Program planning and control in |
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Authors: | Frank Mdhgan |
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Abstract: | Abstract. This paper examines the process of planning a program and assigning priorities in the Canada Counci?s support of scholarship and research. This requires a differentiation of claims on the Counci?s resources. The primary basis of this categorization was the nature of the activity for which support was requested. Although other bases of differentiation entered into the administration of the program - the characteristics of the claimants, the kinds of expenditure for which subsidies were sought, the academic disciplines and the content of the proposed research - they were found to be unsuitable for program planning and the allocation of resources. Once claims were categorized, the simplest way to define priorities was to identify which kinds of claims would be considered and which were excluded, with an undertaking to meet all of the former that passed a test of quality. From 1965 to 1969 the Council relied heavily on this approach, both because it offered the clearest statement of priorities and because it was thought to provide the greatest stimulus to research and graduate studies. But from 1969 on, with its appropriation virtually frozen, the Council resorted increasingly to a more sophisticated approach which ascribed controlled allotments to a growing range of program elements and manipulated the response to claims in each category to keep within the bounds of the allotments. The move to establish a new council for the humanities and social sciences, which would be subject to the budgetary and financial controls of the government, accelerated this transition by jeopardizing the financial flexibility on which the Canada Council had relied in treating the adjustment of priorities as an integral and continuous part of its program administration. Sommaire. .?auteur de cet article examine le processus de planification ?un programme et ?établissement de priorités en ce qui concerne le soutien que le Conseil des Arts accorde à?érudition et à la recherche. Ceci demande, tout ?abord, de trier les demandes ?aide au Conseil. Cette première catégorisation a été basée sur la nature de ?activité pour laquelle une subvention était de-mandée. Il y avait ?autres éléments de differéntiation à entrer en ligne de compte, à savoir: les caractéristiques des requérants, le genre de dépenses pour lesquelles des subsides étaient sollicités, les disciplines académiques et la teneur de la recherche proposée, mais ces éléments n'étaient pas considérés comme suffisants pour permettre la planification et ?allocation des ressources. Une fois les demandes catégorisées, la façon la plus simple de définir les priorités était ?identifier les demandes qui seraient considérées et celles quiseraient exclues tout en s'engageant à satisfaire toutes les demandes de la première catégorie ayant réussi un test de qualité. Entre 1965 et 1969, le Conseil a principalement utilisé cette approche, à la fois parce qu'elle offrait la formulation de priorités la plus claire et fournissait, pensait-on, un remarquable stimulant à la recherche et aux études graduées. Mais à partir de 1969, en raison de coupures budgétaires, le Conseil adopta de plus en plus une approche plus sophistiquee qui consistait à attribuer des sommes déterminées à une gamme croissante ?éléments de programme et à manipuler ?analyse des demandes dans chaque catégorie de facon à rester dans les limites des sommes déterminées. La création ?un nouveau Conseil pour les humanités et les sciences sociales, sujet aux contrôles budgétaires et financiers du Gouverne-ment, a accéléié cette transition en compromettant la souplesse financiére qui permettait au Conseil des Arts de traiter ?ajustement des priorités comme une partie intégrate et continue de ?administration de son programme. |
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