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1.
Abstract. The focus of this article is on the external controls of legislation and of judicial decisions arising out of the application of law, statutory and other, to the activities of public servants. It also discusses the impact on administrators of administrative adjudication. Acts of Parliament are, it is conceded, very important controls on official actions. That does not mean as much as it appears, however, because of the influence which senior officials have over the detailed provisions of statutes. Subordinate legislation is much less effective, not only because public servants largely determine its content, but also because there is no tradition of reverence for this form of law. Despite the fact that the judiciary is not that effective as a control on administrative behaviour, it is argued that the courts can intervene meaningfully at least when judicial and quasi-judicial decisions are at issue. Even so, only a small proportion of such decisions are ever challenged in the courts, including the new Federal Court. Nor is there much prospect of the judiciary becoming significantly more effective than it now is as a control over administration. If discretionary powers, particularly legislative and administrative, are to be effectively supervised it will have to be by Parliament. Sommaire. Le thème central de cet article concerne les contrôles externes de la législation et des décisions judiciaires découlant de l'application de la loi, statutaire ou autre, sur les activités des fonctionnaires. II discute aussi de leur effet sur les administrateurs chargés de l'adjudication administrative. Les lois du parlement constituent, on l'admet, des contrôles très important; des actes officiels. Ils n'ont pas cependant autant d'impact qu'il parait à cause de l'influence que les cadres supérieurs ont sur les dispositions spécifiques des statuts. La législation déléguée est beaucoup moins efficace, non seulement parce que les fonctionnaires en déterminent la teneur dans une large mesure mais aussi parce traditionnellement cette forme de loi ne commande pas beaucoup de respect. En dépit du fait que le contrôle judiciaire n'est pas très efficace sur le comportement administratif, on croit que les tribunaux peuvent intervenir de façon significative, du moins lorsqu'il s'agit de decisions judiciaires ou quasi-judiciaires. Mais même dans ce cas, une faible proportion seulement de ces decisions est mise en question devant les tribunaux y compris la nouvelle Cour fédérale, et il y a peu de chance pour que le judiciaire augmente sensiblement son efficacité, quant au contrôle de radministration. Si l'on veut que les pouvoirs discrétionnaires, particulièrement législatifs et administratifs, soient contrôlés efficacement, il faudra que ce contrôle soit exercé par le parlement.  相似文献   

2.
Sommaire. Le contrǒle politique des organismes autonomes à functions régulatrices et quasi-judiciaires est celui qu'exercent le Parlement et le gouvernement sur l'opportunité des mesures qu'adoptent ces organismes et qui doivent ětre appréciées en regard de l'intérět général. L'octroi d'un large pouvoir discrétionnaire en matière d'élaboration et d'application de la politique suivant un processus qualifié par notre droit de quasi-judiciaire soulève des difficultés considerables qui nous obligent à revoir les principes měmes qui régissent les rapports entre ces « tribunaux administratifs » et l'autorité politique parlementaire et gouvernementale. Les techniques de contrǒle utilisées dans la législation relative aux grandes régies fédérales notamment, la cct , le crtc , l’one , sou-lèvent également des difficultés. Ainsi, lorsqu'existe un droit d'appel au gouverneur en conseil ou au ministre, on s'interroge sur la portée de ces recours par rapport aux recours à la Cour fédérale prévus par la Loi sur la Cour fédéraLe ou d'autres lois particulières. De měme lorsque la législation prévoit des moyens de contrǒle à priori, tel le pouvoir d'émettre des directives, on se demande quelles sont les sanctions possibles dans le cas où le tribunal refuse ou néglige d'y donner suite. Ces problèmes sont au coeur des recherches en cours sur certains aspects du développement des principaux tribunaux administratifs ou organismes autonomes à functions régulatrices et quasi-judiciaires. Abstract. Political control of autonomous regulatory and quasi-judicial bodies is the control exercised by Parliament and the government over the actions of these bodies to assess their opportunity in regard to the general interest. The granting of wide discretionary power in the elaboration and application of policies following a procedure qualified in law as quasi-judicial raises considerable difficulties with respect to the very principles which determine the relations between these administrative tribunals and parliamentary and governmental political authority. With respect to the control techniques employed in the legislation relating especially to the major federal commissions such as the ctc , the crtc and the neb , these difficulties are particularly evident. On the one hand, when a right of appeal to the Governor-in-Council or the Minister exists, what is the extent of these remedies in relation to the recourse to the Federal Court granted by the Federal Court Act or other special statutes? When legislation provides for a priori controls such as the power to issue directives, what are the possible sanctions in the event that the tribunal refuses or neglects to follow them? These problems are at the very heart of present research on certain aspects of the development of the major administrative tribunals and autonomous bodies exercising regulatory and quasi-judicial functions.  相似文献   

3.
Abstract: This article explores and criticizes the use of private tort law and the common law courts to impose liability on governments for losses associated with regulatory failure. After describing the recent history of government liability law in Canada and the traditional deterrent and compensatory rationales for tort liability, the authors argue that the requirement of personal liability of public officials, the exclusion of “policy” decisions from tort liability, a legal requirement of “negligence,” the institutional characteristics of the courts, and the assumption of a deterrent impact of tort law are all inappropriate in addressing government liability claims. The article then explores a variety of mechanisms operating within the federal bureaucracy to respond to liability claims. These include the allocation of losses to individual bureaucrats and to the Consolidate Revenue Fund within government, the allocation of legal costs within government, the incentive effects of the settlement process, the ex ante review of losses by Treasury Board, the ex post review of losses by the Office of the Auditor General, and the treatment of excluded claims. The authors then argue for the development of feedback mechanisms within government to ensure that liability signals are received by and influence administrative decision-making. The authors conclude that the existing substantive legal principles and court processes are inadequate in themselves to ensure that government liability claims are addressed so as to reflect appropriately the relationship of the individual to the state in the regulatory process, and to ensure that liability risks are adequately incorporated into the regulatory decision-making process. They argue that a different set of principles should be developed and applied in addressing government liability claims; and further that these principles should be applied either through the courts with necessary reforms in response to existing institutional limitations, or through agency-specific administrative processes. Sommaire: Cet article analyse et critique l'utilisation du droit privé de la responsabilité déictuelle et des cours de common law en matière de responsabilitéétatique pour les pertes associées aux défaillances de la réglementation. Les auteurs dérivent l'historique récent du droit de la responsabilité gouvernementale au Canada, ainsi que les fondements traditionnels de la responsabilité délictuelle que sont la dissuasion et l'indemnisation. Ils affirment que l'exigence d'une responsabilité personnelle de la part des dirigeants publics, l'exclusion des décisions de “politique ”du champ de la responsabilité délictuelle, l'exigence légale de “ négligence ”, les caractéristiques institutionnelles des tribunaux ainsi que l'hypothèse de l'effet dissuasif du droit délictuel sont toutes inadéquates lorsqu'il s'agit de régler des causes mettant en jeu la responsabilité gouvernementale. L'article examine ensuite toute une gamme de mécanismes internes de la fonction publique fédérale conçus pour faire face aux allégations de responsabilité. Ces mécanismes comprennent l'affectation de pertes à des fonctionnaires particuliers et au Fonds consolidé du revenu au sein du gouvernement lui-même, l'allocation de frais juridiques au sein du gouvernement, l'effet incitatif des règlements à l'amiable, l'examen “ ex ante ” des pertes par le Conseil du Trésor, l'examen “ ex post ” de ces mêmes pertes par le bureau du Vérificateur général, ainsi que le traitement des réclamations exclues. Les auteurs recommandent que l'on mette au point des mécanismes de rétroaction au sein du gouvernement pour s'assurer que les signaux en matière de responsabilité soient bien reçs par les décideurs administratifs et qu'ils les influencent. Selon la conclusion des auteurs, les principes de droit substantif et le processus judiciaire actuel sont inadéquats, à eux seuls, pour assurer que l'on traite les réclamations de responsabilité gouvernementale de manière à bien refléter le rapport entre l'individu et 1'État dans le processus de réglementation, et pour permettre que les risques en matière de responsabilité soient incorporés de manière adéquate au processus décisionnel lors de la réglementation. D'après les auteurs, il faudrait mettre au point et appliquer un autre ensemble de principes pour les réclamations contre l'état, et ces principes devraient être appliqués soit par les tribunaux, moyennant les réformes nécessaires face aux actuelles limites institutionnelles, soit par l'intermédiaire de processus administratifs propres à chaque organisme.  相似文献   

4.
Abstract: This paper reviews the period 1965-84, providing an analysis of the contribution of provincial budgets to regional stabilization and the impact of budgets on the financial position of provincial governments. The perversity hypothesis, which proposes that provincial budgetary behaviour may serve to exacerbate rather than reduce cyclical swings in local economies, is examined. An effort is made to differentiate between the automatic and discretionary components of provincial budgets, by calculating cyclically and inflation-adjusted revenues, expenditures and budget balances. A budget balance analysis arrives at the following conclusions: the behaviour of provincial budgets, including both automatic and discretionary components, was stabilizing, for the most part, during the study period; however, in most cases, discretionary budgetary policy was perverse. A regression analysis arrives at the following conclusions: in Newfoundland, New Brunswick, Manitoba and Saskatchewan, both revenue and expenditure policy demonstrated neutral cyclical behaviour during the study period; in Nova Scotia and British Columbia, destabilizing expenditure-side behaviour offset stabilizing revenue-side behaviour, while in Quebec, Ontario and Alberta, stabilizing expenditure changes may have dominated destabilizing revenue changes; in Nova Scotia and Manitoba, the long-run rate of expenditure growth exceeded the rate of revenue growth, suggesting a possible structural deficit problem, while the other provinces appear to have exercised greater financial control; and provincial expenditure policy was affected by the electoral cycle, while revenue policy appears to have been unaffected. It is expected that provincial involvement in cyclical regulation will be limited in the immediate future and that the provinces will take further steps to shore up their finances, following the stresses that were imposed on their budgets by the last recession. Sommaire: Cet article passe en revue la période 1965–1984 et analyse le rôle des budgets provinciaux dans la stabilisation régionale et leur impact sur la situation financière des gouvernements provinciaux. Les auteurs examinent l'hypothèse de l‘“effet pervers” selon lequel la politique budgétaire provinciale accentuerait les revirements cycliques de l’économie locale au lieu de les atténuer. Ils tentent de faire la distinction entre les éléments automatiques et discrétionnaires des budgets provinciaux en calculant les recettes, les dépenses et les soldes budgétaires ajustés en tenant compte de leur aspect cyclique et de l'inflation. Une analyse du solde budgétaire mène aux conclusions suivantes: les budgets provinciaux, et leurs éléments automatiques et discrétionnaires, ont eu en général un effet stabilisateur pendant la période étudiée; cependant, dans la plupart des cas, la politique budgétaire discrétionnaire a eu un effet pervers. Une analyse de régression mène aux constatations suivantes: à Terre-Neuve, au Nouveau-Brunswick, au Manitoba et en Saskatchewan, les politiques de recettes et de dépenses ont eu un effet cyclique neutre pendant la période étudiée; en Nouvelle-Écosse et en Colombie-Britannique, l'effet déstabilisateur des dépenses a annulé l'effet stabilisateur des recettes, tandis qu'au Québec, en Ontario et en Alberta, il semble que les changements stabilisateurs dans les dépenses aient dominé les changements déstabilisateurs dans les recettes; en Nouvelle-Écosse et au Manitoba, le taux de croissance à long terme des dépenses a été supérieur au taux de croissance des recettes, ce qui est peut-être le signe d'un problème de déficit structurel, bien que les autres provinces semblent exercer un plus grand contrôle financier; la politique provinciale de dépenses a subi les contrecoups du cycle électoral alors que la politique de recettes ne semble pas avoir été touchée. On prévoit que l'intervention provinciale dans la règlementation cyclique sera limitée dans un proche avenir et que les provinces prendront de nouvelles mesures pour consolider leurs finances, suite aux contraintes budgétaires que la dernière récession leur a imposée.  相似文献   

5.
Abstract. This is the first of three articles on the Economic Council of Canada. It attempts to cover the establishment, structure, and functioning of the Council between 1963 and 1974 in a consistent and comprehensive manner. It also deals with the approaches and influence of three chairmen of the Council. The ‘primary tasks’ of the agency influence the selection of its senior personnel. Each chairman has influenced the performance of the Council in a manner consistent with his previous research and policy-making experiences. Given the lack of clarity in defining the Council's role at its establishment, this study of career development within the system has been most helpful in deducing the primary roles performed by the Council. The second article deals at greater length with the Council's roles in relation to external research and policy-making agencies. It is a more analytical paper than the first and isolates several potential roles which the Council was expected to perform. It shows how effective performance of these roles has required different interorganizational strategies with respect to the Council's relationship with various influential organizations and governmental agencies including the cabinet and Parliament. The third article deals with the problem of goals-formulation, given the fact that the Council at different points in time has grappled with the problem of articulating or quantifying ‘performance goals,’‘achievement goals,’ and ‘performance indicators.’ All three articles deal with different aspects of the Council's role in the Canadian policy-making system. They present important perspectives on comparative public-policy-making. Sommaire. Cet article est le premier d'une série de trois sur le Conseil économique du Canada. Il essaie de traiter de façon complète et logique de la création de la structure et du fonctionnement du Conseil entre 1963 et 1974. Il s'occupe également des attitudes et de l'influence des trois présidents du Conseil. Les responsabilités premières de l'agence ont un effet sur le choix des cadres supérieurs. Chaque président a influencé les performances du Conseil dans le sens de ses recherches et de ses choix de politiques antérieures. Le rôle du Conseil ayant été défini peu clairement à sa création, cette étude du développement des carrières au sein du système est très utile pour en dégager les rôes principaux. Le second article traite plus en détail des rôles jouks par le Conseil vis à vis de la recherche extérieure et des organismes qui déterminent les politiques. C'est un exposé plus analytique que le premier qui dégage différents rôles potentiels que l'on attendait du Conseil. Il montre comment leur exécution efficace demandait des stratégies inter-organisationnelles différentes, quant au rapport du Conseil avec des organisations influentes et des organismes gouvernementaux, dont le Cabinet et le Parlement. Le troisième article s'occupe du problème de la formulation des objectifs étant donné que le Conseil, à différentes époques, s'est attaqué au problème de l'élaboration de la quantification des « buts de performance «, des « objectifs à réaliser « et des « indicateurs de performance «. Ces trois articles traitent de différents aspects du rôle du Conseil dans le système canadien de détermination des politiques. Ils presentent des perspectives interessantes sur la prise de decision de politique publique de façon comparative.  相似文献   

6.
Abstract: The objective of this paper is to address two questions: why do administrative tribunals such as the Immigration Refugee Board resort to developing guidelines, and what are the principles and values which legitimize these initiatives? The role of tribunals in policy‐making and/or policy‐implementing raises important questions. For example, to whom are tribunals accountable for the development and application of guidelines where the functions of a tribunal ‐ especially the adjudicative functions ‐ are intended to be independent of government? The authors seek to understand better the dynamics of tribunals' role in the policy process. They propose a classification of guidelines based on the function they perform in administrative proceedings and provide an analysis of the normative framework underlying guidelines. The authors explore how a legal analysis of guidelines might shed on the theory and practice of public administration. The authors conclude that in the absence of a nuanced understanding of the legal status of guidelines, the relationship between administrative practice and the rule of law remains uncertain and unstable. Sommaire: Cet article cherche à répondre à deux questions: pourquoi les tribunaux administratifs comme la Commission de l'immigration et du statut de réfugié ont‐ils recours à l'élaboration de directives? Et quels sont les principes et les valeurs qui justifient ces initiatives? Le rôle des tribunaux dans l'élaboration et/ou la mise en œuvre des politiques soulève des questions importantes. Par exemple, à qui les tribunaux doivent‐ils rendre compte en ce qui concerne l'élaboration et l'application de directives lorsque les fonctions d'un tribunal ‐ en particulier les fonctions juridictionnelles ‐ sont supposées être indépendantes du gouvernement? Les auteurs cherchent à mieux comprendre la dynamique du rôle des tribunaux dans le processus d'élaboration de politiques. Ils proposent une classification des directives d'après la fonction qu'elles jouent dans les procédures administratives et ils fournissent une analyse du cadre normatif sous‐tendant ces directives. Les auteurs étudient comment une analyse juridique des directives pourrait éclairer la théorie et la pratique de l'administration publique. Ils concluent qu'en l'absence d'une compréhension nuancée du statut légal des directives, la relation entre la pratique administrative et la primauté du droit demeure incertaine et instable.  相似文献   

7.
Abstract. It is ten years since the Glassco Commission called for a drastic reduction in the numbers and in the scope of the administrative controls exercised on the departments of the federal government by the Treasury Board. But the Glassco slogan ‘Let the managers manage’ is not subtle enough to cope with the delicate question of how to give the maximum managerial freedom to departments while retaining for the Treasury Board enough supervision to satisfy the constitutional principle that the Cabinet is collectively responsible for the policies and administration of each department. The Treasury Board is trying to solve the problem by working out guidelines and audit mechanisms to take the place of rules and regulations in administrative life. While this is going on the Board has had to adjust to the emergence since 1968 of the Committee on Priorities and Planning as the senior cabinet committee on broad expenditure policies. At the same time collective bargaining, new budgeting systems and the bilingualism program have wrought great changes in bureaucratic life. The ‘clients’ of the Board, the operating departments, welcome most of the changes but feel that the delivery of the promised reforms is far too slow. Sommaire. Il y a dix am que la Commission Glassco a recommandé une réduction importante du nombre et de I'envergure des contrôles administratifs exercés sur les départements du gouvemement fédéral par le Conseil du Trésor. Mais la devise Glassco, “La gérance aux gérants”, ne s'est pas révélée assez subtile pour donner la plus grande liberté de gérance aux départements tout en conser-vant pour le Conseil assez de pouvoir de surveillance pour se conformer au principe constitutionnel selon lequel le Cabinet est responsable des politiques et de l'administration de chaque département. Le Conseil du Trésor essaie de régler ce problème en établissant des directives et des façons de vérifier qui prendraient la place des règles et des ordonnances de la vie administrative. Pendant ce temps, le Conseil du Trésor a dû s'habituer, depuis 1968, à une nouvelle réalité:depuis ce temps, en effet, le Comité des Priorités et de la Planification est devenu le principal comité du Cabinet en ce qui a trait aux dépenses importantes. Ceci, alors même que les conventions collectives, de nouvelles façons d'établir le budget et le programme du bilinguisme apportaient des changements importants dans la bureaucratie. Les “clients” du Conseil du Trésor, c'est-à-dire les départements, accueilIent d'un bon oeiI la plupart des changements mais croient que la mise en euvre des réfonnes préuves est beaucoup trop lente.  相似文献   

8.
Sommaire. L'accroissement des responsabilités de l'Administration n'altère pas fondamentalement le principe de la séparation des pouvoirs, mais s'inscrit plutôt dans un processus normal d'ajustcment et d'évolution de ce principe, en harmonie avec le développement de notre société moderne. En réalité, si l'Assemblée nationale délègue de plus en plus de pouvoirs à l'Administration en matière de réglementation et de discrétion administrative, et au pouvoir judiciaire en établissant des normes de portée générale, elle en surveille et précise cependant l'exercice. Ainsi, l'adoption prochaine d'une loi sur les règlements viendra redonner à l'Assemblée nationale un droit de regard plus important sur l'exercice des pouvoirs réglementaires. Quant à la délégation de pouvoirs discrétionnaires, l'Assemblée nationale s'est dotée de certains outils de contrôle qui relévent directement de son autorité, comme le Protecteur du citoyen et le Vérificateur général. Enfin, l'Assemblée nationale peut, à l'occasion, revoir la délégation implicite faite au pouvoir judiciaire lorsqu'elle édicte des normes de portée générale dont l'interprétation revient aux tribunaux pour fixer dans la loi la portée des décisions jurisprudentielles ou même pour s'en écarter. Le pouvoir judiciaire, quant à lui, se trouve plutôt renforcé qu'érodé. Les mesures d'accessibilitéà la justice et la prolifération des lois et règlements accroissent ses possibilités d'intervention: on assiste, depuis les dix dernières années, à une augmentation importante du nombre de juges et du personnel de soutien aux tribunaux du Québec; enfin, une loi récente augmente l'autonomie du pouvoir judiciaire en créant le Conseil de la Magistrature, organisme doté de pouvoirs décisionnels en matière de perfectionnement des juges et de déontologie, et en réorganisant la structure administrative de la Magistrature. Abstract. The increase in the administration's responsibilities does not fundamentally alter the principle of separation of powers, but is rather a part of the normal process of adjustment and evolution of that principle, in tune with the development of our modern society. In fact, although the National Assembly delegates more and more authority to the administration in the areas of regulatory activity and administrative judgement, and to the judiciary by establishing generally applicable standards, it nevertheless oversees and defines those activities. Thus, the adoption in the near future of a law governing regulations will give the National Assembly greater control over regulatory activities. As far as the delegation of discretionary powers is concerned, the National Assembly has means of control dependent on its own authority such as the Ombudsman (Protecteur du citoyen) and the Auditor General. Finally, the National Assembly may, on occasion, review the implicit delegation of powers to the judiciary when it enacts standards of a general nature which must be interpreted by the courts so that the import of jurisprudential decisions may be codified in law, or even be disregarded. The judiciary is, in fact, reinforced rather than weakened. Improved access to the law and the proliferation of laws and regulations have increased its avenues of intervention; in the last ten years there has been a substantial increase in the number of judges and support staff in Quebec courts; finally, a recent law has increased the autonomy of the judiciary by creating the Bench Council (Conseil de la magistrature), a body which has decision-making powers in the fields of further training for judges, and professional ethics and the reorganization of the administrative structure of the magistracy.  相似文献   

9.
Abstract: Decisions in complex and controversial policy areas are often left to civil servants. As a result, civil servants use their discretionary power to make decisions that will likely have important consequences for society. This is the case with immigration. Partially based on interviews conducted with Canadian and Quebecois immigration agents, the authors note that the use of the judgement of civil servants is an important factor in the selection process of newcomers. The authors recognize also that discretion can take different forms: procedural discretion, selection grid discretion, and final decision discretion. This case study enables a better understanding of both the use of judgement in the decision‐making process and the role of street‐level civil servants in the policy implementation process. Sommaire: Les décisions se rapportant à des domaines de politiques complexes et prêtant à controverse sont souvent laissées aux mains des fondionnaires. Ainsi, les fonctionnaires usent de leur pouvoir discrétiormaire pour prendre des décisions qui auront vraisemblablement des conséquences importantes pour la sociéte. C'est précisément le cas de l'immigration. Se fondant partiellement sur des entrevues effectuées par des agents d'immigration canadiens et québécois, les auteurs remarquent que dans le processus de sélection des nouveaux arrivants, le jugement de ces agents est un facteur important. Les auteurs reconnaissent également que la discrétion peut prendre différentes formes: la discrétion procédurale, la discrétion relative à la grille de sélection et la discrétion en matière de décision définitive. La présente étude de cas permet de mieux comprendre à la fois le recours au jugement dans le processus décisionnel et le rôle des fonctionnaires de la base dans le processus de mise en æeuvre des politiques.  相似文献   

10.
Abstract This paper explores the thesis that the main impact of the new constitutional Charter of Rights on the Canadian system of government is to increase the role of the judiciary in deciding how fundamental social and political values should be affected by public policy. The first part of the paper. by reviewing the significant role which trial and appeal courts already play in shaping public policy, aims at overcoming a tendency to exaggerate the change in our system of government resulting from the Charter. The second part identifies the factors which will influence the judicial response to the Charter and the policy areas in relation to which judicial interpretation will be most significant. The analysis shows that the Charter's major impacts will likely include much greater judicial supervision of police activity and centralization of policy-making under the leadership of the Supreme Court on questions of social justice and minority-language rights. It concludes that, while the Charter will increase Canadians' understanding of judicial policy-making, it represents a retreat from reliance on the political process to resolve divisive social issues. Sommaire. Le présent article examine la thèse selon laquelle le principal effet de la nouvelle Charte des droits constitutionnels sur le système de gouvemement canadien sera d'accroître le rôle du pouvoir judiciaire dans la détermination de la façon dont les valeurs sociales et politiques fondamentales devraient être affectées par les politiques publiques. La première partie de l'article passe en revue Ie rôle important que jouent déjà les tribunaux et les cours d'appel, ainsi que l'influence que ces institutions exercent sur la politique publique, ceci afin de neutraliser une tendance à exagérer les changements qu'apporterait la charte à notre système de gouvernement. La seconde partie identifie les facteurs qui pourront influencer la réponse judiciairs à la charte ainsi que les domaines politiques où l'interprétation judiciaire de cette charte aura le plus d'importance. L'analyse démontre que l'adoption de la charte entraînera des conséquences importantes, qui comprendront probablement une surveillance judiciaire des activités de la police beaucoup plus développée et une centralisation, sous la direction de la Cour suprême, de l'élaboration de politiques en matière de justice sociale et de droits linguistiques des minorités. L'auteur conclut que bien que la charte permettra aux Canadiens de mieux saisir le rôle de la Cour dans l'élaboration des politiques, elle représente un recul du recours au processus politique en ce qui concerne la résolution des questions sociales contentieuses.  相似文献   

11.
Abstract: The Canada-United States free trade agreement provides for the creation of a bilateral panel to settle trade disputes between Canada and the United States. Mandated to determine whether existing domestic trade remedy laws have been applied “correctly and fairly,” the bilateral panel has been heralded as ensuring an end to bias, protectionism and political interference in the U.S. trade remedy system. A review of recent decisions with respect to the application of countervailing duties on agricultural commodities in Canada and the United States traces the bias and protectionism in both countries to the considerable discretion allowed trade law administrators. While both systems are defensive of domestic interests, there is more direct political involvement in the U.S. system. The differing degree of political intervention reflects the differing expectations and traditions of the two countries: the Canadian tradition of political independence of administrative tribunals, the U.S. expectation of political direction on trade issues. This contrast, plus the ample interpretive discretion allowed trade remedy authorities in both countries, indicates the potential for appreciable differences in how the United States and Canada are likely to interpret what constitutes a “correct and fair” application of trade relief laws. Sommaire: L'Accord de libre-échange entre le Canada et les États-Unis prévoit la création d'une commission bilatérale pour trancher les conflits commerciaux entre les deux pays. Chargée de déterminer si les lois actuelles visant à corriger une situation estimée injuste dam le domaine du commerce ont été appliquées de façon juste et correcte, cette commission, annonce-t-on, devrait permettre de mettre un terme à la partialité, au protectionnisme et à une ingérence politique dans le système de protection américain. Dans l‘étude qui a été effectuée récemment à propos de l'application des droits de rétorsion sur les produits agricoles au Canada et aux États-LJnis, on indique que la partialité et le protectionnisme sont dus au large pouvoir discrétionnaire dont bénéficie dans les deux pays les administrateurs des lois commerciales. Si les deux systèmes protègent les intérêts de leur pays respectif, la politique joue un rôle beaucoup plus direct dans le système américain. Cette différence au niveau de l'intervention politique reflète les différences existant au niveau des attentes et des traditions entre les deux pays: au Canada, la tradition veut que les tribunaux administratifs soient indépendants alors qu'aux Éats-Unis on s'attend à recevoir des directives du gouvernement en ce qui concerne les questions commerciales. Ce facteur, auquel s'ajoute la grande liberté d'interpétation dont bénéficient dans les deux pays les responsables des mesures de protection, montre qu'il y a de grandes chances pour que le Canada et les États-Unis ne partagent pas le même point de vue sur ce qui constitue une interprétation “juste et correcte” des mesures de protection commerciales.  相似文献   

12.
Abstract. This paper is concerned with future urban change in Canada. Part A deals with bringing about urban change. Part B is about knowledge required to make urban change. Part A begins by discussing a model of the urban future and closes with a discussion of the system of public and private organizations for urban management. Part B begins by distinguishing “knowledge roles’ for urban change, and goes on to discuss the role of knowledge in intervention. It closes with a discussion of the knowledge organization (illustrated by the university), and the means by which it might support the making of urban change. Part C relates the first two parts by suggesting how the mutual support of the knowledge organization (e.g. the university) on the one hand, and the system of public and private organizations that manage urban activities on the other, might be improved. Sommaire. Cet article traite du changement urbain au Canada et de son évolution future. Dans la première partie, la discussion porte sur le changement urbain lui-même, tandis que la seconde partie est consacrée au savoir relié au changement urbain. La troisième partie enfln suggère différentes manières de réaliser le lien entre le savoir et l'action en vue d'améliorer la qualité de nos interventions. La première partie débute en proposant un modèle du ‘futur urbain.‘ Cemodèle introduit deux types de planification, la planification projective, quis'appuie sur des extrapolations, et la planification prospective, qui s'appuie sur des prospectives du futur. Ces deux types de planification sont élaborés en relation avec les quatre sous-systèmes du système socio-technique, à savoir les systemes des ressources humaines, des activités humaines, des ressources physiques et des interventions physiques. Le type de relations que l'on perçoit ainsi que la manière de les considérer définissent le processus de planification que Ton adopte. Ce peut être un processus purement projeetif, un processus purement prospectif ou un processus conjoint prospectif-projectif. Des exemples de ces divers processus sont présentés. Dans la deuxième section de cette première partie, diverses manières d'organiser la gestion urbaine sont avancées, et il est suggéré qu'un réseau interorganisationnel à double intéiêt à la fois projectif et prospectif est désirable. La troisième section, enfin, propose un premier pas dans l'établissement d'untel réseau. Ce premier pas serait la création d'un petit réseau d'organisations qui s'engagerait dans le processus projeetif-prospectif suggéré auparavant. Cepetit groupe jouerait un rôle de catalyseur et pourrait stimuler un processus plus vaste si les résultats atteints se révelaient intéressants. La deuxième partie commence par distinguer différents rôles pour le savoir. Après avoir identifé le changement urbain comme un domaine d'études ayant les caractéristiques d'une discipline et d'une profession, elle propose un modèle à deux dimensions, la dimension institutionnelle et celle des connaissances. Ces deux dimensions conduisent à l'dentification de quatre types d'activités ausein du changement urbain: la pratique et les sciences de l'analyse et la pratique et les sciences de l'intervention. La discussion continue ensuite sur l'intervention considérée comme une pratique et un ensemble de disciplines. Il est avancé que l'urbanisation, la globalité, la complexité et le concept de métaproblèmes sont de plus en plus les determinants fondamentaux de l'intervention dans le changement urbain. La troisième section, enfin, propose divers moyens institutionnels pour promouvoir une meilleure intégration du savoir. Des centres et foyers de recherche de natures diverses sont suggérés ainsi qu'une structure nouvelle pour l'université, celle de l'université transdisciplinaire. La troisième partie propose, en guise de conclusion, une meilleure intégration des connaissances et de la gestion urbaine par l'instauration d'une focalisation commune sur le futur qui prendrait place au niveau des laboratoires de dessein de systèmes dans l'université transdisciplinaire et où se concrétiseraient les réseaux interorganisationnels suggérés dans la première partie.  相似文献   

13.
Abstract: The past two decades have witnessed significant changes in Canadian federalism and intergovernmental relations. This article investigates how developments in federalism and public administration in the 1990s have affected intergovernmental administrative machinery and the formal and informal structures, functions, and resources of intergovernmental relations compared to findings from the 1980s. Using a survey, interviews with senior intergovernmental officials, and government documents, this paper examines the evolution of the intergovernmental administrative state as opposed to the political realm of executive federalism. The authors outline how the formal structures and functions of intergovernmental agencies and officials have evolved and argue that informal intergovernmental networks are very important in understanding and explaining the capacity of the federation to meet current and future policy and administrative challenges. Sommaire: Au cours des deux dernières décennies, d'importants changements se sont produits au sein du fédéralisme et des relations intergouvernementales au Canada. Le présent article examine comment les récents développements intervenus dans le fédéralisme et l'administration publique dans les années 1990 ont affecté les rouages administratifs intergouvernementaux et les structures officielles et non officielles, ainsi que les fonctions et ressources des relations intergouvernementales au cours de deux dernièves décennies comparativement aux résultats des années 1980. A l'aide d'un sondage, d'interviews de hauts fonctionnaires intergouvernementaux et de documents gouvernementaux, cet article étudie l'évolution de l'État administratif intergouvernemental par opposition au domaine politique du fédéralisme exécutif. Les auteurs ébauchent la façon dont les structures et les fonctions officielles des organismes et des hauts fonctionnaires intergouvernementaux ont évolué et soutiennent que les réseaux intergouvernementaux non officiels sont très importants pour comprendre et expliquer l'aptitude de la fédération à relever les défis politiques et administratifs présents et futurs.  相似文献   

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Sommaire: Dans cet article, l'auteur fait d'abord le portrait, un peu sombre peut-être, des constats et préjugés qui font partie intégrante de la gestion des ressources humaines dans la fonction publique québécoise. Il y définit ensuite le contexte particulier de cette gestion par rapport aux autres types d'exercices administratifs: revue des programmes, plan d'équipement…, Puis il propose des outils pour la faciliter, principalement: les renseignements de base dont il faut disposer, un calendrier de travail intégrant les actions recurrentes et les temps forts et une gestion appropriée de son tenips par le gestionnaire pour qu'il s'occupe adéquatenient de son personnel. On voit ensuite comment la gestion des ressources humaines s'accorde à une certaine culture organisationnelle, comment chaque gestionnaire y est engagé et comment elle fait appel à des méthodes complémentaires les unes des autres (les relations interpersonnelles et la gestion en système). Puis l'auteur propose sept remarques, qui présentent autant de pistes qui devraient être explorées plus longuement: l'application du concept coûts-bénéfices à la gestion des resources humaines, les conséquences des contraintes budgétaires et la gestion des ressources improductives, les cours théoriques et le perfectionnement des gestionnaires. la surqualification et le vieillissement de la fonction publique, la modernisation de l'administration publique par un nouveau partage des pouvoirs et des responsabilités entre le gouvernement et ses gestionnaires ainsi que par l'expérimentation de techniques de gestion moderne avec des équipements adéquats, la redéfinition des rôdes des organismes eentraux et des ministères pour line plus grande imputabilité des gestionnaires et pour de nouveaux mandats pour les directions de personnel et la grande competence des hauts fonctionnaires dans un contexte malgré tout de dépendance continue. Enfin, en guise de postconclusion, on peut voir comment l'effort de rationalisation de la gestion des ressources humaines que la crise économique exige peut être bénéfique tant pour l'administration publique que privée. Abstract: This first section of this paper paints a somewhat dark picture of the views and biases which are an integral part of the management of' human resources in the Quebec civil service. Following that, the particular context of that management is defined in relation to other types of administrative endeavours such as program reviews, facility planning etc. Tools to make the management of human resources work more easily are then proposed; they include: basic required information; work schedules integrating routine actions with peak periods; proper management of the manager's own time in order for him to adequately look after his staff.  相似文献   

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Abstract: Students of organizational behaviour have always been concerned with understanding the manner in which complex organizations ‐ including systems of public administration ‐ tend to create distinctive organizational cultures and the impact these cultures have on their activities and outputs, including their prospects for reform. Recently, neo‐institutional accounts of social and political life have provided a new entry point to the analysis of administrative cultures and administrative reform. For neo‐institutionalists, the institutional structure of an organization creates a distinct pattern of constraints and incentives for state and societal actors that define and structure actors' interests and channel their behaviour. The interaction of these actors generates a particular administrative logic and process, or “culture.” However, since institutional structures vary, a neo‐institutional perspective suggests that there will be many different kinds of relatively long‐lasting patterns of administrative behaviour, each pattern being defined by the particular set of formal and informal institutions, rules, norms, traditions and values, and many different factors affecting the construction and deconstruction of each pattern. Following this neo‐institutional logic, this article develops a multilevel, “nested” model of administrative styles and applies it to patterns of convergence and divergence in administrative reform in many jurisdictions over the past several decades. Sommaire: Les étudiants en comportement organisationnel ont toujours été soucieux de comprendre la manière dont les organismes complexes ‐ y compris les systèmes d'administration publique ‐ ont tendance à créer des cultures organisationnelles par‐ticulières et l'impact qu'ont ces cultures sur leurs activités et résultats, y compris leurs perspectives de réformes. Récemment, les comptes rendus néo‐institutionnels de la vie sociale et politique ont foumi une nouvelle ouverture à l'analyse des cultures et de la réforme administratives. Pour les néo‐institutionnalistes, la structure institutionnelle d'un organisme crée un modèle distinct de contraintes et d'encoura‐gements pour les acteurs de la société et de 1'État qui définissent et structurent les interéts des acteurs et canalisent leur comportement. Linteraction de ces acteurs génère une logique et un processus administratifs particuliers, que l'on appelle °Culture.Cependant, comme les structures institutionnelles varient, une perspective néo‐institutionnelle laisse entendre qu'il y aura de nombreuses sortes de modèles de comportement administratif relativement durables: chaque modèle est défini par I'ensemble particulier d'institutions, de règles, de normes, de traditions et de valeurs formelles et informelles qui le composent, ainsi que de nombreux dif‐férents facteurs influant sur la construction et la déconstruction de chaque modèle. En suivant cette logique néo‐institutionnelle, le présent article élabore un modèle de styles administratifs à diffbrents niveaux et I'applique aux modéles de convergence et de divergence en réforme administrative dans de nombreuses juridictions au cours des demiéres décennies.  相似文献   

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Abstract. The report reviews the circumstances surrounding the formation of the Council of Maritime Premiers, noting that the Council was established as an alternative to full Maritime Union, which had been the basic recommendation of the Maritime Union Study by the late Dr J.J. Deutsch. The Deutsch study further recommended that union be achieved by three specific steps; establishing the Council represented an alternative approach to Maritime cooperation which was endorsed by the three premiers. The report recapitulates the seven major tasks proposed for and by the Council in 1971, and recounts the initiatives of the Council to those ends. It describes the administrative structure set up as the Council Secretariat, and the foundation of the four agencies: the Maritime Resource Management Service, the Land Registration and Information Service, the Maritime Provinces Higher Education Commission, and the Maritime Municipal Training and Development Board. Quoting from speeches by the premiers given in 1971, the report outlines the justifications for the roles and attitudes adopted by the Council in fostering Maritime cooperation. It also notes briefly the major activities, decisions and tasks accomplished by the Council in its first five years. The report includes some evaluation by the author and several recommendations with regard to establishing a Maritime Commission, strengthening the Regional Treasury Board, extending public awareness of the Council, encouraging official provincial participation, and clarifying the joint interprovincial role of the Council. The report concludes with quotations from the press indicating public confidence in the existence of the Council. Sommaire. Ce rapport examine les circonstances dans lesquelles s'est formé la Conseil des premiers ministres des Maritimes. L'auteur note que la création du Conseil a été l'alternative à l'union des Maritimes, qui avait été la recommandation fondamentale de l'étude de cette question par feu le Dr J. J. Deutsch. L'étude Deutsch recommandait aussi que l'union soit l'aboutissement d'une démarche en trois étapes spécifiques; l'établissement du Conseil repré- sentait la solution de rechange pour la coopération des Maritimes, et elle fut adoptée par les trois premiers ministres. L'auteur du rapport récapitule les sept tǎches principales proposées pour et par le Conseil en 1971 et décrit les initiatives que celui-ci a prises pour les exécuter. II décrit la structure administrative qui sert de secrétariat au Conseil et la création de quatre organismes: le Service de gestion des ressources des Maritimes, le Service des renseignements fonciers et du cadastre, la Commission de l'enseignement supérieur des Provinces maritimes, et le Conseil des Maritimes pour la formation et le perfectionnement des employés municipaux. Le rapport donne des extraits des discours prononcés en 1971 par les premiers ministres, exposant les justifications des rǒles et attitudes adoptés par le Conseil pour favoriser la coopération des provinces de l'Atlantique. Il indique aussi brièvement les principales activités, décisions et réalisations du Conseil, pendant ses cinq premières années d'existence. Le rapport offre une certaine évaluation de la part de l'auteur et plusieurs recommandations concernant l'établissement d'une Commission des Maritimes, le renforcement du Conseil régional du trésor, une plus grande conscience, de la part du public, de l'existence du Conseil, l'encouragement à une participation provinciale officielle et la clarification du rǒle interprovincial du Conseil. L'auteur termine avec des citations de la presse qui montrent que le Conseil s'est acquis la confiance du public.  相似文献   

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Abstract. In the first part of his speech given at the National Assembly in presenting Bill 55 (Financial Administration Act) on December 15, 1970, the Honourable Raymond Garneau stresses the need for improving the province's administrative machinery. He points out that the budget has risen from 600 million to around 4000 million while the number of civil servants has increased from 22,000 to 50,000 during the last decade and that management structures which were adequate in 1960 are no longer conducive to efficiency. In the second part, Mr Garneau outlines the objectives which should be aimed at by administrative reform. The basic idea behind the revamping of government structures is one of a more orderly distribution of decision-making powers, freeing the Cabinet from questions of secondary importance so that it may concentrate on major problems, and giving broader responsibilities to the managing authorities of each department. Finally, in the last part of his speech, Mr Garneau explains briefly the main changes in Bill 55. One significant change relates to the functions of the Treasury Board which will exercise statutory powers in all sectors of administrative policy. Among other functions, the Treasury Board will be responsible for preparing estimates and controlling expenditures and will also exercise the powers assigned by law to the Lieutenant-Governor in Council in matters relating to personnel. Other provisions of the Bill regard the Provincial Auditor who, until the changes, was responsible for pre-auditing the provincial accounts and was also carrying out the conventional post-audit function normally expected of a government auditor. From now on, the Provincial Auditor, whose name has been changed for that of Auditor General, will have only one function, that of post-audit. The pre-audit function will be carried out by the Comptroller of Finance, formerly called the Comptroller of the Treasury. Finally, the Bill gives the Minister of Finance the responsibility of carrying out research and advising the government in matters of economic, fiscal and budgetary policy. The Minister of Finance will also be responsible for preparing the public accounts and for the management of cash on hand and public debt. Sommaire. Dans la première partie du discours qu'il a prononcéà l'assemblée nationale le 15 décembre 1970, pour présenter le projet de loi 55 (loi sur l'administration financière), l'honorable M. Raymond Garneau a insisté sur le besoin d'améliorer les rouages administratifs de la province. Il a fait remarquer que dans les derniers dix ans le budget avait augmenté de 600 millions à 4 milliards environ et que le nombre des fonctionnaires était passé de 22,000 à 50,000 et en a conclu que les structures qui étaient adéquates en 1960 ne favorisaient plus l'efficacité. Dam la seconde partie de son discours, l'honorable M. Garneau expliquece que devraient être les objectifs de la réforme administrative. Le but duremaniement des structures gouvernementales, c'est surtout de distribuer defaçon plus méthodique les pouvoirs de prise de décision, en libérant le cabinetdes questions d'ordre secondaire pour qu'il puisse se concentrer sur les problèmes principaux et en donnant des responsabilités plus larges aux cadres supérieurs des différents ministères. Finalement, dans la dernière partie de son discours, l'honorable M. Garneaua expliqué brièvement les principaux changements contenus dans le projet de loi 55. L'une des modifications les plus importantes concerne les fonctions de Conseil du trésor qui exercera des pouvoirs statutaires dans tous les secteursde la politique administrative, Parmi ses fonetions, le Conseil du trésor aura la responsabilité de préparer les estimations et de contrôler les dépenses et il exercera les pouvoirs assignés par la loi au lieutenant gouverneur en conseil pour toutes les questions concernant le personnel. D'autres clauses du projet de loi concernent le vérificateur provincial des comptes qui jusqu'ici avait pour tâche de pré-vérifier les comptes provinciax et de procéder ensuite à la post-vérification des comptes, comme le font normalementles vérificateurs de comptes gouvernementaux. Dorénavant, le vérificateur provincial des comptes dont le titre deviendra vérificateur général des comptes n'aura plus qu'une fonction, la post-vérification. La pré-vérification sera confiée au contrôleur des finances qui s'appelait précédemment contrôleur du trésor. Finalement, le projet de bi charge le ministre des finances de la rechercheet il devra conseiller le gouvemement sur toutes les questions de politique économique fiscale et budgétaire. C'est à lui que reviendra également la préparationdes comptes publics ainsi que la gestion de l'argent et de la dette publique.  相似文献   

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Sommaire: La proximité du ministre pour les directeurs de cabinet ministériel, leur accès à des informations stratégiques et sensibles et leur possibilité d'influencer le ministre ainsi que les hauts fonctionnaires sur des décisions de nature politique ou administrative, sont parmi les facteurs qui expliquent l'importance des rôles qu'ils peuvent jouer dans la gestion des ministères et organismes gouvernementaux. Pourtant, on trouve relativement peu d'écrits sur le sujet et les études sur le personnel politique datent de plusieurs années. À partir d'une enquête et d'entrevues réalisées avec des directeurs de cabinet du gouvernement du Québec ainsi qu'avec des sousministres, cette étude trace un portrait des principales caractéristiques des directeurs de cabinet ministériel. Elle examine la façon dont ils assument leurs fonctions et la nature des relations qu'ils entretiennent avec le ministre, le personnel du cabinet qu'ils dirigent et l'administration. Abstract: Proximity to the minister, access to strategic and sensitive information, and the ability to influence the minister and senior public servants in decision‐making are among the factors that explain the importance of the role of chief of staff to the minister in the management of ministries and government organizations. The literature on the subject, however, is relatively limited, and available studies on political staff are several years old. Based on a survey and interviews with chiefs of staff and deputy ministers in the Quebec government, this study describes the main characteristics of chiefs of staff. It examines the way they carry out their functions and the nature of the relationships they have with the minister and the staff that they manage.  相似文献   

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Sommaire: La littérature en études managérielles et en gestion des ressources humaines concemant la décroissance organisationnelle et la réduction des effectifs maintient depuis une quinzaine d'années que leur principal effet néfaste serait le syndrome du survivant. Menace très réelle A l'accroissement de l'efficacité et de I'effi‐cience recherché par la décroissance organisationnelle, le syndrome du survivant nécessiterait d'être combattu par des pratiques de gestion des ressources humaines stratégiques pouvant éliminer ou amoindrir les symptômes couramment associés à ce syndrome. Cette recherche s'intéresse aux variations du syndrome du survivant dans des organisations de I'administration publique fédérale au Québec suite à sa sévère réduction des effectifs durant les années quatre‐vingt‐dix. Construite à partir d'un questionnaire complété par 3 307 fonctionnaires de vingt‐trois (23) ministères et agences de la Fonction publique fédérale du Canada répartis dans les seize (16) régions administratives du Québec, cette recherche suggère que le syndrome du survivant est un phénomène de faible intensité dans le cas des fonctionnaires fédéraux du Québec. Elle suggère également, suite à l'analyse factorielle et la régression linéaire, que les pratiques de gestion des ressources humaines privilégiées dans ces organisations publiques n'expliquent que très faiblement la variation des symptômes couramment associés au syndrome du survivant. En ce sens, cette recherche dément le discours pratique dominant sur le syndrome du survivant et le guide d'action managériel qui le sous‐tend, sans pour autant suggérer que la réduction des effectifs soit une décision et un processus exempt de tout effet pervers ou de conséquence non voulue. Abstract: Mainstream literature in human resource management (hrm) and managerial studies have suggested repeatedly over the last fifteen years that the main unintended consequence of downsizing is the so‐called survivor syndrome, a potentially  相似文献   

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Abstract: An enduring issue of public administration is the ability of our political leadership to implement an agenda and to master events. This question has acquired new urgency in Canada and the United States with the publicity given to personnel problems in the offices of the prime minister and leader of the opposition, and with the role of the White House staff in the Iran-Contra affair. Using examples drawn from the author's past position as principal secretary to Prime Minister Trudeau, the article argues that: (a) it is possible to prevent the urgent from overwhelming the important but only if a strategic plan is adopted; (b) to implement such a strategic plan it is necessary to have a highly competent, partisan personal staff; but (c) we are in danger in Canada of blurring the lines between a partisan Prime Minister's Office and our tradition of a neutral public service. Such a blurring will impede the attempt to develop a strategic prime ministership. Sommaire: Nos chefs politiques peuvent-ils mettre en oeuvre un programme politi-que et exercer un contrôe sur les événements? Cette question, qui revient constamment en administration publique, a pris une acuité particulière au Canada et aux ÉtatsUnis depuis la publicité qui a été donnée aux problèes de personnel dans le cabinet du premier ministre et dans les bureaux du chef de l'opposition, et au rôle qu'a joué le personnel de la Maison Blanche dans le scandale de l'Irangate. Utilisant des exemples tirés de son expérience alors qu'il était secrétaire principal auprès du premier ministre Trudeau, l'auteur soutient: (a) qu'on peut éviter de faire passer les questions urgentes avant les questions importantes si on adopte un plan stratégique; (b) qu'il est nécessaire pour mettre en oeuvre ce plan stratégique de s'entourer d'un personnel compétent et partisan, mais (c) qu'au Canada, nous courons le risque que la ligne de démarcation entre un cabinet du Premier ministre nécessairement partisan et une Fonction publique neutre, comme le veut la tradition, soit floue. La confusion qui en découlerait nuirait au développement de fonctions stratégiques au bureau du premier ministre.  相似文献   

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