Techniques and processes of administration |
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Authors: | D.G. Hartle |
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Abstract: | Abstract. Since the Glassco Commission in the early sixties there has been a plethora of administrative changes: Program Planning and Budgeting, Operational Performance Measurement Systems, Management by Objectives, and Cost/Benefit Analysis have all been introduced as technical panaceas. In terms of processes, some should probably have been changed but remain the same(such as the personnel selection-promotion process), while others have been circumvented (the regular budgetary process). Still others have been changed (the cabinet committee process) but have produced results of questionable value and perhaps positive harm to majority governments. It is contended that the Glassco injunction ‘let the manager manage’ and the assumption that private sector practices should be adopted by government, virtually without modification, ignore fundamental differences between the two sectors. The war between competing interest groups is inevitable and hence perpetual. Governments engage in a rolling set of compromises between factions in an essentially adversarial process under rules, formal and informal, that restrict the field of battle. Frequently, those who advocate administrative changes are in pursuit of their personal interests. They frequently find themselves in alliances with one or more of the contending parties who look upon them as guns for hire to be used or rejected on strategic grounds. After an impressionistic critique of each of the processes and techniques previously cited, the paper ends on a more positive note. There is a plea that the powers of the auditor general be expanded to encompass reporting upon (as distinct from undertaking) the extent to which a ministry is carrying out efficiency and effectiveness studies, where there is a consensus about the validity of the data and methodology. It is also suggested that the auditor general report upon the disposition of these studies with the aim of breaking down present secrecy barriers. A better informed public would change the incentive structure within which ministers, aided by officials, reach their decisions. Sommaire. Depuis la Commission Glasscoe, au début des années 60, il y a eu une pléthore de changements administratifs. La Planification et l'établissement des budgets par programme, les systèmes de mesure des performances opérationnelles, la gestion en function des objectifs, l'analyse des coûts et avantages, tous ces systèmes ont été utilisés comme panacées techniques. Du point de vue des processus, certains, qui auraient dû sans doute être changés ne l'ont pas été (comme par exemple la sélection du personnel et le processus de l'avancement) alors que d'autres ont été contournés (le processus budgétaire normal). D'autres encore ont été changEeAs (le processus des comités de cabinet) mais pour produire des résultats de valeur douteuse et parfois franchement défavorables pour les gouvernements majoritaires. L'auteur soutient que l'impératif de la Commission Glasscoe « laisser gérer les gestionnaires » et le postulat suivant lequel les pratiques du secteur privé devraien être adoptées pratiquement sans modification par les gouvernements ignorent les différences fondamentales qui existent entre les deux secteurs. La lutte entre des groupes aux intérêts divergents est inévitable, et done perpétuelle. Les gouvernements s'engagent dans tout un jeu de compromis dynamiques entre les différentes factions dans ce qui essentiellement un processus antagoniste, à l'intérieur de règies formelles ou non formelles, qui réduisent la portée du conflit. Fréquemment, ceux qui réclament des changements administratifs le font dans leur propre intérêt et ils se trouvent souvent alliés à un ou plusueurs des partis d'opposition qui les considèrent comme des mercenaires à utiliser ou rejeter pour des raisons stratégiques. Après une critique subjective des divers processus et techniques cités précédemment, l'auteur conclut sur une note plus positive. Il demande que les pouvoirs de l'Auditeur général soient étendus pour qu'il fasse connaître (et non pas pour qu'il étudie) la mesure dans laquelle les ministères effectuent des études sur l'efficience et l'efficacité, là où il existe un consensus quant à la validité des données et de la méthodologie. Il propose aussi que l'Auditeur général fasse rapport sur l'usage qui est fait de ces études, afin de supprimer le secret qui l'entoure actuellement. Un public mieux informé transformerait la structure de la motivation qui entoure actuellement les ministres qui prennent des decisions et leurs fonctionnaires. |
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