| Abstract: | Abstract. While economic and technological difficulties greatly reduced Rolls-Royce's viability, its passing into receivership can be adequately explained only by invoking additional (and largely political) factors. In the absence of any automatic criteria for aborting a losing project, the Conservative government of the day responded to an abundance of consistently negative politioal implications. Unfortunately for its continued survival, the Rolls-Royce development of an RB-211 engine for Lockheed was civilian, not military; prosaic, not meta-phoric; ostensibly private, not openly governmental; internationally fluctuating, not domestically controllable; a weak coalition, not a strong partnership; profit oriented, not ideologically based; and narrowly subsidized, not internally fund-able. The Conservative response was probably not unique; and a Labour government wodd Iikely have reacted to these implications in roughly the same way. It is to the circumambient political factors rather than to determinative economic considerations, however, that the decisions reached by either party would be primarily traceable. Sommaire. Des difficultés économiques et technologiques réduisirent de beau-coup la viabilité de Rolls-Royce, mais sa mise en faillité ne peut vraiment s'expIi-quer qu'en invoquant d'autres facteurs complémentaires, surtout politiques. En I'absence de tout critère automatique pour faire avorter un projet non rentable, le gouvernement conservateur du moment réagit à une multitude d'implications politiques, toutes négatives. Malheureusement pour Rolls-Royce, la création d'un moteur RB-211 pour Lockheed était une entreprise civile et non pas militaire; prosaïque et non pas métaphorique; manifestement privée et non pas ouverte-ment gouvernementale; sujette à des fluctuations internationales et non pas contrôlable à I'échelle nationale; dirigée par une coalition faible et non pas par une association forte; à buts lucratifs et non pas idéologiques; subventionnée de facon limitée et non pas financée de I'intérieur. La réaction des conservateurs n'a sans doute rien de très étonnant et un gouvernement travailliste aurait sans doute, en gros, réagi de la même façon à ces données. Ce sont à des facteurs politiques ambiants plutòt qu'à des considérations économiques déterminantes qu'il faudrait attribuer avant tout les décisions prises par l'un ou I'autre parti. |
