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1.
Abstract: The Office of the Auditor General has continued to expand its functions since the legislation of 1977. In March 1985 it was in court against the Government of Canada, pressing a claim that the auditor general (AG) required all of cabinet's papers that may have touched on the acquisition by Petro Canada Limited of Petrofina Canada Inc., a subsidiary of the Belgian company Petrofina S.A., in order to complete his review of expenditures from the Canadian Ownership Account. The rationale presented was that the AG needed to see the whole picture of advice tendered to cabinet by officials in order to assess whether cabinet itself had done its homework before authorizing the deal, after which he could give cabinet a “report card.” The Federal Court Justice's Reason for Decision, released on November 1, initially seemed to give the AG even more than he had asked, while the eventual decision of December 6 reintroduced grave ambiguity. The argument of the paper is that the AG'S move into the advice stream, as opposed to the traditional duties of an auditor, constitutes his Office as a force in policy-making, a factor that cannot be reconciled with responsible and representative government. The article compares the OAGS legislation and operating mandate with those of provincial legislative auditors, and those of Great Britain, New Zealand and Australia. It concludes that the 1977 legislation should be rewritten so that the OAG would once more work from the base of a replicable, objective financial audit, reporting as broadly as it would wish. Sommaire: Le Bureau du Vérificateur général à continue a é largir ses fonctions depuis qu'il a obtenu la nouvelle lé gislation en 1977. En mars 1985, il faisait comparaître devant les tribunaux le gouvernement du Canada, dans le cadre d'un procès réclamant le droit d'accèb, par le Vérificateur général, à tous les documents du Conseil des ministres concernant l'acquisition, par Pétro-Canada Ltée, de la société Pétrofina Canada Inc., une succursale de la société belge Pétrofina S. A., afin de compléter l'exa-men, par le Vérificateur général, des dépenses effectuées a même le Compte de propriété canadienne. D'après l'argument présenté, le Vérificateur général (VG) devait être au courant de tous les conseils fournis par les fonctionnaires au Conseil des ministres, afin que le VG puisse décider si le Conseil lui-même avait bien fait son travail avant d'autoriser le rachat, après quoi le Vérificateur général serait à même d'évaluer les gestes posés par le Conseil. Les raisons de la décision du juge de la Cour fédérale, publiées le 1er novembre, semblaient initialement donner au VG encore plus qu'il n'avait demandé, mais la décision éventuellement rendue le 6 décembre réin-troduisait d'importantes ambiguîtés. Selon l'argument de l'article, l'entrée du Vérificateur général dans le domaine des conseils prodigués, contrairement aux devoirs traditionnels d'un vérificateur, fait du Bureau du Vérificateur général une véritable instance décisionnelle pour l'adoption de politiques, facteur incompatible avec la notion de gouvernement responsable et représentatif. L'article compare la législation et le mandat fonctionnel du Bureau du VG à ceux des vérificateurs législatifs provinciaux de la Grande-Bretagne, de la Nouvelle-Zélande et de l'Australie. Il en conclut que la législation de 1977 devrait être reformulée afin que le Bureau du VG axe ses travaux de nouveau sur une vérification financeère objective, la portée de son compte rendu pouvant être aussi large qu'il le veut.  相似文献   

2.
Abstract. In the first part of his speech given at the National Assembly in presenting Bill 55 (Financial Administration Act) on December 15, 1970, the Honourable Raymond Garneau stresses the need for improving the province's administrative machinery. He points out that the budget has risen from 600 million to around 4000 million while the number of civil servants has increased from 22,000 to 50,000 during the last decade and that management structures which were adequate in 1960 are no longer conducive to efficiency. In the second part, Mr Garneau outlines the objectives which should be aimed at by administrative reform. The basic idea behind the revamping of government structures is one of a more orderly distribution of decision-making powers, freeing the Cabinet from questions of secondary importance so that it may concentrate on major problems, and giving broader responsibilities to the managing authorities of each department. Finally, in the last part of his speech, Mr Garneau explains briefly the main changes in Bill 55. One significant change relates to the functions of the Treasury Board which will exercise statutory powers in all sectors of administrative policy. Among other functions, the Treasury Board will be responsible for preparing estimates and controlling expenditures and will also exercise the powers assigned by law to the Lieutenant-Governor in Council in matters relating to personnel. Other provisions of the Bill regard the Provincial Auditor who, until the changes, was responsible for pre-auditing the provincial accounts and was also carrying out the conventional post-audit function normally expected of a government auditor. From now on, the Provincial Auditor, whose name has been changed for that of Auditor General, will have only one function, that of post-audit. The pre-audit function will be carried out by the Comptroller of Finance, formerly called the Comptroller of the Treasury. Finally, the Bill gives the Minister of Finance the responsibility of carrying out research and advising the government in matters of economic, fiscal and budgetary policy. The Minister of Finance will also be responsible for preparing the public accounts and for the management of cash on hand and public debt. Sommaire. Dans la première partie du discours qu'il a prononcéà l'assemblée nationale le 15 décembre 1970, pour présenter le projet de loi 55 (loi sur l'administration financière), l'honorable M. Raymond Garneau a insisté sur le besoin d'améliorer les rouages administratifs de la province. Il a fait remarquer que dans les derniers dix ans le budget avait augmenté de 600 millions à 4 milliards environ et que le nombre des fonctionnaires était passé de 22,000 à 50,000 et en a conclu que les structures qui étaient adéquates en 1960 ne favorisaient plus l'efficacité. Dam la seconde partie de son discours, l'honorable M. Garneau expliquece que devraient être les objectifs de la réforme administrative. Le but duremaniement des structures gouvernementales, c'est surtout de distribuer defaçon plus méthodique les pouvoirs de prise de décision, en libérant le cabinetdes questions d'ordre secondaire pour qu'il puisse se concentrer sur les problèmes principaux et en donnant des responsabilités plus larges aux cadres supérieurs des différents ministères. Finalement, dans la dernière partie de son discours, l'honorable M. Garneaua expliqué brièvement les principaux changements contenus dans le projet de loi 55. L'une des modifications les plus importantes concerne les fonctions de Conseil du trésor qui exercera des pouvoirs statutaires dans tous les secteursde la politique administrative, Parmi ses fonetions, le Conseil du trésor aura la responsabilité de préparer les estimations et de contrôler les dépenses et il exercera les pouvoirs assignés par la loi au lieutenant gouverneur en conseil pour toutes les questions concernant le personnel. D'autres clauses du projet de loi concernent le vérificateur provincial des comptes qui jusqu'ici avait pour tâche de pré-vérifier les comptes provinciax et de procéder ensuite à la post-vérification des comptes, comme le font normalementles vérificateurs de comptes gouvernementaux. Dorénavant, le vérificateur provincial des comptes dont le titre deviendra vérificateur général des comptes n'aura plus qu'une fonction, la post-vérification. La pré-vérification sera confiée au contrôleur des finances qui s'appelait précédemment contrôleur du trésor. Finalement, le projet de bi charge le ministre des finances de la rechercheet il devra conseiller le gouvemement sur toutes les questions de politique économique fiscale et budgétaire. C'est à lui que reviendra également la préparationdes comptes publics ainsi que la gestion de l'argent et de la dette publique.  相似文献   

3.
Abstract: Auditors general are guided by legislative mandates that specify duties and protocols but rarely the underlying purpose of auditing. When asked about their purpose, auditors typically mention the need for satisfying the accountability requirement, but the interpretation of this requirement varies: is it to root out fraud, waste and abuse; to act as a deterrent against mismanagement by assigning blame for wrongdoing; to simply measure and report the performance of government programs; or to help improve program performance? Auditors general have no executive power outside their office, but, because of their status, they can significantly influence executives. Yet, that status is based on a paradox, namely on the level of disagreement between political overseers of programs and program managers. When there is no disagreement about a program's function and performance, there is little for the auditor to do. When there is a high level of disagreement, the auditor's work becomes important because his or her opinion counts, and his or her status rises accordingly. An auditor general's office's self‐image ‐ and of the role of government ‐ informs auditors' values and their approaches to their work. The office's leadership can make these self‐images visible and influence them. The article concludes with a section on the audit offices' accountability and suggests making auditors accountable for the learning, as a result of their work, that takes place in the audited organizations. Sommaire: Les Vérificateurs généraux sont guidés dans leur travail par des mandats législatifs qui précisent obligations et protocoles, mais rarement le but sous‐jacent de la vérification. Quand on les interroge sur leur but, les vérificateurs mentionnent généralement le besoin de satisfaire l'obligation de rendre compte, mais l'interprétation de cette obligation varie. Est‐ce que cela consiste à détecter la fraude, le gaspillage et les abus? A décourager la mauvaise gestion en rejetant la responsabilité de la faute sur quelqu'un? A mesurer tout simplement la performance des programmes gouvernementaux et à en dormer un compte rendu? Ou à améliorer la performance des programmes? Les Vérificateurs généraux n'ont pas de pouvoir exécutif en dehors de leur Bureau, mais en raison de leur statut ils peuvent exercer une influence importante sur les organes exécutifs. Or, ce statut est fondé sur un paradoxe, à savoir le niveau de désaccord entre les responsables politiques des programmes et ceux qui sont chargék de leur gestion. Lorsqu'il n'y a pas de désaccord au sujet de la fonction et de la performance d'un programme, le vérificateur n'a qu'un travail limité. Lorsqu'il existe un profond désaccord, le travail du vérificateur devient important, car son opinion compte et son statut s'élève alors en conséquence. L'idée que se fait le Bureau du Vérificateur général de son rôle ‐ et de celui du gouvernement ‐ renseigne sur les valeurs et les méthodes de travail des vérificateurs. La direction du Bureau du Vérificateur général peut exposer ces perceptions et les influencer. En conclusion, le présent articlc comporte une section sur l'imputabilité des Bureaux des Vérificateurs généraux euxmêmes et laisse entendre que ces derniers devraient être imputables de l'apprentissage qui se produit dans les organismes vérifiés, suite à leur travail de vérification.  相似文献   

4.
Abstract: This article examines the meaning of accountability in the Government of Newfoundland and Labrador from both a substantive and a procedural perspective; the three distinct eras in the province's political administration history; the stages in the statutory evolution of the comptroller and auditor function; the province's experience in the Confederation era with the concept of democratic accountability; and the prospects for the future of accountability. The author reveals that the auditor's department or office went for most of a century with little in the way of institutional independence. Government has been hostile to both the extension of the accoutrements of legislative accountability in general and to the notion of increasing the powers of the auditor. What limited independence was mustered and the few challenges raised towards the government of the day were as a result of the professional ethics of Newfoundland auditors, the aid of other federal and provincial auditors, and the spirit of the age. Even in the modem day, Newfoundland has plenty more leeway for reform. The article presents four scenarios of alternative futures for accountability and the auditor general function in the province. One features no change, and the other three contemplate the victories of the independence lobby, the managerialist lobby, and the democratic lobby. Sommaire: Cet article examine la signification de l'imputabilité du gouvernement dc Terre‐Neuve et du Labrador simultanément selon une perspective de fond et une perspective procédurale, les trois périodes distinctes de l'histoire de l'administration politique de cette province, les étapes de l'évolution statutaire de la fonction de contrôleur et de vérificateur l'expérience de la province à 1'époque de la Confédération en ce qui conceme le concept d'imputabilité démocratique et les perspectives d'avenir de l'imputabilité. Les auteurs relèvent que le service ou le Bureau du Vérificateur a pendant près d'un siècle très peu connu d'indépendance institutionnelle. Le gouvemement a été hostile à l'extension de l'imputabilité législative en général, tout autant qu'à accroître les pouvoirs du Vérificateur. L'indépendance limitée et les rares défis soumis au gouvernement du jour ont résulté de l'éthique professionnelle des vérificateurs de Terre‐Neuve, de l'assistance d'autres vérificateurs fédéraux et provinciaux et de l'esprit de l'époque. Même en ces temps modernes, Terre‐Neuve a beaucoup plus de marge de manaeuvre pour entreprendre des réformes. L'article présente quatre scénarios d'altematives en ce qui concerne l'imputabilité et la fonction générale de Vérificateur dam la province. L'un ne prévoit aucun changernent et les trois autres entrevoient les victoires du lobby de l'indépendance, du lobby gestionnariste et du lobby démocratique.  相似文献   

5.
Abstract: This article highlights the contradictions in the role of the Office of Auditor General (OAG) and identifies the sources as well as the consequences of the office's Janus‐like character as both a managerialist advocate and “control freak.” This character, it is argued, is shaped by institutional factors and the knowledge‐basis on which the office relies to fulfil its mission. Three causes of “institutional schizophrenia” are identified: the OAG'S mandate in relation to financial and value‐for‐money audit (VFMA); the combination of the OAG'S institutional permeability and the structure of the management consulting market; and the tensions between the “negative” and “positive” dimensions of the office's mandate. On the consequences side, the author discusses three elements: the limited capacity of the OAG to develop a coherent position about managerialism; the fact that the advocacy of managerialist principles is drawing the OAG closer into the political realm; and the fragility of professionalism as a mechanism for regulating the management consultant's role of the OAG in relation to VFMA. Sommaire: Le but de cet article est de mettre en relief les contradictions dans le rôle du Bureau du vérificateur général (BVG) et d'identifier les causes et les conséquences du caractére schizoïde du Bureau qui est à la fois partisan du managérialisme et obsédé du contrôle. Ce caractère spécifique du Bureau est façonné par des facteurs institutionnels et le type de connaissance dont il dépend pour remplir sa mission. Trois causes de schizophrénie institutionnelle sont identifées:le mandat du BVG en ce qui concerne la vérification financière et l'optimisation des ressources; l'interaction entre la perméabilité institutionnelle du Bureau et la structure du marché du conseil en management; et les tensions entre les dimensions positives et négatives du mandat du Bureau. En ce qui conceme les conséquences, cet article aborde trois aspects:l'incapacité du BVG À développer une position cohérente à l'endroit du managérialisme; le fait que la promotion d'idées managérialistes amène le BVG À s'impliquer dans la sphère politique, et la fragilité du professionalisme en tant que comme mécanisme pour réguler le rôle de consultant du BVG en ce qui concerne la vérification d'optimisation des ressources.  相似文献   

6.
Sommaire: Le Vérificateur général du Québec (VGQ) par ses vérifications d'optimisation des ressources (VOR) exerce, une influence croissante sur l'administration publique québécoise. La pertinence et la crédibilité sont les pierres d'assise de ses décisions. Pour être pertinent, le VGQ a adopté l'approche de la déficience appréhendée, qui cible des situations problématiques au lieu de cibler des entités. Tout au cours du processus de vérification, cette approche amène le VGQ à s'assurer que la déficience est réelle, sinon il interrompt la VOR La vérification implique notamment la comparaison de la situation avec une norme. Afin d'être crédible le vérificateur en réalisant une VOR, développe sa norme par une approche d'étalonnage. Nous avons constaté que le VGQ s'adapte à l'évolution de l'administration publique. La nouvelle Loi stir l'administration publique québécoise exige des rapports de performance des entités publiques. Si ces dernière jouent le rôe prévu par la loi, le VGQ devra probablement les certifier. Cette tâche, vu son arnpleur, constituera un véritable défi pour le VGQ. Abstract: The Quebec Auditor General (QAG), through value‐for‐money audits (VFMA), is having a growing impact on the Quebec public administration, with relevance and credibility being the cornerstones of its decisions. To be relevant, the QAG has adopted the “apprehended deficiency” approach that targets problem situations instead of entities. Accordingly, throughout the audit process, the QAG must ensure that the deficiency is real otherwise the VFMA must be terminated. The audit process includes a comparison of the situation against a standard. In addition, to be credible when conducting a VFMA, the auditor must develop a standard by means of benchmarking. We have found that the QAG is adapting to the changes taking place in public administration. Quebec's new Public Administration Act requires performance reports from public entities. If these reports play their statutory role, they will probably need to be certified by the QAG. This task, given its scope, will represent a real challenge for the QAG.  相似文献   

7.
Abstract. In an attempt to tighten up its financial systems and improve control of expenditures, the Canadian federal government has set up a new office, that of the Comptroller General. One of this Office's responsibilities is to administer the Treasury Board's policy on program evaluation, which says that all government programs should be periodically reviewed for their effectiveness in meeting goals and for the efficiency with which they are managed. The paper describes the Office's approach to program evaluation, reviews program evaluation policy in three other countries and discusses the principles and practical problems which limit the application of evaluation research. Evaluation activity in Canada is endangered in its cradle by two threats: the tendency of proponents to over-exuberance; and the cynics' view that the activity is of such limited applicability that potential savings are negligible. A third problem is a tendency to fuse together policy-related and management-related assessment activity. Evaluation activity conducted from the operational management point of view which takes program goals for granted will surely result in sequences of small victories and economies. This is worth doing well. But the dramatic import of effectiveness evaluation as a ‘bottom line’ for judging the worth of whole programs — that is, as a policy tool — should not be allowed to generate false expectations about the scope for improvement in routine management of the public service. Sommaire. En vue de fortifier ses systèmes financiers et d'améliorer le contrôle exercé sur ses dépenses, le gouvemement fédéral canadien a créé un nouveau poste, celui du Contrôleur général. Une des responsabilités de cette function est d'administrer la politique du Conseil du trésor en matière d'évaluation de programmes. Cette politique exige que les programmes gouvernementaux soient évalués périodiquement afin de déterminer leur efficacitéà rencontrer leurs objectifs ainsi que la capacité de rendement de leur gestion. Ce document décrit l'approche du Bureau du Contrôleur général en matière d'évaluation de programmes; examine les politiques correspondantes dans trois autres pays; et discute des principes et des problèmes pratiques qui limitent l'applicabilité de l'évaluation en recherche.  相似文献   

8.
Abstract. A review of the role of the auditor general at the provincial and federal levels of government is desirable at this time. This article suggests and comments on several significant issues which should he considered in a review of the auditor general's role. The article notes why an auditor's services are essential and suggests that he must undertake a broadly conceived role which is concerned with financial, efficiency-systems, and program audit duties. It is pointed out that for the auditor general to function properly, an internal audit group must exist with direct responsibilities to a government minister or senior civil servant. It is argued that the auditor general, while directly responsible to the federal or provincial legislative body, must not see himself as an adversary of the civil servant or government politician. Several suggestions are made to strengthen the auditor general's ability to perform effectively. Finally, a controversial issue is introduced concerning whether or not the auditor general should enlist the aid of private, commercially-oriented, professional auditing firms to assist him in carrying out his responsibilities. It is argued that the role of private, professional firms should be limited to selected projects in the field of program audits. Sommaire. Il est opportun, à l'heure actuelle, de reconsidérer le rôle du Veri-ficateur général des gouvernements fédéral et provinciaux. L'auteur de cet article soulève et commente quelques questions fondamentales qui devraient être rete-nues lors de l'examen du rôle du Vérificateur. Il indique pourquoi les services d'un Vérificateur sont essentiels; il propose que son rôle soit envisagé de façon très large et que sa rompétence sétende aux questions financières, aux systèmes de rendement, et au contrôle des programmes. Il fait remarquer que le Vérificateur, pour jouer convenablement son rôle, devrait avoir un groupe interne de vérificateurs relevant directement d'un ministre ou dun haut fonctionnaire. L'auteur démontre que le Vérificateur général, tout en dépendant directement de l'organe législatif, ne doit pas se considérer comme l'adversaire du fonctionnaire ou de l'homme politique. Il propose différentes mesures dans le but de permettre au Vérificateur de mieux exercer ses fonctions. Enfin, il soulèe une question controversée à savoir si le Vérificateur général devrait engager l'aide de cabinets comptables privés, pour l'aider à s'acquitter de ses responsabilitks. Il démontre que le rôle des cabinets privés devrait être limitéà des projets particuliers, dans le cadre du contrôle des programmes.  相似文献   

9.
Sommaire: Premier fonctionnaire de la municipalité, le directeur général effectue le lien entre le conseil municipal constitué d'élus et le personnel administratif. Il veille à l'exécution des décisions du conseil et supervise l'ensemble des activités administratives. La Loi sur les cités et villes nous renseigne sur les fonctions et rôles principaux que doit exercer le directeur général de la municipalité. Mais il s'agit là de balises qui ne sauraient couvrir entièrement toutes les dimensions des activités et des comportements administratifs liés à l'occupation de ce poste. L'examen des fonctions et des rôles du directeur général se veut une réflexion sur les moyens et conditions d'accroissement de la connaissance du travail de ces administrateurs, le tout dans la perspective d'une gestion améliorée de l'organisation municipale. Pour ces raisons, la recherche a pour objectifs de présenter les résultats d'une enquête faite auprès des directeurs généraux des municipalités du Quebec et portant sur l'analyse de leurs rôles et fonctions. Le texte décrit d'abord les origines de la fonction, discute de l'encadrement législatif et trace le profil socio-professionnel des directeurs généraux, identifie les fonctions dans lesquelles les directeurs généraux interviennent, et termine en cernant les rôles exercés par les directeurs généraux. Abstract: A municipality's top civil servant, the executive director, is the link between the municipal council consisting of elected members, and the administrative staff. He or she ensures that council decisions are implemented and supervises all administrative activities. The main tasks and roles of the executive director of a municipality are specified in the Cities and Towns Act. However, these are only benchmarks that cannot cover every facet of the activities and administrative actions connected with that position. This analysis of the functions and roles of the executive director is an examination of the ways and means to increase the working knowledge of these administrators, for improved municipal management. The purpose of the study is thus to present the results of a survey of executive directors of Quebec municipalities, involving an analysis of their roles and functions. The origins of the position are discussed first, then the legislative framework; the socio-professional profile of executive directors is outlined, the areas in which executive directors act are identified, and, in conclusion, the roles of executive directors are defined.  相似文献   

10.
Sommaire. L'accroissement des responsabilités de l'Administration n'altère pas fondamentalement le principe de la séparation des pouvoirs, mais s'inscrit plutôt dans un processus normal d'ajustcment et d'évolution de ce principe, en harmonie avec le développement de notre société moderne. En réalité, si l'Assemblée nationale délègue de plus en plus de pouvoirs à l'Administration en matière de réglementation et de discrétion administrative, et au pouvoir judiciaire en établissant des normes de portée générale, elle en surveille et précise cependant l'exercice. Ainsi, l'adoption prochaine d'une loi sur les règlements viendra redonner à l'Assemblée nationale un droit de regard plus important sur l'exercice des pouvoirs réglementaires. Quant à la délégation de pouvoirs discrétionnaires, l'Assemblée nationale s'est dotée de certains outils de contrôle qui relévent directement de son autorité, comme le Protecteur du citoyen et le Vérificateur général. Enfin, l'Assemblée nationale peut, à l'occasion, revoir la délégation implicite faite au pouvoir judiciaire lorsqu'elle édicte des normes de portée générale dont l'interprétation revient aux tribunaux pour fixer dans la loi la portée des décisions jurisprudentielles ou même pour s'en écarter. Le pouvoir judiciaire, quant à lui, se trouve plutôt renforcé qu'érodé. Les mesures d'accessibilitéà la justice et la prolifération des lois et règlements accroissent ses possibilités d'intervention: on assiste, depuis les dix dernières années, à une augmentation importante du nombre de juges et du personnel de soutien aux tribunaux du Québec; enfin, une loi récente augmente l'autonomie du pouvoir judiciaire en créant le Conseil de la Magistrature, organisme doté de pouvoirs décisionnels en matière de perfectionnement des juges et de déontologie, et en réorganisant la structure administrative de la Magistrature. Abstract. The increase in the administration's responsibilities does not fundamentally alter the principle of separation of powers, but is rather a part of the normal process of adjustment and evolution of that principle, in tune with the development of our modern society. In fact, although the National Assembly delegates more and more authority to the administration in the areas of regulatory activity and administrative judgement, and to the judiciary by establishing generally applicable standards, it nevertheless oversees and defines those activities. Thus, the adoption in the near future of a law governing regulations will give the National Assembly greater control over regulatory activities. As far as the delegation of discretionary powers is concerned, the National Assembly has means of control dependent on its own authority such as the Ombudsman (Protecteur du citoyen) and the Auditor General. Finally, the National Assembly may, on occasion, review the implicit delegation of powers to the judiciary when it enacts standards of a general nature which must be interpreted by the courts so that the import of jurisprudential decisions may be codified in law, or even be disregarded. The judiciary is, in fact, reinforced rather than weakened. Improved access to the law and the proliferation of laws and regulations have increased its avenues of intervention; in the last ten years there has been a substantial increase in the number of judges and support staff in Quebec courts; finally, a recent law has increased the autonomy of the judiciary by creating the Bench Council (Conseil de la magistrature), a body which has decision-making powers in the fields of further training for judges, and professional ethics and the reorganization of the administrative structure of the magistracy.  相似文献   

11.
Abstract. In an attempt to promote joint planning in the field of economic development, the federal government signed General Development Agreements with the provinces. Under the agreements, the two bureaucracies are linked together and are charged with jointly developing and implementing programs. Decision-making authority is delegated to a series of federal-provincial committees. To make these committees work and to carry out joint planning and decision-making with provincial governments, Ottawa through its Department of Regional Economic Expansion decentralized to offices located in provincial capitals the required authority. An examination of the GDA decision-making process reveals that this new approach to decision-making holds far-reaching consequences for provincial political-administrative institutions. The interdependence which the GDA approach creates between provincial government and provincial DREE officials has strengthened considerably the role of the provincial bureaucracy. The impact is such that the established boundaries between provincial government officials and provincial cabinet ministers have been altered. This in turn has also altered traditional relationships which have existed between provincial cabinet ministers and other members of the Legislative Assembly. In short, while the GDA approach has had only a limited impact on the large federal bureaucracy, it has entailed significant consequences for the smaller provincial government bureaucracies. Sommaire. Dans le but de promouvoir une planification conjointe dans le domaine du développement économique, le gouvernement fédéral signe avec les provinces des accords généraw de développement. Dans le cadre de cesaccords, la deux bureaucraties travaillent ensemble et sont responsables conjointement de l'élaboration et de la mise en oeuvre des programmes. La prise de décision est confiée à différents comités fédéraux-provinciaux. Pour permettre à ces comités de fonctionner et d'exécuter la planification et la prise de décision de concert avec les gouvernements provinciaux, Ottawa, par l'intermédiaire du Ministère de l'expansion économique régionale, a décentralisé et confié l'autorité nécessaire à des bureaux situés dans les capitales provinciales. Un examen du processus de prise de décision dans le cadre des AGD révèle que cette nouvelle approche a des conséquences de très grande portée pour les institutions politico-administratives provinciales. L'interdépendance entre le gouvemement provincial et les autorités provinciales DREE, que crée l'approche AGD, a consolidéénormément le rôle de la bureaucratie provinciale. L'effet a été tel que les champs d'action des responsables du gouvernement provincial et des ministres du cabinet de la province en ont été modifiés, ce qui, à son tour, a eu pour effet de changer les rapports traditionnels qui existaient entre les ministres du cabinet provincial et les autres membres de l'assemblée législative. En résumé, l'approche AGD n'a eu qu'un effet limité sur l'importante bureaucratie fédérale mais ses conéquences sont beaucoup plus lourdes pour les bureaucraties plus restreintes des gouvernements provinciaux.  相似文献   

12.
Abstract: The article examines the federal Estimates budget from the perspective of whether or not the program format enhances democratic control. It introduces the idea of the budgetary system as a control in a generic management process, and then traces reforms in the accountability side of the Canadian federal government's central management system through the past twenty years. It concludes that the implementation of this version of PPBS was an error, and that it will be difficult to correct, because the budget design is embedded in the network of central institutions, which includes the Office of the Auditor General (OAG). A distinctive kind of “meta control” is now a characteristic of the federal context, and is not clearly managed by government from one decision centre. The author argues that the system does not serve Parliament. Instead it encourages bureaucratic or silent politics at several levels: inside departments; between departments and the OAG; and in an impkit system of elite accommodation between the OAG, central agencies and the government. Sommaire: Cet article analyse le récent budget de dépenses présenté au Parlement fédéral pour voir dans quelle mesure il permet d'accroître le contrôle démocratique. Il présente le système budgétaire comme un élément de contrôle dans un processus global de gestion, pour ensuite décrire les réformes ayant trait à l'imputabilité qui ont eu lieu dans le système de gestion centrale du gouvernement fédéral canadien depuis vingt ans. En conclusion, l'auteur explique que l'implantation de cette version de la rationalisation des choix budgétaires (RCB) était une erreur et que celle-ci sera difficile à corriger, étant donné que le processus budgétaire est noyé dans le réseau des institutions centrales, dont fait partie le Bureau du Vérificateur général (BVC). Le contexte fédéral se caractérise maintenant par une forme de meta-contrôle qui ne permet pas au gouvernement de gérer avec autoritéà partir d'un centre unique de décision. L'auteur soutient que le système ne sert pas le Parlement. Il encourage plutôt les politiques bureaucratiques ou les ententes tacites à différents niveaux, que ce soit à l'intérieur des ministères, entre les ministères et le BVC ou dans le cadre d'un système implicite de services rendus entre le BVG, les organismes centraux et le gouvernement.  相似文献   

13.
Abstract: Existing research in the field of Canadian public administration reveals relatively little about the presumed linkage between royal commissions and mass-level attitudes on the one hand, and government policy-making on the other. Focusing on the case of federal royal commission and task force recommendations in the fields of cultural and economic nationalism, this paper questions the extent to which such recommendations coincide with the results of national public opinion surveys and with federal public policy decisions. In general, mass-level attitudes are found to parallel nationalist commission proposals but to be somewhat divided. The relatively continentalist orientation of elite attitudes seems to better explain federal policy initiatives in the period 1951 through 1987. Sommaire: Au Canada, les recherches dont on dispose dans le domaine de l'administration publique révèlent bien peu sur le lien qui est censé exister entre les commissions royales et l'attitude de la population dune part, et les décisions du gouvernement en matière de politiques d'autre part. Dans cet article, I'auteur s'appuie surtout sur les recommandations de la commission royale d'enquête et du groupe de travail dans le secteur du nationalisme économique et culturel pour se demander jusqu‘à quel point ces recommandations correspondent aux résultats des sondages d'opinion effectués auprès du public et aux décisions prises par le gouvernement fédéral en matière de politique publique. En général, on se rend compte que les opinions de la population sont identiques aux propositions nationa-listes que formule la commission, bien qu'elles soient légèrement partagées. Les tendances relativement “continentales” de l’élite semblent mieux expliquer les mesures prises par le gouvernement fédéral de 1951 à 1987.  相似文献   

14.
Abstract. This paper investigates the implications for public policy in general and merger sections of the Combines Act in particular of the hypothesis that bureaus, when carrying out their administrative duties, attempt to maximize their private utility functions rather than the social utility function expressed in the legislation. The analytical procedure, given alternative utility goals of power, prestige, convenience, and security and the appropriate constraints, is to predict the behaviour of the Combines Branch (from 1960–71) and to test these predictions against actual Branch behaviour. The evidence on the Branch's behaviour (all cases prosecuted and discontinued) suggests that its conduct can be better explained by security maximization than by any alternative private or altruistic goal. However, it is not clear that this was a bad thing for public policy because it can be argued that the Branch's behaviour brought public policy in this area closer to the social welfare function implied in the legislation than would have been the case if the government had successfully maximized its private utility function. Sommaire. L'auteur de cet exposé enquête sur les implications, pour la politique publique en général et les articles sur le fusionnement de la loi sur les coalitions en particulier, de l'hypothèse suivant laquelle es bureaux, dans l'exercice de leurs responsabilités administratives, essaient de maximiser leurs fonctions privées plutôt que leur fonction sociale, telle qu'elle est indiquée dans la législation. La procédure analytique, étant donné le choix des buts: pouvoirs, prestige, commodité et sécurité, avec Ies limites appropriées, consiste à prédire le comportement du service chargé des coalitions (de 1965 à 1971) et à vérifier ces prédictions à la lumière de son comportement réel. Les faits relatifs au comportement de ce service (tous les cas amenés en justice et ceux qui ont été abondonnés) indiquent qu'il s'explique plus par une maximisation de la sécurité que par tout autre motif privé ou altruiste. Il ne semble pas cependant que cela ait été néfaste à la politique publique parce que l'on peut argumenter que le comportement du service a fait jouer à la politique publique un rôle plus orienté vers le bien-être social, comme cela était sous-entendu dam la législation, que ce n'aurait été le cas si le gouvernement avait maximisé avec succès sa fonction privée.  相似文献   

15.
Abstract: The contemporary roles of the privacy commissioner of Canada are multiple: he can be an ombudsman, auditor, consultant, educator, policy adviser, regulator and judge. Yet, Canadian privacy legislation provides quite poor guidance as to how he should perform and balance these roles and tends to put emphasis on complaints‐resolution, a function that is less useful in promoting general compliance with the privacy principles. The analysis of the experience of privacy protection agencies, however, suggests that the most important powers are those that are general rather than specific, and proactive rather than reactive. The implementation of privacy protection law is as much an educational effort as a regulatory one, as much can be achieved in anticipation of policy and system development if privacy protection is built in at the outset. The successful implementation of privacy protection policy involves a considerable degree of learning and mutual adjustment and readjustment. It is not characterized by a top‐down process of command, control and sanction. The privacy commissioner is one among many actors involved in privacy protection policy in Canada, and his success is dependent on the recognition that he has many policy instruments at his disposal, besides the law, to encourage higher standards for the treatment of personal information by Canadian organizations. Sommaire: Le Commissaire à la protection de la vie privée du Canada joue à l'heure actuelle des rôles multiples: il peut être ombudsman, vérificateur, consultant, éducateur, conseiller en politique, responsable de la réglementation et juge. Et pourtant, les lois canadiennes relatives à la protection de la vie privée n'offrent que de médiocres directives quant à la manière dont il devrait s'acquitter de ces différents rôles et les équilibrer. Elles ont tendance à mettre I'accent sur la résolution des plaintes, fonction qui est moins utile pour promouvoir I'observation des principes du respect de la vie privée. L'analyse de l'expérience des organismes de protection de la vie privée laisse entendre cependant que les plus importants pouvoirs sont ceux qui sont généraux plutôt que spécifiques, et proactifs plutôt que réactionnels. La mise en aeuvre de lois sur la protection de la vie privée représente un effort autant éducatif que réglementaire, car de bons résultats peuvent être atteints si la protection de la vie privée fait dès le depart partie intégrante de l'élaboration de politiques et de systèmes. La mise en ceuvre réussie d'une politique de protection de la vie privée comporte un important degré d'apprentissage et d'ajustement et de réajustement mutuels. Elle n'est pas caractérisée par un processus pyramidal descendant de commande, de contrôle et de sanction. Le Commissaire à la protection de la vie privée est l'un des nombreux acteurs de la politique de protection de la vie privée au Canada. Son succès repose sur le fait qu'il dispose de nombreux instruments de politique, en plus de la loi, pour encourager les organismes canadiens qui traitent les renseignements personnels à adopter des normes très éelevées.  相似文献   

16.
Abstract. It is ten years since the Glassco Commission called for a drastic reduction in the numbers and in the scope of the administrative controls exercised on the departments of the federal government by the Treasury Board. But the Glassco slogan ‘Let the managers manage’ is not subtle enough to cope with the delicate question of how to give the maximum managerial freedom to departments while retaining for the Treasury Board enough supervision to satisfy the constitutional principle that the Cabinet is collectively responsible for the policies and administration of each department. The Treasury Board is trying to solve the problem by working out guidelines and audit mechanisms to take the place of rules and regulations in administrative life. While this is going on the Board has had to adjust to the emergence since 1968 of the Committee on Priorities and Planning as the senior cabinet committee on broad expenditure policies. At the same time collective bargaining, new budgeting systems and the bilingualism program have wrought great changes in bureaucratic life. The ‘clients’ of the Board, the operating departments, welcome most of the changes but feel that the delivery of the promised reforms is far too slow. Sommaire. Il y a dix am que la Commission Glassco a recommandé une réduction importante du nombre et de I'envergure des contrôles administratifs exercés sur les départements du gouvemement fédéral par le Conseil du Trésor. Mais la devise Glassco, “La gérance aux gérants”, ne s'est pas révélée assez subtile pour donner la plus grande liberté de gérance aux départements tout en conser-vant pour le Conseil assez de pouvoir de surveillance pour se conformer au principe constitutionnel selon lequel le Cabinet est responsable des politiques et de l'administration de chaque département. Le Conseil du Trésor essaie de régler ce problème en établissant des directives et des façons de vérifier qui prendraient la place des règles et des ordonnances de la vie administrative. Pendant ce temps, le Conseil du Trésor a dû s'habituer, depuis 1968, à une nouvelle réalité:depuis ce temps, en effet, le Comité des Priorités et de la Planification est devenu le principal comité du Cabinet en ce qui a trait aux dépenses importantes. Ceci, alors même que les conventions collectives, de nouvelles façons d'établir le budget et le programme du bilinguisme apportaient des changements importants dans la bureaucratie. Les “clients” du Conseil du Trésor, c'est-à-dire les départements, accueilIent d'un bon oeiI la plupart des changements mais croient que la mise en euvre des réfonnes préuves est beaucoup trop lente.  相似文献   

17.
Sommaire. Les programmes de développement régional du gouvernement fédéral ont suscité toutes sortes de controverses. Bien que l'on s'accorde généralement pour reconnaître la nécessité de réduire les disparités régionales au Canada, du point de vue revenu et possibilités d'emploi, il semble difficile d'arriver à un accord sur les façons dont on pourrait réduire ces disparités. Le gouvernement fédéral a tendance maintenant à considérer que c'est en encourageant les possibilités d'emploi dans les régions défavorisées que l'on a les meilleures chances de succès, au lieu de ← siphoner → le surplus de main d'æuvre. C'est cette attitude fondamentale et les moyens envisagés qui sont disputés. L'auteur de cette communication fait abstraction des opinions passionnées et des interprétations possibles auxquelles peut donner lieu l'examen des measures prises par le gouvernement fédéral dans le domaine du développement régional. Il s'attache, au contraire, à présenter les arguments qui déterminent la proportion optimale de programmes de migration et de développement régional. Les objectifs de maximisation de l'essor national et de réduction des disparités régionales étant établis, il considère, du point de vue de la pleine utilisation de la main d'?uvre, l'allocation optionnelle des ressources et l'application des principes économiques keynésiens.  相似文献   

18.
Abstract: This article explores and criticizes the use of private tort law and the common law courts to impose liability on governments for losses associated with regulatory failure. After describing the recent history of government liability law in Canada and the traditional deterrent and compensatory rationales for tort liability, the authors argue that the requirement of personal liability of public officials, the exclusion of “policy” decisions from tort liability, a legal requirement of “negligence,” the institutional characteristics of the courts, and the assumption of a deterrent impact of tort law are all inappropriate in addressing government liability claims. The article then explores a variety of mechanisms operating within the federal bureaucracy to respond to liability claims. These include the allocation of losses to individual bureaucrats and to the Consolidate Revenue Fund within government, the allocation of legal costs within government, the incentive effects of the settlement process, the ex ante review of losses by Treasury Board, the ex post review of losses by the Office of the Auditor General, and the treatment of excluded claims. The authors then argue for the development of feedback mechanisms within government to ensure that liability signals are received by and influence administrative decision-making. The authors conclude that the existing substantive legal principles and court processes are inadequate in themselves to ensure that government liability claims are addressed so as to reflect appropriately the relationship of the individual to the state in the regulatory process, and to ensure that liability risks are adequately incorporated into the regulatory decision-making process. They argue that a different set of principles should be developed and applied in addressing government liability claims; and further that these principles should be applied either through the courts with necessary reforms in response to existing institutional limitations, or through agency-specific administrative processes. Sommaire: Cet article analyse et critique l'utilisation du droit privé de la responsabilité déictuelle et des cours de common law en matière de responsabilitéétatique pour les pertes associées aux défaillances de la réglementation. Les auteurs dérivent l'historique récent du droit de la responsabilité gouvernementale au Canada, ainsi que les fondements traditionnels de la responsabilité délictuelle que sont la dissuasion et l'indemnisation. Ils affirment que l'exigence d'une responsabilité personnelle de la part des dirigeants publics, l'exclusion des décisions de “politique ”du champ de la responsabilité délictuelle, l'exigence légale de “ négligence ”, les caractéristiques institutionnelles des tribunaux ainsi que l'hypothèse de l'effet dissuasif du droit délictuel sont toutes inadéquates lorsqu'il s'agit de régler des causes mettant en jeu la responsabilité gouvernementale. L'article examine ensuite toute une gamme de mécanismes internes de la fonction publique fédérale conçus pour faire face aux allégations de responsabilité. Ces mécanismes comprennent l'affectation de pertes à des fonctionnaires particuliers et au Fonds consolidé du revenu au sein du gouvernement lui-même, l'allocation de frais juridiques au sein du gouvernement, l'effet incitatif des règlements à l'amiable, l'examen “ ex ante ” des pertes par le Conseil du Trésor, l'examen “ ex post ” de ces mêmes pertes par le bureau du Vérificateur général, ainsi que le traitement des réclamations exclues. Les auteurs recommandent que l'on mette au point des mécanismes de rétroaction au sein du gouvernement pour s'assurer que les signaux en matière de responsabilité soient bien reçs par les décideurs administratifs et qu'ils les influencent. Selon la conclusion des auteurs, les principes de droit substantif et le processus judiciaire actuel sont inadéquats, à eux seuls, pour assurer que l'on traite les réclamations de responsabilité gouvernementale de manière à bien refléter le rapport entre l'individu et 1'État dans le processus de réglementation, et pour permettre que les risques en matière de responsabilité soient incorporés de manière adéquate au processus décisionnel lors de la réglementation. D'après les auteurs, il faudrait mettre au point et appliquer un autre ensemble de principes pour les réclamations contre l'état, et ces principes devraient être appliqués soit par les tribunaux, moyennant les réformes nécessaires face aux actuelles limites institutionnelles, soit par l'intermédiaire de processus administratifs propres à chaque organisme.  相似文献   

19.
Sommaire: L'opinion des vérificateurs généraux sur la gestion des affaires publiques est bien connue. En fait, grâce aux rapports qu'ils publient régulièrement à la suite des missions de vérification de l'optimisation des ressources (vor), ils peuvent révéler au grand jour les lacunes qu'ils ont relevées dans la gestion des différentes organisations qu'ils visitent. Par contre, du côté des gestionnaires, on ne peut pas dire qu'ils se bousculent aux portes pour exprimer leur opinion sur le travail des vérificateurs généraux. La recherche que nous avons effecbée permet de lever le voile sur la face cachée de la vor, sur le point de vue des gestionnaires qui ont eu à vivre une telle expérience. En quoi le quotidien des gestionnaires publics est‐il touché par la visite des vérificateurs dans le cadre de missions de vor ? Comment les gestionnaires perçoivent‐ils le rôle des vérificateurs ? Que pensent‐ils de la performance des vérificateurs et qu'est‐ce qui les irrite lorsqu'ils interagissent avec eux ? Quels changements note‐t‐on dans les pratiques de management après une mission de vor ? Qu'en est‐il des relations de ces gestionnaires avec leurs supérieurs ou leurs subordonnés ? Et, du point de vue des gestionnaires, quel a été l'impact de la vor sur la gestion de l'organisation vérifiée ? Abstract: The view of the auditors general on the management of public affairs is well known. In fact, through the reports they issue at regular intervals as the outcome of value for money (vfm) audits, they can bring to light the shortcomings found in the management of the various organizations they inspected. On the other hand, i't cannot be said that managers have been rushing to express their opinion on the work of the auditors general. Our research reveals the hidden face of the vfm audits by presenting the views of managers who had to go through the process. How does the vfm auditors visit affect the government officials' daily routine? How is the auditors' role perceived by managers? What do they think of the auditors' performance, and what do they find irritating when they interact with them? What changes in management practice are noted after a vfm audit? How about the relations of these managers with their superiors or subordinates? According to the managers, what was the impact of vfm audits on the management of the organization audited?  相似文献   

20.
Abstract: The Commissioner of Official Languages as an officer of Parliament is a unique institution that incorporates multiple roles. Its ombudsman component is enhanced by extensive powers of independent action, which make it an important instrument for holding governmental institutions accountable. Developments in federal language policy since 1980 have given far greater importance to its policy advocacy role, which has been vigorously exercised in legal interventions. Its role as linguistic auditor general is perhaps overstated and may more accurately be described as an enhancement of the ombudsman role. Its significant policy advocacy role poses issues regarding the significance of federalism in regard to language matters. Increasingly the commission conducts its activities at the intersection point of constitutional jurisdictions and must navigate around them. In addressing this ongoing challenge, the Commissioner of Official Languages operates in the vanguard of public officials on the national unity front. Sommaire: Le poste de Commissaire aux langues officielles en tant que haut fonctionnaire du Parlement est une institution unique qui intègre de multiples rôles. Son rôle de médiateur comporte de vastes pouvoirs d'action indépendante, qui en font un instrument important en ce qui concerne l'imputabilité des institutions gouverne‐mentales. Les nouveautés dans la politique linguistique fédérate depuis 1980 ont accordé une importance beaucoup plus grande à son rôle de défenseur de politiques vigoureusement exercé dans certaines interventions judiciaires. Son rôle de Vérificateur général linguistique est peut‐être exagéré et pourrait être plus correctement décrit comme un rôle amélioré de protecteur du citoyen. Son rôle considerable de défenseur de politiques pose des problèmes concernant l'importance du fédéralisme face aux questions linguistiques. La Commission exerce de plus en plus ses activités au point d'intersection de juridictions constitutionnelles et doit en tenir compte. Face à ces défis permanents, le Commissaire aux langues officielles agit à l'avant‐garde des agents publics sur le front de l'unité nationale.  相似文献   

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