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1.
Abstract: The article examines the federal Estimates budget from the perspective of whether or not the program format enhances democratic control. It introduces the idea of the budgetary system as a control in a generic management process, and then traces reforms in the accountability side of the Canadian federal government's central management system through the past twenty years. It concludes that the implementation of this version of PPBS was an error, and that it will be difficult to correct, because the budget design is embedded in the network of central institutions, which includes the Office of the Auditor General (OAG). A distinctive kind of “meta control” is now a characteristic of the federal context, and is not clearly managed by government from one decision centre. The author argues that the system does not serve Parliament. Instead it encourages bureaucratic or silent politics at several levels: inside departments; between departments and the OAG; and in an impkit system of elite accommodation between the OAG, central agencies and the government. Sommaire: Cet article analyse le récent budget de dépenses présenté au Parlement fédéral pour voir dans quelle mesure il permet d'accroître le contrôle démocratique. Il présente le système budgétaire comme un élément de contrôle dans un processus global de gestion, pour ensuite décrire les réformes ayant trait à l'imputabilité qui ont eu lieu dans le système de gestion centrale du gouvernement fédéral canadien depuis vingt ans. En conclusion, l'auteur explique que l'implantation de cette version de la rationalisation des choix budgétaires (RCB) était une erreur et que celle-ci sera difficile à corriger, étant donné que le processus budgétaire est noyé dans le réseau des institutions centrales, dont fait partie le Bureau du Vérificateur général (BVC). Le contexte fédéral se caractérise maintenant par une forme de meta-contrôle qui ne permet pas au gouvernement de gérer avec autoritéà partir d'un centre unique de décision. L'auteur soutient que le système ne sert pas le Parlement. Il encourage plutôt les politiques bureaucratiques ou les ententes tacites à différents niveaux, que ce soit à l'intérieur des ministères, entre les ministères et le BVC ou dans le cadre d'un système implicite de services rendus entre le BVG, les organismes centraux et le gouvernement.  相似文献   

2.
Sommaire: : Les méthodes de gestion du secteur privé peuvent-elles s'appliquer au secteur public? Certainement pas intégralement, un obstacle majeur tient au systéme budgétaire des gouvernements. Ce systéme en effet ne permet pas à un administrateur de relier les coûts d'une activitéà une forme quelconque de revenus qui y serait associée et de régulariser les dépenses en conséquence. La formule du Fonds renouvelable fait exception. Tout en demeurant intéagré au cadre financier gouvernemental le Fonds renouvelable finance certaines activités à même les revenus qu'elles générent plutôt que par les sources fiscales usuelles. La formule est séduisante mais ne peut s'appliquer avec profit qu'á certaines conditions. Une grille d'analyse en douze points permet de juger de 1'opportunité d'implanter un Fonds renouvelable. Abstract: Can the management methods of the private sector be applied to the public sector? Certainly not as a whole, because a major obstacle is created by the budgetary system of governments. Indeed, this system prevents an administrator from linking the costs of an activity to some form of revenues which would be related to it and from controlling expenses accordingly. The renewable fund formula is an exception. While remaining part of die governmental budgetary framework, the renewable funds finance some activities from the very revenues they generate rather than through the usual fiscal sources. The formula is attractive but can only be applied sucessfully on certain conditions. A twelve-point analysis grid shows whether it is appropriate to set up a renewable fund. Combien de fois a-t-on entendu des cadres du secteur privé reprocher à leurs collégues du secteur public leur manque de rigueur financeére? Bien à l'abri dans leur sécurité d'emploi, coupés des dures réalités du marché, ceux-ci n'auraient qu'un objectif: dépenser la totalité de leur budget avant la fin de l'exercice ou, mieux encore, dépasser le budget autorisé pour en justifier la croissance l'année suivante.  相似文献   

3.
Abstract: This study compares and contrasts approaches to the management of financial stress and restraint in four Canadian provincial governments in the period from 1983 to 1985. It indicates that a number of different approaches to restraint management are utilized by Canadian provinces to cope with shortfalls in revenue and policy changes that influence resource allocation decision-making. The four provinces reviewed - British Columbia, Saskatchewan, Manitoba and Nova Scotia - have managed restraint in different ways, each reflecting the politics and the socio-economic and cultural context within which government resource allocation decisions are made. Profiles of these provinces indicate how these factors have influenced financial stress management and budget control strategy. Provincial experience is compared on the following dimensions: overall restraint management strategy; employment policy; marketing the need for restraint; centralized versus participatory government decision authority and control; the use of evaluation in restraint decision-making; and the influence of ideology in restraint management strategy-setting. Sommaire: Cette étude compare et oppose les méthodes de gestion financière adoptées en période d'austérité budgétaire par quatre gouvernements provinciaux au Canada, de 1983 à 1985. Elle indique que les provinces du Canada suivent diverses orientations en matière de gestion durant une période d'austérité budgétaire pour faire face aux manques de revenus et aux changements de politiques qui influencent les décisions d'allocation des ressources. Les quatre provinces étudiées, c'est-à-dire la Colombie-Britannique, la Saskatchewan, le Manitoba et la Nouvelle-Écosse, ont chacune adopté une orientation différence, reflétant le contexte politique, soeio-économique et culturel particulier dans lequel sont prises les décisions gouvernementales d'allocation des ressources. Les profils de la Colombie-Britannique, du Manitoba, de la Nouvelle-Éeosse et de la Saskatchewan précisent la manière dont ces facteurs ont influé sur la gestion de I'austérité financière et la stratégie de contrôle budgétaire. La comparaison entre les provinces porte sur les aspects suivants: 1) stratégie globale de gestion en période d'austérité, 2) politique d'emploi, 3) sensibilisation du public au besoin d'austérité, 4) autorité et contrôle décisionnels concentrés ou participatoires de la part du gouvernement, 5) rôle de 1'évaluation dans la prise des décisions en période d'austérité, et 6) influence de l'idéologie sur la définition des stratégies de gestion de l'austérite.  相似文献   

4.
Sommaire: Au cours des vingt derniéres années, nombreuses ont été les critiques quand il s'est agi de comparer l'efficacité générale de l'administration publique par rapport à l'administration privée. Plusieurs auteurs ont attribué la plus faible efficacité de l'administration du secteur public à des objectifs organisationnels ambigus, à une absence de suivi ou dévaluation des résultats, à une valorisation moindre de l'efficacité au niveau de l'utilisation des ressources de l'organisation ou à une sensibilisation moindre face à la nécessité d'établir des contrôles de gestion. Les quelques auteurs qui se sont intéressés plus spécifiquement au style de gestion du personnel dans les secteurs public et privé ont obtenu des résultats contradictoires. C'est dans cette perspective de la problématique de l'efficacité que la présente étude aborde, de façon particulière, la gestion d'une des ressources importantes de I'organisation, soit les ressources humaines. Dans une étude effectuée auprès d' administrateurs publics et privés canadiens-français, les résultats démontrent que les administrateurs publics semblent moins sensibilisés que les administrateurs privés à l'utilisation optimale des ressources humaines (intérêt pour leur développement et relations de support au travail) et manifestent un désir moindre d' établir différents systèmes de contrôle et de surveillance, ce qui mérite réflexion quand on aborde la problématique de l'efficacité. Abstract: Over the last two decades, numerous criticisms have been addressed towards the efficiency of publicly versus privately administered organizations. Many reasons can be advanced to explain the poor performance of public institutions: from the lack of specificity of their objectives to a lack of evaluation; from the less efficient use of human resources to a relative disregard for the criticality of management control systems. Only a few studies have looked at the issue of the leadership styles and characteristics observed in private versus public organizations and they have yielded contradictory results. It is within this perspective that this study attempts to analyse how leaders in both organizational structures handle human resources. In a study conducted with French Canadian public and private administrators, results indicate that public administrators seem less sensitive to issues of optimal utilization of human resources (professional development and supportive attitudes at work) and appear to be less interested in establishing organizational control systems than is the case for private administrators. This provides food for thought when the question of effectiveness is considered.  相似文献   

5.
Abstract During the last twenty years we have witnessed a spectacular increase in the size of Canadian government bureaucracy and in the breadth of its activities. This increased participation in the provision of services by the public sector raises the question of whether government in general, and the public servants who deliver government services in particular, are perceived by the public as effective service agents. Using survey data compiled in 1978, this study sets out to determine how Canadians see the differences between the private and public sectors in terms of their abilities to be fair and prompt in their dealings with the public. The study also attempts to measure whether there are differences in perceptions of the public sector between those who have had contact with the public service and those who have not and, finally, to assess whether attitudes toward specific characteristics of public servants based on personal experience are generalized to include attitudes about the public service as a whole. The results of this study suggest that the public has little faith in either the public or the private sector's ability to provide services, that favorable contact with the public servants has little impact on overall attitudes and that experiences in using government services are only marginally related to general attitudes about government. Sommaire. Au cours des vingt dernières années, now avons assistéà un spectaculaire agrandissement de la bureaucratie du gouvernement canadien et à un développement impressionnant de ses activités. Le secteur public assurant désormais davantage de services, on se demande ce que le public pense de l'efficacité du gouvernement en général et des fonctionnaires, dispensateurs de ces services, en particulier. Basée sur des données d'enquêtes compilées en 1978, la présente étude vise à déterminer quelles sont les différences que les Canadiens perçoivent entre le secteur public et le secteur privé, du point de vue de l'impartialité et de l'empressement dont les fonctionnaires font preuve dans leurs relations avec leurs clients. L'étude essaie également de voir si le secteur public est perçu différemment par ceux qui ont des contacts avec lui par rapport à ceux qui n'en ont pas; finalement, elle tente d'établir si la perception des fonctionnaires dans leur ensemble n'est pas la généralisation d'une perception individuelle de cas particuliers. Lenquête conclut que le public ne fait pas plus confiance au secteur public qu'au secteur privé en ce qui conceme les services qu'ils assurent, que les heureux contacts avec les fonctionnaires n'ont que peu d'influence sur l'attitude générale du public à leur égard et qu'enfin, les expériences dans l'utilisation des services du gouvernement n'ont guère d'effet SIX l'attitude générale envers ce même gouvernement.  相似文献   

6.
Abstract: The Public Service 2000 exercise and the June 1993 government reorganization are reviewed in the context of a decade of centrally driven initiatives to improve the management and productivity of the federal public service. The work of the Treasury Board Secretariat during these initiatives is described and the changes in its modus operandi and structure are outlined. It is suggested that the most important shortcoming in the PS 2000 exercise was the failure to reconcile the renewal theme with the continuing requirement for reductions in operating budgets, and to set out the implications of expenditure restraint for the size and nature of the public service in the 1990s. What is needed for the next stage of public service renewal is not a high-profile, service-wide initiative, but a “realistic management posture” that takes adequate account of continuing fiscal restraint, arbitrariness in expenditure reduction, impact on services, technological change, limited applicability of private sector techniques, efficacy of centrally imposed controls, relationship between employment security and renewal, and finally, compensation determination. Sommaire: Cet article passe en revue le projet Fonction publique 2000 et la réorganisation gouvernementale de juin 1993, dans le contexte d'une décennie d'initiatives centrales visant à améliorer la gestion et la productivité de la Fonction publique fédérale. II décrit le travail effectué par le Secrétariat du Conseil du Trésor et précise les modifications apportées a son modus operandi et à sa structure. La principale lacune du projet FP 2000 réside dans le fait qu'on n'a pas pu concilier le thème du renouveau avec le besoin continu de réduction des budgets d'exploitation, ni définir les conséquences de l'austérité budgétaire en ce qui touche la taille et la nature de la Fonction publique dans les années 1990. Ce qu'il faut pour la prochaine étape du renouveau de la Fonction publique, ce n'est pas une initiative tres visible et à l'échelle de toute la Fonction publique mais plutôt une “ position de gestion réaliste ” qui tienne bien compte des éléments suivants: 1) poursuite de l'austérité fiscale, 2) caractère arbitraire des réductions de dépense, 3) répercussions sur les services, 4) changements technologiques, 5) applicabilité restreinte des méthodes du secteur privé, 6) efficacité des contrôles centraux, 7) rapport entre la sécurité d'emploi et le renouveau, et 8) détermination de la compensation.  相似文献   

7.
Abstract. Since the Glassco Commission in the early sixties there has been a plethora of administrative changes: Program Planning and Budgeting, Operational Performance Measurement Systems, Management by Objectives, and Cost/Benefit Analysis have all been introduced as technical panaceas. In terms of processes, some should probably have been changed but remain the same(such as the personnel selection-promotion process), while others have been circumvented (the regular budgetary process). Still others have been changed (the cabinet committee process) but have produced results of questionable value and perhaps positive harm to majority governments. It is contended that the Glassco injunction ‘let the manager manage’ and the assumption that private sector practices should be adopted by government, virtually without modification, ignore fundamental differences between the two sectors. The war between competing interest groups is inevitable and hence perpetual. Governments engage in a rolling set of compromises between factions in an essentially adversarial process under rules, formal and informal, that restrict the field of battle. Frequently, those who advocate administrative changes are in pursuit of their personal interests. They frequently find themselves in alliances with one or more of the contending parties who look upon them as guns for hire to be used or rejected on strategic grounds. After an impressionistic critique of each of the processes and techniques previously cited, the paper ends on a more positive note. There is a plea that the powers of the auditor general be expanded to encompass reporting upon (as distinct from undertaking) the extent to which a ministry is carrying out efficiency and effectiveness studies, where there is a consensus about the validity of the data and methodology. It is also suggested that the auditor general report upon the disposition of these studies with the aim of breaking down present secrecy barriers. A better informed public would change the incentive structure within which ministers, aided by officials, reach their decisions. Sommaire. Depuis la Commission Glasscoe, au début des années 60, il y a eu une pléthore de changements administratifs. La Planification et l'établissement des budgets par programme, les systèmes de mesure des performances opérationnelles, la gestion en function des objectifs, l'analyse des coûts et avantages, tous ces systèmes ont été utilisés comme panacées techniques. Du point de vue des processus, certains, qui auraient dû sans doute être changés ne l'ont pas été (comme par exemple la sélection du personnel et le processus de l'avancement) alors que d'autres ont été contournés (le processus budgétaire normal). D'autres encore ont été changEeAs (le processus des comités de cabinet) mais pour produire des résultats de valeur douteuse et parfois franchement défavorables pour les gouvernements majoritaires. L'auteur soutient que l'impératif de la Commission Glasscoe « laisser gérer les gestionnaires » et le postulat suivant lequel les pratiques du secteur privé devraien être adoptées pratiquement sans modification par les gouvernements ignorent les différences fondamentales qui existent entre les deux secteurs. La lutte entre des groupes aux intérêts divergents est inévitable, et done perpétuelle. Les gouvernements s'engagent dans tout un jeu de compromis dynamiques entre les différentes factions dans ce qui essentiellement un processus antagoniste, à l'intérieur de règies formelles ou non formelles, qui réduisent la portée du conflit. Fréquemment, ceux qui réclament des changements administratifs le font dans leur propre intérêt et ils se trouvent souvent alliés à un ou plusueurs des partis d'opposition qui les considèrent comme des mercenaires à utiliser ou rejeter pour des raisons stratégiques. Après une critique subjective des divers processus et techniques cités précédemment, l'auteur conclut sur une note plus positive. Il demande que les pouvoirs de l'Auditeur général soient étendus pour qu'il fasse connaître (et non pas pour qu'il étudie) la mesure dans laquelle les ministères effectuent des études sur l'efficience et l'efficacité, là où il existe un consensus quant à la validité des données et de la méthodologie. Il propose aussi que l'Auditeur général fasse rapport sur l'usage qui est fait de ces études, afin de supprimer le secret qui l'entoure actuellement. Un public mieux informé transformerait la structure de la motivation qui entoure actuellement les ministres qui prennent des decisions et leurs fonctionnaires.  相似文献   

8.
Sommaire: Aux différents paliers de gouvernement, les services de communication publique ont vu leur fonction et leur rôle se modifier pour prendre, dans certains cas, une place importante dans le processus décisionnel des administrations publiques. Cet article analyse les raisons d'une telle évolution en regard du processus de gestion des affaires publiques et s'interroge sur l'impact qu'elle peut avoir sur le processus démocratique dans son ensemble. Après avoir analysé d'une part les relations diverses qu'entretiennent les administrations privées et publiques avec leur environnement, et d'autre part la transposition du modèle de marketing aux activités gouvernementales, on tente de situer les fonctions de communication des administrations publiques au sein d'un système d'interactions incluant l'exécutif gouvernemental, l'environnement public et les médias. Selon le sens de circulation et les flux d'informations, les services de communication exercent plus ou moins une fonction traditionnelle de diffusion vers l'environnement ou une fonction conseil auprès des décideurs. L'importance croissante de cette dernière fonction, s'appuyant sur l'analyse des attentes des administrés, minimise la légitimité des choix politiques des élus et mène à une nouvelle forme de démocratie. Ces considérations s'appuient principalement sur les énoncés de politiques de communication exprimés par les divers paliers de gouvernements, et sur les entretiens non-directifs menés par les auteurs auprès de dix responsables des communications des gouvernements fédéral, provincial, municipaux et scolaires.  相似文献   

9.
Abstract: For the most part, the considerable literature devoted to new public management and its subset, alternative service delivery, is enthusiastic about this dramatic shift in the role of government. The metaphor of governments steering and the private sector rowing is an appealing one that has captured the imagination of many public officials and private‐sector actors. Literature addressing this phenomenon tends to focus on defining the characteristics of various forms of government/private‐sector partnerships rather than on assessing the implications and results of actual examples. This paper attempts to complement the existing literature by examining six cases of public‐private partnerships, of both high and low profile ‐ the Confederation Bridge; the Charleswood Bridge; canarie ; rcmp /Disney; Highway 407; and Chrysler/University of Windsor. The higher profile (and more costly) ventures have placed heavy emphasis on confidentiality, which raises concerns about traditional public‐sector values such as accountability, democracy and neutrality. The conclusions of the article are mixed, but at the very least, they suggest the need for caution, vigilance and scepticism. Sommaire: Pour la plupart, c'est avec beaucoup d'enthousiasme que les nombreaux auteurs d'ouvrages sur la Nouvelle gestion publique et sur son sous‐élément, la Prestation de services de rechange, envisagent cette modification fondamentale du rôle des gouvernements. Le gouvernement au gouvernail et le secteur privé aux avirons, voilà une métaphore qui a fait de nombreux adeptes parmi les hauts fonctionnaires comme chez les intervenants du secteur privé. Plutôt que d'évaluer les répercussions et les résultats d'exemples réels, les ouvrages sur ce sujet ont tendance à focaliser sur la définition des caractéristiques de divers types de partenariats entre le gouvernement et le secteur privé. Dans cet article, nous visons à complémenter ces ouvrages en analysant six partenariats public‐privé entrepris par divers paliers de gouvernement au cours des années 1990. La gamme des cas choisis est assez hétéroclite, certains étant très connus, d'autres moins: les ponts Confédération et Charleswood, CANARIE, GRC/Disney, l'Autoroute 407 et Chrysler/Université de Windsor. Les projets plus connus (et plus coûteux) ont fortement souligné leur caractère confidentiel, ce qui a mis en cause les valeurs traditionnelles du secteur public, telles l'imputabilité, la démocratic et la neutralité. Selon les conclusions de l'article, qui sont variées, il conviendrait pour le moins de procéder avec prudence, vigilance et scepticisme.  相似文献   

10.
Abstract. The process of policy and expenditure management in Ottawa is in continual evolution. This paper examines the current system and attempts to draw some conclusions about overall directions of change. The current ‘envelope’ system is a logical outgrowth of attempts dating back at least through the 1970s to better integrate policy initiation and expenditure management considerations. The changing constellations of agencies over that period are examined as is the attempt to impose a higher level of overall coordination on the system. The current interrelationships among central agencies are outlined and some comments are made on the evolving relationships between cabinet and the agencies which support its deliberations. Finally some conclusions are attempted on the basis of the interrelationships among overall planning systems within the federal government. Sommaize: A Ottawa, le processus de gestion des politiques et des dépenses est en évolution continuelle. L'auteur de cet exposé examine le système actuel et essaie de dégager des conclusions quant aw orientations générales de ce processus. Le système actuel de « l'enveloppe » est la suite logique des tentatives, qui remontent au moins aux années 1970, de meilleure intégration en ce qui conceme l'élaboration des politiques et les nouveaux principes de gestion des dépenses. L'auteur examine les changements dans les regroupements d'agences péndant cette periode ainsi que les efforts entrepris pour imposer un plus haut degré de coordination à l'ensemble du système. Il expose les relations actuelles existant au sein des organismes centraux et propose ses commentaires sur l'évolution des rapports entre le Cabinet et les organismes qui aident à ses déliérations. Finalement, I'auteur essaie de tirer certaines conclusions en se basant sur les rapports existant entre les divers systèmes de planification globale au sein du gouvemement fédéral.  相似文献   

11.
Abstract: Universities faced a crisis in the immediate postwar years. It was a crisis of numbers, brought on by a rising participation rate and the postwar Baby Boom. The response, led initially by the federal government, was to enlarge the university system, and later the entire postsecondary sector, very rapidly through the 1950s and 1960s. In the process of rapid growth, universities changed dramatically, becoming much more democratic and laissez‐faire in their management. Then came a prolonged period of restraint, as provincial governments regained a measure of control and the public became sceptical of the benefits accruing from rapidly rising expenditures in the face of tight fiscal circumstances and competing demands. University faculty attempted to secure their earlier gains through unionization and collective bargaining. The upshot, as was predicted, was that universities became much more rigid organizations, resistant to managed change, and focused on the self‐interest of faculty members. We now confront a new and very different environment and face the challenges and opportunities associated with a knowledge‐based economy, with its reliance on research and innovation, and its demand for a highly educated workforce. The federal government is using its new‐found surpluses to invest heavily in university‐based research and development. The challenge is whether universities, constrained by cumbersome and self‐serving decision rules and procedures, now secured in union contracts, can respond appropriately to the new opportunities. Sommaire: Les universités ont connu une crise dans les années qui ont immédiatement suivi la guerre. C'était une crise d'éffectifs, cauée par un taux de fréquentation en hausse et par le baby‐boom de l'après‐guerre. La réaction initiale du gouvemement fédéral pendant les années 1950 et 1960, a été de développer très rapidement le système universitaire et plus tard tout le secteur post‐secondaire. Au cours de cette croissance rapide, les universités ont changé considérablement, devenant plus democratiques et plus souples dans leur administration. Il y a eu ensuite une période de restriction prolongée, où les gouvemements provinciaux ont retrouvé un certain contrôle et le public devint sceptique au sujet des avantages découlant de dépenses croissantes pour faire face à une conjoncture de resserrement budgétaire et à une concurrence acharnée. Le corps professoral universitaire essaya de protéger les gains qu'il avait obtenus précédemment par la syndicalisation et la négotiation collective. Le résultat, comme cela était prévu, c'est que les universités sont devenues des organismes beaucoup plus rigides, résistants aux changements de gestion et axés sur l'intérêt personnel des membres du corps professoral. Nous nous trouvons aujourd'hui dans une conjoncture nouvelle et très différente. Nous devons maintenant relever les défis et tirer parti des possibilités que nous offre une économie axée sur le savoir, qui compte sur la recherche et l'innovation, et sur une main‐d'æuvre hautement instruite. Le gouvernement fédéral se sert de ses surplus récents pour investir considérablement dam la recherche et le développement universitaires. Le défi est de savoir si les universités, assujetties à des régles et procédures difficiles à appliquer, intéressés, et protégées par les conventions syndicales, sauront tirer pleinement parti de nouvelles opportunités.  相似文献   

12.
Sommaire: La littérature en études managérielles et en gestion des ressources humaines concemant la décroissance organisationnelle et la réduction des effectifs maintient depuis une quinzaine d'années que leur principal effet néfaste serait le syndrome du survivant. Menace très réelle A l'accroissement de l'efficacité et de I'effi‐cience recherché par la décroissance organisationnelle, le syndrome du survivant nécessiterait d'être combattu par des pratiques de gestion des ressources humaines stratégiques pouvant éliminer ou amoindrir les symptômes couramment associés à ce syndrome. Cette recherche s'intéresse aux variations du syndrome du survivant dans des organisations de I'administration publique fédérale au Québec suite à sa sévère réduction des effectifs durant les années quatre‐vingt‐dix. Construite à partir d'un questionnaire complété par 3 307 fonctionnaires de vingt‐trois (23) ministères et agences de la Fonction publique fédérale du Canada répartis dans les seize (16) régions administratives du Québec, cette recherche suggère que le syndrome du survivant est un phénomène de faible intensité dans le cas des fonctionnaires fédéraux du Québec. Elle suggère également, suite à l'analyse factorielle et la régression linéaire, que les pratiques de gestion des ressources humaines privilégiées dans ces organisations publiques n'expliquent que très faiblement la variation des symptômes couramment associés au syndrome du survivant. En ce sens, cette recherche dément le discours pratique dominant sur le syndrome du survivant et le guide d'action managériel qui le sous‐tend, sans pour autant suggérer que la réduction des effectifs soit une décision et un processus exempt de tout effet pervers ou de conséquence non voulue. Abstract: Mainstream literature in human resource management (hrm) and managerial studies have suggested repeatedly over the last fifteen years that the main unintended consequence of downsizing is the so‐called survivor syndrome, a potentially  相似文献   

13.
Abstract: Growing interest in using automation to link components of the justice system has led four provincial governments to consider private-sector partnerships in which the upfront cost of automation initiatives is borne by a private contractor who is compensated out of a benefit pool of future savings and revenue. Integrated justice systems thus reverse the standard approach to alternative service delivery, since broadly defined development work is privatized while routine implementation remains in public hands. In practice, provinces have abandoned and scaled down their most ambitious projects, although Ontario has begun perhaps the largest project ever undertaken. Sommaire: Face à l'intérêt que présente l'automatisation des liens entre les éléments du système de justice, quatre gouvernements provinciaux ont décidé d'envisager des partenariats avec le secteur privé, l'entrepreneur privé devant défrayer le coût initial des initiatives d'automatisation mais recevant en contrepartie les retombées positives provenant des konomies et des revenus qui en dékouleront. Les systèmes de justice intégrés inversent ainsi la méthode standard de prestation de services, puisqu'on privatise l'effort de mise au point tout en laissant au secteur public le soin de la mise en oeuvre. En réalité, les provinces ont abandonné ou réduit leurs projets les plus ambi-tieux, mais l'Ontario vient de lancer le projet le plus important jamais entrepris.  相似文献   

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Abstract. In 1972 the minister of state for science and technology announced that new government requirements for research and development would be contracted to industry in order to achieve economic and technological spin-offs that would be impossible if the research were done in-house. During the first year, the federal government contracted out some 18 million of scientific activities. About 70 per cent of these contracts were awarded to industry, 22 per cent to universities and non-profit institutions, and the remainder to individuals. Most of the industry contracts were awarded to firms in the service sector, and it appears that the policy has brought government into contact with a new type of Canadian enterprise: small firms, highly specialized, science-based, service-oriented, and predominantly Canadian-owned. During the first year, the average contract was 20, 000 and was primarily for studies and surveys. This paper anticipates that future contracts will have an increasing proportion of technology development, particularly in the fields of environment, space, oceans, and energy. Because of the time lag in the budgetary cycle, government departments have implemented the policy within budgets that were established before the policy was announced. Yet, the present experience indicates that government scientists have engaged the private sector in a variety of programs. Given the competence of the private sector and the future needs and opportunities, the paper concludes that the ultimate success of the policy will depend on the size and disposition of the science budget. Sommaire. En 1972, le ministre d'Etat aux Sciences et à la Technologie annonçait que le gouvernement confierait désormais ses travaux de recherche et dévelopment à l'industrie, afin d'en mieux répartir les bénefices économiques et technologiques, ce qui aurait été impossible s'ils avaient été effectués “intra muros”. Au cours de la premiére année, le gouvernement fédéral a ainsi confié pour quelque 18 millions de dollars de marchés scientifiques, dont environ 70 pour cent à l'entreprise privée, 22 pour cent aux universités et établissements sans but lucratif, et le reste à des particuliers. La plupart des marchés adjugés aux entreprises touchaient le domaine des services, ce qui a permis au gouvernement de prendre contact avec un nouveau genre d'entreprises canadiennes:de petites sociétés, pour la plupart propriété canadienne, dunt les services, à vocation scientifique, sont hautement spécialisés. Au cours de cette même année, la valeur moyenne des marchés, consacrés principalement à des études, a atteint 20, 000. Selon l'auteur, les contrats à venir porteront de plus en plus sur des innovations techniques dans les domaines de l'environnement, de l'exploration spatiale, de l'océanographie et de l'énergie. A cause du cycle budgétaire, les ministéres fédéraux ont dû mettre cette politique en ?uvre en respectant les limites budgétaires établies avant qu'elle ne soit annoncée. A l'heure actuelle, il semble que les scientistes du gouvernement aient engagé le secteur privé. dam de nombreux programmes. Etant donné la compétence de ce dernier et les besoins à venir, on peut conclure que le succés de cette politique dépendra. en définitive, de l'importance et de la répartition du budget scientifique.  相似文献   

15.
Sommaire: L'évaluation de la performance des organisations chargées de la prestation des services publics est le plus souvent abordée par le biais de l'analyse des programmes. Cette démarche s'applique difficilement à l'appréciation du degré de réalisation de la mission qui leur est confiée. L'analyse de la problématique du secteur de la justice permet de dégager les trois grands objectifs qui devraient être poursuivis par les systémes judiciaires. 11s ont trait à la qualité de cette justice, à l'accessibilité et à la célérité avec laquelle elle est rendue. Cette problématique est illustrée à partir du cas de l'appareil judiciaire québécois, défini ici cornme un système d'action. Les conditions de réalisation de la mission des systémes judiciaires sont présentées à partir de cet exemple. Divers moyens de mesurer le degré d'atteinte des objectifs sont ensuite dégagés. Enfin, une série d'indicateurs est définie pour certains d'entre eux. Abstract: The evaluation of the performance of public organizations is generally done through program analysis. But another approach should be used to measure the level of achievement of the mission assigned to an institution such as the court system. In this article, we tried to determine how the performance of the judicial apparatus might be evaluated. We considered that the mission of this apparatus refers to three fundamental objectives: the quality of justice, its accessibility, and the absence of undue delays. Referring more specifically to the case of the Quebec judicial system, we examine how the degree of achievement of these objectives might be evaluated.  相似文献   

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Abstract: Why are cabinet decision‐making systems designed the way they are? Traditional approaches to this question stress the importance of representational imperatives (i.e., region, language and gender), the need for managerial capacity and collegiality in complex organizations, or a particular government's fiscal or policy program. While these approaches have merit, they fail to pay sufficient attention to the fact that cabinet decision‐making systems are in the first instance very intimate reflections and extensions of the political instincts, personal aptitudes, and governing experience of first ministers. The author sets out to understand recent reforms to Ontario cabinet decision‐making in precisely this way ‐ how did Premier Michael Harris' sense of his government's mandate, his personal approach to decision‐making, and the practical lessons learned over the course of his government's first mandate influence the design of Ontario's cabinet decision‐making system between 1995 and 1999? This article begins with a short history of Ontario's cabinet decision‐making system, focusing on the period from 1968 to 1995. It then provides details of reforms introduced between 1995 and 1999 and concludes with some thoughts on how Premier Harris' political instincts, personal aptitudes, and governing experience influenced these reforms. Sommaire: Pourquoi les systèmes de prise de décisions du Cabinet sont‐ils conçus comme ils le sont? Les réponses traditionnelles à cette question soulignent l'impor‐tance des impératifs de représentation (c.‐à‐d. la région, la langue et le sexe), le besoin de compétence en matière de gestion et la collégialité dans les organismes complexes, ou bien un programme politique ou budgétaire particulier du gouvernement. Ces approches sont valables, mais elles ne tiennent pas suffisamment compte du fait que les systemes de prise de décisions du Cabinet sont, avant tout, le fruit de reflexions très approfondies et d'instincts politiques, d'aptitudes personnelles, et de l'expérience gouvernementale des premiers ministres. L'auteur de cet article essaie de comprendre, précisément dans ce sens, les récentes réformes en matière de prise de décisions au Cabinet de 1'Ontario: comment est‐ce que l'idée qu'a Michael Harris du mandat de son gouvernement, son approche personnelle face à la prise de décisions, et les leçons pratiques tirées de son premier mandat (1995–1999) ont‐elles influencé la conception du système de prise de décisions du Cabinet de l'Ontario? L'auteur commence par brosser un bref historique du système de prise de décisions du Cabinet de l'Ontario, en se penchant tout particulièrement sur la période allant de 1968 A 1995. Ensuite, il présente en détail les réformes introduites de 1995 à 1999 et conclut par quelques réflexions sur la manière dont les instincts politiques du Premier ministre Harris, ses aptitudes personnelles et son expérience du gouvernement ont influencé ces réformes.  相似文献   

17.
Abstract. A new approach now gaining acceptance in Britain breaks the budgetary process into three elements: Macro-budgeting: setting total government expenditure for five years and allocating it to the major areas of outlay, this is now the responsibility of the Public Expenditure Survey Committee (PESC); Micro-budgeting: a framework for the analysis of the ministries' activities, called Programme Analysis and Review (PAR); Policy analysis: Government assistance by an analytical unit, the Central Policy Review Staff (CPRS), which also looks at the effects of policy on public expenditure. These developments are the subject of this article. In the concluding part, the chances of the reformed public expenditure system being carried out successfully are evaluated in terms of analytical contributions vs organizational feasibility. Sommaire. Une nouvelle méthode qui commence àêre adoptée en Angleterre consiste à séparer le processus budgétaire en trois éléments: Le macro-budget: la détermination de la totalité des dépenses gouvernementales pour cinq ans à venu et la répartition de ces sommes entre les principaux postes budgétaires. C'est à l'heure actuelle la responsabilité du Public Expenditure Survey Committee (PESC); Le micro-budget: l'établissement d'un cadre servant à l'analyse des activités des ministères appelé Programme Analysis and Review (PAR). L'analyse des politiques: l'aide d'un groupe d'analystes, le Central Policy Review Staff (CPRS) qui considère aussi les effets des politiques sur les dépenses publiques. Ce sont ces développements qui font l'objet de cet article. En conclusion, l'auteur évalue les chances de succès de cette réforme du système des dépenses publiques en considérant la contribution de l'analyse et les contraintes administratives.  相似文献   

18.
Sommaire. Dans cet article portant sur la gestion de l'enseignement supérieur, au Québec, l'auteur fait porter l'essentiel de son analyse sur le rôle du ministère de l'Education comme principal gestionnaire du système universitaire québécois. Dans une première partie, il situe le ministère dans l'ensemble de ce système et décrit globalement le type de relations qui existent entre les divers agents ou intervenants en matière de planification et de gestion. L'accent y est mis, en particulier, sur la planification des ← missions → universitaires et sur le contrôle exercé par le ministère dans le cadre de la gestion de celles-ci. S'inspirant, dans une seconde section, d'une certaine typologie des contrôles, l'auteur tente d'en préciser la nature et d'en mesurer l'étendue dans un contexte où les établissements universitaires jouissent d'une large autonomie de gestion. Enfin, dans une troisième partie, plusieurs interrogations sont soulevées par auteur notamment à propos de l'efficacité des contrôles exerés par le ministère et des effets de ceux-ci sur le fonctionnement du système et son environnement. La démarche retenue par l'auteur amène le dernier, à faire quelques suggestions en matière de planification, budgétisation et contrôle de l'enseignement supérieur québécois. Présenté, pour la première fois, à la Commission d'etude sur les universités, en 1978, cet article a, par la suite, fait l'objet de modifications importantes, notamment au chapitre de l'évaluation de l'efficacité des contrôles exerés parle ministère de l'Education. Abstract. In this article on the management of higher education in Quebec, the author concentrates his analysis on the role of the Ministry of Education as principal administrator of Quebec's university system. He first establishes the ministry's place within the system and broadly describes the relationships between the various agents or interveners in the field of planning and management. Particular emphasis is given to the planning of university ‘missions’ and the extent of ministerial control over their management. In a second section, the author, on the basis of a certain typology of controls, seeks to define their nature and measure their extent in a context within which universities enjoy considerable administrative autonomy. Finally, the author poses a number of questions as to the effectiveness of the controls exercised by the ministry and their effect on the system's functioning and its environment. The method chosen by the author leads him to make a number of suggestions at the levels of planning, budgeting and control of higher education in Quebec. Submitted to the Commission d'étude sur les universités for the first time in 1978, this article has undergone major modifications, particularly in the section dealing with the effectiveness of the controls exercised by the Ministry of Education.  相似文献   

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Abstract: Over the past forty years, the Canadian health-care system has undergone many changes and realized many achievements. Universal coverage, organizational simplicity, high status of health together with a high level of public satisfaction indicate success of the system. And yet, the health-care system began to show signs of strain. Changing consumer expectations, mounting health-care expenditures and a continued emphasis on the institutional sector contributed to the down-side of the success. In response to this, the Alberta government initiated fundamental reform of this complex system. This paper chronicles Alberta's approach in reforming and restructuring the health-care system. It reviews a number of developmental and policy initiatives that set the stage for a health-care reform mind-set in the province. It reviews Alberta's approach to health-care reform from its initial stages to the development of the first Three-Year Business Plan for Health through to the formation of a regionalized health-care system. The paper concludes by offering some preliminary observations of this reform process. Sommaire: Au cours des quarante dernières années, le réseau des soins de santé au Canada a subi de nombreux changements et a beaucoup réalisé. La couverture universelle, la simplicité organisationnelle, un excellent standard de santé ainsi qu'un niveau élevé de satisfaction du public sont autant d'indices de réussite du système. Et pourtant, le réseau des soins de santé a commencéà révéler des symptômes problématiques. L'évolution des attentes des consommateurs, l'augmentation des dépenses consacrées à la santé ainsi que l'accent placé sur le secteur institutionnel sont venus grever ce succès. Pour faire face à ces changements, le gouvernement de l'Alberta a lancé une réforme fondamentale de ce réseau complexe. Cet article présente l'approche de l'Alberta en matière de réforme et de restructuration du réseau des soins de santé. II passe en revue un certain nombre d'initiatives de politique et de développement qui ont obtenu l'appui du public pour la réforme du système. L'article examine la méthodologie de l'Alberta en matière de réforme des soins de santé, à partir de ses premières étapes jusquapos;à la mise au point du premier plan de fonctionnement triennal pour la Santé, et l'établissement d'un systéme de santé régionalisé En conclusion, l'article présente quelques observations préliminaires sur ce processus de réforme.  相似文献   

20.
Abstract. This paper is a study of the implementation of PPB within National Revenue, Taxation, Canada, the evolution of the system, and its successes and failures. In principle, there are no significant differences of opinion about PPB among the Department of National Revenue, Taxation, the Treasury Board, and the various authorities. However, following the procedures laid down by the Treasury Board, when the Department presented its first formal program forecast in 1969 covering the fiscal years 1970/71 to 1975/76 it discovered very formidable obstacles. Some of the obstacles related to the inadequacy of the organization to cope with the changes that PPB brought in its wake because of the absence of the necessary infra-structure and information systems. Other problems encountered were the result of the Treasury Board's exigencies and still others related to the strengths and weaknesses of PPB in general. This review of four years' operation discusses its problems on a year-by-year basis, and the solutions found or approaches to solutions that were discovered. In the final analysis, the Department went through major changes to accommodate PPB and is currently operating as one of the leaders in the field. The various changes are also highlighted in the paper — the introduction of management by objectives, performance indicators, and the Taxation Information System to mention a few. The review of these problems and solutions may offer help to others who may be contemplating introducing PPB into their own organizations. Recent attempts at introducing PPB by other government agencies appear to be based on adopting a method by which existing management techniques are synthesized and the infra-structure modified (within the over-all framework of PPB) so that it can work, The promise for the future is in such an approach. Sommaire. Cet article est une étude d'implantation du PPB au ministère du Revenu national, Impôt, Canada; l'évolution du système, de ses succès et de ses échecs. En principe, il n'existe pas de différence d'opinion significative entre le ministère, le Conseil du Trésor, et les diverses autorités concernant le PPB. Néanmoins, quand le ministère présenta ses premières prévisions à l'intérieur d'un programme formel, en 1969, pour les années 1970/71 à 1975/76, suite aux proceéures établies par le Conseil du Trésor, il découvrit des obstacles assez importants. Certains obstacles étaient reliés aux faiblesses dans les infrastructures d'organisation pour s'adapter aux changements, ainsi qu'à l'absence d'information Préalable. D'autres étaient le résultat des exigences du Conseil du Trésor, ou étaient causés par les forces et les faiblesses du PPB en général. Cet article qui est une revue des quatre années d'opération permet d'aborder les problèmes sur une base annuelle, ainsi que les solutions trouvées ou les approches découvertes en vue d'en arrives à une solution. En dernière analyse, le ministère a fait les changements nécessaires, pour accommoder le PPB, et il est maintenant considéré comme l'un des premiers dans ce domaine. Les nouvelles techniques introduites pour faciliter ces changements sont aussi montrées dans cet article: gestion par objectif, indicateurs de performance et système d'information pour la gestion, pour n'en mentionner que quelques-uns. La revue de ces problèmes et des solutions peut aider les gestionnaires désireux d'implanter le PPB dans leur organisation. Les tentatives récentes d'introduction du PPB chez d'autres agences gouvernementales semblent se baser sur une synthèse des techniques de gestion qui existent déjà, ainsi que sur la modification de I'infrastructure (dans un encadrement de PPB) pour le faire fonctionner. La promesse pour l'avenir est dans cette approche.  相似文献   

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