre l'apprt méthodique des opinions régionales au niveau fédéral. De plus, les provinces essaieront d'élaborer des politiques régionales, espérant ainsi renforcer leur position dans les négociations avec le gouvemement fédéral.  相似文献   

3.
Abstract: This paper reports on a study of public funding for provincial human rights legislation and programs across Canada. In the field of human rights legislation, much has been said of legal cases but little of funding and enforcement issues. Our purpose was to identify factors responsible for different levels of human rights funding on the basis of a per capita spending comparison among the provinces. The aim was also to link our findings to the applicability of theories of public policy. Factors examined were provincial revenues, the size of minority groups, interest group pressures, the administrative structure of commissions, the number of women in cabinet and the political party in power. Our findings point to the importance of party and ideology and to the applicability of the state-centred theory of public policy. Sommaire: Cet article est le compte rendu d'une étude sur le financement public des lois et programmes pmvinciaux concernant les droits de la personne à travers le Canada. En ce qui concerne les lois régissant les droits de la personne, de nom-breuses études ont porté sur les questions juridiques, mais peu ont touché les questions de financement et de mise en application. Nous avons voulu cerner les fadeurs à l'origine des divers niveaux de financement des activités de droits de la personne à partir d'une comparaison des dépenses par habitant, parmi les provinces. Nous voulions également rattacher nos constatations à l'applicabilité des théories de politique publique. Nous awns examiné les facteurs suivants: revenus provinciaux, importance des minorités, force des groupes d'intérêt, structure administrative des Commissions, présence de femmes au Conseil des ministres et enfin, parti politique au pouvoir. Nos constatations soulignent l'importance du parti, de l'idéologie et de la théorie des politiques publiques axée sur l'État.  相似文献   

4.
Abstract. Major studies, including those by Dye, Pryor and Wilensky, have found that the independent influence of political variables on public policy has been weak by comparison with socio-economic factors. Perhaps the most crucial test of that weakness is the impact of party ideology on policy-making. The results of that impact are manifested in the financial decisions documented in published statements of government revenue and expenditure. Within the Canadian context, the presence of democratic socialist governments at the provincial level provides opportunities for comparing the impact of varying ideologies upon public policy outputs. This study examines the democratic socialist government in office in Manitoba between 1969 and 1977 and compares its performance with non-socialist governments both at other times within Manitoba and in other Canadian provinces. The financial data examined suggest that the total growth of government did not appear to be related at all to party ideology while the revenue base and expenditure patterns did shift somewhat, although not dramatically and not out of line with changes occurring elsewhere at the same time. Finally, the dependence of the provincial government on federal financial supports and policy initiatives and on private borrowing was discussed as it affected a social democratic provincial government. Sommaire. Des études importantes, dont celles de Dye, Pryor et Wilensky, ont montre que l'influence independante des variables politiques sur la politique officielle a été faible si on la compare a celle des facteurs socio-economiques. Peut-6tre que la preuve la plus probante de cette faiblesse est 1'impact de l'ideologie partisane sur la determination des politiques. Les resultats de cet impact apparaissent dans les decisions financieres, telles qu'etay^es dans les etats de revenus et depenses gouvernementaux publies. Dans le contexte canadien, la presence, au niveau provincial, des gouverne-ments sociaux-democrates donne des occasions de comparer 1'impact des dif-ferentes ideologies sur les resultats des politiques officielles. Cette 6tude porte sur le gouvernement social-democrate au pouvoir, au Manitoba, entre 1969 et 1977 et compare ses performances avec celles des gouvernements non-socialistes a d'autrès périodes au Manitoba et dans d'autrès provinces canadiennes. Les donnes financieres examinees laissent a penser que la croissance totale du gouvernement ne semble pas dependre du tout de l'ideologie partisane, tandis que la base de revenus et les scenarios de depenses se sont quelque peu deplaces mais neanmoins pas de facon spectaculaire et sans entrainer des changements très differents de ceux qui ont eu lieu ailleurs, a la meme epoque. Finalement, l'auteur considere l'impact sur un gouvemement provincial social-democrate, de sa de-pendance par rapport a l'appui financier et aux initiatives politiques du gouvemement fede>al ainsi que par rapport aux emprunts du secteur prive.  相似文献   

5.
Abstract: This study compares and contrasts approaches to the management of financial stress and restraint in four Canadian provincial governments in the period from 1983 to 1985. It indicates that a number of different approaches to restraint management are utilized by Canadian provinces to cope with shortfalls in revenue and policy changes that influence resource allocation decision-making. The four provinces reviewed - British Columbia, Saskatchewan, Manitoba and Nova Scotia - have managed restraint in different ways, each reflecting the politics and the socio-economic and cultural context within which government resource allocation decisions are made. Profiles of these provinces indicate how these factors have influenced financial stress management and budget control strategy. Provincial experience is compared on the following dimensions: overall restraint management strategy; employment policy; marketing the need for restraint; centralized versus participatory government decision authority and control; the use of evaluation in restraint decision-making; and the influence of ideology in restraint management strategy-setting. Sommaire: Cette étude compare et oppose les méthodes de gestion financière adoptées en période d'austérité budgétaire par quatre gouvernements provinciaux au Canada, de 1983 à 1985. Elle indique que les provinces du Canada suivent diverses orientations en matière de gestion durant une période d'austérité budgétaire pour faire face aux manques de revenus et aux changements de politiques qui influencent les décisions d'allocation des ressources. Les quatre provinces étudiées, c'est-à-dire la Colombie-Britannique, la Saskatchewan, le Manitoba et la Nouvelle-Écosse, ont chacune adopté une orientation différence, reflétant le contexte politique, soeio-économique et culturel particulier dans lequel sont prises les décisions gouvernementales d'allocation des ressources. Les profils de la Colombie-Britannique, du Manitoba, de la Nouvelle-Éeosse et de la Saskatchewan précisent la manière dont ces facteurs ont influé sur la gestion de I'austérité financière et la stratégie de contrôle budgétaire. La comparaison entre les provinces porte sur les aspects suivants: 1) stratégie globale de gestion en période d'austérité, 2) politique d'emploi, 3) sensibilisation du public au besoin d'austérité, 4) autorité et contrôle décisionnels concentrés ou participatoires de la part du gouvernement, 5) rôle de 1'évaluation dans la prise des décisions en période d'austérité, et 6) influence de l'idéologie sur la définition des stratégies de gestion de l'austérite.  相似文献   

6.
Abstract: The merit principle is the primary means of restraining or avoiding political influence in civil service employment. It has received a good deal of attention at the national level of government but much less so at the provincial level. This article is designed to provide an assessment for Atlantic Canada. The author reviews the background in Britain and Canada and, after identifying the main elements of the principle, as developed at the national level of government in Canada, deals separately with each of the four Atlantic governments. He concludes that the merit principle has had its ups and downs throughout the region and that its current status varies considerably from province to province. Sommaire: Dans le secteur de I'emploi de la Fonction publique, le principe de la selection selon le merite est le meilleur moyen le limiter l'influence de la politique, voire de l'éviter. Ce principe a fait l'objet de beaucoup d'attention au niveau du gouvernement fédéral, ce qui n'a pas été autant le cas au niveau provincial. Dans cet article, I'auteur Bvalue la situation B ce sujet dans les quatre provinces de l'Atlantique du Canada. Il commence par passer en revue les données en Grande-Bretagne et au Canada, puis met au jour les principaux aspects du principe, tel qu'il a étéélaboré au niveau du gouvernement fédéral, pour en arriver enfin à traiter séparément chaque gouvernement des provinces de l'Atlantique. En conclusion, l'auteur dit que le principe de la sélection selon le mérite a connu des hauts et des bas dans les quatre provinces et, qu'à l'heure actuelle, la situation varie beaucoup de l'une B l'autre.  相似文献   

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Abstract: This article explores the new and old intergovernmental dynamics around federal transfers to the provinces for health and social policy spending in the aftermath of the Romanow report and the decision to split the Canada Health and Social Transfer (chst) into its two component parts. Though the provinces have agreed to the split, the federal government undertook the allocation of the transfer to the new Canada Health Transfer and the Canada Social Transfer unilaterally. At the same time, the federal government has simultaneously been increasing its own social spending in areas of provincial jurisdiction in recent years. In response, the provinces have been taking an increasingly hard line towards Ottawa's unilateral actions, as demonstrated by the creation of the Council of the Federation and its focus on the so‐called fiscal imbalance in the federation. These dynamics make the intergovernmental commitment to collaborative federalism ring somewhat hollow. The article argues that the inability of both orders of government to take collaborative federalism and policy interdependence seriously poses significant threats not only to the health of the federation but also to efforts to create healthy public policy. Sommaire: Le présent article porte sur les nouvelles et anciennes dynamiques inter‐gouvemementales concernant les transferts accordés par le fédéral aux provinces pour le financement des politiques sociales et de santé, qui ont découlé du Rapport Romanow et de la décision de scinder le Transfert canadien en matiè‐e de santé et de programmes sociaux (TCSPS) en deux composantes distinctes. Quoique les provinces aient accepté la scission, le gouvernement fédéral a entrepris de procéder unilatérale‐ment à l'affectation des paiements aux nouveaux Transfert canadien en matière de santé et Transfert canadien en matière de programmes sociaux. Simultanément, ces dernières années, le gouvernement fédéral a accru ses propres dépenses sociales dans des domaines de juridiction provinciale. Face à cela, les provinces ont adopté une position de plus en plus intransigeante à l'egard des initiatives unilatéralcs d'Ottawa comme le démontrent la céeation du Conseil de la fédération et sa concentration sur le soi‐disant déséquilibre financier au sein de la fédération. Cette dynarnique fait que l'engagement intergouvernemental envers le fédéralisme de collaboration sonne plutôt vide. L'article soutient que L'inaptitude des deux ordres de gouverncment a prendre au serieux le fédéralisme de collaboration et L'interdépendance politique représente une forte menace, non seulement pour la santé de la fédération, mais aussi pour les efforts visant à créer un politique publique saine.  相似文献   

8.
Abstract. In an attempt to promote joint planning in the field of economic development, the federal government signed General Development Agreements with the provinces. Under the agreements, the two bureaucracies are linked together and are charged with jointly developing and implementing programs. Decision-making authority is delegated to a series of federal-provincial committees. To make these committees work and to carry out joint planning and decision-making with provincial governments, Ottawa through its Department of Regional Economic Expansion decentralized to offices located in provincial capitals the required authority. An examination of the GDA decision-making process reveals that this new approach to decision-making holds far-reaching consequences for provincial political-administrative institutions. The interdependence which the GDA approach creates between provincial government and provincial DREE officials has strengthened considerably the role of the provincial bureaucracy. The impact is such that the established boundaries between provincial government officials and provincial cabinet ministers have been altered. This in turn has also altered traditional relationships which have existed between provincial cabinet ministers and other members of the Legislative Assembly. In short, while the GDA approach has had only a limited impact on the large federal bureaucracy, it has entailed significant consequences for the smaller provincial government bureaucracies. Sommaire. Dans le but de promouvoir une planification conjointe dans le domaine du développement économique, le gouvernement fédéral signe avec les provinces des accords généraw de développement. Dans le cadre de cesaccords, la deux bureaucraties travaillent ensemble et sont responsables conjointement de l'élaboration et de la mise en oeuvre des programmes. La prise de décision est confiée à différents comités fédéraux-provinciaux. Pour permettre à ces comités de fonctionner et d'exécuter la planification et la prise de décision de concert avec les gouvernements provinciaux, Ottawa, par l'intermédiaire du Ministère de l'expansion économique régionale, a décentralisé et confié l'autorité nécessaire à des bureaux situés dans les capitales provinciales. Un examen du processus de prise de décision dans le cadre des AGD révèle que cette nouvelle approche a des conséquences de très grande portée pour les institutions politico-administratives provinciales. L'interdépendance entre le gouvemement provincial et les autorités provinciales DREE, que crée l'approche AGD, a consolidéénormément le rôle de la bureaucratie provinciale. L'effet a été tel que les champs d'action des responsables du gouvernement provincial et des ministres du cabinet de la province en ont été modifiés, ce qui, à son tour, a eu pour effet de changer les rapports traditionnels qui existaient entre les ministres du cabinet provincial et les autres membres de l'assemblée législative. En résumé, l'approche AGD n'a eu qu'un effet limité sur l'importante bureaucratie fédérale mais ses conéquences sont beaucoup plus lourdes pour les bureaucraties plus restreintes des gouvernements provinciaux.  相似文献   

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Abstract: After obtaining office in 1984, the federal Conservative government began a lengthy process of consultations and conferences intended to define a new, expanded, federal role in Canadian forest policy. Despite their best efforts, however, the 1987 National Forest Sector Strategy which emerged from this process envisioned only a very restricted federal role in the sector. On the basis of a survey of federal government activity in the forest sector since 1867, it is argued that the most recent federal initiative, like similar attempts made in 1949, 1966, and 1978, foundered on the obstacles presented to any expanded federal role by the fact that resource ownership and constitutional authority over the forest resource are vested in the provincial governments. Sommaire: Après son arrivée au pouvoir en 1984, le gouvernement conservateur a entrepris un long processus de consultations et de conférences dans le but de définir un rôle nouveau et plus étendu pour le gouvernement fédéral en matitèe de politique forestière au Canada. En dépit de ces efforts, la Stratégie nationale pour le secteur forestier de 1987 qui a résulté de ce processus ne proposait qu'un rôle très restreint au gouvernement fédéral dans ce secteur. Sur la base d'une étude de l'activité du gouvernement fédéral dans le secteur forestier depuis 1867, on indique que cette récente initiative du gouvernement fédéral, à l'image des essais similaires de 1949, 1966 et 1978, se heurte aux obstacles que l'on rencontre lors de toute tentative d'expansion du rôle du fédéral: la propriété des ressources et la compétence constitutionnelle sur les ressources forestières relèvent des gouvernements provinciaux.  相似文献   

10.
Abstract. This article examines ‘the other crisis’ of Canadian federalism, which is identified as a declining capacity for the effective use of government authority for the attainment of public goals. Central to this crisis is the negative impact of competitive big governments at both levels on the effective functioning of the federal system. In one sense the crisis is simply a particular version of the widespread crisis in government capacity characteristic of all big governments in the modern era. In another sense it is argued that contemporary Canadian federalism makes a distinct contribution to the growth of the governments whose competitive tendencies it cannot effectively restrain or channel. In sum, escape from the destructive spiral of interaction between collectivism and federalism is unlikely without an intellectual and political transformation of the frames of reference which motivate and control political behaviour. Sommaire. L'auteur de cet article étudie l'autre crise du fédéralisme canadien, identifiée comme étant l'impuissance croissante du gouvemement d'utiliser son autorité dans l'atteinte d'objectifs publics. L'impact négatif de la concurrence entre des gros gouvernements, aux deux niveaux, sur le système fédéral lui même est au coeur de la crise acluelle. En un sens, la crise est simplement une version particulière de l'impuissance générale des gouvernements, caractéristique de tous les gros gouvernements de l'époque moderne. Dans une autrc optique, l'auteur soutient que le fédéralisme canadien contribue manifestement à la croissance des gouvernements dont il ne peut ni réduire ni canaliser les tendances compétitives, de façon efficace. En conclusion, il y a peu de chance d'échapper à la spirale destructice de l'interaction entre le collectivisme et le fédéralisme, sans une transformation intellectuelle et politique des cadres de reference qui motivent et régissent le comportement politique.  相似文献   

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Abstract. This paper argues that the federal government should allow provincial governments to levy whatever tax rates they wish, to be applied to the taxbase of the federal personal income tax, and should agree to administer provincial tax credits and surcharges, adopted for the purpose of altering the incidence of provincial taxes. The federal government also should forego attempts to prevent all provincial tax inducements to industrial location, and seek agreement with the provinces OR a list of proscribed measures. Further, the federal government would be ill-advised to attempt to reassert direction over provincial medicare, hospital insurance and post-secondary education programs. The funding arrangements agreed to in 1977 should be continued until the broader issue of the division of functions between the two orders of government is clarified. The paper also argues that a new rationale for equalization payments and a new basis for their calculation should be adopted. The amount of a payment to a province should be determined solely by its real income per capita relative to that of the other provinces. Sommaire: L'auteur de cet exposé présente plusieurs suggestions. Ainsi, le gouvernement fédéral devrait autoriser les gouvernements provinciaux à fixer leurs taux d'impôt comme bon leur semble, taux qui seraient appliqués à l'assiette de l'impôt fédéral sur le revenu personnel, et qu'il devrait accepter d'administrer les surtaxes et créedits d'impôt provinciaux, adoptés dans le but de modifier l'incidence de ces impôts. Le gouvernement fédéral devrait aussi abandonner toute tentative de prohibition des encouragements fiscaux provinciaux destinés à stimuler l'implantation industrielle. Finalement, il devrait chercher à s'entendre avec les provinces sur une liste de mesures d'interdiction. De plus, le gouvernement fédéral serait ma1 venu d'essayer de réorienter l'assurance-maladie provinciale, l'assurance-hospitalisation et les programmes d'éducation post-secondaire. Les dispositions de financement prises en 1977 devraient rester en place jusqu’à ce que la question fondamentale de la division des fonctions entre les deux paliers de gouvernement soit éclaircie. L'auteur affirme également qu'il est nécessaire d'adopter une nouvelle base conceptuelle en ce qui concerne les paiements de péréquation et leur calcul. A son avis, le montant destiné a une province devrait être déterminé uniquement sur la base du revenu individuel réel, par rapport à celui des autres provinces.  相似文献   

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Abstract: This study examines the issue of local government autonomy through the study of municipal policy-making. After a brief review of the debate over local autonomy, local government policies are grouped into four categories — developmental, allocative, redistributive and constitutional. The evidence examined derives from Ontario during the period from 1968 to 1988. Some increase in autonomy is found in the last three categories but not in that of developmental policy. The fundamental sources of municipal autonomy are found in the politicization of issues at the local level and in the behaviour of the provincial government, which may or may not see benefits to be derived from changes in local autonomy. Sommaire: Cet article étudie la question de l'autonomie des gouvernements locaux à travers leur processus d'élaboration des politiques. Après un bref aperqu du débat entourant l'autonomie locale, les politiques des gouvernements locaux sont groupées en quatre grandes catégories — développement, attribution, redistribution et constitution. Les données utilisées sont tirées de l'expérience de l'Ontario de 1968 à 1988. Elles permettent de constater une amélioration de l'autonomie dans les trois dernières catégories, mais pas dans celle de la politique de développement. En outre, il appert que les sources fondamentales d'autonomie municipale se trouvent dans la politisation des probèmes au niveau local et dans le comportement du gouvernement provincial, pour lequel des changements dans l'autonomie locale peuvent ou non présenter des avantages.  相似文献   

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Abstract. The conditional grant has become an important instrument of federal government assistance to the provinces in the last decade. But while the federal government has increased its use of conditional grants, the grants have been subjected to increasing criticism by the provincial governments. The primary complaint of the provinces is that these grants interfere with provincial expenditure priorities and cause a reallocation of provincial resources. Provinces have charged that major programs, such as Medicare, were initiated by the federal government without meaningful consultation and that the provinces were forced to participate or forego the federal contribution. The provinces have claimed that in order to participate they have to substitute or divert funds from existing or planned programs to the shared-cost program, resulting in a substitution effect in their budgets. The Ontario government has been particularly critical of conditional grants on these grounds. An analysis of shared-cost programs in the case of Ontario, however, indicates that conditional grants have not produced relatively significant substitution effects in the budget of that province. While provincial dissatisfaction with the conditional grant system continues, the two parties have been unable to find a mutually acceptable alternative. Sommaire. Dans les derniers dix ans, le gouvernement fédéral s'est beaucoup servi des subventions conditionnelles pour accorder de l'aide aux provinces. Mais, au fur et à mesure que le Gouvernement fédéral utilisait de plus en plus ce mécanisme, les gouvernements provinciaux intensifiaient leur critique des subventions conditionnelles. Le principal grief des provinces, c'est que ces subventions affectent les priorités provinciales concernant les dépenses et causent une réalocation des resources provinciales. Les provinces se plaignent que le gouvernement fédéral mette en Æuvie des programmes importants, tels que Médicare, sans vraiment les consulter préalablement, les forçant ainsi à participer ou à renoncer à la contribution fédérale. Les provinces ont prétendu qu'il fallait qu'elles substituent ou qu'elles soustraient, au bénéfice du programme à coûts partagés, des fonds prévus pour des programmes existants à créer, effectuant ainsi des substitutions au sein de leur budget. Le gouvernement de l'Ontario, en particulier, a critiqué les subventions conditionnelles pour ces raisons. Néanmoins une analyse des programmes à coüts partagés révèle que les subventions conditionnelles n'ont pas produit de substitution importante dans le budget de cette province. Les provinces continuent à se plaindre du système des subventions conditionnelles mais les dew parties n'ont pas réussi à trouver d'alternative qui convienne à l'une et à l'autre.  相似文献   

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Abstract: This article advances analytic and normative debates about intergovernmental hierarchy in Canada. It explores interaction between traditional federal spending and other tools, including structuring investments, accountability, and expertise, with which Ottawa is reasserting leadership over program development in areas such as child care. The author finds that federal spending power remains strong enough to entice provincial and territorial (pt ) governments to the negotiation table and give Ottawa leverage over pt priorities. This strength persists even when structuring investments are insufficient to achieve notable innovation. However, federal leverage is vulnerable to significant shifts in direction once transfers are subject to the political winds in provinces and territories. This weather‐vane leadership pattern is rooted in intergovernmental accountability practices, which now insist that senior governments report only to citizens, not to one another. Current reporting practices leave citizens poorly positioned to access the data or expertise necessary to audit pt use of federal transfers. Thus, as normative debates about intergovernmen‐talism renew with the election of a federal Conservative government that campaigned to address the fiscal imbalance, decision‐makers should be mindful that Ottawa's ongoing strength to direct pt priorities is unmatched by effective accountability measures. Sommaire: Cet article fait progresser les débats analytiques et normatifs au sujet de la hiérarchie intergouvernementale au Canada. Il étudie l'interaction entre les dépenses fédérales traditionnelles et d'autres outils, tels que les investissements dans la structuration, l'obligation redditionnelle et l'expertise, grâce auxquels Ottawa réaffirme son leadership sur l'élaboration de programmes dans des domaines comme les services de garde des enfants. L'auteur estime que le pouvoir d'application des ressources du fédéral demeure assez fort pour inciter les gouvernements provinciaux et territoriaux (pt ) à venir à la table de négociation et pour donner à Ottawa une influence sur les priorités des pt . Cette force persiste même lorsque les investissements de structuration sont insuffisants pour parvenir à une innovation notoire. Cependant, l'influence fédérale est exposée à d'importants changements de direction une fois que les transferts sont assujettis aux influences politiques dans les provinces et les territoires. Ce modèle de direction girouette est enraciné dans des méthodes de reddition de comptes intergouvernementales, qui insistent maintenant pour que les gouvernements ne fassent des comptes rendus qu'aux citoyens et non entre eux. Les pratiques actuelles en matière de reddition font que les citoyens sont en mauvaise posture pour avoir accès aux données ou à l'expertise nécessaire pour vérifier l'usage des transferts fédéraux par les pt . Ainsi, alors que les débats normatifs au sujet de l'intergouvernementalisme reprennent avec l'élection d'un gouvernement fédéral conservateur qui a fait campagne pour redresser le déséquilibre fiscal, les décisionnaires devraient prendre conscience que les efforts soutenus d'Ottawa pour diriger les priorités des pt ne sont pas assortis de mesures efficaces en matière de reddition de comptes.  相似文献   

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Abstract. Federalism poses special problems for the regulatory activities of the state. In Canada, federal and provincial governments have frequently disagreed over which could best exercise such controls, keeping in mind not only the public interest but also the needs of the private parties involved. The business of insurance is a case in point. The decisions of the Judicial Committee of the Privy Council confirmed that the provinces had important powers to regulate the writing of insurance. Yet Ottawa argued that protection of policyholders and considerations of economy and efficiency required uniform national standards. The provinces pointed instead to the greater simplicity and responsiveness of local control as well as to the steadily diminishing sphere of constitutional authority possessed by the central government. This conflict came to a head between 1927 and 1934 when the Insurance Superintendents of Ontario and Quebec led the resistance to the activities of the federal Insurance Department. Support for the provincial bureaucrats came from reciprocal and mutual insurers, while the joint-stock life insurance companies backed Ottawa. Indeed, these private interests used the federal-provincial conflict to seek special favours from the regulatory agencies. The dispute ended because politicians concluded that little was to be gained from the continuation of bureaucratic competition. Sommaire. Le fédéralisme pose des problèmes particuliers pour les activités de contrôle de l'Etat. Au Canada, les gouvernements federal et provinciaux se sont souvent trouvés en désaccord au sujet de la question de savoir à qui il était préférable de confier l'exercice de ces contrôles, gardant à l'esprit non seulement l'intérêt public, mais aussi les besoins des intérêts privés en cause. Le secteur des assurances constitute un exemple particulièrement bien choisi. Les décisions du Comité judiciaire du Conseil privé ont confirmé que les provinces disposaient de pouvoirs importants pour réglementer l'établissement des contrats d'assurance. Ottawa a cependant fait valoir que la protection des détenteurs de polices ainsi que des considerations d'économie et d'efficacité nécessitent l'application de normes uniformes à l'échelle nationale. Les provinces ont, de leur côté, attiré l'attention sur la simplicité accrue et la rapidité d'application des mesures de contrôle local, ainsi que sur les pouvoirs constitutionnels de plus en plus restreints dont dispose le gouvernement central. Ce conflit a atteint son point culminant entire 1927 et 1934, lorsque les Surintendants des assurances de l'Ontario et du Québec ont pris la tête d'un mouvement de résistance aux activités du ministère fédéral des assurances. Les compagnies qui offraient des assurances réciproques et mutuelles ont appuyé les bureaucrates provinciaux, tandis que les compagnies d'assurance-vie par actions ont soutenu Ottawa. En fait, ces intérêts privés ont exploité le conflit federal-provincial pour essayer d'obtenir un traitement de faveur de la part des organismes de contrôle. Le différend a pris fin le jour où les hommes politiques ont conclu que l'on n'avait rien à gagner de la poursuite des affrontements bureaucratiques.  相似文献   

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Abstract. The purpose of this article is to explore the difficulties inherent in the organization of local government in large and geographically remote areas and the responses to those problems over time in a comparative cross-provincial perspective. After defining the provincial north, the article traces the origin and early development of local government structures in the provincial north to indicate just how these structures differ from those in the southern regions of the provinces. The article then discusses the range and nature of the problems faced by northern communities. This is followed by an analysis of the desires of northern local governments and the manner in which they express them. The final section describes the nature of governmental responses to the demands expressed by local governments. Sommaire. Le but de cet article est d'enqêter sur les difficultés inhérentes à l'organisation du gouvernement local dans de grandes régions gégraphiquement isolées et le traitement de ces problèmes sur une période de temps et ce dans une perspective interprovincial comparative, Après avoir défini le nord provincial, l'auteur retrace l'origine et l'ébauche du développement des structures de gouvernement local dans le nord provincial pour montrer en quoi celles-ci diffèrent de celles des régions du sud des provinces. Il analyse ensuite les desiderata des gouvernements locaux du nord et leur façon de les exprimer. Il consacre le dernier chapitre à l'analyse de la nature des réactions gouvernementales aux exigences manifestées par les gouvernements locaux.  相似文献   

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Abstract: This paper turns the scholarly spotlight onto an overlooked aspect of the Ontario municipal system by exploring the issue of county government reform in four selected communities in southern Ontario. Various proposals for county government reform have been advanced by the provincial government during the last quarter-century; here we consider the “common sense” approach to municipal government reform adopted by the Harris government after its election in 1995. We analyse how four counties have responded to this concerted and forceful attempt to bring about major county restructuring. The study has two major objectives. First, it illustrates the forces that have at once advanced and constrained county government reform in recent years; second, it attempts to explain major differences in the manner in which individual counties have responded to the Harris government's drive for reform. Finally, the paper concludes with some reflections on the viability of rural government in Ontario in the light of the substance and process of county government reform. Sommaire: Cet article examine un aspect négligé du système municipal ontarien en explorant la question de la réforme des gouvernements de comté dans quatre communautés choisies du sud de l'Ontario. Le gouvernement provincial a fait diverses propositions de réforme du gouvemement de comté au cours du demier quart de siècle; ici, nous examinons l'approche basée sur le « ban sens » adoptée par le gouvernement Harris en ce qui concerne les gouvernements municipaux, après son élection en 1995, et nous analysons la manière dont quatre comtés ont réagi à cette tentative concertée et vigoureuse de déclencher une forte restructuration au niveau du comté. Cette étude a deux grands objectifs. Premièrement, elle illustre les forces qui ont à la fois promu et retenu la réforme des gouvernements de comté au cours de ces dernières annèes; deuxièmement, elle essaie d'expliquer les principaux écarts dans la façon dont chaque comté a réagi aux efforts de réforme du gouvemement Harris. Enfin, I'article offer quelques réflexions sur la viabilité du gouvernement rural en Ontario à la lumière du fond et du processus de réforme des gouvernements de comté.  相似文献   

19.
Sommaire. L'objectif de cet article est d'analyser le processus de détermination des salaires chez les travailleurs syndiqués dans les secteurs de la santé et de l'éducation au Canada. L'étude porte sur les conventions collectives dans ces secteurs pour la période allant de 1964 à 1978. L'augmentation annuelle moyenne (à taux composés) des taux de base des salaires des conventions collectives pour la durée des contrats est d'abord expliquée par l'indice des postes vacants, qui reflète la demande excéentaire de main-d'oeuvre sur le marché du travail. Puis le taux de croissance de l'indice des prix à la consommation apparaît comme une variable explicative permettant de capter l'effet sur l'évolution des salaires des anticipations concernant l'inflation. Ces variables apparaissent de façon retardée et sous une forme non linéaire. A ce modèle fondamental s'ajoutent certaines autres variables, afin de tenir compte de différents aspects plus particuliers se rapportant au secteur analysé. Sont notamment évalués l'effet sur la croissance des salaires de facteurs tels que l'indexation, les contrôles des prix et salaires, la législation concernant les relations de travail, la forme des négociations, qui peut être ou bien centralisée au niveau dun gouvemement provincial ou encore décentralisée au niveau des institutions, et enfin la durée des contrats. Plusieurs réultats intéressants se dégagent de cette estimation empirique. Par exempte, dans le secteur de la santé, la sensibilité de la croissance des salaires aux conditions du marché est faible lorsque les négociations sont cen tralisées et relativement élevée en régime décentralisé. Par ailleurs, la combinaison d'un régime centralisé de négociation et du droit de grève contribuerait à accélérer la croissance des salaires dans les secteurs analysés. Abstract The purpose of this paper is to analyse the salary determination process for union workers in the health and education sectors in Canada. The paper focuses on the collective agreements in those sectors, from 1964 to 1978. The average annual increase (at compound rates) of the salary base rates of these collective agreements for the duration of the contracts is first explained by the vacancy index reflecting the excess demand for labour in the labour-market. Then, the growth rate of the consumer price index seems to be another explanatory variable to capture the effect of expectations regarding inflation on salary variation. These variables appear in a delayed and non linear form. To this basic model, we add some variables in order to take into account various and more specific aspects relating to the sector being analysed. In particular, we assess the impact on salary increase of factors such as indexing, wage and price controls, labour relation legislation, the type of bargaining which can be either centralized at a provincial government level or decentralized at the institutional level, and finally the duration of contracts. Several interesting results are drawn from this empirical assessment. For example, in the health sector, the sensitivity of salary increase to labour-market conditions is low when the bargaining is centralized and relatively high in a decentralized system. Also, the combination of a centralized bargaining system with the right to strike seems to contribute to accelerated salary increases in the analysed sectors.  相似文献   

20.
Abstract. White, green and other coloured papers have been used by the government of Canada as a means of providing information on public policy and involving parliamentarians and interested groups and individuals in debates on policy issues. They have also been used as a basis for consultation with provincial governments. Although the government has issued papers on a wide variety of subjects over the years, no systematic procedures respecting their use as a policy technique have been established. Nevertheless, these papers have the potential of strengthening the role of Parliament in policy-making activities through debate and public discussion of issues. Some basic measures could be implemented to establish their regular application in policy formulation and review. Sommaire. Le gouvernement du Canada s'est servi de livres blancs, verts et d'autres couleurs pour fournir des renseignements sur les politiques publiques et pour faire participer parlementaires, groupes divers et individus à des débats sur des questions de poJitique générale. Il les a aussi utilisés comme base de discussion lors de consultations avec les gouvernements provinciaux. Le gouvemement a ainsi publié des “livres” sur toutes sortes de sujets au cours des années, mais n'a pas établi de procédures systématiques pour les utiliser en tant que techniques de prise de décision. Néanmoins, ces “livres” peuvent renforcer le rôle du Parlement dans la détermination des politiques, par le truchement du débat et de la discussion publique. Il devrait donc être possible d'adopter certaines mesures pour assurer leur usage régulier dans la formulation et l'examen des politiques.  相似文献   

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