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1.
Abstract: Over the past two and a half decades regional development policy and administration has gone through at least five distinct stages: in 1961 the government started with a number of uncoordinated boards and agencies; in 1969 it created the high profile and centralized Department of Regional ECOnomic Expansion (DREE); a few years later (1973), DREE was decentralized and became more low key in its approach; in 1978 the government struck the centralized Board of Development Ministers, supported by the Ministry of State for Economic Development (MSED), to revamp the national economy while maintaining DREE in its decentralized format; and in 1982 DREE was abolished and the Cabinet Committee for Economic and Regional Development (CCERD), headed by a Minister of State for Economic and Regional Development and supported by a Ministry of State for Economic and Regional Development (NSERD), was given the responsibility of integrating economic and regional development activities of all line departments. The logic of and reasons for the 1982 reorganization are assessed. Although innovative, particularly with regard to the placement of a Federal Economic Development Coordinator (FEDC) in each province, the reorganization does not necessarily mean improved regional policy. Major obstacles are identified which may serve to prevent the objectives of the reorganization from being realized. Sommaire: Au cours des vingt-cinq dernières années, In politique et l'administration du développenient régional sont passées par au moins cinq étapes distinctes: en 1961, le gouvernement a commence avec un certain nombre de commissions et dorganismes isolés; en 1969, il a créé le ministère de l'Expansion éonomique régionale (MEER), organisme centralisé et très en vue; quelques années plus tard, en 1973, le MEER a été décentralisé et est devenu beaucoup plus modeste; en 1978, le gouvernement a mis sur pied un autre organisme centralisé, la Commission des ministres du développement qui, appuyée par le département d'État au Développement économique (DEDE), devait réorganiser l'économie nationale tout en maintenant la décentralisation du MEER; puis en 1982, le MEER a été aboli et c'est au comité du Cabinet pour le Développement économique et régional, dirigé par le ministre d'État au Développement économique et régional et appuyé par le département d'État au Développement économique et régional, qu'a été donnée la responsabilité d'intégrer les activités de développement économique et régional de tous les ministères verticaux. L'article suivant évalue les raisons de la réorganisation de 1982. Bien que cette réorganisation ait été innovatrice, particulièrement en ce qui concerne le placement d'un coordonnateur fédéral au développement économique dans chaque province, la politique régionale ne s'en est pas trouvée nécessairement améliorée. Les auteurs mettent en relief les obstacles majeurs qui empêcheront peut-être la réalisation des objectifs de la réorganisation.  相似文献   

2.
Abstract: Scholarly works on the impact of the Charter of Rights and Freedoms have largely focused on judicial activism and its effect on the political executive's ability to advance its policy agenda. As such, these works have suggested that a vertical transfer of decision-making authority from the parliamentary arena to the judicial arena has been the primary outcome of Charter review. This article considers the emergence of an alternative form of activism that is a by-product of judicial review on Charter grounds. Specifically, this article suggests that politically generated bureaucratic activism, a process whereby the development of policy within the administrative state has been restructured to incorporate an extensive Charter review of policy proposals, has ensured that the political executive has retained control over its policy agenda and continues to govern from the centre. More importantly, this bureaucratic activism has been under the direction of the Department of Justice and has seen a transformation within both the conceptualization of the centre of government in Canada and our understanding of executive-support agencies. Specifically, because the Department of Justice monopolizes Charter advice within the federal bureaucracy, it has been deployed by the political executive to act as a countervailing source of Charter advice to that of the judiciary and, thus, Justice has entered the centre of government in Canada. This development is largely because the Department of Justice is an important actor that generates policy space for the political executive in the new policy environment by offsetting judicial power. Second, because the Department of Justice has assumed new roles and responsibilities that allow it to control and coordinate the policy activities of line departments, Justice has emerged as an executive-support agency. This latter development is the result of bureaucratic activism, which exists in two distinct forms, reactive and proactive bureaucratic activism, but it is only in the latter phase that Justice has entered the centre of government and emerged as an executive-support agency. Sommaire: Les études sur l'effet de la Charte des droits et libertés ont visé avant tout l'activisme judiciaire et son effet sur la capacité des autorités politiques à poursuivre leur agenda de politiques. Selon ces études, le transfert vertical d'autorité déisionnelle de l'arène du parlement à l'arène judiciaire serait le principal résultat de la révision de la Charte. Cet article examine la naissance d'une autre forme d'activisme qui découle de la révision judiciaire à la lumière de la Charte. Plus précisément, cet article suggère que l'activisme bureaucratique d'origine politique, dans le cadre duquel chaque politique proposée par l'État se voit examinée à la lumière de la Charte, a fait que les autorités politiques tiennent bien en main leur agenda et continuent à gouverner à partir du centre. Ce qui plus est, cet activisme du fonctionnariat, sous la direction du ministère de la Justice, a vu se transformer à la fois le concept de centre de gouvemement au Canada et notre perception des organismes de soutien exécutif. Puisque le ministère de la Justice a le monopole des avis sur la Charte au sein de l'administration fédérale, les autorités politiques en ont fait une source-contrepoids en matière d'avis concemant la Charte pour contrebalancer les avis judiciaires, et ainsi le ministère de la Justice est entré au centre du gouvernement au Canada parce qu'il s'agit là d'un acteur important pour équilibrer le pouvoir judiciaire dans ce domaine. Deuxièmement, le ministère de la Justice est devenu un organisme de soutien du pouvoir exécutif parce qu'il assume de nouveaux rôles et responsabilités lui permettant de contrôler et de coordonner l'élaboration des politiques des autres ministères. Ceci résulte de l'activisme du fonctionnariat qui a deux formes distinctes, la forme réactive et la forme proactive, mais ce n'est que cette dernière qui a permis au ministère de la Justice de rejoindre le centre du gouvemement et d'agir en organisme de soutien de l'exécutif.  相似文献   

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Abstract: This article examines the transformation of the Canadian Radio-television and Telecommunications Commission (crtc) as a regulatory institution caught in the midst of massive technological change in the converging broadcasting and telecommunications industry. Focusing on the last decade, the article assesses institutional change in relation to five aspects central to current regulatory institutional analysis: 1) the contemporary nature of an independent regulator in relation to ministers, regulated interests and the public; 2) the characteristics of both quasi-judicial and quasi-political regulatory functions; 3) changing views of regulatory compliance; 4) changing relations between competition and other framework regulators; and 5) the internationalization of regulation both through international trade regimes and through the effects of globalization on regulated industries. The analysis shows that the crtc is being transformed as a regulatory institution but that it has not been as pared back as have some other federal regulators, nor have the changes gone as far or as fast as the telecommunications revolution would lead one to expect. Each of the five institutional features examined conveys part of the reasons for change, but they also show how institutional directions and trade-offs for the crtc do not all pull in the direction of deregulation and contraction. Sommaire: Cet article examine la transformation du crtc, en tant qu'institution de réglementation confrontée à une évolution technologique massive, à la croisée des chemins de l'industrie de la radio/télédiffusion et de l'industrie de la télécommunication. L'article, qui porte sur la derrière décennie, évalue son évolution en fonction de cinq aspects essentiels a I'analyse des organismes chargés de la réglementation: 1) la nature actuelle d'un organisme de réglementation indépendant par rapport aux ministres, aux intérêts réglementés et au public; 2) les caractéristiques des fonctions de réglementation quasi-judiciaires et quasi-politiques; 3) 1'évolution des points de vue concernant le respect de la réglementation; 4) l'évolution des relations entre les organismes chargés de réglementer la concurrence et ceux chargés d'autres activités, et 5) la mondialisation de la réglementation par les schémas de commerce international et par les effets de la globalisation sur les industries réglementées. L'analyse montre que le crtc subit des changements en tant qu'institution de réglementation, mais qu'il n'a pas fait l'objet d'autant de coupures que d'autres organismes fédéraux de réglementation, aussi le rythrne et la portée de son évolution restent inférieures à ce qu'on aurait prévu, compte tenu de la révolution des télécommunications. Chacune des cinq caractéristiques institutionnelles examinées précisent les raisons du changement, mais elles montrent aussi que toutes les orientations et tous les compromis institutionnels ne mènent pas néessairement vers la déréglementation et le rétrécissement du crtc.  相似文献   

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Abstract: After obtaining office in 1984, the federal Conservative government began a lengthy process of consultations and conferences intended to define a new, expanded, federal role in Canadian forest policy. Despite their best efforts, however, the 1987 National Forest Sector Strategy which emerged from this process envisioned only a very restricted federal role in the sector. On the basis of a survey of federal government activity in the forest sector since 1867, it is argued that the most recent federal initiative, like similar attempts made in 1949, 1966, and 1978, foundered on the obstacles presented to any expanded federal role by the fact that resource ownership and constitutional authority over the forest resource are vested in the provincial governments. Sommaire: Après son arrivée au pouvoir en 1984, le gouvernement conservateur a entrepris un long processus de consultations et de conférences dans le but de définir un rôle nouveau et plus étendu pour le gouvernement fédéral en matitèe de politique forestière au Canada. En dépit de ces efforts, la Stratégie nationale pour le secteur forestier de 1987 qui a résulté de ce processus ne proposait qu'un rôle très restreint au gouvernement fédéral dans ce secteur. Sur la base d'une étude de l'activité du gouvernement fédéral dans le secteur forestier depuis 1867, on indique que cette récente initiative du gouvernement fédéral, à l'image des essais similaires de 1949, 1966 et 1978, se heurte aux obstacles que l'on rencontre lors de toute tentative d'expansion du rôle du fédéral: la propriété des ressources et la compétence constitutionnelle sur les ressources forestières relèvent des gouvernements provinciaux.  相似文献   

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Abstract One of the most interesting yet seldom analysed organizational phenomena concerns ‘bureaucratic persistence.’ It speaks to the uncanny capacity of some organizations to meet the requirements of survival over long periods of time. They do so typically through adaptive adjustments in their internal and external relations. This paper provides one of the first analyses of bureaucratic persistence in the Canadian system. It records the staying power of a Nova Scotia-based agency, the Maritime Marshlands Rehabilitation Administration (MMRA). Conceived in 1943 as an emergency repair project on one dyke in Amherst, it survived, grew and eventually underwent a metamorphosis to become the Maritime Resource Management Service (MSMS), providing sophisticated interdisciplinary resource management and information services to private and public users. As such, the MMRA-MRMS experience provides a convincing confirmation of bureaucratic persistence in Canada. It does more, however. The analysis shows that the specific dynamics of bureaucratic persistence owe much to the particular character of the regime within which it is found. In the case of MMRA-MRMK, the pre-eminence of cabinet in the legislative process and regional dynamics within the federal system were central. What is more, it becomes apparent that the continuation of a valid or a politically salient function must be a core element in bureaucratic persistence. Sommaire. La persistance bureaucratique est l'un des phénomènes organisationnels les plus fascinants mais il a pourtant été rarement analysé. II s'agit de l'étrange pouvoir qu'ont certaines organisations de satisfaire am exigences de survie pendant de longues périodes. Elles y arrivent habituellement grâce à des adaptations dans Ieurs relations internes et externes. Cet article présente l'une des premières analyses de persistance bureaucratique dans le système canadien. Il décrit comment s'est perpétuée une agence de Amherst en Nouvelle-Ecosse, connue sous le nom de Maritime Marshlands Rehabilitation Administration (MMRA). Conçu en 1943 comme un projet de réparation d'urgence d'une digue, cet organisme a surVécu, s'est élargi et s'est finalement transformé en Maritime Resource Management Service (MRMS); il a procuré au secteur public et privé d'excellents services interdisciplinaires d'information et de gestion de ressources. Le cas MMRA-MRMS foumit donc une confirmation convaincante de la persistance bureaucratique au Canada. Mais il ne s'arrête pas là. L'analyse démontre que la dynamique particulière de persistance bureaucratique dépend beaucoup du caractère spécifique du régime dans lequel elle se développe. Dans le cas du MMRA-MRMS, la prééminence du cabinet dans le processus légidatif et la dynamique régionale au sein du système fédéral étaient très importantes. Par ailleurs, il va sans dire qu'il est indispensable au phénomène de persistance bureaucratique que la fonction soit valide et politiquement importante.  相似文献   

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Abstract: The Office of the Auditor General has continued to expand its functions since the legislation of 1977. In March 1985 it was in court against the Government of Canada, pressing a claim that the auditor general (AG) required all of cabinet's papers that may have touched on the acquisition by Petro Canada Limited of Petrofina Canada Inc., a subsidiary of the Belgian company Petrofina S.A., in order to complete his review of expenditures from the Canadian Ownership Account. The rationale presented was that the AG needed to see the whole picture of advice tendered to cabinet by officials in order to assess whether cabinet itself had done its homework before authorizing the deal, after which he could give cabinet a “report card.” The Federal Court Justice's Reason for Decision, released on November 1, initially seemed to give the AG even more than he had asked, while the eventual decision of December 6 reintroduced grave ambiguity. The argument of the paper is that the AG'S move into the advice stream, as opposed to the traditional duties of an auditor, constitutes his Office as a force in policy-making, a factor that cannot be reconciled with responsible and representative government. The article compares the OAGS legislation and operating mandate with those of provincial legislative auditors, and those of Great Britain, New Zealand and Australia. It concludes that the 1977 legislation should be rewritten so that the OAG would once more work from the base of a replicable, objective financial audit, reporting as broadly as it would wish. Sommaire: Le Bureau du Vérificateur général à continue a é largir ses fonctions depuis qu'il a obtenu la nouvelle lé gislation en 1977. En mars 1985, il faisait comparaître devant les tribunaux le gouvernement du Canada, dans le cadre d'un procès réclamant le droit d'accèb, par le Vérificateur général, à tous les documents du Conseil des ministres concernant l'acquisition, par Pétro-Canada Ltée, de la société Pétrofina Canada Inc., une succursale de la société belge Pétrofina S. A., afin de compléter l'exa-men, par le Vérificateur général, des dépenses effectuées a même le Compte de propriété canadienne. D'après l'argument présenté, le Vérificateur général (VG) devait être au courant de tous les conseils fournis par les fonctionnaires au Conseil des ministres, afin que le VG puisse décider si le Conseil lui-même avait bien fait son travail avant d'autoriser le rachat, après quoi le Vérificateur général serait à même d'évaluer les gestes posés par le Conseil. Les raisons de la décision du juge de la Cour fédérale, publiées le 1er novembre, semblaient initialement donner au VG encore plus qu'il n'avait demandé, mais la décision éventuellement rendue le 6 décembre réin-troduisait d'importantes ambiguîtés. Selon l'argument de l'article, l'entrée du Vérificateur général dans le domaine des conseils prodigués, contrairement aux devoirs traditionnels d'un vérificateur, fait du Bureau du Vérificateur général une véritable instance décisionnelle pour l'adoption de politiques, facteur incompatible avec la notion de gouvernement responsable et représentatif. L'article compare la législation et le mandat fonctionnel du Bureau du VG à ceux des vérificateurs législatifs provinciaux de la Grande-Bretagne, de la Nouvelle-Zélande et de l'Australie. Il en conclut que la législation de 1977 devrait être reformulée afin que le Bureau du VG axe ses travaux de nouveau sur une vérification financeère objective, la portée de son compte rendu pouvant être aussi large qu'il le veut.  相似文献   

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Abstract. This paper is concerned with future urban change in Canada. Part A deals with bringing about urban change. Part B is about knowledge required to make urban change. Part A begins by discussing a model of the urban future and closes with a discussion of the system of public and private organizations for urban management. Part B begins by distinguishing “knowledge roles’ for urban change, and goes on to discuss the role of knowledge in intervention. It closes with a discussion of the knowledge organization (illustrated by the university), and the means by which it might support the making of urban change. Part C relates the first two parts by suggesting how the mutual support of the knowledge organization (e.g. the university) on the one hand, and the system of public and private organizations that manage urban activities on the other, might be improved. Sommaire. Cet article traite du changement urbain au Canada et de son évolution future. Dans la première partie, la discussion porte sur le changement urbain lui-même, tandis que la seconde partie est consacrée au savoir relié au changement urbain. La troisième partie enfln suggère différentes manières de réaliser le lien entre le savoir et l'action en vue d'améliorer la qualité de nos interventions. La première partie débute en proposant un modèle du ‘futur urbain.‘ Cemodèle introduit deux types de planification, la planification projective, quis'appuie sur des extrapolations, et la planification prospective, qui s'appuie sur des prospectives du futur. Ces deux types de planification sont élaborés en relation avec les quatre sous-systèmes du système socio-technique, à savoir les systemes des ressources humaines, des activités humaines, des ressources physiques et des interventions physiques. Le type de relations que l'on perçoit ainsi que la manière de les considérer définissent le processus de planification que Ton adopte. Ce peut être un processus purement projeetif, un processus purement prospectif ou un processus conjoint prospectif-projectif. Des exemples de ces divers processus sont présentés. Dans la deuxième section de cette première partie, diverses manières d'organiser la gestion urbaine sont avancées, et il est suggéré qu'un réseau interorganisationnel à double intéiêt à la fois projectif et prospectif est désirable. La troisième section, enfin, propose un premier pas dans l'établissement d'untel réseau. Ce premier pas serait la création d'un petit réseau d'organisations qui s'engagerait dans le processus projeetif-prospectif suggéré auparavant. Cepetit groupe jouerait un rôle de catalyseur et pourrait stimuler un processus plus vaste si les résultats atteints se révelaient intéressants. La deuxième partie commence par distinguer différents rôles pour le savoir. Après avoir identifé le changement urbain comme un domaine d'études ayant les caractéristiques d'une discipline et d'une profession, elle propose un modèle à deux dimensions, la dimension institutionnelle et celle des connaissances. Ces deux dimensions conduisent à l'dentification de quatre types d'activités ausein du changement urbain: la pratique et les sciences de l'analyse et la pratique et les sciences de l'intervention. La discussion continue ensuite sur l'intervention considérée comme une pratique et un ensemble de disciplines. Il est avancé que l'urbanisation, la globalité, la complexité et le concept de métaproblèmes sont de plus en plus les determinants fondamentaux de l'intervention dans le changement urbain. La troisième section, enfin, propose divers moyens institutionnels pour promouvoir une meilleure intégration du savoir. Des centres et foyers de recherche de natures diverses sont suggérés ainsi qu'une structure nouvelle pour l'université, celle de l'université transdisciplinaire. La troisième partie propose, en guise de conclusion, une meilleure intégration des connaissances et de la gestion urbaine par l'instauration d'une focalisation commune sur le futur qui prendrait place au niveau des laboratoires de dessein de systèmes dans l'université transdisciplinaire et où se concrétiseraient les réseaux interorganisationnels suggérés dans la première partie.  相似文献   

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Abstract: Administrative decentralization has suddenly become a major concern with respect to the operations of the national government in Canada. The specific catalyst has been a perceived need for greater responsiveness, and a belief that devolution of decision-making power to officials in the field is a way to achieve it. It is nevertheless problematic whether the requisite decentralization can be achieved. For one thing, headquarters-field relationships within the Canadian government reflect a powerful centralist orthodoxy. For another, it is difficult to find the right balance between centralization and decentralization in the delivery of services to the public. These problems in administrative decentralization have nowhere been etched more clearly than in the case of Environment Canada, a complex, physically decentralized department established in 1971 to prevent pollution and the degradation of the renewable resource base. It was recognized within Environment Canada at the outset that special initiatives were required to ensure both corporate coordination in the regions and a regional voice in decision-making at the centre. These initiatives took early form as a consensus-seeking regional board of managers, but reached their greatest maturity in an Office of the Regional Director General, a corporate official who sat on the departmental Senior Management Committee and reported directly to the deputy minister. Neither the regional board nor the RDGS fully met their mandate, however, in part because of the complexity of the environmental mission but more so because of the strength of centralist orthodoxy in departmental management structures and processes. As a result, the future of administrative decentralization within this department is now very much in doubt. Environment Canada's experience thus offers one approach to, and a compelling illustration of the difficulties to be overcome in, the pursuit of administrative decentralization in Canada. Sommaire: La déconcentration administrative est brusquement devenue une préocupation majeure en rapport avec le fonctionnement du gouvernement du Canada. Le catalyseur en a été précisément le besoin perçu dune réponse plus rapide et plus souple de la part du gouvernement, ainsi que la croyance selon laquelle le transfert du pouvoir décisionnel aux fonctionnaires régionaux serait l'un des moyens permettant d'y parvenir. Néanmoins, il n'est guère certain que l'on puisse réaliser la déconcentration nécessaire. Dune part, les rapports entre l'administration centrale et les bureaux régionaux, au sein du gouvernement canadien, reflètent une puissante orthodoxie centralisatrice. D'autre part, il est difficile de trouver le juste équilibre entre concentration et déconcentration pour ce qui est de la prestation de services au public. C'est au sein d'Environment Canada que ces problèmes de déconcentration administrative se sont produits de la manière la plus visible; il s'agit d'un ministère complexe, géographiquement déncentré, établi en 1971 pour lutter contre la pollution et contre la degradation des resources renouvelables. Dès le début, Environnement Canada savait qu'il fallait des initiatives spéciales pour assurer la coordination d'ensemble dans les régions, ainsi qu'une voix régionale dans la prise de décisions au centre administratif. Ces initiatives ont rapidernent menéà l'établissement d'un Conseil régional de gestionnaires chargé d'établir le consensus, et ont été couronnées par la mise sur pied des bureaux des directeurs généraux régionaux, fonctionnaires centraux membres du Comité supérieur de gestion du ministère et relevant directernent du sousministre. Ni le Conseil régional, ni les directeurs généraux régionaux n'ont cependant réussi à complètement remplir leur mandat, en partie à cause de la complexité de la mission environnementale, mais plus encore à cause de la force de l'orthodoxie centralisatrice dans les structures et les processus de gestion ministérielle. Par conséquent, l'avenir de la dézoncentration administrative au sein de ce ministère est aujourd'hui très incertain. L'expérience d'Environnement Canada présente ainsi l'une des démarches en matières de déconcentration administrative au Canada; elle illustre bien les difficultés qu'il faudra surmonter.  相似文献   

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Abstract: In recent years environmental values have undergone a popular and political resurgence, one of the central components of which is a demand for greater public participation, especially enhanced local control. This development has important implications for theoretical thinking in public administration. The present article examines the experience of the British Columbia Islands Trust, an innovative example of local administration which is most relevant to the quest for new environmentally sustainable forms of administration as a result of its unusual mandate (“to preserve and protect”) and its locally based planning approach. The article describes the Trust area, reviews the genesis of the Trust in the 1960s and its history to the present, describes its structure, and assesses public attitudes to it. The article draws practical lessons from the Trust experience, noting in particular the powerful effect of merging a conservationist mandate with locally based planning even in the absence of more formal indicators of institutional authority (such as budget, scope of immunity). The article concludes with a consideration of the theoretical implications for public administration of the Trust experience, noting especially the potential role for greater decentralization and democratic participation in planning processes. Sommaire: Depuis quelques années, les problématiques environnementales ont connu un regain d'intérêt auprès du public et des gouvernements. L'une des principales composantes de ce phènomène, qui a d'importantes implications sur la réflexion théorique en matière d'administration publique, est une demande de plus grande participation du public, en particulier au niveau local. Cet article étudie le cas du British Columbia Islands Trust, exemple d'innovation dans l'administration décentraliée, mettant en cause un organisme qui s'efforce d'appliquer de nouvelles formes de gestion favorables à l'environnement dans le cadre d'un mandat particulier (“préserver et protéger”) et d'une approche locale de la planification. L'article décrit la structure et le cadre d'intervention de la société de fiducie, explique son évolution depuis les années 1960 jusqu‘à aujourd'hui, et évalue les attitudes du public à son égard. L'article tire des leçons pratiques de l'expérience de cette société, en particulier concernant l'impact important résultant de la rencontre d'un mandat de conservation de l'environnement avec une activité de planification décentralisée, même en l'absence d'indicateurs d'autorité institutionnelle très formels (budget et immunité entre autres). L'article conclut en étudiant les implications théoriques pour l'administration publique de l'expérience de la société de fiducie, notamment en ce qui touche le rôle possible d'une décentralisation plus poussée et d'une participation démocratique dans un processus de planification.  相似文献   

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Abstract: The June 1993 reorganization of the Canadian cabinet undertaken by Prime Minister Kim Campbell is the latest manifestation of a theme in vogue: the consolidation of ministerial portfolios in order to reduce the size of cabinet. This paper examines the recent Canadian changes in light of the Australian cabinet reorganization of 1987, which saw twenty-eight cabinet portfolios reduced to sixteen. The Australian experience with a consolidated cabinet is assessed from four perspectives: political control; policy interdependence and coordination; efficiency and cost savings; and budgetary discipline. We argue that in many ways the focus on cabinet size per se is misleading. The significant questions relate to the organization of authority within cabinet and the relationships between individuals assigned executive authority rather than the actual number of minister. The June 1993 Canadian reorganization emulates the Australian model in most respects, although the issue of effective political control may well depend on an expanded role for parliamentary secretaries in lieu of junior ministers. Sommaire: La réorganisation du Conseil des ministres du Canada, entreprise par le Premier ministre Kim Campbell en juin 1993, est la toute dernière manifestation d'un thème actuellement à la mode: la consolidation des postes ministériels afin de réduire la taille du Conseil des ministres. Dans cet article, on analyse les modifications récentes survenues au Canada à la lumière de la réorganisation du Conseil des ministres de l'Australie en 1987, oú le nombre des postes de ministres a été réduit de 28 à 16. L'expérience de l'Australie avec un Conseil des ministres consolidé est évaluée à partir de quatre points de vue:contrôle politique; interdépendance et coordination des politiques; efficacité et économie de coût, et enfin, discipline budgétaire. À notre avis, l'accent mis sur la taille du Conseil des ministres est, sous de nombreux aspects, mal placé. Les questions importantes ont trait à l'organisation de l'autorité au sein du Conseil des ministres ainsi qu'aux relations entre les personnes ayant reçu une autorité exécutive, plutôt qu'au nombre effectif de ministres. La réorganisation canadienne de juin 1993 imite le modèle australien sous la plupart des aspects, bien que sur la question du contrôle politique effectif, elle semble accorder un rôle plus important aux secrétaires parlementaires plutôt qu'aux ministres de second rang.  相似文献   

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Sommaire. L'Administration publique possède un ensemble de particularités de fonctionnement qui rendent nécessaire la reconnaissance de certains principes de déontologie. Les règies de déontologie fournissent aux administrateurs publics un cadre qui facilite, au bénéfice du public, l'exercice des pouvoirs qui leur sont propres. Les règies les mieux connues sont de portée générale et s'appliquent à l'ensemble de; Administration. Par ailleurs, il est devenu nécessaire de préciser les règies générales traditionnelles et de concentrer les efforts sur la formulation de principes ou de règies de conduite qui reflètent adéquatement la spécificité des tâches et des fonctions assumées par l'administrateur public. A titre d'exemple, l'auteur souligne certains problèmes particuliers reliés aux fonctions du professionnel fonctionnaire, du chercheur en milieu gouvernemental, du responsable de la gestion du personnel, du fonctionnaire au service direct du public et du haut fonctionnaire. Le regroupement des règies de déontologie dans un code a l'avantage d'offrir à l'administrateur public un ensemble de principes et de normes de comportement à la fois clairs, précis et aisément adaptables. Pour être efficace, ce code doit refléter les valeurs actuelles de la société. II importe de plus que le code non seulement contienne des normes d'application générale mais que ces normes soient clairement définies et, au besoin, adaptées à certaines situations particulières que rencontre l'administrateur public. L'auteur souligne toutefois que le code n'est qu'un élément utile d'un programme d'action plus global qui doit être complété par des mesures adéquates d'information et d'éducation afin d'accroître la conscience que l'administrateur public doit avoir de ses devoirs et de ses obligations tant vis-à-vis son employeur que vis-à-vis le public qu'il sert. Abstract. Public administration has various characteristic ways of functioning that make the recognition of certain ethical principles obligatory. Rules of conduct provide public administrators with a framework which facilitates the exercise of their particular powers for the benefit of the public. The best known rules are of general significance and apply to all aspects of public administration. However, it has become necessary to make the traditional general rules more specific and to concentrate on the formulation of principles or rules of ethics which adequately reflect the distinctiveness of the duties and functions assumed by the public administrator. As an illustration of some of these, the author mentions special problems encountered in the work of the civil service professional, the researcher in government, the staff manager, the civil servant in direct contact with the public, and the senior civil servant. Consolidating rules of ethics into a code has the advantage of putting a comprehensive set of principles and standards of behaviour at the public administrator's disposal which are at once clear, precise and readily adaptable. To be efficacious, such a code must reflect the commonly held values of society. It is also important that the code not only contain standards of general applicability, but that these standards be clearly defined and adapted where need be to particular situations facing the public administrator. The author emphasizes, however, that the code is only one useful element in a more comprehensive programme of action, one that must be supplemented by adequate information and educational measures designed to heighten the public administrator's awareness of his duties and obligations towards both his employer and the public he serves.  相似文献   

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Sommaire. Le grand défi du droit administratif moderne est de réussir à concilier les nécessités administratives avec le respect des droits des citoyens. En raison du rôle qu'il joue au sein de l'administration publique, le juriste fonctionnaire est souvent appeléà favoriser cette conciliation. A cette fin, une bonne connaissance des deux principales sources d'inspiration du droit administrative - la jurisprudence et la législation - lui est essentielle. Par exemple, à titre de recherchiste ou de conseiller, il doit conseiller l'administration de façon Claire et efficace sur les changements qu'elle doit apporter à ses procédures ou à son action pour demeurer dans la léalitéà la suite de certains jugements des tribunaux. A titre de plaideur, par ailleurs, il doit éviter de proposer trop rapidement à son employeur une modification législative pour régler un contentieux avec un administré sur une question d'interprétation, une fois que le processus d'intervention judiciaire a été mis en marche. De la même façon, il ne doit pas utiliser indûment la disproportion des forces en présence comme moyen de pression pour forcer un réglement hors-cour ou, à l'inverse, pour refuser toute négociation là où un compromis serait acceptable. Enfin, le juriste de la function publique qui a pour tâche de rédiger la législation ou la règlementation doit s'assurer qu'il en saisit bien toutes les implications pratiques. A cette fin, il ne doit pas hésiter à rencontrer les personnes susceptibles d'être touchées et à les consulter. Une telle démarche permet d'éviter plus facilement des solutions bureaucratiques qui peuvent causer des ennuis inutiles aux citoyens. Abstract. The need to reconcile the demands of the administrative process with a respect for the rights of the individual represents the greatest challenge for modern administrative law. In this regard, lawyers within the public service have a special role to play. To do so requires that they be thoroughly familiar with the two main sources of administrative law: case law and legislation. For example, as a result of a particular court decision, they may have to advise the government on the implications of the decision for the administrative process and how this might be altered. Further, once the judicial process has been set in motion, they must refrain, in disputes involving statutory interpretation, from suggesting to the government immediate amendments to the legislation. Also, they must not be over-eager to bring about an out-of-court settlement by emphasizing the disproportionate resources available to the government in court matters. On the other hand, they must not refuse to negotiate acceptable compromises. Finally, when drafting bills they must be cognizant of the practical consequences of the legislation. They must meet and consult with the people most likely to be affected. The key objective must be to avoid bureaucratic methods or provisions which cause inconvenience to the public.  相似文献   

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Abstract The problem of constitutional reform was an important Canadian political issue from 1967 to 1971. The lengthy discussions failed to produce any cohesive results due to the inability of the various governments to reconcile their particular interests. One of the areas of concern was the makeup and the powers of the Senate. As a federally appointed body it has not fulfilled in any satisfactory way its role as a representative of the regional interests of Canada. Despite the acknowledged dissatisfaction with its present role, the various governments were unable to agree on a more effective one and the best that could be offered was some partial provincial power of appointment along with the limitation of the power of the Senate over legislation. It is the purpose of this article to suggest that a state of affairs has been reached in the Canadian federation where more positive measures are essential. Whether we like the idea or not, it must be recognized that under present conditions provinces are seeking and obtaining greater power over national policies without accepting any direct political responsibility for their activities. One answer to this problem which has never been fully examined is that adopted under the Basic Law of the Federal Republic of Germany. In that country the second chamber, the Bundesrat, is directly representative of the state governments and has extensive powers of veto over all matters affecting the state (Land) interests as well as a suspensive power over other national matters. The effective authority of the states is greatly enhanced in this respect by the fact that they are responsible for the administration of many of the federal laws. Such a system may not be adaptable to Canada, but it might provide a means of reconciling provincial and national interests. It would combine provincial power with political responsibility, something sadly lacking at the present time. This is a matter worthy of much deeper study than has been applied to date. Sommaire. Le problème de la réforme constitutionnelle a été une question politique d'actualité au Canada de 1967 à 1971. Des débats prolongé n'ont pas réussi à produire résultats cohérents, les différents gouvernements s'étant montrés incapables de concilier leurs intérêts particuliers. L'un des sujets à l'étude avait été la composition et les pouvoirs du sénat. En tant qu'organisme dont les membres sont nommés par le gouvernement central, il n'a pas réussi à représenter de façon satisfaisante les intérêts régionaux du Canada. Mais bien que les différents gouvernements se soient déclarés peu satisfaits de son rôle actuel, ils n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur les améliorations à apporter et ils n'ont pu proposer miew qu'un pouvoir provincial partiel de nomination ainsi que la limitation des pouvoirs du sénat sur la législation. Le but de cet article est de montrer que la Fédération canadienne en est arrivée à un point où des mesures plus positives sont essentielles. Que cela non plaise ou non, il faut reconnaître que dans les conditions actuelles, les provinces recherchent et obtiennent plus de pouvoirs sur les politiques nationales sans accepter de responsabilité politique directe pour leurs activités. L'une des solutions à ce problème qui n'a jamais étéétudiéà fond est celle qu'a adoptée la loi fondamentale de la République fédérale allemande. Dans ce pays la deuxième chambre, le Bundesrat, représente directement les gouvernements des Etats et a des pouvoirs étendus de veto sur toutes les questions touchant aux intérêts des Etats (Land) ainsi qu'un pouvoir suspensif sur d'autres questions nationales. Le fait que les Etats soient responsables de l'administration d'un grand nombre de lois fédérales augmente d'ailleurs considérablement leur autorité réelle. Un tel système ne pourrait peut-être pas être adopté intégralement au Canada, mais il pourrait nous fournir le moyen de conciIier les intérêts provinciaux et l'intérêt national. Il permettrait de combiner le pouvoir provincial et la responsabilité politique, ce qui manque malheureusement à l'heure actuelle. C'est là une question qui mérite d'être étudiée beaucoup plus à fond qu'elle ne l'a été jusqu'à maintenant.  相似文献   

16.
Abstract: This paper examines the introduction and operation of integrated resource planning management in the Department of Energy and Natural Resources, Government of Alberta, during the period 1976-86. In government planning, systems are introduced to increase task interdependencies, create common purposes and establish performance monitoring. Such a system forces the organizational units concerned to confront their differences. This is because planning systems change task interdependence from pooled to reciprocal. This change means that the differences between organizational units in terms of values, status, organizational processes and power are brought into the open. As a result conflict occurs, not so much because planning in uSis context represented an organizational change, but because reciprocal interdependence is inherently conflictual. This case shows that the planning systems are about both policy-making and organizational structure and processes. Changes in ways of making policy are changes in organizational operation. Outcomes such as incrementalism and political behaviour are derived from the pre-existing pattern of organizational differentiation and the way in which an innovative technical system, in this case integrated resource planning, interacts with that differentiation by changing task interdependence between resource agencies. Sommaire: Cet article traite de la mise sur pied et du mode de fonctionnement d'un service intégré de planification des ressources au ministére de l'Énergie et des Res-sources naturelles de l'Alberta entre 1976-86. Les gouvernements conçoivent des systémes de planification pour accroître l'interdépendance des tâches, fixer des objec-tifs communs et surveiller le rendement. Un systéme de ce genre fait ressortir les divergences qui existent entre les unités organisationnelles car l'interdépendance des tâches y est réciproque au lieu d'y être collective. Ceci met en lumiére les différences qui opposent les unités organisationnelles sur le plan de leurs valeurs, de leur statut, de leurs procédés organisationnels et de leurs pouvoirs. Il en découle un conflit, non pas tant parce que dans ce contexte la planification représente un changement organisational, mais parce que l'interdépendance réciproque est conflictuelle par essence. L'étude démontre que les systémes de planification touchent à la fois l'élaboration des politiques, la structure et les procécdés organisationnels. Modifier la façon d'élaborer les politiques débouche sur un changement du fonctionnement organisationnel. La comportimentation et le comportement politique qui en résultent proviennent du modéle organisationnel pré-existant, des divergences qu'il comporte et de la maniére dont un systéme technique novateur, en l'occurrence la planification intégrée des ressources, répose sur ces divergences pour modifier l'interdépendance des tâches entre les organismes ressources.  相似文献   

17.
Sommaire: Existe‐t‐il des dispositifs en éthique gouvernementale qui ne relèvent pas de la logique propre à la déontologie, comme c'est la tendance chez les pays membres de I'ocde? Dans le cadre d'une recherche financée par le secrétariat du Conseil du Trésor du gouvernement du Québec, il nous a été possible d'explorer un dispositif appelé« Réseau des répondants en éthique ». À I'analyse des réponses obtenues lors d'une enquête de type terrain, nous avons constaté qu'il y avait concordance entre la définition que les répondants donnaient de l'éthique (conception très majoritairement auto‐régulationniste) et la perception qu'ils avaient du rôle qu'ils devaient jouer. Nous avons aussi fait la démonstration qu'il y a une rupture dans l'imaginaire éthique des répondants par rapport à la tendance hétéro‐régulationniste. Une des causes de ce changement de mentalité proviendrait du fait que les consultants en éthique du Québec ont adopté un modèle de réflexion éthique faisant bien la distinction entre l'éthique et la déontologie. Abstract: Countries of the oecd have established “codes of conduct” for public servants. Do these codes have a determining effect on how ethics are applied? Our research project, funded by the Secretariat du Conseil du Tresor of the Government of Quebec, allowed us to explore what is called the Réseau des répondants en éthique, a network of ethics consultants. When we analysed field survey responses, we found a parallel between the ways the network respondents defined ethics (a primarily self‐regulated conception) and how they perceived the roles they were expected to play. We also found that there is a disjunction between the respondents' perception of ethics and the trend of regulation‐by‐others. One of the causes of this change in mentality would appear to be that Quebec's ethics consultants have adopted an ethical reflection model that distinguishes between ethics and codes of conduct.  相似文献   

18.
Abstract: The objective of this article is to determine whether there are any Japanese public management practices that the government of Canada might emulate. The article discusses the career paths of Japanese senior public servants and the functions of Japanese central agencies. Recruitment of the “best and brightest” by competitive examinations, lifetime employment within one department, a variety of “organizational learning” assignments for younger senior public servants, and bottom-up decision-making all combine to produce a senior public service of the highest calibre. The Japanese have controlled the growth of government by committing themselves to strict limits on the growth of spending, bureaucratic personnel and new organizational units. A central agency program evaluation unit and ongoing administrative reform commissions are evidence of a serious commitment to program evaluation. It is suggested that we attempt to emulate the Japanese by rotating senior officials less frequently so they can develop greater expertise within specific departments, by adopting firmer limits on bureaucratic growth and by strengthening our central agencies' program evaluation capabilities. Sommaire: Cet article a pour but de déterminer s'il existe des pratiques de gestion publique au Japon que le gouvernement du Canada aurait intérêt à adopter. L'article examine le cheminement de carrière des fonctionnaires japonais ainsi que les fonctions des organismes centraux au Japon. Le recrutement des meilleurs éléments par l'intermédiaire de concours, l'emploi à vie dans le cadre d'un même ministère, l'affectation des hauts fonctionnaires plus jeunes à une variété de postes d'apprentissage organisationnel, ainsi qu'une chaine décisionnelle ascendante sont autant d'éléments dont la combinaison finit par produire des hauts fonctionnaires de très grande qualité. Les Japonais ont enrayé l'expansion du gouvernement en adoptant des limites très strictes pour l'augmentation des dépenses et du personnel bureaucratique et pour l'établissement de nouvelles unités organisationnelles. Une section centrale d'évaluation des programmes des organismes ainsi que des commissions permanentes de réforme administrative illustrent bien le sérieux de l'évaluation des programmes. L'article suggère qu'il faudrait essayer d'imiter les Japonais en mutant les hauts fonction-naires moins souvent, afin qu'ils acquièrent de meilleures connaissances dans le cadre d'un ministère donnè, en adoptant des limites plus strictes à notre croissance bureaucratique, et en améliorant la capacité de nos organismes centraux àévaluer les programmes.  相似文献   

19.
Abstract: This article explores and criticizes the use of private tort law and the common law courts to impose liability on governments for losses associated with regulatory failure. After describing the recent history of government liability law in Canada and the traditional deterrent and compensatory rationales for tort liability, the authors argue that the requirement of personal liability of public officials, the exclusion of “policy” decisions from tort liability, a legal requirement of “negligence,” the institutional characteristics of the courts, and the assumption of a deterrent impact of tort law are all inappropriate in addressing government liability claims. The article then explores a variety of mechanisms operating within the federal bureaucracy to respond to liability claims. These include the allocation of losses to individual bureaucrats and to the Consolidate Revenue Fund within government, the allocation of legal costs within government, the incentive effects of the settlement process, the ex ante review of losses by Treasury Board, the ex post review of losses by the Office of the Auditor General, and the treatment of excluded claims. The authors then argue for the development of feedback mechanisms within government to ensure that liability signals are received by and influence administrative decision-making. The authors conclude that the existing substantive legal principles and court processes are inadequate in themselves to ensure that government liability claims are addressed so as to reflect appropriately the relationship of the individual to the state in the regulatory process, and to ensure that liability risks are adequately incorporated into the regulatory decision-making process. They argue that a different set of principles should be developed and applied in addressing government liability claims; and further that these principles should be applied either through the courts with necessary reforms in response to existing institutional limitations, or through agency-specific administrative processes. Sommaire: Cet article analyse et critique l'utilisation du droit privé de la responsabilité déictuelle et des cours de common law en matière de responsabilitéétatique pour les pertes associées aux défaillances de la réglementation. Les auteurs dérivent l'historique récent du droit de la responsabilité gouvernementale au Canada, ainsi que les fondements traditionnels de la responsabilité délictuelle que sont la dissuasion et l'indemnisation. Ils affirment que l'exigence d'une responsabilité personnelle de la part des dirigeants publics, l'exclusion des décisions de “politique ”du champ de la responsabilité délictuelle, l'exigence légale de “ négligence ”, les caractéristiques institutionnelles des tribunaux ainsi que l'hypothèse de l'effet dissuasif du droit délictuel sont toutes inadéquates lorsqu'il s'agit de régler des causes mettant en jeu la responsabilité gouvernementale. L'article examine ensuite toute une gamme de mécanismes internes de la fonction publique fédérale conçus pour faire face aux allégations de responsabilité. Ces mécanismes comprennent l'affectation de pertes à des fonctionnaires particuliers et au Fonds consolidé du revenu au sein du gouvernement lui-même, l'allocation de frais juridiques au sein du gouvernement, l'effet incitatif des règlements à l'amiable, l'examen “ ex ante ” des pertes par le Conseil du Trésor, l'examen “ ex post ” de ces mêmes pertes par le bureau du Vérificateur général, ainsi que le traitement des réclamations exclues. Les auteurs recommandent que l'on mette au point des mécanismes de rétroaction au sein du gouvernement pour s'assurer que les signaux en matière de responsabilité soient bien reçs par les décideurs administratifs et qu'ils les influencent. Selon la conclusion des auteurs, les principes de droit substantif et le processus judiciaire actuel sont inadéquats, à eux seuls, pour assurer que l'on traite les réclamations de responsabilité gouvernementale de manière à bien refléter le rapport entre l'individu et 1'État dans le processus de réglementation, et pour permettre que les risques en matière de responsabilité soient incorporés de manière adéquate au processus décisionnel lors de la réglementation. D'après les auteurs, il faudrait mettre au point et appliquer un autre ensemble de principes pour les réclamations contre l'état, et ces principes devraient être appliqués soit par les tribunaux, moyennant les réformes nécessaires face aux actuelles limites institutionnelles, soit par l'intermédiaire de processus administratifs propres à chaque organisme.  相似文献   

20.
Abstract: Over the past forty years, the Canadian health-care system has undergone many changes and realized many achievements. Universal coverage, organizational simplicity, high status of health together with a high level of public satisfaction indicate success of the system. And yet, the health-care system began to show signs of strain. Changing consumer expectations, mounting health-care expenditures and a continued emphasis on the institutional sector contributed to the down-side of the success. In response to this, the Alberta government initiated fundamental reform of this complex system. This paper chronicles Alberta's approach in reforming and restructuring the health-care system. It reviews a number of developmental and policy initiatives that set the stage for a health-care reform mind-set in the province. It reviews Alberta's approach to health-care reform from its initial stages to the development of the first Three-Year Business Plan for Health through to the formation of a regionalized health-care system. The paper concludes by offering some preliminary observations of this reform process. Sommaire: Au cours des quarante dernières années, le réseau des soins de santé au Canada a subi de nombreux changements et a beaucoup réalisé. La couverture universelle, la simplicité organisationnelle, un excellent standard de santé ainsi qu'un niveau élevé de satisfaction du public sont autant d'indices de réussite du système. Et pourtant, le réseau des soins de santé a commencéà révéler des symptômes problématiques. L'évolution des attentes des consommateurs, l'augmentation des dépenses consacrées à la santé ainsi que l'accent placé sur le secteur institutionnel sont venus grever ce succès. Pour faire face à ces changements, le gouvernement de l'Alberta a lancé une réforme fondamentale de ce réseau complexe. Cet article présente l'approche de l'Alberta en matière de réforme et de restructuration du réseau des soins de santé. II passe en revue un certain nombre d'initiatives de politique et de développement qui ont obtenu l'appui du public pour la réforme du système. L'article examine la méthodologie de l'Alberta en matière de réforme des soins de santé, à partir de ses premières étapes jusquapos;à la mise au point du premier plan de fonctionnement triennal pour la Santé, et l'établissement d'un systéme de santé régionalisé En conclusion, l'article présente quelques observations préliminaires sur ce processus de réforme.  相似文献   

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