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1.
Abstract. This is the first of three articles on the Economic Council of Canada. It attempts to cover the establishment, structure, and functioning of the Council between 1963 and 1974 in a consistent and comprehensive manner. It also deals with the approaches and influence of three chairmen of the Council. The ‘primary tasks’ of the agency influence the selection of its senior personnel. Each chairman has influenced the performance of the Council in a manner consistent with his previous research and policy-making experiences. Given the lack of clarity in defining the Council's role at its establishment, this study of career development within the system has been most helpful in deducing the primary roles performed by the Council. The second article deals at greater length with the Council's roles in relation to external research and policy-making agencies. It is a more analytical paper than the first and isolates several potential roles which the Council was expected to perform. It shows how effective performance of these roles has required different interorganizational strategies with respect to the Council's relationship with various influential organizations and governmental agencies including the cabinet and Parliament. The third article deals with the problem of goals-formulation, given the fact that the Council at different points in time has grappled with the problem of articulating or quantifying ‘performance goals,’‘achievement goals,’ and ‘performance indicators.’ All three articles deal with different aspects of the Council's role in the Canadian policy-making system. They present important perspectives on comparative public-policy-making. Sommaire. Cet article est le premier d'une série de trois sur le Conseil économique du Canada. Il essaie de traiter de façon complète et logique de la création de la structure et du fonctionnement du Conseil entre 1963 et 1974. Il s'occupe également des attitudes et de l'influence des trois présidents du Conseil. Les responsabilités premières de l'agence ont un effet sur le choix des cadres supérieurs. Chaque président a influencé les performances du Conseil dans le sens de ses recherches et de ses choix de politiques antérieures. Le rôle du Conseil ayant été défini peu clairement à sa création, cette étude du développement des carrières au sein du système est très utile pour en dégager les rôes principaux. Le second article traite plus en détail des rôles jouks par le Conseil vis à vis de la recherche extérieure et des organismes qui déterminent les politiques. C'est un exposé plus analytique que le premier qui dégage différents rôles potentiels que l'on attendait du Conseil. Il montre comment leur exécution efficace demandait des stratégies inter-organisationnelles différentes, quant au rapport du Conseil avec des organisations influentes et des organismes gouvernementaux, dont le Cabinet et le Parlement. Le troisième article s'occupe du problème de la formulation des objectifs étant donné que le Conseil, à différentes époques, s'est attaqué au problème de l'élaboration de la quantification des « buts de performance «, des « objectifs à réaliser « et des « indicateurs de performance «. Ces trois articles traitent de différents aspects du rôle du Conseil dans le système canadien de détermination des politiques. Ils presentent des perspectives interessantes sur la prise de decision de politique publique de façon comparative.  相似文献   

2.
Abstract. The report reviews the circumstances surrounding the formation of the Council of Maritime Premiers, noting that the Council was established as an alternative to full Maritime Union, which had been the basic recommendation of the Maritime Union Study by the late Dr J.J. Deutsch. The Deutsch study further recommended that union be achieved by three specific steps; establishing the Council represented an alternative approach to Maritime cooperation which was endorsed by the three premiers. The report recapitulates the seven major tasks proposed for and by the Council in 1971, and recounts the initiatives of the Council to those ends. It describes the administrative structure set up as the Council Secretariat, and the foundation of the four agencies: the Maritime Resource Management Service, the Land Registration and Information Service, the Maritime Provinces Higher Education Commission, and the Maritime Municipal Training and Development Board. Quoting from speeches by the premiers given in 1971, the report outlines the justifications for the roles and attitudes adopted by the Council in fostering Maritime cooperation. It also notes briefly the major activities, decisions and tasks accomplished by the Council in its first five years. The report includes some evaluation by the author and several recommendations with regard to establishing a Maritime Commission, strengthening the Regional Treasury Board, extending public awareness of the Council, encouraging official provincial participation, and clarifying the joint interprovincial role of the Council. The report concludes with quotations from the press indicating public confidence in the existence of the Council. Sommaire. Ce rapport examine les circonstances dans lesquelles s'est formé la Conseil des premiers ministres des Maritimes. L'auteur note que la création du Conseil a été l'alternative à l'union des Maritimes, qui avait été la recommandation fondamentale de l'étude de cette question par feu le Dr J. J. Deutsch. L'étude Deutsch recommandait aussi que l'union soit l'aboutissement d'une démarche en trois étapes spécifiques; l'établissement du Conseil repré- sentait la solution de rechange pour la coopération des Maritimes, et elle fut adoptée par les trois premiers ministres. L'auteur du rapport récapitule les sept tǎches principales proposées pour et par le Conseil en 1971 et décrit les initiatives que celui-ci a prises pour les exécuter. II décrit la structure administrative qui sert de secrétariat au Conseil et la création de quatre organismes: le Service de gestion des ressources des Maritimes, le Service des renseignements fonciers et du cadastre, la Commission de l'enseignement supérieur des Provinces maritimes, et le Conseil des Maritimes pour la formation et le perfectionnement des employés municipaux. Le rapport donne des extraits des discours prononcés en 1971 par les premiers ministres, exposant les justifications des rǒles et attitudes adoptés par le Conseil pour favoriser la coopération des provinces de l'Atlantique. Il indique aussi brièvement les principales activités, décisions et réalisations du Conseil, pendant ses cinq premières années d'existence. Le rapport offre une certaine évaluation de la part de l'auteur et plusieurs recommandations concernant l'établissement d'une Commission des Maritimes, le renforcement du Conseil régional du trésor, une plus grande conscience, de la part du public, de l'existence du Conseil, l'encouragement à une participation provinciale officielle et la clarification du rǒle interprovincial du Conseil. L'auteur termine avec des citations de la presse qui montrent que le Conseil s'est acquis la confiance du public.  相似文献   

3.
Abstract. This paper examines the problems encountered by the Canada Council in defining its status, and particularly its relationships with government and with its clientele, during its first twenty-one years. It deals primarily with the Council's experience in the support of the humanities and social sciences. The Council was created as a public body, in some respects resembling a government agency, but in others more like a private foundation. In its dealings with the academic community, the Council's public status made it more susceptible to criticism by scholars, especially after 1965 when growing revenues gave it a near-monopoly in support of research and scholarship. Failure to develop adequate links with that community in its first eight years led to persistent demands from scholars for a new organization, and increased the Council's vulnerability to a changing government view of its role. Although the introduction of annual appropriations in 1966 necessitated a new working relationship with the government, this was accomplished initially with no loss of the Council's autonomy. From the late sixties on, however, the Council experienced growing difficulty in maintaining an arm's-length relationship with the government in the face of persistent efforts to subsume its policies and priorities within a unified framework of government objectives. The paper argues that, in the support of scholarship and the arts, the public interest is better served by the original concept on which the Canada Council was based, namely as a public but non-governmental organization. Sommaire. L'auteur de cet article étudie les problèmes qu'a rencontré le Conseil des Arts en voulant définir son statut, et plus particulièrement ses rapports avec le gouvernement et avec sa clientèle, pendant ses vingt-et-une années d'existence. II porte une attention particulière à l'expérience du Conseil du point de vue de l'aide apportée aux humanités et aux sciences sociales. A sa création, le Conseil était une institution publique qui, d'un certain point de vue, ressemblait à un organisme gouvernemental mais qui, aussi à d'autres égards se rapprochait davantage d'une fondation privée. Dans ses rapports avec la communauté universitaire, le statut public du Conseil se prêtait à la critique des universitaires, particulièrement après 1965, lorsque l'augmentation de ses revenue Iui donna le quasi-monopole des bourses et des subventions. Le Conseil n'ayant pas réussi àétablir des relations satisfaisantes avec cette communauté durant les huit premieres années, les universitaires réclamèrent avec beaucoup de persistence un nouvel organisme, ce qui ne fit qu'accroître la vulnérabilité du Conseil à une nouvelle perception de son rôle de la part du gouvernement. Bien que l'introduction, en 1966, d'appropriations annuelles ait nécessité de nouvelles relations de travail avec le gouvernement, ceci s'est fait initialement sans que le Conseil ne perde son autonomie. Toutefois, à partir de la fin des années 60, le Conseil éprouva de plus en plus de difficultés à garder ses distances par rapport au le gouvernement, alors que celui-ci s'efforçait, avec beaucoup de persistance, de canaliser ses politiques et ses priorités dans un cadre unifié d'objectifs gouvernementaux. L'auteur soutient qu'en ce qui concerne le support à l'enseignement et à la recherche, l'intérêt du public est mieux servi par le concept original sur lequel le Conseil des Arts était fondé, c'est-à-dire celui d'un organisme public mais non-gouvernemental.  相似文献   

4.
Sommaire: Aux différents paliers de gouvernement, les services de communication publique ont vu leur fonction et leur rôle se modifier pour prendre, dans certains cas, une place importante dans le processus décisionnel des administrations publiques. Cet article analyse les raisons d'une telle évolution en regard du processus de gestion des affaires publiques et s'interroge sur l'impact qu'elle peut avoir sur le processus démocratique dans son ensemble. Après avoir analysé d'une part les relations diverses qu'entretiennent les administrations privées et publiques avec leur environnement, et d'autre part la transposition du modèle de marketing aux activités gouvernementales, on tente de situer les fonctions de communication des administrations publiques au sein d'un système d'interactions incluant l'exécutif gouvernemental, l'environnement public et les médias. Selon le sens de circulation et les flux d'informations, les services de communication exercent plus ou moins une fonction traditionnelle de diffusion vers l'environnement ou une fonction conseil auprès des décideurs. L'importance croissante de cette dernière fonction, s'appuyant sur l'analyse des attentes des administrés, minimise la légitimité des choix politiques des élus et mène à une nouvelle forme de démocratie. Ces considérations s'appuient principalement sur les énoncés de politiques de communication exprimés par les divers paliers de gouvernements, et sur les entretiens non-directifs menés par les auteurs auprès de dix responsables des communications des gouvernements fédéral, provincial, municipaux et scolaires.  相似文献   

5.
Sommaire: Premier fonctionnaire de la municipalité, le directeur général effectue le lien entre le conseil municipal constitué d'élus et le personnel administratif. Il veille à l'exécution des décisions du conseil et supervise l'ensemble des activités administratives. La Loi sur les cités et villes nous renseigne sur les fonctions et rôles principaux que doit exercer le directeur général de la municipalité. Mais il s'agit là de balises qui ne sauraient couvrir entièrement toutes les dimensions des activités et des comportements administratifs liés à l'occupation de ce poste. L'examen des fonctions et des rôles du directeur général se veut une réflexion sur les moyens et conditions d'accroissement de la connaissance du travail de ces administrateurs, le tout dans la perspective d'une gestion améliorée de l'organisation municipale. Pour ces raisons, la recherche a pour objectifs de présenter les résultats d'une enquête faite auprès des directeurs généraux des municipalités du Quebec et portant sur l'analyse de leurs rôles et fonctions. Le texte décrit d'abord les origines de la fonction, discute de l'encadrement législatif et trace le profil socio-professionnel des directeurs généraux, identifie les fonctions dans lesquelles les directeurs généraux interviennent, et termine en cernant les rôles exercés par les directeurs généraux. Abstract: A municipality's top civil servant, the executive director, is the link between the municipal council consisting of elected members, and the administrative staff. He or she ensures that council decisions are implemented and supervises all administrative activities. The main tasks and roles of the executive director of a municipality are specified in the Cities and Towns Act. However, these are only benchmarks that cannot cover every facet of the activities and administrative actions connected with that position. This analysis of the functions and roles of the executive director is an examination of the ways and means to increase the working knowledge of these administrators, for improved municipal management. The purpose of the study is thus to present the results of a survey of executive directors of Quebec municipalities, involving an analysis of their roles and functions. The origins of the position are discussed first, then the legislative framework; the socio-professional profile of executive directors is outlined, the areas in which executive directors act are identified, and, in conclusion, the roles of executive directors are defined.  相似文献   

6.
Sommaire. Les programmes de développement régional du gouvernement fédéral ont suscité toutes sortes de controverses. Bien que l'on s'accorde généralement pour reconnaître la nécessité de réduire les disparités régionales au Canada, du point de vue revenu et possibilités d'emploi, il semble difficile d'arriver à un accord sur les façons dont on pourrait réduire ces disparités. Le gouvernement fédéral a tendance maintenant à considérer que c'est en encourageant les possibilités d'emploi dans les régions défavorisées que l'on a les meilleures chances de succès, au lieu de ← siphoner → le surplus de main d'æuvre. C'est cette attitude fondamentale et les moyens envisagés qui sont disputés. L'auteur de cette communication fait abstraction des opinions passionnées et des interprétations possibles auxquelles peut donner lieu l'examen des measures prises par le gouvernement fédéral dans le domaine du développement régional. Il s'attache, au contraire, à présenter les arguments qui déterminent la proportion optimale de programmes de migration et de développement régional. Les objectifs de maximisation de l'essor national et de réduction des disparités régionales étant établis, il considère, du point de vue de la pleine utilisation de la main d'?uvre, l'allocation optionnelle des ressources et l'application des principes économiques keynésiens.  相似文献   

7.
Abstract. This article exmines the relationship between government regulation and interest group activity of two paramedical groups in Ontario: chiropractors and physiotherapists. These disciplines occupy positions vis-à-vis the provincial medical insurance plan opposite to those which their relationships with the medical profession would suggest. It will be argued that the employment of sophisticated pressure group tactics can be highly effective as a surrogate for medical recognition. This, in conjunction with the difficulties inherent in the exercise of lay judgment in the development of public policy toward the professions, can lead to controversial policy outputs. It will also become apparent that a close and legitimate association with the medical profession is not necessarily of benefit in the pursuit of professional recognition. Sommaire: Cet article examine les rapports entre les règlements gouvernementaux et les activités poursuivies par deux groupes pararnédicaux en Ontario pour défendre leurs intétrêts: les chiropraticiens et les physiothérapeutes. Du point de vue du traitement qui leur est accordé dans le cadre du Régime provincial d'assurance maladic, ces disciplines occupent des position? qui sont diamétralement opposées à ce que l'on s'attendrait à trouver compte tenu des rapports qu'ils entretiennent avec les médecins. On peut faire valoir que l'utilisation de tactiques perfectionnées propres à promouvoir les objectifs des groupes de pression peut être hautement efficace comme moyen de remplacer les avantages que confère la reconnaissance par le corps médical. Le recours a de telles tactiques, dans un contexte caractérisé par les difficultés inhérentes à la tâche que doivent accomplir des profanes chargés d'émettre un jugement lors de l'élaboration d'une politique publique à. l'égard de ces professions, peut aboutir à des résultasts qui, considérés du point de vue de cette politique, peuvent donner lieu à controverse. On pourra également constater qu'une association étroite et légitime avec le corps médical ne constitue pas nécessairement un avantage pour un groupe qui s'efforce d'obtenir la reconnaissance de son statut professionnel.  相似文献   

8.
Abstract. This paper is concerned with future urban change in Canada. Part A deals with bringing about urban change. Part B is about knowledge required to make urban change. Part A begins by discussing a model of the urban future and closes with a discussion of the system of public and private organizations for urban management. Part B begins by distinguishing “knowledge roles’ for urban change, and goes on to discuss the role of knowledge in intervention. It closes with a discussion of the knowledge organization (illustrated by the university), and the means by which it might support the making of urban change. Part C relates the first two parts by suggesting how the mutual support of the knowledge organization (e.g. the university) on the one hand, and the system of public and private organizations that manage urban activities on the other, might be improved. Sommaire. Cet article traite du changement urbain au Canada et de son évolution future. Dans la première partie, la discussion porte sur le changement urbain lui-même, tandis que la seconde partie est consacrée au savoir relié au changement urbain. La troisième partie enfln suggère différentes manières de réaliser le lien entre le savoir et l'action en vue d'améliorer la qualité de nos interventions. La première partie débute en proposant un modèle du ‘futur urbain.‘ Cemodèle introduit deux types de planification, la planification projective, quis'appuie sur des extrapolations, et la planification prospective, qui s'appuie sur des prospectives du futur. Ces deux types de planification sont élaborés en relation avec les quatre sous-systèmes du système socio-technique, à savoir les systemes des ressources humaines, des activités humaines, des ressources physiques et des interventions physiques. Le type de relations que l'on perçoit ainsi que la manière de les considérer définissent le processus de planification que Ton adopte. Ce peut être un processus purement projeetif, un processus purement prospectif ou un processus conjoint prospectif-projectif. Des exemples de ces divers processus sont présentés. Dans la deuxième section de cette première partie, diverses manières d'organiser la gestion urbaine sont avancées, et il est suggéré qu'un réseau interorganisationnel à double intéiêt à la fois projectif et prospectif est désirable. La troisième section, enfin, propose un premier pas dans l'établissement d'untel réseau. Ce premier pas serait la création d'un petit réseau d'organisations qui s'engagerait dans le processus projeetif-prospectif suggéré auparavant. Cepetit groupe jouerait un rôle de catalyseur et pourrait stimuler un processus plus vaste si les résultats atteints se révelaient intéressants. La deuxième partie commence par distinguer différents rôles pour le savoir. Après avoir identifé le changement urbain comme un domaine d'études ayant les caractéristiques d'une discipline et d'une profession, elle propose un modèle à deux dimensions, la dimension institutionnelle et celle des connaissances. Ces deux dimensions conduisent à l'dentification de quatre types d'activités ausein du changement urbain: la pratique et les sciences de l'analyse et la pratique et les sciences de l'intervention. La discussion continue ensuite sur l'intervention considérée comme une pratique et un ensemble de disciplines. Il est avancé que l'urbanisation, la globalité, la complexité et le concept de métaproblèmes sont de plus en plus les determinants fondamentaux de l'intervention dans le changement urbain. La troisième section, enfin, propose divers moyens institutionnels pour promouvoir une meilleure intégration du savoir. Des centres et foyers de recherche de natures diverses sont suggérés ainsi qu'une structure nouvelle pour l'université, celle de l'université transdisciplinaire. La troisième partie propose, en guise de conclusion, une meilleure intégration des connaissances et de la gestion urbaine par l'instauration d'une focalisation commune sur le futur qui prendrait place au niveau des laboratoires de dessein de systèmes dans l'université transdisciplinaire et où se concrétiseraient les réseaux interorganisationnels suggérés dans la première partie.  相似文献   

9.
Sommaire. L'un des principaux problèmes dans notre société dans les années à venir est celui des relations entre le gouvernement et les citoyens. Cette question est l'une des plus importantes au moment où on s'interroge de plus en plus sur le rôle des grandes institutions publiques et privées. L'un des moyens par lequel le gouvernement peut devenir plus souple et plus sensibiliséà certains besoins et à certains problèmes est par la décentralisation. Ceci implique premièrement le déplacement d'unités et de functions du gouvernement fédéral situées dans la Région de la Capitale nationale et dans d'autres centres urbains importants vers d'autres régions du pays; et, deuxièmement, l'attribution de plus d'autorité aux agents qui travaillent à l'extérieur de la Région de la Capitale nationale. La décentralisation physique peut aider l'unité nationale en assurant la présence du gouvernement fédéral dans toutes les régions du pays; elle peut aider l'expansion économique régionale par le déplacement judicieux d'opérations gouvernementales dans des régions moins avantagées du pays; elle peut contribuer à une croissance urbaine équilibrée en aidant le développement des communautés plus petites. La décentralisation d'autorité met l'accent sur la souplesse et l'efficacité de la réalisation des programmes et de la formulation des politiques. L'application d'une politique de décentralisation doit se faire dans le cadre de certaines contraintes. II est nécessaire de maintenir l'uniformité, à l'échelle nationale, d'un grand nombre de politiques et de programmes et il faut assurer que l'autorité ministérielle ne soit pas diluée; il est nécessaire d'assurer la responsabilité des programmes dont les objectifs et les critères de réussite ne sont pas faciles à quantifier; il faut maintenir l'efficacité opérationnelle d'une unité; et il faut assurer un traitement équitable pour les employés et leurs families. Abstract. One of the major issues which must be addressed in the years to come is that of the relationship between government and citizens. This is especially important at a time when the role of large organizations, whether public or private, is coming under increasing scrutiny. Decentralization is a means of increasing the sensitivity and responsiveness of big government. Decentralization involves both the relocation of federal government units and functions from the National Capital Region and other major urban centres towards other areas of the country and the delegation of more authority from headquarters to officers in the field. Physical decentralization can contribute to national unity by an increased federal presence throughout the country; it can contribute to regional economic expansion by the judicious location of units in disadvantaged areas; it can contribute to improved demographic patterns by setting precedents for relocation from major urban centres. Decentralization of authority can enhance the sensitivity and over-all effectiveness of both program delivery and policy formulation. The constraints on decentralization include the need to retain national consistency of many policies and programs, the need to ensure that ministerial influence is not diluted, the need to ensure accountability in programs in which the objectives and criteria for success are not easily quantifiable, the need to ensure the maintenance of operating effectiveness of a unit, and the need to ensure equitable and humane treatment of employees and their families involved in relocation.  相似文献   

10.
Abstract. In planning, goals arise out of analysis. Only when the implications of alternative actions are understood can effective choices be made. But an examination of writings of early planners shows that the town planning movement in Canada historically has combined efficiency with idealism to formulate goals which have been widely advocated in Canadian society. Typical of this approach were the notions that decent, safe, and sanitary housing provides a healthier atmosphere and that healthy workers produce more. Minimum housing standards and pressure to increase the supply of housing have resulted in government channelling resources into the provision of shelter that the private market would not undertake. Yet the housing problem still exists. But the historical approach of town planning neglects analysis. It does not consider all the implications of the position being advocated, nor does it investigate the opportunity costs of that position. It has tended to be confined by traditional planning solutions, most of which were conceived before 1920. It is suggested that planning should be problem-oriented, that goals should develop through an analytic process, and that solutions should be evaluated. This requires a change from the traditional planning paradigm of ‘goals, analysis, and plan’ to priority for problem definition and analysis as the basis for defining goals and possible solutions. If there is need for an a priori goal for planning, it would be simply a better city or region. Sommaire. Lorsque l'on planifie, les buts découlent de l'analyse, mais ce n'est que lorsque l'on a dégagé les implications des différentes possibilités que l'on peut procéder à un choix. Cependant un examen des écrits des premiers planificateurs révèle que le mouvement de l'urbanisme, au Canada, a combiné efficacité et réalisme pour formuler des objectifs qui ont été très largement diffusés dans la société canadienne. Un exemple typique de cette approche est l'idée que des logements décents, salubres et sans danger créent une atmosphère plus saine et que des travailleurs en bonne santé sont de meilleurs producteurs. Des nonnes de logement minimales, combinées aux pressions exercées sur le gouvernement pour augmenter le nombre des logements, ont eu pour conséquence l'allocation de fonds par le gouvernement pour la construction de logements que le marché privé n'assumait pas. Et pourtant le problème du logement n'a pas été résolu. L'approche traditionnelle de l'urbanisme néglige l'analyse. Elle ne prend pas en considération toutes les implications de la position adoptée et n'examine pas les coûts de cette position. Elle a tendance à s'en tenir aux solutions traditionnelles dont la plupart datent d'avant 1920. On a proposé une planification axée sur les problèmes, dont les buts seraient établis grâe au rocessus d'analyse et dont les solutions feraient l'objet d'une évaluation. Cela demanderait une modification de la séquelle traditionnelle ‘buts, analyse et plan’ pour commencer par la définition des problèmes et l'analyse, qui serviraient alors de base à la formulation des objectifs et des solutions. Si l'on veut à tout prix un objectif à priori pour la planification, pourquoi pas simplement l'amélioration de la ville ou de la région?  相似文献   

11.
Sommaire: La littérature en études managérielles et en gestion des ressources humaines concemant la décroissance organisationnelle et la réduction des effectifs maintient depuis une quinzaine d'années que leur principal effet néfaste serait le syndrome du survivant. Menace très réelle A l'accroissement de l'efficacité et de I'effi‐cience recherché par la décroissance organisationnelle, le syndrome du survivant nécessiterait d'être combattu par des pratiques de gestion des ressources humaines stratégiques pouvant éliminer ou amoindrir les symptômes couramment associés à ce syndrome. Cette recherche s'intéresse aux variations du syndrome du survivant dans des organisations de I'administration publique fédérale au Québec suite à sa sévère réduction des effectifs durant les années quatre‐vingt‐dix. Construite à partir d'un questionnaire complété par 3 307 fonctionnaires de vingt‐trois (23) ministères et agences de la Fonction publique fédérale du Canada répartis dans les seize (16) régions administratives du Québec, cette recherche suggère que le syndrome du survivant est un phénomène de faible intensité dans le cas des fonctionnaires fédéraux du Québec. Elle suggère également, suite à l'analyse factorielle et la régression linéaire, que les pratiques de gestion des ressources humaines privilégiées dans ces organisations publiques n'expliquent que très faiblement la variation des symptômes couramment associés au syndrome du survivant. En ce sens, cette recherche dément le discours pratique dominant sur le syndrome du survivant et le guide d'action managériel qui le sous‐tend, sans pour autant suggérer que la réduction des effectifs soit une décision et un processus exempt de tout effet pervers ou de conséquence non voulue. Abstract: Mainstream literature in human resource management (hrm) and managerial studies have suggested repeatedly over the last fifteen years that the main unintended consequence of downsizing is the so‐called survivor syndrome, a potentially  相似文献   

12.
Abstract. It is ten years since the Glassco Commission called for a drastic reduction in the numbers and in the scope of the administrative controls exercised on the departments of the federal government by the Treasury Board. But the Glassco slogan ‘Let the managers manage’ is not subtle enough to cope with the delicate question of how to give the maximum managerial freedom to departments while retaining for the Treasury Board enough supervision to satisfy the constitutional principle that the Cabinet is collectively responsible for the policies and administration of each department. The Treasury Board is trying to solve the problem by working out guidelines and audit mechanisms to take the place of rules and regulations in administrative life. While this is going on the Board has had to adjust to the emergence since 1968 of the Committee on Priorities and Planning as the senior cabinet committee on broad expenditure policies. At the same time collective bargaining, new budgeting systems and the bilingualism program have wrought great changes in bureaucratic life. The ‘clients’ of the Board, the operating departments, welcome most of the changes but feel that the delivery of the promised reforms is far too slow. Sommaire. Il y a dix am que la Commission Glassco a recommandé une réduction importante du nombre et de I'envergure des contrôles administratifs exercés sur les départements du gouvemement fédéral par le Conseil du Trésor. Mais la devise Glassco, “La gérance aux gérants”, ne s'est pas révélée assez subtile pour donner la plus grande liberté de gérance aux départements tout en conser-vant pour le Conseil assez de pouvoir de surveillance pour se conformer au principe constitutionnel selon lequel le Cabinet est responsable des politiques et de l'administration de chaque département. Le Conseil du Trésor essaie de régler ce problème en établissant des directives et des façons de vérifier qui prendraient la place des règles et des ordonnances de la vie administrative. Pendant ce temps, le Conseil du Trésor a dû s'habituer, depuis 1968, à une nouvelle réalité:depuis ce temps, en effet, le Comité des Priorités et de la Planification est devenu le principal comité du Cabinet en ce qui a trait aux dépenses importantes. Ceci, alors même que les conventions collectives, de nouvelles façons d'établir le budget et le programme du bilinguisme apportaient des changements importants dans la bureaucratie. Les “clients” du Conseil du Trésor, c'est-à-dire les départements, accueilIent d'un bon oeiI la plupart des changements mais croient que la mise en euvre des réfonnes préuves est beaucoup trop lente.  相似文献   

13.
Abstract. Since the establishment of the office of Secretary to the Cabinet thirty years ago, there have been a number of changes in the way the cabinet operates, one being in the cabinet committee system which has passed through three distinct phases and is now in a fourth. Nine standing committees exist, with significant changes in procedure, permitting ministers to participate more fully in discussion and to share responsibility better. The Cabinet Committee on Priorities and Planning, established in 1968, deals with broad objectives, main questions of policy with long-term implications and with priorities for broad financial allocation. With the complexity of government and the scale of die elements of complexity increasing, the demands on ministerial time have become overwhelming. The Operations, Plans and Federal-Provincial Affairs Divisions of the Privy Council Office, with a small and discreet staff constantly changing to avoid the formation of a ruling elite, assist the prime minister, cabinet and cabinet committees in the total process of decision-making and in assuring a coherence of policy. Attempts are made to provide the central executive with full information and optimum freedom in taking the decisions for which parliament and the people of Canada have given them responsibility. Sommaire. Depuis la création du poste de secrétaire du Cabinet, il y a une trentaine d'années, il s'est produit un certain nombre de changements dans le fonctionnement même du cabinet. Citons, entre autres, le système des comités du cabinet qui est passé par trois phases distinctes et se trouve maintenant dans une quatrième phase. Il existe neuf comités permanents dont la procédure a subi d'importantes modifications pour permettre aux ministres de prendre une part plus active aux discussions, et de mieux partager les responsabilités. Le comité du cabinet chargé de l'établissement des priorités et de la planification, établi en 1968, s'occupe des objectifs généraux, des lignes de conduit A long terme et des priorités pour l'allocation générale des fonds. A cause de la complexité du gouvernement et de l'ampleur croissante de ses responsabilités, l'emploi du temps des ministres est devenu incroyablement chargé. Les sections des Opérations, des Plans et celle des Affaires fédérales-provinciales du Conseil privé, avec un personnel peu nombreux et discret, constamment renouvelé pour éviter la formation d'une élite trop influente, aident le premier ministre, le cabinet et les comités du cabinet à prendre les decisions qui s'imposent et à assurer la cohérence de la politique du gouvernementale. Elles s'efforcent de fournir à l'exécutif central toute information utile et de lui assurer le maximum de liberté pour prendre les décisions dmt l'ont chargé le parlement et le peuple canadien.  相似文献   

14.
Abstract. Throughout its thirty-eight-year history, the cbc has been subject to almost constant controversy, The 1968 Broadcasting Act attempted to define more clearly the role of the Corporation within the broadcasting system by laying down certain broad objectives, but controversy continues, most recently at the crtc public hearings on the applications by the Corporation for renewal of its radio and television network licenses. This paper attempts to clarify five of the most controversial of the objectives: to define certain variables in terms of which the objectives can be quantified and cbc scores calculated; to establish target ranges within which the cbc's degree of success in achieving its objectives can be measured, both historically and at present; to construct a ‘grid’ whereby cbc probable audiences and program costs can be predicted; and to outline at least one possible strategy for the cbc to pursue in the future. the better to achieve its objectives given probable financial constraints. The paper deals primarily with the English television network, which came in for the bulk of the criticism at the crtc hearings, but could be extended to French television and, more difficult, to cbc radio. Sommaire. Durant les 38 années de son existence, Radio-Canada a fait l'objet de controverses presque constantes. La loi sur la radiodiffusion de 1968 a essayé de définir plus clairement le rôle de la Société dans le cadre du système de radiodiffusion en fixant certains objectifs généraux. Néanmoins, la controverse continue et Ie dernier cas s'est présenté aux audiences publiques du crtc au sujet des demandes de la Société pour le renouvellement des permis de son réseau de radio et de télévision. L'auteur de cette communication essaie d'éclaircir cinq des objectifs les plus controversés; de définir certaines variables par rapport auxquelles les objectifs peuvent êre quantifiés et les performances de Radio-Canada évaluées; d'établir les critères selon lesquels le degré de succès de Radio-Canada dans la réalisation de ses objectifs puisse êre mesuré, à la fois historiquement et à l'heure actuelle; d'élaborer une « grille « permettant d'estimer les auditoires probables et les coûts des programmes de Radio-Canada et d'exposer au moins une stratégie possible que la Société pourrait adopter à l'avenir et qui favoriserait la réalisation de ses objectifs, compte tenu des restrictions financières probables. Cet exposé porte surtout sur le réseau de télévision anglophone qui a été le plus critiqué aux audiences du crtc, mais il pourrait s'appliquer à la télévision francophone et avec plus de difficulté, A la radio.  相似文献   

15.
Sommaire: L'évaluation de la performance des organisations chargées de la prestation des services publics est le plus souvent abordée par le biais de l'analyse des programmes. Cette démarche s'applique difficilement à l'appréciation du degré de réalisation de la mission qui leur est confiée. L'analyse de la problématique du secteur de la justice permet de dégager les trois grands objectifs qui devraient être poursuivis par les systémes judiciaires. 11s ont trait à la qualité de cette justice, à l'accessibilité et à la célérité avec laquelle elle est rendue. Cette problématique est illustrée à partir du cas de l'appareil judiciaire québécois, défini ici cornme un système d'action. Les conditions de réalisation de la mission des systémes judiciaires sont présentées à partir de cet exemple. Divers moyens de mesurer le degré d'atteinte des objectifs sont ensuite dégagés. Enfin, une série d'indicateurs est définie pour certains d'entre eux. Abstract: The evaluation of the performance of public organizations is generally done through program analysis. But another approach should be used to measure the level of achievement of the mission assigned to an institution such as the court system. In this article, we tried to determine how the performance of the judicial apparatus might be evaluated. We considered that the mission of this apparatus refers to three fundamental objectives: the quality of justice, its accessibility, and the absence of undue delays. Referring more specifically to the case of the Quebec judicial system, we examine how the degree of achievement of these objectives might be evaluated.  相似文献   

16.
Abstract. This paper examines the process of planning a program and assigning priorities in the Canada Counci?s support of scholarship and research. This requires a differentiation of claims on the Counci?s resources. The primary basis of this categorization was the nature of the activity for which support was requested. Although other bases of differentiation entered into the administration of the program - the characteristics of the claimants, the kinds of expenditure for which subsidies were sought, the academic disciplines and the content of the proposed research - they were found to be unsuitable for program planning and the allocation of resources. Once claims were categorized, the simplest way to define priorities was to identify which kinds of claims would be considered and which were excluded, with an undertaking to meet all of the former that passed a test of quality. From 1965 to 1969 the Council relied heavily on this approach, both because it offered the clearest statement of priorities and because it was thought to provide the greatest stimulus to research and graduate studies. But from 1969 on, with its appropriation virtually frozen, the Council resorted increasingly to a more sophisticated approach which ascribed controlled allotments to a growing range of program elements and manipulated the response to claims in each category to keep within the bounds of the allotments. The move to establish a new council for the humanities and social sciences, which would be subject to the budgetary and financial controls of the government, accelerated this transition by jeopardizing the financial flexibility on which the Canada Council had relied in treating the adjustment of priorities as an integral and continuous part of its program administration. Sommaire. .?auteur de cet article examine le processus de planification ?un programme et ?établissement de priorités en ce qui concerne le soutien que le Conseil des Arts accorde à?érudition et à la recherche. Ceci demande, tout ?abord, de trier les demandes ?aide au Conseil. Cette première catégorisation a été basée sur la nature de ?activité pour laquelle une subvention était de-mandée. Il y avait ?autres éléments de differéntiation à entrer en ligne de compte, à savoir: les caractéristiques des requérants, le genre de dépenses pour lesquelles des subsides étaient sollicités, les disciplines académiques et la teneur de la recherche proposée, mais ces éléments n'étaient pas considérés comme suffisants pour permettre la planification et ?allocation des ressources. Une fois les demandes catégorisées, la façon la plus simple de définir les priorités était ?identifier les demandes qui seraient considérées et celles quiseraient exclues tout en s'engageant à satisfaire toutes les demandes de la première catégorie ayant réussi un test de qualité. Entre 1965 et 1969, le Conseil a principalement utilisé cette approche, à la fois parce qu'elle offrait la formulation de priorités la plus claire et fournissait, pensait-on, un remarquable stimulant à la recherche et aux études graduées. Mais à partir de 1969, en raison de coupures budgétaires, le Conseil adopta de plus en plus une approche plus sophistiquee qui consistait à attribuer des sommes déterminées à une gamme croissante ?éléments de programme et à manipuler ?analyse des demandes dans chaque catégorie de facon à rester dans les limites des sommes déterminées. La création ?un nouveau Conseil pour les humanités et les sciences sociales, sujet aux contrôles budgétaires et financiers du Gouverne-ment, a accéléié cette transition en compromettant la souplesse financiére qui permettait au Conseil des Arts de traiter ?ajustement des priorités comme une partie intégrate et continue de ?administration de son programme.  相似文献   

17.
Abstract. Although monitoring relatively well the outputs of the economy, traditional measures of economic performance do not adequately reflect society's over-all welfare. Measures reflecting other aspects of the social system need to be developed systematically. Such measures have acquired the name ‘social indicators.’ The evolution of the present interest in the development of these measures can be traced to attempts in the United States to understand the impact of the space program on society. At the present time in Canada, certain federal and provincial government departments and organizations, as well as some private institutions, have embarked upon attempts to measure or evaluate activities such as health, security, education, leisure, and the environment. The considerable interest in these types of indicators is the result of the following interrelated factors: 1/ the general recognition of the inappropriateness of using economically oriented measures to gauge the over-all welfare of society; 2/ the tremendous growth of the government sector; and 3; the proliferation of numerous social tensions and pressures and the relative inability of social institutions to understand and come to grips with these kinds of problems. The definitions of social indicators employed by various groups generally tend to reflect one or more aspects of the four following major categories: selected social statistics, social accounting measures, measures of attitudes and perceptions, and variables in models of various aspects of the social system. The general approach employed by the Economic Council of Canada is compatible in principle with the last three, although our work is generally within the context of the last category. From the Council's viewpoint, society is seen as having the basic goals of well-being and equity; all other objectives are assumed to be contributory to these two primary goals. The social system is divided into various areas of concern which correspond to certain existing institutional realities. The social-indicator framework employed in essence reflects the full array of outputs and relative inputs for each area. The development of social indicators should lead to a better understanding of the socioeconomic processes at work with regard to certain defined or derived outputs. Both the decision-making and planning processes should benefit as a result. The area of education is provided as an example of one of the ways in which the Council approaches the development of social indicators in practice. Sommaire. Quoique l'on contrôle relativement bien les résultats de l'ékonomie, les mesures traditionnelles appliquées aux performances éonomiques ne reflétent pas suffisamment le bien-être général de la société. Il va falloir mettre au point des mesures qui nous renseignerant sur d'autres aspects du système social. C'est ce qu'on appelle les indicateurs sociaux. L'intérêt actuel qui se manifeste en faveur de l'élaboration de ces mesures part des efforts faits, aux Etats-Unis, pour comprendre l'impact du programme spacial sur la société. A l'heure actuelle, au Canada, certains ministères et organismes fédéraux et provinciaux, ainsi que des institutions privées, se sont lancés dans des essais d'évaluation portant sur des activités telles que santé, sécurité, éducation, loisir et environnement. L'intérêt considérable suscité par ces types d'indicateurs est le résultat des facteurs suivants, qui d'ailleurs réagissent les uns sur les autres: 1/l'admission générale que les unités de mesures économiques ne conviennent pas pour évaluer le bien être général d'une société 2/ la croissance considérable du secteur gouvernemental; 3/la prolifération des tensions et pressions sociales et l'incompétence relative des institutions sociales à comprendre et à résoudre ce genre de problèmes. Les définitions des indicateurs sociaux employées par différents groupes tendent à refléter un ou plusieurs aspects des quatre catégories principales suivantes: statistiques sociales sélectionnées, mesures de comptabilité sociale, mesures d'attitudes et des perceptions et variables dans des modèles de différents aspects du système social. L'approche générale adoptée par le Conseil économique du Canada est compatible en principe avec les trois dernières, bien que notre travail soit généralement dans le contexte de la dernière catégorie. Le Conseil a adopté comme point de vue que le bien-être et l'équité sont les deux objectifs fondamentaux: tous les autres sont considérés comme contribuant aux deux premiers. Le système social est divisé en différents domaines d'étude qui correspondent à certaines réalités institutionnelles. La structure des indicateurs sociaux est telle qu'elle constitue, pour chacun des domaines considérés, le reffet de la totalité des résultats (outputs) obtenus ou désirés, et celui de la contribution de leurs facteurs (inputs) relatifs. L'élaboration des indicateurs sociaux doit amener à une meilleure compréhension des processus socio-économiques du point de vue de certains résultats définis ou dérivés. Ceci devrait permettre d'améliorer les méthodes de planification et de prise de décisions. Le domaine de l'éducation sert à illustrer l'une des façons dont le Conseil aborde, dans la pratique, l'élaboration des indicateurs sociaux.  相似文献   

18.
Sommaire: L'objectif de cette étude est d'examiner l'efficacité du conseil d'admini tration des sociétés d'État a prévenir le lissage des bénéfices par les dirigeants. Les résultats de l'étude suggérent que la structure et la composition du conseil d'administration ont un impact sur la propension des dirigeants à lisser les bénéfices. Plus precisement, il apparait que plus les membres du conseil d'administration sont nombreux, plus grand est le risque pour les dirigeants de lisser les bénéfices. Ce risque croît aussi avec la présence au conseil d'administration de membres externes, c membres provenant de la fonction publique et lorsque les fonctions de President du conseil d'administration et de pdg sont occupées par une même personne. Enfin, lissage des bénéfices est réduit en présence d'un comié de vérification. Dans l'ensemble, sauf pour la question qui conceme l'indépendance des membres du conseil d'administration, ces résultats vont dans le sens des réformes actuelles sur gouvernance des sociétés en général et des sociétés d'État en particulier. Abstract: The objective of the study is to examine the effectiveness of the board directors of state‐owned enterprises (soes) in preventing managers from engaging earnings management. The results of the study suggest that board structure has an impact on earnings management activities. More precisely, it appears that soes with a large board are less inclined to curb managers from engaging in income smoothing than are soes with a small board. Also, the extent of income‐smoothing is great when the proportion of outsiders on the board increases, when the board is mo dependent on the political process, and when the roles of chair and ceo are held by the same person. Finally, the presence of an audit committee helps to prevent eamings‐smoothing by managers. in general, excluding the issue particular to the independence of board members, the results are in line with recent reforms in corpora governance.  相似文献   

19.
Abstract: Conventional models of municipal organization in the larger Canadian cities assume that councillors will not be occupied with municipal tasks on a full-time basis. This assumption has historically been reflected in low remuneration levels and limited provisions for office space and support staff. Members of council have been expected not to interact with staff on a regular basis except at meetings of council and committees. Information gathered from Montreal, Toronto, Ottawa, Hamilton, Quebec City, Edmonton, Calgary and Vancouver suggests that a significant number of councillors now view their position as full-time and are accordingly demanding changes in their working conditions. Full-time councillors, especially if backed by personal staffs, are in a position to challenge traditional practices and patterns of power within our city halls. Although the emergence of full-time councillors has been incremental, the long-term impact on municipal organization will be profound. The main objects of this paper are to determine the extent to which such changes have taken place and to assess their impact for both policy-making and administration within Canadian urban government. Sommaire: Dans les grandes villes canadiennes, selon les modèles traditionnels d'organisation municipale, les conseillers municipaux ne sont pas occupés à temps plein. Historiquement, cette hypothèse s'est traduite par une rémunération modique des conseillers et par une faible attribution d'espace de travail et de personnel de soutien. Hormis au cours des réunions du conseil et des comités, on ne prévoyait pas que les membres du conseil aient régulièrement affaire au personnel. Des données recueillies à Montréal, Toronto, Ottawa, Hamilton, Québec, Edmonton, Calgary et Vancouver suggèrent qu'un nombre important de conseillers estiment qu'ils occupent aujourd'hui un poste à plein temps et demandent par conséquent que leurs conditions de travail changent. Des conseillers à temps plein, surtout s'ils sont appuyés par un personnel de soutien à eux, sont en mesure de mettre au défi les méthodes et les schémas traditionnels de pouvoir dans nos hôtels de ville. L'apparition des conseillers à plein temps s'est faite de manière progressive, mais les répercussions à long terme qu'elle exercera sur I'organisation municipale seront profondes. Les principaux objectifs de cette étude consistent à déterminer si pareils changements se sont déjà produits et àévaluer leur effet sur les décisions politiques et sur I'administration au sein des grandes municipalités canadiennes.  相似文献   

20.
Sommaire: L'analyse détaillée des rapports d'autorité entre les acteurs de l'arène politique qui impliquent les différentes instances décisionnelles a contribuéà la compréhension des stratégies et des objectifs poursuivis par chacun des acteurs en présence. En outre, la gestion de la crise du verglas a permis de rendre compte de diverses stratégies, notamment celles qui ont conduit les autorités municipales à exercer davantage leur rôle de porte-parole. Des dew rôles du décideur politique, soit dirigeant et porte-parole, celui de porte-parole est le plus manifestement politique car il participe directement au processus de la médiation et de la régulation. En cela, il contribue à une fonction de repréntation de la collectivité. Cette fonction de porteparole des décideurs municipaux a été soutenue, voire favorisée par la centralisation déisionnelle de la gestion de la crise au niveau national, parfois au détriment du rôle de dirigeant des autorités municipales. Le cas de la crise de verglas participe à une tendance générale du système de régulation des rapports entre les élus des différentes instances décisionnelles et il s'inscrit comme mode de contrôle et d'intervention du pouvoir national sur les pouvoirs qui lui sont subordonnés. L'appropriation des opérations par les acteurs politiques de la gouverne nationale s'est réalisée par l'implantation d'un dispositif organisationnel visant la substitution du modèle fonctionnel par un modèlead hoc centralisé. Le modèlead hoc a permis d'intégrer les liens d'autorité habituels et a conduit par la suite à l'établissement de ce que nous avons désigné le modèle effectif.Le bon fonctionnement du modèle effectif exige l'absence d'acteurs potentiellement en situation d'opposition. Les relations entre les acteurs engagés dans les opérations associées à la gestion du sinistre ont dés lors été soumises aux règles et intérêts des acteurs politiques de la gouveme nationale. Abstract: The detailed analysis of the authority relationships between players in the policy arena and the various decision-makers contributed to understanding the strategies and objectives of each player. Moreover, management of the ice storm crisis highlighted various strategies, including those that led municipal authorities to expand their spokesperson role. The role of the spokesperson is more clearly political because it plays a direct part in the mediation and regulatory process, thus contributing to a community representation function. This spokesperson function of municipal decision-makers was supported and even fostered by the centralization of decisions while managing the crisis at the national level (i.e., Quebec), sometimes to the detriment of the leadership role of municipal authorities. The ice storm case is part of an overall trend within the system for regulating the relationships between elected representatives at the various decision-making levels, and it is also a means of national control and intervention over the powers subordinated to the national authority. National policy-makers operated by implementing an organizational system substituting a centralized, ad hoc model for the functional model. Using the ad hoc model, the usual authority linkages were integrated, subsequently leading to the setup of the effective model. For smooth operation, the effective model requires that there be no players holding diametrically opposite positions. The relationships between the players in crisis management operations were thus governed by the rules and interests of national policy-makers.  相似文献   

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