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1.
Abstract. Pressure groups, defined as organizations whose members act together to influence public policy in order to promote their common interests, are assumed to be integral to the functioning of the Canadian policy system, now and in the past. Successful interaction between Canadian governments and pressure groups has been typified by consultation and the search for accommodation and consensus. This pattern appears to be changing. The number of pressure groups is increasing with the trend to complexity in Canadian social and economic systems, the pull of information technology, and the influence of government policy. The emergent pattern sees pressure groups exposed to heightened public scrutiny and increasingly dependent upon supportive public opinion. Change is attributed to increased competitiveness resulting from the proliferation of groups, government modification of policy systems, and the popularization of pressure-group activity through the mass media. For public officials the changed climate of pressure group-government relations will reduce the capacity of government agencies to determine the nature of their relations with pressure groups, and increase the complexity, and uncertainty, of the public servant's decision environment. To meet these changes public officials should not depend on the development of new policy machinery, as some suggest, but on better use of existing communications devices. Sommaire. Les groupes de pression sont définis comme étant des organisations dont les membres agissent collectivement pour influencer la politique publique dans le sens de leurs intérèts communs. Ces groupes sont considérés comme l'un des éléments du système canadien d'établissement des politiques, maintenant comme par le passé. L'interaction fructueuse entre les gouvernements canadiens et les groupes de pression a été caractérisée par la consultation et la recherche de compromis et de consensus. Ce scénario semble changer. Le nombre des groupes de pression est en train d'augmenter avec la complexité croissante des systèmes sociaux et économiques canadiens, l'impulsion donnée par la technologie de l'information et l'influence de la politique gouvemementale. On semble se diriger vers une situation où les groupes de pression sont surveillés davantage par le grand public et dépendent de plus en plus d'une opinion publique favorable. Ce changement est dûà une plus grande concurrence du fait de la prolifération des groupes, à la modification par le gouvernement des systèmes d'établissement des politiques et à la polarisation des activités des groupes de pression par les media de communication. Du point de vue des agents du gouvernement. le nouveau climat des relations groupes militants - gouvernement rendra plus difficile l'évaluation de leurs rapports avec ces groupes et augmentera la complexité et l'incertitude de l'ensemble des facteurs en fonction desquels ils prennent leurs décisions. Pour pouvoir faire face à ces changements, les agents gouvernernentaux ne devront pas compter sur l'élaboration de nouveaux mécanismes d'établissement des politiques, comme le suggèrent certains, mais faire un meilleur usage des moyens de communication existants.  相似文献   

2.
Abstract: This paper presents a detailed case analysis of the emergence of far-reaching pay equity legislation (Bill 154) in Ontario in 1987 in order to test a general analytical framework designed to explain major changes in public policy. Three factors are postulated to be instrumental in the attainment of new legislative initiatives: changes in environmental variables (e.g., economic and demographic variables, historical trends and precedents); shifts in political power (e.g., electoral changes resulting in a minority government or a new governing party, the perception of voter mandated change); and changes in pressure group behaviour (e.g., a shift in the “balance of power” amongst pressure groups due to changes in resources, leadership, political influence strategies or tactics, or the creation of new pressure groups). The authors conclude that all three factors were important in explaining this significant change in public policy, with the greatest weight being attributed to shifts in political power. This framework appears to be a useful step in developing a general theory of major changes in public policy. Sommaire: Cet article présente une analyse détaillée de la manière dont a été adoptée en Ontario, en 1987, une importante loi sur l‘équité salariale (projet de loi 154), afin de verifier la validité d'un cadre analytique général visant à expliquer des changements importants de la politique gouvernementale. Trois facteurs semblent requis pour que se réalisent de nouvelles initiatives législatives: une évolution des variables du milieu (les variables économiques et démographiques, les tendances et les précédents historiques par exemple); l’évolution du pouvoir politique (les modifications qui découlent d'une élection entraînant un gouvernement minoritaire ou portant un nouveau gouvernement au pouvoir, la perception des changements souhaités par les électeurs entre autres); et les changements de comportement des groupes de pression (par exemple, un changement de “l‘équilibre des pouvoirs” parmi les groupes de pression à cause du changement des ressources, du leadership, des stratégies ou tactiques d'influence politique ou la création de nouveztux groupes de pression). Selon les auteurs, chacun de ces trois facteurs a joué un rôle important dans ce changement considérable des politiques publiques, l’évolution du pouvoir politique éant sans doute le plus déterminant. Ce cadre semble utile pour amorcer l‘élaboration d'une théorie générale des changements importants des politiques gouvernementales.  相似文献   

3.
Abstract: In 1989, the Canadian government announced a plan to reform the federal public service that would reduce the number of rules imposed on line managers and promote a “results-oriented, entrepreneurial” culture. Public discussion about the reforms was dominated by a community of groups and individuals, which the author characterizes as a “control lobby.” Constituents of the control lobby worried that the proposed reforms would undermine parliamentary control over the public service and increase bureaucratic misconduct. The lobby slowed implementation of, and caused modifications to, institutional reforms and undercut efforts towards culture change. The attention that it gave to incidents of perceived misconduct may also have reinforced popular beliefs about the dangers of reform. The paper describes the key members of the control lobby, their reaction to the PS 2000 reforms and attempts by reform leaders to respond to their concerns. It suggests that a major weakness of the PS 2000 initiative was its failure to anticipate and craft a response to worries expressed by the control lobby. Sommaire: En 1989, le gouvernement canadien a annoncé un plan de réforme de la Fonction publique fédérale visant à réduire le nombre de règles régissant les gérants hiérarchiques et à promouvoir un «esprit d'entreprise axé sur les résultats». Le débat public concernant ces réformes a été dominé par un ensemble de groupes et d'individus caractérisés par l'auteur comme étant des partisans du contrôle. Ces derniers s'inquiétaient du fait que les réformes proposées risquaient de soustraire la fonction publique au contrôle parlementaire et d'augmenter les vicissitudes bureaucratiques. Ce groupe de pression a ralenti la mise en oeuvre des réformes institutionnelles et les a modifiées, et il a sapé les efforts visant à faire évoluer les esprits. Ayant attiré l'attention sur les incidents où il semblait y avoir un comportement incorrect des fonctionnaires, il a peut-être aussi réussi à renforcer les croyances populaires concernant le danger des réformes. L'article décrit les principaux membres de ce groupe de pression, leur réaction face aux réformes de la FP 2000, et les efforts des leaders de la réforme pour répondre à leurs inquiétudes. II suggère que le fait de ne pas avoir prévu les inquiétudes exprimées par les partisans du contrôle et de ne pas avoir préparé de réponse adéquate constitue une faiblesse importante de l'initiative FP 2000.  相似文献   

4.
Abstract: The paper examines the electoral consequences of the Parti Québécois' decision in the fall of 1982 to reduce expenditures by drastically cutting wages in the public sector. In so doing, the Parti Québécois was attacking a group which was part of its core clientele. The episode offers the possibility of testing the proposition that a party which ignores its faithful supporters is doomed to perish. The analysis shows that the measure cost the Parti Québécois a loss of seven percentage points among public sector employees; that the latter reacted as a group, their voting behaviour not being influenced by whether or not they were personally affected by the measure; and that the total net loss to the Parti Québécois was 1.5 percentage points. The paper argues that the measure was less costly than the theoretical literature might have suggested and that the move could have been a successful one had the whole policy been handled more shrewdly by the government. Sommaire: L'article examine les conséquences électorates de la décision prise à l'automne 1982 par le gouvernement du Parti québécois de réduire les dépenses en procédant à des coupes sévères dans les salaires du personnel du secteur public. Le Parti québécois s'attaquait ainsi à un groupe qui lui était traditionnellement acquis. Cet épisode de la vie politique permet de vérifier l'assertion suivant laquelle un parti qui néglige ses fidèles partisans est vouéà la disparition. L'analyse montre que cette mesure a coûté au Parti québécois une perte de 7 points de pourcentage dans le vote des employés du secteur public; que ces derniers ont réagi en tant que groupe, leur comportement au moment du vote étant le même qu'ils soient ou non personnellement affectés par la mesure; et que la perte nette totale du Parti québécois a été de 1,5 point. L'article indique que la mesure a été moins coûteuse que ce qu'aurait pu laisser penser la théorie et qu'elle aurait pu être un succès si le gouvernement avait géré toute la politique de façon plus astucieuse.  相似文献   

5.
Abstract. This article exmines the relationship between government regulation and interest group activity of two paramedical groups in Ontario: chiropractors and physiotherapists. These disciplines occupy positions vis-à-vis the provincial medical insurance plan opposite to those which their relationships with the medical profession would suggest. It will be argued that the employment of sophisticated pressure group tactics can be highly effective as a surrogate for medical recognition. This, in conjunction with the difficulties inherent in the exercise of lay judgment in the development of public policy toward the professions, can lead to controversial policy outputs. It will also become apparent that a close and legitimate association with the medical profession is not necessarily of benefit in the pursuit of professional recognition. Sommaire: Cet article examine les rapports entre les règlements gouvernementaux et les activités poursuivies par deux groupes pararnédicaux en Ontario pour défendre leurs intétrêts: les chiropraticiens et les physiothérapeutes. Du point de vue du traitement qui leur est accordé dans le cadre du Régime provincial d'assurance maladic, ces disciplines occupent des position? qui sont diamétralement opposées à ce que l'on s'attendrait à trouver compte tenu des rapports qu'ils entretiennent avec les médecins. On peut faire valoir que l'utilisation de tactiques perfectionnées propres à promouvoir les objectifs des groupes de pression peut être hautement efficace comme moyen de remplacer les avantages que confère la reconnaissance par le corps médical. Le recours a de telles tactiques, dans un contexte caractérisé par les difficultés inhérentes à la tâche que doivent accomplir des profanes chargés d'émettre un jugement lors de l'élaboration d'une politique publique à. l'égard de ces professions, peut aboutir à des résultasts qui, considérés du point de vue de cette politique, peuvent donner lieu à controverse. On pourra également constater qu'une association étroite et légitime avec le corps médical ne constitue pas nécessairement un avantage pour un groupe qui s'efforce d'obtenir la reconnaissance de son statut professionnel.  相似文献   

6.
Abstract. Given the current interest in various forms of a prices review board, it may be instructive to consider the case of the Board of Commerce of Canada, appointed to serve a similar purpose in 1919. During its fifteen months of operation, the board's efforts to limit price increases were largely ineffective. Factors limiting the board's effectiveness included the less-than-wholehearted support of the federal government for a program of price and profit controls, the sympathies of the board members for the interests of the business community, staff shortages caused by a feud with the Civil Service Commission, and international developments which affected the performance of the Canadian economy. Sommaire. Etant donné que l'on envisage actuellement, sous des formes variées, la création dune commission de contrôle des prix, il pourrait être intéressant de reconsidérer le cas du Conseil du commerce du Canada, nommé en 1919, dans le même but. Au cours de ses quinze mois d'existence, les efforts du Conseil en vue de limiter les augmentations de prix ont généralement échoué. Parmi les facteurs qui ont nui à son efficacité, on peut citer le manque d'enthousiasme du gouvernement fédéral pour un programme de contrôle des prix et des bénéfices, les sympathies de ses membres pour les intérêts du monde des affaires, le manque de personnel dûà une querelle avec la Commission de la fonction publique et les développements internationaux qui eurent une influence sur le comportement de l'économie canadienne.  相似文献   

7.
Abstract During the last twenty years we have witnessed a spectacular increase in the size of Canadian government bureaucracy and in the breadth of its activities. This increased participation in the provision of services by the public sector raises the question of whether government in general, and the public servants who deliver government services in particular, are perceived by the public as effective service agents. Using survey data compiled in 1978, this study sets out to determine how Canadians see the differences between the private and public sectors in terms of their abilities to be fair and prompt in their dealings with the public. The study also attempts to measure whether there are differences in perceptions of the public sector between those who have had contact with the public service and those who have not and, finally, to assess whether attitudes toward specific characteristics of public servants based on personal experience are generalized to include attitudes about the public service as a whole. The results of this study suggest that the public has little faith in either the public or the private sector's ability to provide services, that favorable contact with the public servants has little impact on overall attitudes and that experiences in using government services are only marginally related to general attitudes about government. Sommaire. Au cours des vingt dernières années, now avons assistéà un spectaculaire agrandissement de la bureaucratie du gouvernement canadien et à un développement impressionnant de ses activités. Le secteur public assurant désormais davantage de services, on se demande ce que le public pense de l'efficacité du gouvernement en général et des fonctionnaires, dispensateurs de ces services, en particulier. Basée sur des données d'enquêtes compilées en 1978, la présente étude vise à déterminer quelles sont les différences que les Canadiens perçoivent entre le secteur public et le secteur privé, du point de vue de l'impartialité et de l'empressement dont les fonctionnaires font preuve dans leurs relations avec leurs clients. L'étude essaie également de voir si le secteur public est perçu différemment par ceux qui ont des contacts avec lui par rapport à ceux qui n'en ont pas; finalement, elle tente d'établir si la perception des fonctionnaires dans leur ensemble n'est pas la généralisation d'une perception individuelle de cas particuliers. Lenquête conclut que le public ne fait pas plus confiance au secteur public qu'au secteur privé en ce qui conceme les services qu'ils assurent, que les heureux contacts avec les fonctionnaires n'ont que peu d'influence sur l'attitude générale du public à leur égard et qu'enfin, les expériences dans l'utilisation des services du gouvernement n'ont guère d'effet SIX l'attitude générale envers ce même gouvernement.  相似文献   

8.
Abstract. This paper examines the problems encountered by the Canada Council in defining its status, and particularly its relationships with government and with its clientele, during its first twenty-one years. It deals primarily with the Council's experience in the support of the humanities and social sciences. The Council was created as a public body, in some respects resembling a government agency, but in others more like a private foundation. In its dealings with the academic community, the Council's public status made it more susceptible to criticism by scholars, especially after 1965 when growing revenues gave it a near-monopoly in support of research and scholarship. Failure to develop adequate links with that community in its first eight years led to persistent demands from scholars for a new organization, and increased the Council's vulnerability to a changing government view of its role. Although the introduction of annual appropriations in 1966 necessitated a new working relationship with the government, this was accomplished initially with no loss of the Council's autonomy. From the late sixties on, however, the Council experienced growing difficulty in maintaining an arm's-length relationship with the government in the face of persistent efforts to subsume its policies and priorities within a unified framework of government objectives. The paper argues that, in the support of scholarship and the arts, the public interest is better served by the original concept on which the Canada Council was based, namely as a public but non-governmental organization. Sommaire. L'auteur de cet article étudie les problèmes qu'a rencontré le Conseil des Arts en voulant définir son statut, et plus particulièrement ses rapports avec le gouvernement et avec sa clientèle, pendant ses vingt-et-une années d'existence. II porte une attention particulière à l'expérience du Conseil du point de vue de l'aide apportée aux humanités et aux sciences sociales. A sa création, le Conseil était une institution publique qui, d'un certain point de vue, ressemblait à un organisme gouvernemental mais qui, aussi à d'autres égards se rapprochait davantage d'une fondation privée. Dans ses rapports avec la communauté universitaire, le statut public du Conseil se prêtait à la critique des universitaires, particulièrement après 1965, lorsque l'augmentation de ses revenue Iui donna le quasi-monopole des bourses et des subventions. Le Conseil n'ayant pas réussi àétablir des relations satisfaisantes avec cette communauté durant les huit premieres années, les universitaires réclamèrent avec beaucoup de persistence un nouvel organisme, ce qui ne fit qu'accroître la vulnérabilité du Conseil à une nouvelle perception de son rôle de la part du gouvernement. Bien que l'introduction, en 1966, d'appropriations annuelles ait nécessité de nouvelles relations de travail avec le gouvernement, ceci s'est fait initialement sans que le Conseil ne perde son autonomie. Toutefois, à partir de la fin des années 60, le Conseil éprouva de plus en plus de difficultés à garder ses distances par rapport au le gouvernement, alors que celui-ci s'efforçait, avec beaucoup de persistance, de canaliser ses politiques et ses priorités dans un cadre unifié d'objectifs gouvernementaux. L'auteur soutient qu'en ce qui concerne le support à l'enseignement et à la recherche, l'intérêt du public est mieux servi par le concept original sur lequel le Conseil des Arts était fondé, c'est-à-dire celui d'un organisme public mais non-gouvernemental.  相似文献   

9.
Abstract: The literature on cutback management does not address the role of government in inducing creative strategies to deal with retrenchment. As this paper argues, government should not limit itself to economizing but should also provide administrative leadership, especially with respect to developing interorganizational cooperation and evaluating effectiveness. Interorganizational theory and research suggest that organizations are reluctant to interact, a tendency which becomes intensified in periods of decline. Such literature also indicates that government is in a position to motivate priority planning at the network level and cooperation between the organizations it funds. An examination of the strategies of the Ontario Ministry of Community and Social Services illustrates that there is little interest in facing this challenge. Although the ideas expressed in this paper contradict the logic of pluralism, and the political safety it provides to government, adopting a stronger managerial position regarding cutback strategies will eventually gain legitimacy. Sommaire: Les textes portant sur la gestion des coupures budgétaires ne se penchent pas sur le rôle du gouvernement dans l'amorce de mesures innovatrices en ce qui a trait à la compression des dépenses. Comme il est dit dans cet article, le gouvernement ne devrait pas se contenter d'économiser, mais devrait aussi faire preuve de leadership en matiere administrative. Il devrait en particulier amplifier la coopération interorganisationnelle et évaluer l'efficacité des programmes. La théorie et les recherches sur l'interorganisation portent à croire que les organismes Bprouvent des réticences à collaborer, tendance qui s'intensifie en périodes de déclin. Ces écrits indiquent aussi que le gouvernement se trouve dans une position où il peut encourager une planification prioritaire au niveau du réeau, et des échanges entre les organismes qu'il subventionne. Si on analyse les mesures prises par le ministère des Services sociaux et communautaires de l'Ontario, on se rend compte que le gouvernement n'a pas très envie de relever le défi. Bien que les idées exprimées dans cet article contredisent la logique du pluralisme et la sécurité politique que ce dernier fournit au government, I'adoption d'une attitude gestionnaire plus forte, en ce qui a trait aux coupures budgétaires et aux mesures à appliquer, sera peut-êre un jour reconnue comme juste.  相似文献   

10.
Abstract. This paper looks at some aspects of extended Canadian maritime jurisdiction. It explores the development and acceptance of the concept of the 200-mile economic zone at the United Nations Third Law of the Sea Conference. It considers the relationship between the multilateral negotiations on the 200-mile economic zone, and the 1977 200-mile fishing zone introduced by the Canadian government unilaterally, and concludes that extensive control over resource and non-resource issues will be extended over a 200-mile zone, but in a fragmented and piecemeal fashion. New political relationships and institutions will emerge in the zone of extended coastal jurisdiction. As well, new areas of conflict, both intra-national and international, will emerge. The political problems the Canadian government will face, such as allocating an expanded national fishery between its inshore and offshore sectors, are suggested. Finally, administrative and political structures that could help to ensure the good government of the new zone are described. This might include a House of Commons Standing Committee on Ocean Affairs, to provide an integrated rather than the present fragmented perspective on ocean matters; and provisions to provide representation for environmental and consumer groups as well as for existing special interest groups such as those connected with the oil and fishing industries. Sommaire. Cet article analyse quelques aspects de l'extension de la juridiction maritime du Canada. L'auteur y examine le développement du concept de la zone économique de deux cent milles marins à la Troisième Conférence du droit de la mer des Nations Unies. Il établit la relation entre les négotiations multilatérales de la zone économique de 200 milles et celles de la zone de pěche de 200 milles établie unilatéralement par le gouvernement du Canada en 1977. Il conclut qu'un contrǒle dans le domaine des ressources physiques, comme dans d'autres domaines, sera étendu à une zone dépassant 200 milles mais d'une manière partielle et progressive. De nouvelles relations politiques et institutions seront établies dans la zone soumise à la juridiction étendue. On peut également s'attendre à de nouveaux conflits domestiques et intemationaux. On mentionne des problèmes politiques qui se poseront au gouvernement canadien comme le partage entre les secteurs de pěche cǒtière et de pěche en haut mer. Enfin les structures administratives et politiques qui pourraient assurer un gouvernement efficace dans la nouvelle zone y sont décrites. Elles pourraient inclure une commission pennanente de la Chambre des Communes sur les affaires maritimes qui traiterait des problèmes maritimes dans une perspective intégrée au lieu de le faire, comme aujourd'hui, d'une façon fragmentaire. Il serait aussi nécessaire que soient représentés les groupes d'environementalistes et de consommateurs ainsi que ceux qui s'occupent, à l'heure actuelle, du pétrole et des industries de la pěche.  相似文献   

11.
Abstract: This paper provides a detailed analysis of the claims of so-called public interest groups. It offers reasons why politicians, public servants, and citizens should be sceptical of the claims of these and other groups. While there are many definitions of the public interest, none provide a general guide to evaluating the enormous range of demands for government action faced by policy-makers. The paper provides a general analysis of the nature of pecuniary and non-pecuniary interests. Public interest groups claim they advocate policies which confer collective, non-pecuniary benefits. Yet it appears that the greatest increases in utility usually accrue to the members of the group, particularly its most activist members. Further, when they are acting in what they believe is the public interest, people are more likely to behave in ways that are intolerant of even the expressed desires of others. Policy analysts and the political masters they serve should strip away the emotive rhetoric of claims by all groups to advance the public interest. Rather, both should ascertain as completely as possible the full range of consequences of the policies they propose. Sommaire: Cet article contient une analyse détaillée des prétentions des groupes dits d'intérêt public. II présente les raisons pour lesquelles les politiciens, les fonctionnaires et les citoyens en général devraient envisager avec un certain scepticisme les prétentions de ces groupes et d'autres encore. Bien qu'il y ait de nombreuses définitions de l'intérêt public, aucune ne peut servir de guide général lorsqu'on veut évaluer l'éventail de demandes d'intervention gouvernementale auxquelles font face ceux qui doivent formuler les politiques. L'article continent une analyse générale des caractéristiques des intérêts financiers et non-financiers. Les groupes d'intérêt public prétendent proposer des politiques offrant des avantages collectifs, non financiers. II semble pourtant que ce sont les membres du groupe, et en particulier ses membres les plus militants, qui bénéficient généralement le plus des avantages obtenus. De plus, lorsqu'ils agissent dans ce qu'ils estiment être l'intérêt public, les gens ont davantage tendance à se comporter de manière intolérante envers les désirs (même explicites) des autres. Les analystes de politiques et les maîtres politiques qu'ils servent devraient éliminer la rhétorique émotive qu'utilisent tous les groupes qui prétendent ?uvrer dans l'intérêt public. Analystes et politiciens devraient plutôt vérifier aussi complètement que possible toute la gamme de conséquences des politiques qu'ils proposent.  相似文献   

12.
Abstract: Understanding the proper role of government in the promotion of small technology-oriented firms is a priority given the potential benefits to society as a whole and the inability of traditional market mechanisms to adequately nurture such firms. Further, designing the appropriate public policies to sufficiently satisfy the involved stakeholders has typically proven to be an elusive pursuit. With these issues in mind, this paper applies the concept of agency theory to evaluate government programs seeking to promote technology start-ups. A new program associated with the Innovation Ontario Corporation, which utilizes equity joint ventures between government and small technology-oriented firms, is described and evaluated using the agency perspective. Suggestions are made for further inquiry and analysis. Sommaire: Il importe de cerner le rôle adéquat du gouvernement dans la promotion des petites entreprises technologiques, étant donné, d'une part, les avantages potentiels pour la société dans son ensemble, et d'autre part, l'incapacité des mécanismes classiques du marchéà favoriser comme il le faut l'évolution de ces entreprises. De plus, en régle générale, les efforts visant àélaborer des politiques publiques appropriées et satisfaisantes pour les intervenants en question se sont révélés aléatoires. Compte tenu de tout cela, le présent article applique la théorie des agences pour évaluer les programmes gouvemementaux qui visent à faciliter le démarrage d'entreprises technologiques. Nous décrivons et nous évaluons ici, dans la perspective des agences, un nouveau programme associéà la Société Innovation Ontario, qui fait appel aux co-entreprises avec participation au capital pour le gouvernement et les petites entreprises technologiques. Nous proposons aussi des suggestions pour des enquêtes et analyses plus poussées.  相似文献   

13.
Abstract: Government regulation may be instituted to alter the distribution of income and wealth just as it may be instituted to remedy market failures and hence improve allocative efficiency. Consistent with what has been called our “nascent genius in redistribution.” Canada has made extensive use of regulation as a technique to redistribute income - even where it may not have been established with that purpose mainly in mind. As a governing instrument, regulation is attractive to politicians because it provides a means of effecting redistribution in a disguised form. Its major advantage is that the transfers do not pass through the usual tax and expenditure process. In the case of direct regulation we show that income may be redistributed in at least three ways: from consumers to producers; from one group of consumers to another within the regulated market; and regulation may be used to prevent, delay or alter distributional shifts stemming from market forces. We provide considerable empirical evidence to document the use of regulation to redistribute income from consumers to producers (i.e., supply management marketing boards, trucking, taxis), and among consumer groups through cross-subsidization (e.g., airlines, telephones). Less emphasis has been given to the role of redistribution in social regulation. We describe how health. safety and environmental regulation can be viewed in distributional terms. In particular, we examine the close connection between social regulation and the creation of rights which are inherent in the individual and which are to be removed from market decision-making. Finally, we discuss some of the implications of using regulation to redistribute income: rent-seeking behaviour which converts transfers to social wastes; the creation of barriers to deregulation as the recipients of regulatory transfers seek to protect them; and the high social costs of using this method of redistributing income. Sommaire: Le but de la réglementation gouvernementale peut êre de changer la distribution du revenu et de la richesse comme de remédier aux carences du marché et d'améliorer ainsi la répartition. Fidèle à ce que l'on a appelé notre “génie inné pour la redistribution”, le Canada s'est beaucoup servi de la réglementation comme technique de redistribution du revenu — même là où ce n‘était pas son objectif principal. Comme instrument de gouvernement, la réglementation plaît aux hommes politiques, parce qu'elle leur donne un moyen d'assurer la redistribution sans en avoir l'air. Son principal avantage est d'assurer les transferts sans les faire passer par le processus de la fiscalité et des dépenses. Dans le cas de la réglementation directe, nous montrons que le revenu peut être redistribué dau moins trois façons: des consommateurs aux producteurs; d'un groupe de consommateurs à un autre à l'intérieur du marché réglementé; enfin, la réglementation peut servir à prévenir, retarder ou modifier les déplacements et la distribution provenant des mouvements du marché. Nous offrons toutes sortes de preuves empiriques documentant l'usage de la réglementation dans le but de redistribuer le reyenu des consommateurs aux producteurs (par exemple la question des approvisionnements, les conseils de mise en marché, le camionnage, les taxis) et à l'intérieur des groupes de consommateurs par l'inter-subventionnement (par exemple les compagnies déiennes, les té1éphones). Nous avons moins insisté sur le rôle de la redistribution dans la réglementation sociale. Nous décrivons cependant comment la réglementation dans le domaine de la santé, de la sécurité et de l'environnement peut être envisagée sous l'angle de la distribution. Nous examinons en particulier le rapport étroit entre la réglementation sociale et la création de droits inhérents à l'individu et devant échapper au pouvoir décisionnaire du marché. Finalement, nous discutons de certaines des conséquences de l'usage de la réglementation pour redistribuer le revenu: le comportement orienté vers la recherche d'une rente qui fait de certains transferts du gaspillage social, la création d'obstacles à la déréglementation lorsque les prestataires de transferts réglementés essaient de les protéger et les coûts sociaux élevés de cette méthode de redistribution du revenu.  相似文献   

14.
Abstract: The merit principle is the primary means of restraining or avoiding political influence in civil service employment. It has received a good deal of attention at the national level of government but much less so at the provincial level. This article is designed to provide an assessment for Atlantic Canada. The author reviews the background in Britain and Canada and, after identifying the main elements of the principle, as developed at the national level of government in Canada, deals separately with each of the four Atlantic governments. He concludes that the merit principle has had its ups and downs throughout the region and that its current status varies considerably from province to province. Sommaire: Dans le secteur de I'emploi de la Fonction publique, le principe de la selection selon le merite est le meilleur moyen le limiter l'influence de la politique, voire de l'éviter. Ce principe a fait l'objet de beaucoup d'attention au niveau du gouvernement fédéral, ce qui n'a pas été autant le cas au niveau provincial. Dans cet article, I'auteur Bvalue la situation B ce sujet dans les quatre provinces de l'Atlantique du Canada. Il commence par passer en revue les données en Grande-Bretagne et au Canada, puis met au jour les principaux aspects du principe, tel qu'il a étéélaboré au niveau du gouvernement fédéral, pour en arriver enfin à traiter séparément chaque gouvernement des provinces de l'Atlantique. En conclusion, l'auteur dit que le principe de la sélection selon le mérite a connu des hauts et des bas dans les quatre provinces et, qu'à l'heure actuelle, la situation varie beaucoup de l'une B l'autre.  相似文献   

15.
Abstract: Some fundamental questions are being asked about how government is organized and about public servants, their roles and relationships to ministers and Parliament, and the skills and values they need to do their jobs. Sadly, much of what is being said about federal public servants is based on clichks and myths. The purpose of the paper is to consider the forces at play that are changing the federal public service and to review new conditions and circumstances under which public servants must now operate. The paper also looks to the future and points to new emerging challenges for public servants and for the study of public administration. The paper concludes with the suggestion that greater emphasis must be placed inside government on managing human resources more effectively and that a new corporate culture among federal public servants must emerge. It also concludes with a plea for more academic studies on managing in the public sector and on government organization. The paper also calls for closer collaboraton between public serants and the academic community. Sommaire: On se pose quelques questions fondamentales à propos de l'organisation du gouvernernent fédéral et des fonctionnaires, du rôle de ces derniers, des rapports qu'ils entretiennent avec le Parlement et les ministres, des compétences et des valeurs qu'ils doivent poséder pour assumer leurs responsabilités professionnelles. Il est triste, toutefois, de constater que ce qu'on raconte sur les fonctionnaires fédéraux se fonde sur des stéréotypes et des mythes. Cet article analyse les forces qui sont en train de modifier la fonction publique fédérale et passe en revue les nouvelles conditions et circonstances dans lesquelles les fonctionnaires sont maintenant tenus de travailler. Lauteur de l'article s'interroge également sur I'avenir et indique les nouveaux défis qui vont se poser aux fonctionnaires et i ceux qui étudient l'administration publique. En conclusion, l'auteur sug-gère qu'on devrait se préoccuper davantage, au sein du gouvernement, de la gestion des ressources humaines, et qu'une culture corporative devrait faire son apparition par mi les fonctionnaires du gouvernement fédéral. Il plaide également pour que des études sur la gestion dans le secteur public et sur l'organisation du gouvernement se multiplient au niveau universitaire. Il exprirne aussi le souhait que les fonctionnaires et les milieux academiques coopèrent plus étroitement.  相似文献   

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Abstract. The energy crisis has produced a confrontation between the federal government and the Canadian oil industry which has significantly reduced the latter's autonomy. This article postulates three hypotheses, which are then explored in the context of the energy crisis: that pressure group influence declines during a crisis situation; that if the crisis necessitates federal-provincial negotiation this tendency is accentuated; and that when facing a serious threat from government action the group under attack will seek to exert its influence as widely as possible. The article goes on to examine the oil industry's various channels of influence — the Senate, the Alberta Conservative caucus, the Alberta Liberal party, informal contacts with Alberta politicians, the Technical Advisory Committee on Petroleum Supply and Demand, and others and concludes that these were inadequate for serving the industry's objectives during the crisis. The speed at which events unfolded during the crisis and the consumer concern that arose led the federal government to respond rapidly, with little advance consultation with the industry or the producing provinces. In the federal-provincial Confrontation that ensued, the industry was excluded from a significant decision-making role. It will now seek to exert more public pressure on the federal government, but it must do so within a new set of rules under which the various levels of government will be more intimately involved in its activities. Sommaire. La crise de l'éergie a produit, entre le gouvernement fédéral et l'industrie canadienne du pétrole, une confrontation qui a réduit considérablement l'autonomie de cette dernière. L'auteur de cet exposé propose trois hypothèses qu'il examine ensuite dans le contexte de la crise de l'énergie, à savoir:que l'influence des groupes de pression diminue dans une situation de crise; que cette tendance s'accentue si la wise oblige à des nègociations fédéralesprovinciales et que, face à une menace sérieuse d'intervention gouvernementale, le groupe attaqué. cherche à exercer une influence aussi large que possible. II examine ensuite les différentes voies d'influence de l'industrie du pétrole:le sénat, le caucus conservateur de I'Alberta, le parti libéral de l'Alberta, les contacts officieux avec des liommes politiques de l'Alberta, le comité technique qui s'occupe de l'offre et de la demande de pétrole et d'autres, pour conclure qu'elles étaient insuffisantes pour permettre à l'industrie d'atteindre ses objectifs durant la crise. La rapidité avec laquelle les événements se sont déroulés pendant la crise et la manifestation des craintes des consommateurs entraînérent une réaction rapide de la part du gouvernement fédéral, sans grande consultation préalable avec l'industrie ou les provinces productrices. Dans la confrontation fédéraleprovinciale qui a suivi, l'industrie a été exclue de toute prise de décision importante. Elle va chercher maintenant à exercer des ressions publiques accrues sur le gouvernement fédéral, mais elle doit se confonner aux nouvelles régles du jeu qui impliquent une plus grande ingérence des différents niveaux de gouvernement dans ses activités.  相似文献   

17.
Abstract: In examining the relationship between municipal and provincial government authority over policing in Ontario, this article explores a specific project which has generated a substantial amount of interest, and controversy, around the issue of control of municipal police budgets. It will further scrutinize the process undertaken by the Expert Panel on Municipal Police Services Budgets in developing and advancing its recommendations as an interesting and instructive innovation in government decision making. The article will summarize and elaborate on the work of the Expert Panel, formed in March 1992, as the first enterprise in the disentanglement process embarked on by the Ontario provincial government, in partnership with the Association of Municipalities of Ontario, to review and rationalize a wide spectrum of provincial/local relationships with an aim to achieve greater efficiency, effectiveness, and client service. The issue of financial control over municipal police services is one of considerable importance in Ontario to both the municipal sector and the policing community. By considering the work of the Expert Panel as an exercise in disentanglement, within the context of the “vigilant problem-solving approach” formulated by Irving Jnnis, this article attempts to provide specific insight and guidance to other practitioners in the realm of public policy making, as well as to capture the processes and proceedings of this particular undertaking. Sommaire: Cet article examine le rapport entre les autorités provinciales et municipales qui exercent le contrôle de la police en Ontario; il s'intéresse à un projet particulier qui a suscité discussion et controverse en ce qui concerne le contrôle des budgets municipaux de police. Il examine par ailleurs le processus entrepris par le groupe d'experts en matière de budgets municipaux de services policiers pour formuler ses recommandations, processus qui constitue une innovation intéressante et instructive pour la prise de décisions gouvernementales. L'article résume et analyse le travail du groupe d'experts mis sur pied en mars 1992, première étape du processus de démêlement des rôles entrepris par le gouvernement de l'Ontario, en partenariat avec l'Association des municipalités de l'Ontario, afin d'examiner et de rationaliser une vaste gamme de relations provinciales-locales pour augmenter l'efficacité et améliorer le service à la clientèle. La question du contrôle financier des services policiers municipaux revêt beaucoup d'importance en Ontario, tant pour le secteur municipal que pour la collectivité policière. En considérant le travail du groupe d'experts comme étant un exercice de démêlement des rôles, dans le contexte de “ l'approche vigilante de résolution de problèmes ” formulée par Irving Janis, cet article essaie d'offrir aux autres praticiens de la prise de décisions publiques à la fois des explications et des façons de faire, tout en cernant les processus et méthodes de cet effort particulier.  相似文献   

18.
Abstract. This paper surveys the rapidly increasing demands imposed on government and discusses organizational and administrative innovations in the structure of government over the past ten years designed to assist ministers in satisfying such demands. The paper discusses the importance of developing means whereby ministers can give shape and direction to the activities of government and outlines changes that have taken place in the over-all machinery of the government as well as the structure and procedures of the cabinet. The paper goes on to look at the personnel resources available to the federal government and the way in which they have been utilized to complement not only the administrative but also the policy needs of government. The importance of intergovernmental relations in the modern federal state is also discussed. The paper concludes by looking at a number of unresolved problems as well as some of those created in part by the organizational and procedural responses discussed earlier, and stresses an evolutionary approach in developing means of dealing with problems in the years ahead. It raises questions about the longer-term role of government, the problems posed by a time frame for decision-making that increasingly surpasses the life-span of an individual Parliament, the balance between confidentiality in cabinet government and the need better to inform those outside of government concerned with matters of public policy and public administration, the adaptation of the public service to fulfil the needs of the rapidly changing circumstances of government, and the danger of compartmentalizing government by failing to see it as a unity operating under the general rubric of the processes of Parliamentary and cabinet government. Sommaire. Ce document passe en revue les exigences toujours plus nombreuses que pose le gouvernement du pays et fait état des changements structurels et administratifs apportés à l'appareil gouvernemental au cours de la dernière décennie afin d'aider les ministres à satisfaire à ces exigences. La nécessité de définir des méthodes qui permettent à ces derniers d'informer et d'orienter les activités gouvernementales y est en outre évoquée, de même que l'organisation et le fonctionnement du Cabinet. L'examen des ressources humaines dont dispose le gouvernement fédéral et de leur utilisation pour répondre non seulement aux besoins administratifs mais aussi aux exigences de la politique gouvernementale est suivi d'un exposé de l'importance des relations intergouvernementales au sein de l'Etat fédéral moderne. Dans un deuxième temps, on étudie un certain nombre de problèmes qui demeurent irrésolus et quelques-uns de ceux qui résultent en partie des changements précités, pour ensuite recommander l'adoption d'un méthode par étapes pour aborder les problèmes des années à venir. On s'interroge enfin sur le rôle à long terme du gouvernement; sur les problèmes découlant du fait que le temps nécessaire à la prise de décisions importantes excède chaque jour davantage la durée d'une seule législature; sur le juste milieu à trouver entre, d'une part, le caractère confidentiel des travaux du cabinet et, d'autre part, le besom de mieux informer les profanes qui s'intéressent aux affaires publiques; sur la nécessité pour la fonction publique de s'adapter à l'évolution des techniques du gouvernement et sur le danger de cloisonner les organes du pouvoir politique et de perdre de vue par le fait même la convergence ultime des attributions du Parlement et du cabinet.  相似文献   

19.
Abstract: After obtaining office in 1984, the federal Conservative government began a lengthy process of consultations and conferences intended to define a new, expanded, federal role in Canadian forest policy. Despite their best efforts, however, the 1987 National Forest Sector Strategy which emerged from this process envisioned only a very restricted federal role in the sector. On the basis of a survey of federal government activity in the forest sector since 1867, it is argued that the most recent federal initiative, like similar attempts made in 1949, 1966, and 1978, foundered on the obstacles presented to any expanded federal role by the fact that resource ownership and constitutional authority over the forest resource are vested in the provincial governments. Sommaire: Après son arrivée au pouvoir en 1984, le gouvernement conservateur a entrepris un long processus de consultations et de conférences dans le but de définir un rôle nouveau et plus étendu pour le gouvernement fédéral en matitèe de politique forestière au Canada. En dépit de ces efforts, la Stratégie nationale pour le secteur forestier de 1987 qui a résulté de ce processus ne proposait qu'un rôle très restreint au gouvernement fédéral dans ce secteur. Sur la base d'une étude de l'activité du gouvernement fédéral dans le secteur forestier depuis 1867, on indique que cette récente initiative du gouvernement fédéral, à l'image des essais similaires de 1949, 1966 et 1978, se heurte aux obstacles que l'on rencontre lors de toute tentative d'expansion du rôle du fédéral: la propriété des ressources et la compétence constitutionnelle sur les ressources forestières relèvent des gouvernements provinciaux.  相似文献   

20.
Abstract. Society demands ever-increasing interventions by the state. At the local level the demand for increased state activity is caused by the complexity of modem society and by the increased concentrations of people being experienced, and even the most traditional areas of government service will expand. Provincial and federal governments will find their increased activity revolving around education and the manipulation of the economy. People do not want the government to do anything more, and are distrustful of government activity. They have those feelings for good cause. Some of the things government attempts to do it does incompetently (and I digress to bad-mouth Opportunities for Youth, unemployment insurance, and municipal transportation). On the other hand, some of those things that government does do well, like creating unemployment and providing public housing, it does on such a scale that people are badly hurt by the results. Society is making many rapid changes. Society does that for itself; the government does not do it. The job of government is to assess and respond to those changes. It ought not to initiate them. as it is incapable of doing so. The political process only works kvell with present public concerns. The greatest dangers to society are posed by the tendency of government to act without political control or direction. This danger is accentuated by an out-of-date political structure, placing powers and responsibilities in the hands of governments that are beyond any practical political control. There is a dilemma. People want and need more government services and do not trust government to provide them. The solution must be found in a radical restructuring of levels of government (I indulge in the pleasant fantasy of contemplating the abolition of Ottawa), and in the strengthening of communities, primarily through organizers. Sommaire. La société exige de l'état des interventions toujours plus fréquentes. Au niveau régional, le besoin d'unr participation plus importante de l'état est dûà la complexité. de la société rnoderne et à la concentration toujours plus grande de la population, de manière que même les services gouvernementaux les plus routiniers y prendront de l'expansion. Les gouvernements provinciaux et fédéral borneront généralement leurs Iiouvelles activités au domaine de l'enseignement et à la manipulation de l'économie. La population voudrait mettre fin aux ingérences dun gouvernement dont elle craint les activités, et pour causc: ! Certaines tentatives du gouvernement ont été entreprises sans compétence (je songe é l'échec du programme Jeunesse, à l'assurance chômage et aux systèmes de transport municipaux). Par ailleurs, ce que le gouvemement fait le mieux (propager le chômage et multiplier les habitations à loyer modéré) il le fait sur une telle envergure que toute la population finit par en soufh-ir. La société subit des changements nombreux et rapides, changements qu'elle accomplit elle-même, sans l'aide du gouvernement. Le rôle du gouvernement est d'évaluer ces changements et d'agir en conséquence. Ce n'est pas à lui d'en prendre l'initiative, d'autant plus qu'il en est incapable. Le processus politique ne peut s'attaquer efficacement qu'aux difficultés existantes. Les plus grands dangers qui confrontent la société proviennent de la tendance gouvernementale à agir sans contrôle ni modération. Ce danger se trouve encore aggravé par un système politique périmé qui abandonne le pouvoir et les responsabilités à des formes de gouvernements soustraits à tout contrble politique pratique. Le probléme est sérieux: la population, qui a besoin de services gouvernementaw plus étendus, ne peut se fier à lui pour les procurer. La solution ne viendra donc que d'une restructuration radicale de tous les niveaux du gouvernement (il m'arrive de rêver de l'abolition totale d'Ottawa) et d'un renforcement des pouvoirs municipaux aux mains d'organisateurs compétents.  相似文献   

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