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1.
Abstract. The benefits and costs of rental supplements versus public housing are analysed in this study. The role of social assistance and public housing in improving housing standards of low income households is assessed. Housing standards for households with incomes below 3, 000 and the dollar return to private property owners renting to social assistance recipients are studied as two measures of effectiveness of the alternatives. Measures of housing standards for low income households are reviewed. It was concluded that, for welfare and non-welfare households, low income is the critical factor determining the existence of low quality housing. Data on target clientele reached by current housing programs are not available, so it is difficult to determine the effectiveness of such programs in improving housing standards of low income households. Various public and private costs critical to the assessment of housing assistance are discussed. In conclusion, it is pointed out that a simple benefit/cost analysis is inadequate for deciding on public housing versus rental supplements. Several additional studies are required, including: decisions on minimum levels of housing standards, comparison of other housing assistance progrm, and costs of all housing and nonhousing programs. Sommaire. Cette étude porte sur les coêts et les bénéfices d'une politique de subvention des loyers par opposition à une politique de logement public. Les auteurs évaluent le rôle que jouent l'assistance sociale et le logement public dans l'amélioration de l'habitation des économiquement faibles. Ils étudient la qualité de l'habitation des familles ayant un revenu inférieur à 3, 000 et la rentabilité des propriétés privées louées am assistés sociaux en tant que critères d'évaluation. Ils passent en revue les normes de qualité du logement des économiquement faibles. Ils concluent que c'est le faible revenu qui est la cause déterminante de la mauvaise qualité du logement peu importe que les familles dépendent ou non du bien-être social. Il n'existe pas de données concernant la clientèle profitant, à l'heure actuelle, des programmes de logement et il est donc difficile de déterminer la contribution de ces programmes à l'amélioration du logement des économiquement faibles. Les auteurs discutent des différents coûts, publics et privés, ui entrent dans l'évaluation d'une subvention au logement. Ils concluent en faisant remarquer qu'une simple analyse coûts/bénéfices est insuffisante pour choisir entre le logement public et le loyer subventionné. D'autres études seront donc nécessaires, plus particulièrement sur les normes minimales de logement, sur la comparaison àétablir avec d'autres programmes d'assistance au logement, et sur les coûts de tous les programmes de logement en comparaison avec les coûts des autres programmes.  相似文献   

2.
Abstract: While assessments of distributional fiscal impacts are considered a fundamental principle in Canadian public policy, this article demonstrates that recent provincial-municipal service disentanglement initiatives in Nova Scotia followed vague service classifications at the expense of basic distributional considerations. After the 1995 service exchange in Nova Scotia, the municipalities with the weakest taxable assessment base faced increased costs in service provision and governance functions, while the financial burden of service delivery in municipalities with the richest taxable assessment was reduced by these service realignment initiatives. Sommaire: Dans le cadre de l'élaboration des politiques gouvernementales au Canada, l'évaluation des répercussions fiscales distributives est un élément fondamental. Pourtant, l'auteur de cet article démontre que les récentes réformes entreprises par le gouvernement de la Nouvelle-Écosse, afin de clarifier le rôle et responsabilités des services provinciaux et ceux des municipalités, à donné lieu à des classifications vagues au détriment des considérations distributives. Après les échanges de services en 1995, les municipalités, dont les bases de taxations sont faibles, ont vu leurs coûts de prestation de services et d'administration augmenter, alors que les municipalités les plus nanties ont bénéficié d'une réduction de leurs coûts en matière de prestation de services et d'administration grâce à la clarification des rôles et responsabilités en question.  相似文献   

3.
Sommaire: La garantie de la sécurité financière des personnes âgées comprend deux objectifs bien distincts. Le premier est dassurer un revenu minimum à toutes les personnes ayant atteint un âge déterminé, quelle qu'ait été leur situation antérieure. Le deuxième objectif vise à remplacer une certaine proportion du revenu que les personnes âgées touchaient avant de devenir admissibles à des prestations de retraite. Le rôle du gouvernement dans le remplacement du revenu est beaucoup moins fondé et mérite d'être remis en question. Un tour d'horizon des programmes de sécurité du revenu des personnes âgées permet de démontrer l'importance de tout ce secteur et surtout les problèmes bien réels qu'il doit affronter. Ces problèmes proviennent en très grande partie des resources limitées de notre société. Malheureusement, dans un univers d'omni-présence gouvernementale où les coûs des différentes mesures d'intervention ne sont que très rarement explicités, il est fort probable que l'on assistera à l'accroissement de la présence des gouvernements dans tout le secteur des pensions en une période où les coûts combinés des jeunes et des personnes âgées que doit supporter la population active sont à un minimum. Abstract: The guarantee of financial security for the aged has two different objectives. The first is to ensure a minimum income to all those who have reached a predetermined age, whatever their former situation. The second is to replace part of the income enjoyed by those senior citizens before becoming eligible for retirement benefits. The role of government in replacement income is debatable and should be questioned. A review of income guarantee programs for the aged shows the magnitude of this question and the very real problems to be faced. These problems arise mainly from the limited resources of our society. Unfortunately, in a world of omnipresent government, the costs of the various interference measures are rarely broken down and it is likely that we will witness an increase in government intervention at a time when the combined costs of the young and the old are at a minimum for the working population.  相似文献   

4.
Abstract: E‐learning is being mooted as a cheap and effective way to provide public servants and public‐sector organizations with the continuous learning opportunities required to recruit and retain good employees and improve organizational outcomes. This article draws on the extensive literature on e‐learning and the authors' experience with the development and delivery of e‐learning to examine a number of issues that public‐sector managers should consider before embracing e‐learning. The article begins by sorting out what e‐learning is, what forms it can take and how significant a phenomenon it has become in the private and public sectors in Canada and elsewhere. Emerging Canadian government e‐learning strategies are noted. The authors argue that much existing formal e‐learning material is ineffective and set out criteria for identifying viable e‐learning approaches. The claim that e‐learning provides enhanced access to training is critically examined. The authors also argue that the adoption of e‐learning will radically affect the organization of training and its relationship to the wider organization. Finally, the authors critically examine the issue of whether or not e‐learning is cheaper than face‐to‐face instruction. They contend that e‐learning can reduce training delivery costs in some circumstances but that the costs associated with developing and delivering effective e‐learning will be substantial. Sommaire: On a dit que l'apprentissage en ligne est un moyen efficace et peu coûteux offrant aux fonctionnaires des possibilités de formation continue qui permettront aux organismes du secteur public de recruter et de retenir du personnel qualifié et ainsi d'améliorer leurs résultats organisationnels. Cet article repose sur la documentation concernant l'apprentissage en ligne et l'expérience des auteurs en matière d'élaboration et de prestation de cette méthode d'enseignement afin d'examiner un certain nombre de questions que les gestionnaires du secteur public devraient étudier avant de les adopter. L'article commence par expliquer l'apprentissage en ligne sous ses différentes formes et l'importance de ce phénomène dans les secteurs privé et public au Canada et ailleurs. Les nouvelles stratégies d'apprentissage en ligne du gouvemement canadien sont mentionnées. Les auteurs affirment qu'une grande partie de la documentation officielle sur la question est inefficace et ils présentent des critères pour determiner les méthodes d'apprentissage en ligne qui ont des chances de réussir en matière de formation. Ils examinent d'un œil critique si cette méthode d'enseignement foumit en fait un meilleur accès è la formation. L'article laisse éggalement entendre que l'adoption de l'apprentissage en ligne transformera radicalement la planification de la formation et ses relations avec l'organisation plus vaste. Enfin, les auteurs examinent attentivement la question de savoir si oui ou non l'apprentissage en ligne est moins coûteux que l'enseignement en personne. Ils soutiennent que cette méhode peut permettre de réduire les coûts de prestation de la formation dans certaines circonstances mais que les coûts associés à l'élaboration et à la prestation de l'apprentissage en ligne efficace seront considérables.  相似文献   

5.
Sommaire: L'objectif de cette étude est d'examiner l'efficacité du conseil d'admini tration des sociétés d'État a prévenir le lissage des bénéfices par les dirigeants. Les résultats de l'étude suggérent que la structure et la composition du conseil d'administration ont un impact sur la propension des dirigeants à lisser les bénéfices. Plus precisement, il apparait que plus les membres du conseil d'administration sont nombreux, plus grand est le risque pour les dirigeants de lisser les bénéfices. Ce risque croît aussi avec la présence au conseil d'administration de membres externes, c membres provenant de la fonction publique et lorsque les fonctions de President du conseil d'administration et de pdg sont occupées par une même personne. Enfin, lissage des bénéfices est réduit en présence d'un comié de vérification. Dans l'ensemble, sauf pour la question qui conceme l'indépendance des membres du conseil d'administration, ces résultats vont dans le sens des réformes actuelles sur gouvernance des sociétés en général et des sociétés d'État en particulier. Abstract: The objective of the study is to examine the effectiveness of the board directors of state‐owned enterprises (soes) in preventing managers from engaging earnings management. The results of the study suggest that board structure has an impact on earnings management activities. More precisely, it appears that soes with a large board are less inclined to curb managers from engaging in income smoothing than are soes with a small board. Also, the extent of income‐smoothing is great when the proportion of outsiders on the board increases, when the board is mo dependent on the political process, and when the roles of chair and ceo are held by the same person. Finally, the presence of an audit committee helps to prevent eamings‐smoothing by managers. in general, excluding the issue particular to the independence of board members, the results are in line with recent reforms in corpora governance.  相似文献   

6.
Abstract: The emergence of the “New Public Management” (NPM) and its faith in markets led governments to search for alternative methods in the delivery of public services. One of the most popular methods was privatization. The rationale behind the choice of privatization is based on what Charles Wolf describes as “non‐market failure.” This article argues that the market may not be as efficient as its proponents have asserted, especially when there is a monopoly over service delivery. This has been the case in many municipalities, in some developed countries, where privatization of water service delivery has reverted to public delivery. Using the City of Hamilton's experience with its water and wastewater services as an example, the authors' finding is that the nature of the good to be delivered is essential in determining whether the “market” or the “public” provides the best method of service delivery. Sommaire : L'émergence de la Nouvelle gestion publique (NGP) et sa foi dans les marchés ont conduit les gouvernements à rechercher des méthodes de rechange pour la prestation des services publics. L'une des méthodes les plus populaires est la privatisation. La justification du choix de la privatisation est fondée sur ce que Charles Wolf décrit comme un ≪“échec du non marché”≫. L'article fait valoir que le marché pourrait ne pas être aussi efficace que ses adeptes l'ont prétendu, en particulier lorsqu'il existe un monopole dans la prestation des services. Cela fut le cas dans de nombreuses municipalités de certains pays développés, où la privatisation de la prestation de leurs services en eau est repassée à la prestation publique. En prenant comme exemple l'expérience de la ville d'Hamilton concernant ses services d'approvisionnement en eau et d'évacuation des eaux usées, l'article conclut que la nature du produit à livrer est déterminante pour savoir si c'est le “marché” ou le “public” qui fournit la meilleure méthode de prestation de services.  相似文献   

7.
Abstract. Financial reporting by non-profit organizations deals only with accountability for propriety and regularity, and ignores output measurement. The development of output measures of a physical or index nature offers a means of relating dollar costs to output in the form of cost-efficiency or cost-effectiveness measures, but does not provide any measure of the absolute value or worthwhileness of such programs. This fundamental absolute value question should be asked of all non-profit programs and documented to the greatest possible extent in budgetary submissions, and subsequent control and audit. In public sector non-profit programs, the posing of this question requires information on consumer demand other than in aggregative and imprecise form through the political process, and much improved information on the cost side. Eliciting demand information is feasible in the case of public programs with separable benefits by the use of a variety of pricing techniques, direct or imputed, whether or not the service in question is ultimately financed on a user-pay basis. The problem of eliciting demand is more difficult in the case of public goods, but improved demand information can be obtained, ideally by an approach such as the use of a Clarke tax. The argument can be extended to encompass questions of income distribution, stabilization, regulation and tax policy. Recent developments in program evaluation in the federal government are important, but remain deficient in failing to address the question of absolute value. Sommaire. Les rapports financiers des organismes à but non lucratif ne traitent d'imputabilité qu'en termes de correction et de régularité et ne font aucune évaluation de rendement. Une évaluation sous forme d'indices permettrait d'établir un lien entre les coûts en dollars et le rendement au moyen de rapports coût-efficience ou coût-efficacité mais elle ne permet pas de calculer la valeur absolue ou l'utilité des programmes examinés. Cette question fondamentale de la valeur absolue devrait posée à propos de tous les programmes à but non lucratif et devrait être documentée le plus possible lorsque le budget est présenté puis soumis au contrôle et à la vérification. Dans les programmes à but non lucratif du secteur public, cette question exige que l'on obtienne sur la demande du consommateur des renseignements qui soient plus définis et plus précis que ceux fournis par le processus politique, ainsi que des informations détaillées du point de vue coûts. L'obtention de renseignements sur la demande est possible dans le cas de programmes publics à bénéfices séparables grâce à différentes techniques - directes ou théoriques - de fixation des prix, que le service en question soit en définitive finané par l'utilisateur ou non. Il est plus difficile par contre d'obtenir des renseignements concernant la demande dans le cas des biens publics, mais on peut y arriver; la meilleure façon est d'utiliser une méthode comme celle de I'impôt Clarke On peut se servir du même argument pour des questions comme la répartition des revenus, la stabilisation, la réglementation et la politique fiscale. Les récentes initiatives prises par le gouvernement du Canada en ce qui mnceme l'évaluation des programmes sont importantes: elles demeurent cependant insuffisantes du fait qu'elles n'abordent pas la question de la vaIeur absolue.  相似文献   

8.
Abstract: The idea of including patient perspectives in health‐services planning and evaluation is increasingly embraced by Canadian health authorities. This article argues that the validity of a particular method is not simply a matter of its scientific rigour; rather, it depends on what one considers to be the meaning and purpose of patient involvement. Perspectives on patient involvement can be conceptualized in terms of a continuum from consumerism (patients as customers who deserve to be satisfied) to participatory democracy (patients as citizens with a right to participate in shaping public services). These ideologies are associated with different methods (market research versus participatory research) and, crucially, yield different results. Evidence from diverse sources suggests that, as methods move across the continuum towards participatory democracy, 1) participants move from expressing simple opinions to considering broader issues, context and complexity, and 2) participants' perspectives shift from individualism (personal interest) towards collectivism (common interest). As well, different approaches have different strengths and risks in terms of the ultimate goal of patient involvement: change to services. This article outlines the implications of the “politics of methodology” for decisions about how best to involve patients in the design and evaluation of health services. Sommaire : L'inclusion des perspectives des patients dans la planification et l'évaluation des services de santé est une idée à laquelle adhèrent de plus en plus les autorités sanitaires canadiennes. Le présent article soutient que la validité d'une méthode particulière ne dépend pas simplement de sa rigueur scientifique, mais plutôt de ce que l'on considère être la signification et le but de la participation des patients. Les perspectives sur la participation des patients peuvent être conceptualisées en termes d'un continuum, allant du consommateurisme (les patients étant considérés comme des clients qui méritent que l'on réponde à leurs besoins) à une démocratie participative (les patients étant considérés comme des citoyens ayant le droit de participer au façonnement des services publics). Ces idéologies sont associées à différentes méthodes (recherche de marché versus recherche participative) et, essentiellement, donnent lieu à des résultats différents. Comme le laissent entendre différentes sources, alors que les méthodes progressent dans la direction d'une démocratie participative, 1) les participants délaissent l'expression de simples opinions pour aborder des questions, un contexte et une complexité plus vastes, et 2) les perspectives des participants passent de l'individualisme (intérêts personnels) au collectivisme (intérêt commun). En outre, différentes approches présentent des points forts et des risques différents pour ce qui est de l'objectif ultime de la participation des patients, à savoir les changements à apporter aux services. Le présent article décrit brièvement les implications de la « politique de méthodologie » pour ce qui est des décisions concernant le meilleur moyen de faire intervenir les patients dans la conception et l'évaluation des services de santé.  相似文献   

9.
Abstract. In planning, goals arise out of analysis. Only when the implications of alternative actions are understood can effective choices be made. But an examination of writings of early planners shows that the town planning movement in Canada historically has combined efficiency with idealism to formulate goals which have been widely advocated in Canadian society. Typical of this approach were the notions that decent, safe, and sanitary housing provides a healthier atmosphere and that healthy workers produce more. Minimum housing standards and pressure to increase the supply of housing have resulted in government channelling resources into the provision of shelter that the private market would not undertake. Yet the housing problem still exists. But the historical approach of town planning neglects analysis. It does not consider all the implications of the position being advocated, nor does it investigate the opportunity costs of that position. It has tended to be confined by traditional planning solutions, most of which were conceived before 1920. It is suggested that planning should be problem-oriented, that goals should develop through an analytic process, and that solutions should be evaluated. This requires a change from the traditional planning paradigm of ‘goals, analysis, and plan’ to priority for problem definition and analysis as the basis for defining goals and possible solutions. If there is need for an a priori goal for planning, it would be simply a better city or region. Sommaire. Lorsque l'on planifie, les buts découlent de l'analyse, mais ce n'est que lorsque l'on a dégagé les implications des différentes possibilités que l'on peut procéder à un choix. Cependant un examen des écrits des premiers planificateurs révèle que le mouvement de l'urbanisme, au Canada, a combiné efficacité et réalisme pour formuler des objectifs qui ont été très largement diffusés dans la société canadienne. Un exemple typique de cette approche est l'idée que des logements décents, salubres et sans danger créent une atmosphère plus saine et que des travailleurs en bonne santé sont de meilleurs producteurs. Des nonnes de logement minimales, combinées aux pressions exercées sur le gouvernement pour augmenter le nombre des logements, ont eu pour conséquence l'allocation de fonds par le gouvernement pour la construction de logements que le marché privé n'assumait pas. Et pourtant le problème du logement n'a pas été résolu. L'approche traditionnelle de l'urbanisme néglige l'analyse. Elle ne prend pas en considération toutes les implications de la position adoptée et n'examine pas les coûts de cette position. Elle a tendance à s'en tenir aux solutions traditionnelles dont la plupart datent d'avant 1920. On a proposé une planification axée sur les problèmes, dont les buts seraient établis grâe au rocessus d'analyse et dont les solutions feraient l'objet d'une évaluation. Cela demanderait une modification de la séquelle traditionnelle ‘buts, analyse et plan’ pour commencer par la définition des problèmes et l'analyse, qui serviraient alors de base à la formulation des objectifs et des solutions. Si l'on veut à tout prix un objectif à priori pour la planification, pourquoi pas simplement l'amélioration de la ville ou de la région?  相似文献   

10.
Abstract: This article develops some theory on and examines the implementation and performance of Canadian public‐private partnerships (P3s). It focuses primarily on infrastructure projects and addresses three questions: 1) What goals do governments expect to achieve through P3s? 2) How effective are P3s likely to be at delivering value to governments and citizens? 3) What lessons can be derived from the use of P3s? The article reviews the government's intended social goals for P3s and evaluates how effective P3s have been in fulfilling them. It then formulates a more comprehensive framework and outlines a “positive theory” perspective of P3s that takes into account the divergent goals of the partners – profit maximization goals of private‐sector participants and the political goals of the public sector. The article evaluates and summarizes the findings and implications of ten Canadian P3s. The appropriate test of success, from a social (normative) perspective, is whether P3s have lower total social costs, including production costs and all of the transaction costs and externalities associated with the project. The ten case studies indicate that the potential benefits of P3s are often outweighed by high contracting costs due to opportunism generated by goal conflict. These costs are particularly high when construction or operating complexity is high, revenue uncertainty (use‐risk) is high, both of these risks have been transferred to the private‐sector partner, and contract management effectiveness is poor. In infrastructure projects, it rarely makes sense to try to transfer large amounts of risk to the private sector. Sommaire: Le présent article élabore une théorie et examine la mise en œuvre et la performance de partenariats des secteurs public/privé canadiens (P3). Il se penche essentiellement sur des projets d'infrastructure et aborde quatre questions : 1) quels objectifs les gouvernements prévoient‐ils atteindre en ayant recours aux P3 ? 2) Dans quelle mesure les P3 seront efficaces à fournir de la valeur aux gouvernements et aux citoyens ? 3) Quelles leçons peut‐on tirer des P3? L'article passe en revue les justifications normatives avancées par le gouvernement pour les P3 et examine leur efficacité. Ensuite, il formule un cadre normatif plus exhaustif. Puis, il présente les grandes lignes d'une perspective de «théorie positive» des P3 en tenant compte des objectifs divergents des partenaires : à savoir, les objectifs de maximisation des profits pour les participants du secteur privé et les objectifs politiques du secteur public. Par la suite, l'article passe en revue et évalue dix études de cas de P3 canadiens. Le test du succès, selon une perspective (normative) sociale, consiste à déterminer si les P3 ont des coûts sociaux totaux inférieurs, y compris les coûts de production, et tous les coûts de transactions et coûts externes associés au projet. Les dix études de cas indiquent que les avantages potentiels des P3 sont souvent surpassés par les frais élevés de passation de contrats dûs à l'opportunisme généré par les conflits en matière d'objectifs. Ces coûts sont particulièrement élevés lorsque la complexité de la construction ou de l'exploitation est élevée et que l'incertitude des revenus (le risque d'utilisation) est forte, que ces deux risques ont été transférés au partenaire du secteur privé, et que l'efficacité de la gestion du contrat est médiocre. Dans les projets d'infrastructure, il est souvent absurde d'essayer de transférer de grands montants de risque d'utilisation au secteur privé.  相似文献   

11.
Abstract. In the industrial relations scene in Canada there is a world of difference between the arbitration of grievance disputes under a collective agreement and the arbitration of disputes over the negotiation of terms of a collective agreement. Much experience in grievance arbitration is rooted in the conventional legal system, and although a special jurisprudence has been developed on substantive and procedural issues to produce consequences different from those which might be expected from the common law, basic institutions and processes are easily traceable to the conventional institutions and processes of the law of the land. In marked distinction, an arbitrator of a dispute over the negotiation of a collective agreement, conventionally referred to as an ‘interests' dispute (designed to resolve conflicts of interests as distinct from conflicts of rights) is confronted with a substantially different task. The criteria for determining what are fair terms for a collective agreement are not themselves determinable from a well-established jurisprudence, and the data and comparisons of data relevant to the application of such criteria are not susceptible to presentation as clearly as is evidence of events and relationships in grievance arbitrations. Problems confronting arbitrators in interests arbitrations will not be resolved by the elimination of adversary processes. On the contrary, the adversary process needs to be sharpened in order that it may be accepted as the best available alternative to work stoppages. Improvement in arbitration processes of interests disputes requires the clear identification of issues in dispute, acceptance of a reliable data base and the determination of useful criteria for the application of data and the avoidance of discursive presentations which lack procedural crispness. Most important, the parties must accept that their duty to arbitrators must meet the standard of utmost good faith and full disclosure. The parties cannot discharge their duty to the arbitrators by discharging their duty, narrowly perceived, to their clients or constituencies, as they may in grievance arbitration. The distinction is not between bad faith and good faith but between good faith and utmost good faith. At stake is the process of arbitration as an acceptable alternative to strikes and lockouts in the settlement of disputes over the negotiation of collective agreements. Sommaire. Dans le domaine des relations industrielles au Canada, l'arbitrage des différends soulevés dans le cadre d'une convention collective est d'un tout autre ordre que l'arbitrage des griefs que suscite l'interprétation des clauses d'une convention collective. I/arbitrage des griefs est profondément ancré dans les conventions et, bien que certaines questions de procédure et de fond aient donné lieu à une jurisprudence particulière dont les conséquences sont différentes de celles que Ton aurait attendues du droit civil, il est relativement simple de relier les institutions et procédures spécifiques du droit du travail aux institutions et procédures fondamentales. En revanche, l'arbitre d'un différend (le différend est basé sur un « conflit d'intérěts » par opposition à un conflit de droits) doit faire face à tine situation tout à fait diiǐérente. Les critères utilises pour définir les conditions raisonnables et justes d'un règlement de différend ne peuvent s'inspirer d'une jurisprudence bien établie et les données et les comparaisons de données à partir desquelles ils procèdent ne sauraient fournir une preuve aussi claire que celle que les évènements et les rapports entre les parties révèlent dans un arbitrage de griefs. L'élimination de la procédure de confrontation ne résoudra pas les problèmes qui se posent aux arbitres lors de l'arbitrage d'un conflit d'intérěts. Il convient, au contraire, de mettre l'accent sur cette procédure aim qu'elle conduise au seul remède possible aux arrěts de travail. Dans le but d'améliorer la procédure d'arbitrage des conflits d'intérěts, il est indispensable de poser clairement le problème, de se référer à une source de données fiable, d'établir des critères permettant d'appliquer ces données et d'éviter toute verbosité inutile dans la présentation des faits. Il est essentiel que les parties fassent preuve d'une parfaite bonne foi et qu'elles révèlent les faits sans restrictions. Les parties ne peuvent remplir leurs obligations envers les arbitres en les remplissant seulement envers leurs clients ou envers ceux qu'elles représentent, comme dans le cas d'un arbitrage de griefs. II ne s'agit pas de faire une distinction entre la bonne et la mauvaise foi mais plutǒt entre la bonne foi et la parfaite bonne foi. L'enjeu consiste ici à accepter le processus d'arbitrage comme solution valable au problème que posent grèves et lock-outs lors du règlement des différends.  相似文献   

12.
Abstract. The National Energy Board applies three guidelines in regulating natural gas export prices: (1) that the export price should cover all costs of service; (2) that it be fair in relation to comparable domestic prices; (3) that it not be materially less than the prices of alternative sources of energy in the relevant foreign markets. This paper shows that the NEB has been, and can expect to be, reasonably successful in ensuring that the first two guidelines are met, but that difficulties arise with respect to the third. These include: the problems of finding out the opportunity cost in export markets, United Sates Federal Power Commission resistance to high import prices, depressed Canadian field prices, and a preference by foreign-owned gas pipeline companies for exporting at low prices. It is argued that even if the third define were met some of the benefits would still flow abroad because much or the Canadian gas industry is foreign owned. The suggestion is -made that the establishment of a government-owned marketing board given sole rights to make exports of natural gas would enable Canada to retain an increased share of the benefits of natural gas exports. Sommaire. L'Office national de l'énergie applique trois principes pour normaliser les prix du gaz naturel à l'exportation: (1) le prix à l'exportation doit couvrir tous les coûts du service; (2) il doit être équitable par rapport aux prix domestiques; (3) il ne doit pas être inférieur au prix des autres sources d'énergie utilisables sur les marchés étrangers intéressés. D'après l'auteur, le CNE a réussi dans une mesure raisonnable à appliquer les deux premiers principes et continuera vraisemblablement à le faire. C'est dans l'application du troisième principe qu'il a rencontré des difficultés. Elles ont été entre autres: les problèmes de découvrir ce que devrait être le juste prix sur les marchés d'exportation, la réistance de la Federal Power Commission des Etats-Unis à des prix d'importation élevés, les bas prix sur place, au Canada, et la tendance des compagnies de pipe-lines d'appartenance étrangère à vendre à bas prix. L'auteur déclare que même si le troisième principe pouvait être appliquê, certains des bénéfices continueraient à passer à l'étranger parce qu'une grande partie de l'industrie canadienne du gaz est entre des mains étrangkres. Il suggère que le gouvernement établisse un conseil gouvememental de mise en marché qui aurait les droits exclusifs d'exportation du gaz naturel. De cette façon, le Canada jouirait dhne participation croissante aux bénéfices des exportations de gaz naturel.  相似文献   

13.
Abstract. No measurement has yet been devised to determine whether a critical threshold of pollution is about to be reached. Certainly the apocalyptic forecasts of The Limits of Growth, published earlier this year by the Club of Rome, should not be given credence. Nevertheless, pollution control is soon to become a policy issue with as much economic impact as it now has social support. From an economist's point of view, pollution becomes a problem only when it introduces externalities that distort the allocation of resources. Distortion occurs when those who cause pollution do not bear its costs but instead impose them on society. For example, when a company discharges its sewage into a river. it can ignore the extra filtration costs that may be incurred by neighbouring municipalities. Following the same reasoning, such major industries as oil, steel, and pulp and paper are now in effect being subsidized by being allowed free access to resources. Since present trends indicate future scarcity of all our resources, government intervention to protect the environment will be justified on grounds of human welfare. The price of environmental protection, now estimated at 1 to 2 per cent of CNP, should not be insupportable. However, the economy will have to be able to adapt to a different industrial structure, for not all costs would be borne by governments. With the adoption of the principle that the polluter must pay - recently endorsed by member countries of the OECD - municipalities would of course bear the lion's share of clean-up costs. But many industries would not be able to internalize their own pollution costs without severe financial strain. These would contract, giving place to others that polluted less. Thus, enforced pollution control would have adverse effects on employment and economic growth only if other policies such as manpower retraining programs were inadequate. In fact, economic growth and protection of the environment can be complementary goals, for the technological innovations needed to control pollution will depend on the investment that fuels growth. As for the main constraints on pollution control in Canada, they do not stem from a dearth of legislation or a lack of funds, but rather from institutional rigidities. If real progress is to be realized, co-operation among all governments must be more vigorously pursued. Sommaire. Nous ne possédons encore aucune mesure capable de déterminer si un seuil critique de pollution est près d'être franchi. Les prévisions apocalyptiques sur les limites de la croissance publiées plus tôt cette année par le Club de Rome doivent êre rejetées. Il n'en reste pas moins que la lutte contre la pollution devient une question de politique économique dont l'importance s'accroit à mesure qu'elle s'acquiert l'appui du public. La détérioration physique du milieu ne constitue un véritable problème économique que si, par le jeu des effets extemes, elle entraîne un déséquilibre dans la répartition des ressources. Il y a déséquilibre dès que le pollueur, au lieu d'assumer lui-même les coûts de la pollution, les impose à la société. Ainsi, lorsqu'une entreprise déverse ses eaux usées dans une rivière, elle ne tient pas compte de l'augmentation des coûts de filtration qui s'ensuivra probablement pour la municipalité. Certaines des principales industries, telles que le pétrole, racier et les pâtes et papier, sont de fait subventionnées parce qu'elles ont libres accès aux ressources. Comme on prévoit que toutes les ressources seront plus rares dans l'avenir, l'intervention gouvemementale dans la lutte contre la pollution se justifie au nom du bien-être de l'humanité. Le coût de la protection du milieu, qu'on estime présentement à 1 ou 2 pour cent, du PNB, ne devrait pas être insupportable. Toutefois, l'économie devra pouvoir s'adapter à une structure industrielle différente, où les gouvernements n'auraient pas à supporter tous les codts. Suite à l'adoption du principe que le pollueur doit payer (appuyé récemment par les pays membres de I'OCDE), les municipalitks devront bien sûr payer la plus grande partie des coûts de la conservation. Certaines industries toutefois ne pourront elles-même faire face à leurs propres coûts de pollution sans se trouver dans de sérieuses difficultés financières. Ces industries diminueront pour faire place à d'autres qui causent moins de pollution. Ainsi, les mesures imposées relativement à la lutte contre la pollution ne seraient défavorables à la croissance de l'emploi et de l'économie que si les autres politiques, come celles qui ont trait à la main-d'aeuvre et aux programmes de recyclage, ktaient insuffisantes. De fait, la croissance économique et la protection de l'environnement peuvent être des objectifs complémentaires, car les innovations technologiques requises pour la lutte contre la pollution dépendront des investissements qui stimulent la croissance. Quant aux principales contraintes de la lutte antipollution au Canada, on ne doit pas les chercher dans l'absence de lois ou de fonds. Pour progresser, il faudra adopter un mode de collaboration plus étroite entre tous les paliers de gouvernement.  相似文献   

14.
Abstract: Provincially legislated special-purpose bodies created to pool municipal bond requirements have operated in Canada for several decades. American states have also adopted this Albertan/Canadian innovation. The organizations use different titles, such as municipal bond authorities/corporations and bond banks; this paper uses the generic term municipal bond bank, or mbb. These banks are separate legal entities, and the paper discusses the use of internalization theory as an explanation for their creation and continued use. Several US. empirical studies comparing the cost of municipal borrowing under a pooled mbb issue versus stand-alone issues were undertaken in the 1980s. The American studies' results support the practice of pooling debt issuance through bond banks and conclude that savings from mbb participation are inversely proportional to unit credit rating and size. This paper presents the findings of the first Canadian empirical study that compares the cost of municipal funds for pooled versus stand-alone issues. The study uses data from the Province of Ontario, as it is a large province and quantitative data was available; Ontario does not currently have an mbb. The Canadian study results share some similarity with the results of previous American studies in that they show that pooled financing through an mbb results, in aggregate, in cost-savings to municipal borrowers, with the greatest savings to those units that are small and un rated and that borrow for longer periods. The Canadian study suggests that the few large, highly rated municipalities that would receive little or no benefit from mbb participation and certain small issuer units that have found economical, alternative methods of raising funds retain the option of issuing debt outside a provincial mbb. This paper concludes with a reference to the discussion on the impact of municipal borrowing arrangements on provincial credit ratings. Sommaire: Des organismes légiférés à des fins spéciales, au niveau provincial, offrant de mettre en commun les besoins d'émission d'obligations municipales, fonctionnent au Canada depuis plusieurs décennies. Des États américains ont également adoptécette innovation provenant de l'Alberta et du Canada. Les organismes portent des noms différents, tels que »Autorité/société de financement municipal« et banque d'obligations, et le présent article utilise l'expression générique » Banques d'obligations municipales « ou bom. Il s'agit en fait d'entités juridiques distinctes, et l'article se penche sur l'emploi de la théorie de l'intemalisation en tant qu'explication de leur création et de leur fonctionnement. Plusieurs études empiriques américaines comparant le coût d'emprunt municipal mis en commun dans le cadre d'une bom au coöt des émissions isolées ont été entreprises au cours des années 1980. Les résultats des études américaines justifient la pratique de mettre en commun l'émission de dette par l'entremise des banques d'obligations; selon elles, les économies qu'on peut réaliser en participant aux bom sont inversement proportionnelles à l'ampleur et à la cote de crédit de l'entité en question. Cet article présente les constatations de la première étude empirique canadienne qui compare le coöt des fonds municipaux pour les émissions mises en commun au coût des émissions isolées. L'étude utilise des données de la province de l'Ontario parce que c'est une grande province et que les données quantitatives étaient disponibles; l'Ontario n'a pas actuellement de bom. Les résultats de l'étude canadienne sont similaires, dans une certaine mesure, à ceux des études américaines précédentes, puisqu'ils montrent que le financement en commun par l'entremise d'une bom entraîne, dans l'ensemble, des économies de coût pour les emprunteurs municipaux, les économies les plus importantes étant réaliées par les entités qui sont petites et non cotées et qui empruntent pour des périodes prolongées. L'étude canadienne suggère que les quelques grandes municipalités bien cotées, qui n'auraient peu ou pas d'avantage à participer aux bom ainsi que certaines petites entités émettrices ayant trouvé des méthodes alternatives économiques pour recueillir des fonds, devraient se réserver l'option d'émettre des dettes sans faire appel à la bom provinciale. En guise de conclusion, l'étude mentionne le débat sur les répercussions que peuvent avoir les arrangements d'emprunt municipaux sur les cotes de crédit provinciales.  相似文献   

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Abstract: This article explores the challenges of policy harmonization in a decentralized federal polity through a study of Canadian efforts to develop nationwide water export regulations over the past fifteen years. The Canadian experience in water export policy illustrates three different policy harmonization processes and suggests some of the effects that international free trade agreements have had on economic and environmental regulation in Canada. Prior to the introduction of free trade, the federal government attempted to deal with water exports through the imposition of uniform national standards. After free trade, however, harmonization efforts became more decentralized as federal power over export controls diminished but provincial powers over water‐taking remained untouched. Despite an effort towards harmonization through policy interface standardization in the 1999 Water Accord, successful harmonization did not occur as a result of intergovernmental cooperation. Instead, harmonization was eventually achieved through an extensive process of policy emulation, a phenomenon that has received relatively little attention in the literature on federalism and public policy, to this point. Sommaire: Le présent article examine les défis de I'harmonisation des politiques dans un système fédéral déentralisé, en étudiant les efforts canadiens déployés pour éla‐borer des règlements sur I'exportation de l'eau à I'échelle nationale au cows des quinze derniéres années. L'expérience canadienne dans le domaine de la politique de l'exportation de l'eau illustre trois différents processus d'harmonisation des politiques et préente certains impacts produits par les accords de libre‐échange internationaux sur la délementation économique et environnementale au Canada. Avant I'introduction du libre‐échange, le gouvemement fédéral essayait de traiter l'exportation de I'eau en imposant des normes nationales uniformes. Depuis le libre‐échange, cependant, les efforts d'harmonisation sont devenus plus dCcentralisés, tan‐dis que le pouvoir fédéral sur les contrôles des exportations a diminue et que les pouvoirs provinciaux dans ce domaine sont demeurés inchangés. Malgré un effort réalisé dam le sens de I'harmonisation de l'interface politique avec 1'Accord sur I'eau de 1999, la coopération intergouvemementale n'a pas menéà l'harmonisation. Par contre, on y est parvenu par le biais d'un vaste processus d'émulation politique, phénoméne qui jusqu'à ce jour est passé pratiquement inapercu dans la documentation sur le fédéralisme et la politique publique.  相似文献   

16.
Abstract. This paper is concerned with future urban change in Canada. Part A deals with bringing about urban change. Part B is about knowledge required to make urban change. Part A begins by discussing a model of the urban future and closes with a discussion of the system of public and private organizations for urban management. Part B begins by distinguishing “knowledge roles’ for urban change, and goes on to discuss the role of knowledge in intervention. It closes with a discussion of the knowledge organization (illustrated by the university), and the means by which it might support the making of urban change. Part C relates the first two parts by suggesting how the mutual support of the knowledge organization (e.g. the university) on the one hand, and the system of public and private organizations that manage urban activities on the other, might be improved. Sommaire. Cet article traite du changement urbain au Canada et de son évolution future. Dans la première partie, la discussion porte sur le changement urbain lui-même, tandis que la seconde partie est consacrée au savoir relié au changement urbain. La troisième partie enfln suggère différentes manières de réaliser le lien entre le savoir et l'action en vue d'améliorer la qualité de nos interventions. La première partie débute en proposant un modèle du ‘futur urbain.‘ Cemodèle introduit deux types de planification, la planification projective, quis'appuie sur des extrapolations, et la planification prospective, qui s'appuie sur des prospectives du futur. Ces deux types de planification sont élaborés en relation avec les quatre sous-systèmes du système socio-technique, à savoir les systemes des ressources humaines, des activités humaines, des ressources physiques et des interventions physiques. Le type de relations que l'on perçoit ainsi que la manière de les considérer définissent le processus de planification que Ton adopte. Ce peut être un processus purement projeetif, un processus purement prospectif ou un processus conjoint prospectif-projectif. Des exemples de ces divers processus sont présentés. Dans la deuxième section de cette première partie, diverses manières d'organiser la gestion urbaine sont avancées, et il est suggéré qu'un réseau interorganisationnel à double intéiêt à la fois projectif et prospectif est désirable. La troisième section, enfin, propose un premier pas dans l'établissement d'untel réseau. Ce premier pas serait la création d'un petit réseau d'organisations qui s'engagerait dans le processus projeetif-prospectif suggéré auparavant. Cepetit groupe jouerait un rôle de catalyseur et pourrait stimuler un processus plus vaste si les résultats atteints se révelaient intéressants. La deuxième partie commence par distinguer différents rôles pour le savoir. Après avoir identifé le changement urbain comme un domaine d'études ayant les caractéristiques d'une discipline et d'une profession, elle propose un modèle à deux dimensions, la dimension institutionnelle et celle des connaissances. Ces deux dimensions conduisent à l'dentification de quatre types d'activités ausein du changement urbain: la pratique et les sciences de l'analyse et la pratique et les sciences de l'intervention. La discussion continue ensuite sur l'intervention considérée comme une pratique et un ensemble de disciplines. Il est avancé que l'urbanisation, la globalité, la complexité et le concept de métaproblèmes sont de plus en plus les determinants fondamentaux de l'intervention dans le changement urbain. La troisième section, enfin, propose divers moyens institutionnels pour promouvoir une meilleure intégration du savoir. Des centres et foyers de recherche de natures diverses sont suggérés ainsi qu'une structure nouvelle pour l'université, celle de l'université transdisciplinaire. La troisième partie propose, en guise de conclusion, une meilleure intégration des connaissances et de la gestion urbaine par l'instauration d'une focalisation commune sur le futur qui prendrait place au niveau des laboratoires de dessein de systèmes dans l'université transdisciplinaire et où se concrétiseraient les réseaux interorganisationnels suggérés dans la première partie.  相似文献   

17.
Abstract. The tremendous upsurge in public-sector collective bargaining in the last decade has prompted a search for new types of dispute settlement, particularly in so-called essential services. The right to strike for public employees has not been accepted in many jurisdictions, particularly in the United States. Compulsory arbitration is rejected widely by both union and management representatives hecausc it fails to take into account the dynamics of the negotiating process, stultifying rather than encouraging bargaining. Final offer Selection is presented as a possible alternative to strikes and arbitration. The process has been utilized effectively in the United States, particularly in Michigan and Wisconsin. It has not received popular acceptance thus far in Canada, although the committee established to propose new labour legislation in hlanitoba has recommended it. The University of Alberta has used it for determination of faculty disputes and the Ontario Hydro Engineers have also used it. The Finkelinan Report on suggested changes in the federal public service legislatioii refers to it as a possible dispute-settling device. There are many variations of final offer arbitration but, in general, it requires that after negotiations have reached an impasse, an arbitrator, upon hearing the final positions of the parties, would select the ‘most reasonable’ offer. The arbitrator would not be free to compromise hut would be required to accept one pusition or the other in toto. The attractiveness of the process stems from the impetus given to reach agreement on as many issues as possible so that the gamble of convincing the arbitrator is lessened and he has fewer items to consider when making his choice. Thus, the theory stresses the importance of the parties being ‘reasonable’ in their demands. Critics of the system believe that it turns the adjudication process into a poker game and have referred to it as ‘industrial relations roulette.’ With all its disadvantages, to an organization like Michigan Firefighters Union, which cannot countenance a strike, or to the public, which must endure the inconvenience and expenses of strikes in the public service, final position arbitration has much to be said in its favour. Sommaire. L'énorme multiplication des négociations collectives dans le secteur public au cours de la dernière déennie a suscité des recherches pour trouver de nouveaux moyens de resoudre les différends, surtout en ce qui concerned les services dits ‘essentiels.’ De nombreuses juridictions, en particulier aux Etats- Unis, ont refusé le droit de grève aux employés du secteur public. L'arbitrage obligatoire est trés souvent rejeté par les syndicats comme par les employeurs, parce qu'il ne tient pas compte de la dynamique du processus de négociation et tend à restreindre les échanges plutôt qu'à les encourager. Le choix entre des offres définitives est considéré comme une possibilité par rapport à la gré ou à l'arbitrage. Ce processus a été utilisé efficacement aux Etats-Unis et plus particuliérement dans le Michigan et le Wisconsin. II n'a pas eu jusqu'à présent beaucoup de succès au Canada, bien qu'il ait été recom-niandé au Manitoba par la Commission chargée de proposer une nouvelle législation du travail. L'Université de I'Alberta s'en est servie pour résoudre des dif-férends avec le corps enseignant, mmme dailleurs les ingénieurs de l'Ontario Hydro. Le rapport Finkelman qui a proposé des modifications àA lég législation fédérale répissant la fonction publique le mentionne également comme un inoven possible de résoudre des différends II v a toutes sortes de variantes de l'arbitrage des offres définitives mais en général, cette méthode exige que l'arbitre, lorsque les parties àB la négociation se trouvent dans une impasse, et que leurs offres sont définitives, choisisse la ‘plus raisonnable.’ L'arbitre n'est pas libre de faire un compromis entre les deux, il doit accepter I'une ou l'autre des offres in toto. L'intérét de ce processus est qu'il incite les parties à faire tous les efforts pour arriver à un accord sur le plus de questions possibles de façon à réduire la discrétion de l'arbitre. Les parties ont ainsi intérêt àêtre ‘raisonnables’ dans leurs demands. Les critiques du système ont peur que ce genre d'arbitrage transforme le processus d'adjudication en une partie de poker et certains ont appelé l'arbitrage des positions définitives ‘la roulette des relations industrielles.’ Malgé tous ces inconvénients, l'arbitrage des offres définitives demeure attrayant pour le svndicat des pompiers du Michigan qui ne peut pas envisager la grève et pour le public qui doit supporter les désagréments et !es coûts des gréves dans le service public.  相似文献   

18.
Abstract: The primary purpose of this article is to investigate the factors that predict the efficiency of residential recycling collection services in Canadian local governments. The findings are based on a survey of 128 residential recycling producers from all regions of Canada. One of the most significant findings is the lack of a relationship between private‐sector companies collecting recyclables and the overall efficiency of collection operations. The dominance of the private‐sector collection of recyclables (over seventy‐seven per cent of all producers were contracted companies) does not translate into greater efficiencies. The most important variables in the model are amenable to local control. They include tonnes collected per vehicle per year, requiring full bins, inclusion of composting operations in the overall recycling program, the number of different kinds of materials recycled, participation rate, and reliance on side‐loading collection vehicles. Among the direct predictors of unit costs, the key underlying factor is the productivity of residential recycling operations. Because recyclables are marketed, handling them takes time, reduces the weights that collection vehicles can carry, and generally reduces productivity. Even diligent efforts to improve productivity will not bring recycling costs down to the levels for residential solid‐waste collection. Sommaire: L'objectif principal du présent article est d'examiner les facteurs qui prévoient l'efficacité des services de collecte de produits recyclables résidentiels dans les municipalités canadiennes. Les résultats reposent sur un sondage réalisé auprès de 128 producteurs de collecte de produits recyclables résidentiels opérant dans toutes les régions du Canada. L'un des résultats les plus notoires est le manque de relations entre les sociétés du secteur privé qui récupèrent les produits recyclables et l'efficacité d'ensemble des opérations de collecte. La prédominance de la collecte de produits recyclables par le secteur privé (plus de soixante‐dix‐sept pour cent de tous les producteurs étaient des sociétés contractuelles) ne se traduit pas par une plus grande efficacité. Les variables les plus importantes du modèle peuvent faire l'objet d'un contrôle local. Elles comprennent les tonnes récupérées par véhicule par an, l'exigence de poubelles pleines, l'inclusion d'opérations de compostage au programme général de recyclage, le nombre de différentes sortes de matériaux recyclés, le taux de participation, et le recours à des camions de collecte à chargement latéral. Parmi les variables explicatives directes des coûts unitaires, le principal facteur sous‐jacent est la productivité des opérations de recyclage résidentiel. Comme les produits recyclables sont commercialisés, leur manutention prend du temps, réduit le poids que les camions de collecte peuvent transporter, et réduit d'une manière générale la productivité. Même des efforts diligents pour améliorer la productivité ne feront pas baisser les coûts du recyclage aux niveaux de ceux de la collecte des déchets solides résidentiels.  相似文献   

19.
Sommaire: Dans cet article, l'auteur fait d'abord le portrait, un peu sombre peut-être, des constats et préjugés qui font partie intégrante de la gestion des ressources humaines dans la fonction publique québécoise. Il y définit ensuite le contexte particulier de cette gestion par rapport aux autres types d'exercices administratifs: revue des programmes, plan d'équipement…, Puis il propose des outils pour la faciliter, principalement: les renseignements de base dont il faut disposer, un calendrier de travail intégrant les actions recurrentes et les temps forts et une gestion appropriée de son tenips par le gestionnaire pour qu'il s'occupe adéquatenient de son personnel. On voit ensuite comment la gestion des ressources humaines s'accorde à une certaine culture organisationnelle, comment chaque gestionnaire y est engagé et comment elle fait appel à des méthodes complémentaires les unes des autres (les relations interpersonnelles et la gestion en système). Puis l'auteur propose sept remarques, qui présentent autant de pistes qui devraient être explorées plus longuement: l'application du concept coûts-bénéfices à la gestion des resources humaines, les conséquences des contraintes budgétaires et la gestion des ressources improductives, les cours théoriques et le perfectionnement des gestionnaires. la surqualification et le vieillissement de la fonction publique, la modernisation de l'administration publique par un nouveau partage des pouvoirs et des responsabilités entre le gouvernement et ses gestionnaires ainsi que par l'expérimentation de techniques de gestion moderne avec des équipements adéquats, la redéfinition des rôdes des organismes eentraux et des ministères pour line plus grande imputabilité des gestionnaires et pour de nouveaux mandats pour les directions de personnel et la grande competence des hauts fonctionnaires dans un contexte malgré tout de dépendance continue. Enfin, en guise de postconclusion, on peut voir comment l'effort de rationalisation de la gestion des ressources humaines que la crise économique exige peut être bénéfique tant pour l'administration publique que privée. Abstract: This first section of this paper paints a somewhat dark picture of the views and biases which are an integral part of the management of' human resources in the Quebec civil service. Following that, the particular context of that management is defined in relation to other types of administrative endeavours such as program reviews, facility planning etc. Tools to make the management of human resources work more easily are then proposed; they include: basic required information; work schedules integrating routine actions with peak periods; proper management of the manager's own time in order for him to adequately look after his staff.  相似文献   

20.
Abstract. The Ombudsman represents a recent and interesting example of the transfer of political institutions across cultural boundaries. The Ombudsman was established in Alberta both as an attempt to assist the consumer of government services in coping with an increasingly complex bureaucracy and as a legislative auxiliary for controlling bureaucracy. The degree to which the Ombudsman is accepted or rejected by the public service is an important variable in measuring the success of the transfer. The usefulness of the Ombudsman as an innovation in the field of citizen-government relations depends to a considerable extent on the impact which the Ombudsman has on the provincial bureaucracy. Other than correcting a relatively small number of cases of maladministration, does the Ombudsman contribute to improving public administration? Are there dysfunctional consequences (e.g. hidden costs) in imposing yet another control agency on bureaucracy? How does the presence of the Ombudsman affect the behaviour of officials? In this article the author analyses part of the data from an extensive survey of a representative sample of the Alberta public service concerning officials' perception of and attitudes towards the Ombudsman. Several diverse attitude measures show that in the aggregate the provincial public service has a remarkably positive attitude towards the Ombudsman. Several variables are considered in search of an explanation for this attitude structure. The findings allow predictions about officials' behaviour in official-client interactions, which are also tested against direct and indirect data on behaviour obtained in the survey. Sommaire. Le Protecteur du citoyen (‘Ombudsman’) constitue un exemple particulièrement intéressant illustrant bien la tendance récente à transposer des institutions politiques au dela des frontières culturelles. Le poste de Protecteur du citoyen a été créé en Alberta dans le but d'assister le consommateur de services des administrations publiques dans ses relations avec une bureaucratie de plus en plus complexe, et d'exercer une fonction d'auxiliaire législatif capable de contrôler cette bureaucratie. Le mesure dans laquelle le Protecteur du citoyen est accepté ou rejeté par la fonction publique constitue une variable importante permettant de mesurer le succès de l'institution. L'utilité du Protecteur du citoyen considéré comme phénomène nouveau apparu dans le contexte des relations entre les citoyens et les pouvoirs publics dépend dans une large mesure de l'influence qu'il exerce sur la bureaucratie provinciale. Abstraction faite des mesures correctives apportées à un nombre relativement réduit d'erreurs et de lacunes administratives, le Protecteur du citoyen contribue-t-il à améliorer la qualité de l'administration publique? Faut-il craindre que l'imposition d'un nouvel organe de contrôle à la bureaucratic n'engendre des consequences liées à des troubles fonctionnels (par exemple des coûts non apparents)? Comment la présence du Protecteur du citoyen affecte-t-elle le comportement des fonctionnaires? Dans cet article, l'auteur analyse une partie des données recueillies dans le cadre d'une analyse détaillée d'un échantillon représentatif de la fonction publique en Alberta effectuée pour déterminer l'idée que les fonctionnaires se font du Protecteur du citoyen, et kurs attitudes à son égard. Diverses evaluations des attitudes indiquent que, dans l'ensemble, la fonction publique provinciale se distingue par une attitude extrêmement positive vis-à-vis du Protecteur du citoyen. L'auteur examine plusieurs variables pour essayer d'expliquer pourquoi cette attitude est structurée de la sorte. Les conclusions permettent de formuler des prévisions au sujet du comportement des fonctionnaires au niveau des contacts fonctionnaire-client, lesquels font également l'objet d'une analyse comparative faisant intervenir des données directes et indirectes sur le comportement obtenues dans le cadre de l'étude.  相似文献   

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