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La gestion du rendement à la croisée des chemins: entre la rigueur et le laxisme
Authors:Jacques Bourgault  Yvon Tremblay
Abstract:Sommaire: Apparue dans la gestion publique pendant les années 1970, l'évaluation du rendement devait permettre aux organisations de mieux canaliser les énergies des gestionnaires vers les buts corporatifs, de fournir une mesure plus juste du rendement des gestionnaires et de contribuer à la détermination des salaires. Plusieurs ont déploré son formalisme superficiel et ses coûts organisationnels supérieurs à ses effets bénéfiques. Depuis quelques années, les programmes de gestion du rendement semblent se trouver dans une impasse: la réduction de formalisme rend le processus moins précis et utile alors que son maintien Crée des difficultés d'acceptation aux divers niveaux de cadres. En fait, la gestion du rendement fait partie intégrante de tout processus de gestion et nécessite, pour qu'il y ait réussite, une contribution réelle des organisations et des gestionnaires. Les premières doivent fournir tout le support organisationnel nécessaire au succès, tandis que les seconds doivent être capables de réaliser toutes les tâches de cette gestion (fixer des objectifs, superviser, développer des informations de gestion, réussir des communications “ face à face ”, poser des jugements évaluatifs et objectifs et enfin, envisager des moyens de correction). Ils doivent aussi accepter d'y consacrer le temps et l'énergie nécessaires. Nous avons interviewé un échantillon de cadres de huit organismes publics oeuvrant au Québec aux paliers municipal, provincial, fédéral, et dans les domaines scolaire et de la santé, ceci afin de vérifier le degré de conformité de l'application du modèle classique d'évaluation du rendement et les impacts observés. Il s'agissait de savoir s'il existe une relation entre le degré de conformité et l'ampleur des impacts positifs. Abstract: Introduced in public management during the 1970s, the purpose of performance evaluation was to enable organizations to channel better managers' energy towards corporate goals, to provide the means required for a more accurate measurement of manager performance, and to help determine remuneration. Its superficial formalism and the fact that its organizational costs were greater than its benefits have been often criticized. For the last few years, performance management programs appear to have been stuck in a dilemma. Reducing formalism renders the process less precise and less useful, while its own existence makes it difficult to be accepted by the various executive leveis. In fact, performance management is an integral part of any management process: to be successful, it requires an actual contribution from organizations and managers. Organizations must provide all the organizational support required for successful performance management, while managers must be able to fulfil all the tasks involved in its management (setting objectives, supervising, developing management information, communicating successfully “face to face,” making sufficiently objective evaluation judgments, and propcbsing corrective measures). They must also be prepared to devote to it the time and enf'rgy required. We have interviewed a sample of executives of eight public agencies operating in Quebec at the municipal, provincial, federal, and school and health administration level in order to check the application of the conventional performance evaluation model and the impacts noted. The purpose was to ascertain whether there was a relationship between the appropriateness of the implementation and the magnitude of the positive impact.
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