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1.
Abstract: This article reviews two efforts to reform labour‐market decision‐making in British Columbia during the 1990s that were designed to increase the private sector's role in developing and administering education and training programs. The first effort was the British Columbia Labour Force Development Board, created in 1994 and closed in 1996; the second was the Industry Training and Apprenticeship Commission, launched in 1997 and still in operation at the time of writing. Each reform sought to foster cooperation among public‐ and private‐sector actors in the labour‐market field in “associational” arrangements. In so doing, the reforms ran counter to institutionally entrenched patterns of behaviour in B.C.‘s political economy, which favour conflict between business and labour and limited involvement of private‐sector actors in public‐sector labour‐market institutions. This article assesses the extent to which these institutional constraints precluded the success of these reforms. The evidence suggests that they did, and that political‐economic institutions are therefore a powerful and relatively rigid constraint on innovations of the associational type. Nevertheless, the article concludes that such reforms are more likely to succeed at the sectoral or local level, where these constraints are less compelling and where the forces that encourage associational reforms are particulary strong. Sommaire: Cet article passé en revue deux efforts de réforme de la prise de décisions concemant le marché du travail en Colombie‐Britannique au cours des années 1990 et qui visaient à augmenter le rôle du secteur privé dans I'elaboration et l'administra‐tion des programmes d'enseignement et de formation. Le premier de ces efforts fut le Conseil de développement de la main‐doeuvre de la Colombie‐Britannique, créé en 1994 et aboli en 1996; le deuxième fut la Commission d'apprentissage et de formation industriels, mise sur pied en 1997 et existant toujours à l'heure actuelles. Chacune de ces réformes visait à favoriser la collaboration entre les intervenants publics et privés du marché du travail, au moyen d'arrangements « associatifs «. Ce faisant, les réformes allaient à l'encontre des comportements institutionnellement ancrés dans I'économie politique de la C‐B., qui favorisent le conflit entre le patronat et les syndicates ainsi qu'une participation limitée des intervenants du secteur privé dans les institutions du marché du travail du secteur public. Cet article évaluée à quel point ces contraintes institutionnelles ont ernpiêché la réussite de ces réformes. Il semblerait effectivement qu'elles I'ont empêkhé. Les institutions politico‐économiques représen‐tent donc une contrainte rigide et puissante pour les innovations de type associatif. Néanmoins, on conclut que de telles réformes ont de meilleures chances de succé‐formes ont de meilleures chances de succès au niveau sedoriel ou local, où ces contraintes sont moindres et où les forces qui encouragent les réformes associatives sont particulièrement fortes.  相似文献   

2.
Abstract. Surprisingly, little has been written in Canada about the Prime Minis-tership. Even less has been written about the Prime Minister's Office. This is not so surprising. A large and active Prime Minister's Office is a recent phenomenon having no precedent in British or Canadian political practice. Constitutionally, it might be argued that a Prime Minister's Office should not exist at all. The fact is, however, that it does exist in Canada, and that in recent years it has grown substantially in size and influence. This paper is in two parts. The first part outlines some of the key changes that have taken place in the Office since the election of Prime Minister Trudeau in 1968. The second part outlines some of the problems associated with this growth and suggests some ways in which the Office might be strengthened while ensuring that it respects the fundamental principles of parliamentary government. This paper concludes that the Prime Minister's Office, as it has developed in Canada during the past five years, performs a largely constructive role and that with certain adaptations and safeguards it will cmtinue to provide highly useful assistance to the Prime Minister in the execution of his increasingly varied and complex range of responsibilities. Sommaire. Il est surprenant de constater qu'il a été peu écrit au Canada sur le poste de Premier Ministre et encore moins sur le bureau du Premier Ministre. Ceci est moins étonnant. L'existence d'un bureau important et actif est un phénomène récent qui n'a pas de précédent dans la pratique politique britannique ou canadienne. Du point de vue constitutionnel, on pourrait soutenir que le bureau du Premier Ministre n'existe pas. Il n'en reste pas moins que son existence est un fait au Canada et qu'au cours des dernières années, ses proportions et son influence n'ont fait qu'augmenter. Cette communication est en deux parties. Dans la première, l'auteur expose les changements fondamentaux survenus dans le bureau depuis l'élection du Premier Ministre Trudeau en 1968. Dans la deuxième, il expose certains des problèmes qu'a suscité cette croissance et propose différents moyens de renforcer le bureau tout en s'assurant qu'il respecte les principes fondamentaux de gouvernement parlementaire. L'auteur conclut en déclarant que le bureau du Premier Ministre, tel qu'il s'est développé au Canada au cours des cinq dernières années joue un rôle surtout constructif et qu'avec certains ajustements et sauvegardes, il pourra continuer à fournir une aide extrêmement appréciable au Premier Ministre, dans l'exercice des fonctions de plus variées et complexes qui sont les siennes.  相似文献   

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