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Abstract: Although we have fairly good knowledge of the impact of official bilingual‐ism at the federal level and of official unilingualism in Quebec on language practice in government, we know less about whether these changes in language policies have led to shifts in language practice in civil‐society organizations. The Royal Commission on Bilingualism and Biculturalism carried out an extensive investigation of language practices in the private sector and in voluntary associations. Using the royal commission's work on associations representing the general interests of business, this article examines language practices of these associations three decades after the royal commission's studies were published. The authors argue that the cordiality found between French and English in general business associations in the late 1960s continues to be the rule in these types of associations today. This cordiality, however, is rooted in a change in linguistic relations. Federal‐level associations tend to have accommodated institutional bilingualism but retain English as their language of work. Quebec‐based associations have moved to conform to official unilingualism. Moreover, the number of non‐francophones in positions of authority in the Quebec groups has diminished, with executive structures now being dominated by francophones. Sommaire: Si nous avons une assez bonne connaissance de I'impact du bilinguisme officiel A I'échelle fedérale et de I'unilinguisme officiel au Québec sur la pratique lan‐gagiére du gouvemement, nous ne savons pas trb bien si ces modifications des poli‐tiques linguistiques ont entraîné des changements dans la pratique IangagèPre des organismes de la société civile. La Commission royale d'enquête sur le bilinguisme ct Ie biculturalisme a entrepris une recherche extensive sur les pratiques langagières dans le secteur privé et les associations bbnévoles. Grdce au travail de la Commission royale sur les associations representant les intérêts généraux des entreprises, cette ètude examine les pratiques langagières de ces associations, trois décennies après la publication des études de la Commission royale d'enquête. Les auteurs font remarquer que la cordialité observée entre le français et l'anglais au sein des associations cornmerciales vers la fin des années 1960 continue a être la règle dans ces types d'associations aujourd'hui. Cependant, cette cordialité est enracinée dans une modification des relations linpistiques. Les associations A 1′échelle féd érale ont tendance a satisfaire les exigences du bilinguisme institutionnel, mais conservent I'anglais cornme langue de travail. Les associations établies au Québec ont pris des rnesures pour se conformer à I'unilinguisme officiel. En outre, les non francophones sont moins nombreux à occuper des positions d'autorité dans les groupes au Québec, les structures de direction étant maintenant dominées par des francophones.  相似文献   

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Abstract: This article reviews two efforts to reform labour‐market decision‐making in British Columbia during the 1990s that were designed to increase the private sector's role in developing and administering education and training programs. The first effort was the British Columbia Labour Force Development Board, created in 1994 and closed in 1996; the second was the Industry Training and Apprenticeship Commission, launched in 1997 and still in operation at the time of writing. Each reform sought to foster cooperation among public‐ and private‐sector actors in the labour‐market field in “associational” arrangements. In so doing, the reforms ran counter to institutionally entrenched patterns of behaviour in B.C.‘s political economy, which favour conflict between business and labour and limited involvement of private‐sector actors in public‐sector labour‐market institutions. This article assesses the extent to which these institutional constraints precluded the success of these reforms. The evidence suggests that they did, and that political‐economic institutions are therefore a powerful and relatively rigid constraint on innovations of the associational type. Nevertheless, the article concludes that such reforms are more likely to succeed at the sectoral or local level, where these constraints are less compelling and where the forces that encourage associational reforms are particulary strong. Sommaire: Cet article passé en revue deux efforts de réforme de la prise de décisions concemant le marché du travail en Colombie‐Britannique au cours des années 1990 et qui visaient à augmenter le rôle du secteur privé dans I'elaboration et l'administra‐tion des programmes d'enseignement et de formation. Le premier de ces efforts fut le Conseil de développement de la main‐doeuvre de la Colombie‐Britannique, créé en 1994 et aboli en 1996; le deuxième fut la Commission d'apprentissage et de formation industriels, mise sur pied en 1997 et existant toujours à l'heure actuelles. Chacune de ces réformes visait à favoriser la collaboration entre les intervenants publics et privés du marché du travail, au moyen d'arrangements « associatifs «. Ce faisant, les réformes allaient à l'encontre des comportements institutionnellement ancrés dans I'économie politique de la C‐B., qui favorisent le conflit entre le patronat et les syndicates ainsi qu'une participation limitée des intervenants du secteur privé dans les institutions du marché du travail du secteur public. Cet article évaluée à quel point ces contraintes institutionnelles ont ernpiêché la réussite de ces réformes. Il semblerait effectivement qu'elles I'ont empêkhé. Les institutions politico‐économiques représen‐tent donc une contrainte rigide et puissante pour les innovations de type associatif. Néanmoins, on conclut que de telles réformes ont de meilleures chances de succé‐formes ont de meilleures chances de succès au niveau sedoriel ou local, où ces contraintes sont moindres et où les forces qui encouragent les réformes associatives sont particulièrement fortes.  相似文献   

3.
Workforce development policy in Canada has undergone extensive reforms in the past two decades, often driven by intergovernmental pressures. Many of these reforms, including the transfer of thousands of federal civil servants to the provinces, along with $2.5 billion annually, have occurred largely unnoticed by the public, or even recipients of services. Accountability measures have remained weak as the federal and provincial governments have few incentives to increase public scrutiny. In particular, transparency (making information available for public scrutiny) and justification (the provision of reasons for decisions) are inadequate. A more inclusive public accountability framework in the policy area needs to be developed that can support innovation in programs.  相似文献   

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Abstract: Evidence‐based policy‐making represents a contemporary effort to reform or re‐structure policy processes in order to prioritize evidentiary or data‐based decision‐making. Like earlier efforts in the “policy analysis movement,” its aim is to avoid or minimize policy failures caused by a mismatch between government expectations and actual, on‐the‐ground conditions through the provision of greater amounts of policy‐relevant information. A significant factor affecting the ability of policy‐makers to engage in evidence‐based policy‐making pertains to both governmental and non‐governmental “policy analytical capacity.” That is, governments require a reasonably high level of policy analytical capacity to perform the tasks associated with managing the policy process in order to implement evidence‐based policy‐making and avoid several of the most common sources of policy failures. Recent studies, however, suggest that, even in advanced countries such as Canada, the level of policy analytical capacity found in many governments and non‐governmental actors is low, potentially contributing to both a failure of evidence‐based policy‐making as well as effectively dealing with many complex contemporary policy challenges. Sommaire: L'élaboration de politiques axée sur des éléments probants représente un effort contemporain de réforme ou de structuration des processus de politiques dans le but de donner la prioritéà la prise de décisions s'appuyant sur les preuves ou fondée sur les données. Comme pour les efforts antérieurs du « mouvement d'analyse de politiques », le but est d'éviter ou de minimiser les échecs de politiques causés par un décalage entre les attentes du gouvernement et les conditions réelles sur le terrain, grâce à la disposition de plus amples informations pertinentes aux politiques. Un facteur important touchant à l'aptitude des élaborateurs de politiques à s'engager dans une élaboration de politiques axée sur les éléments probants est liéà la « capacité d'analyse de politiques » aussi bien gouvernementale que non gouvernementale. C'est‐à‐dire que les gouvernements exigent un niveau raisonnablement élevé de capacité d'analyse de politiques en vue d'exécuter les tâches associées à la gestion du processus politique pour mettre en œuvre l'élaboration de politiques axée sur les éléments probants et éviter ainsi plusieurs sources courantes d'échecs de politiques. Néanmoins, des études récentes laissent entendre que, même dans les pays développés comme le Canada, le niveau de capacité d'analyse de politiques observé dans de nombreux gouvernements et chez un grand nombre d'acteurs non gouvernementaux est faible ; cela pourrait éventuellement contribuer à la fois à un échec de l'élaboration de politiques axées sur les éléments probants ainsi qu'à l'échec de régler efficacement de nombreux problèmes contemporains complexes en matière de politiques.  相似文献   

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